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24 avril 2024

Berlusconi : La chute de Kadhafi n’était pas une révolution, mais un complot français



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Berlusconi : La chute de Kadhafi n’était pas une révolution, mais un complot français

Rédigé par Adam Sfali – Emarrakech le Samedi 12 Janvier 2013 à 12:03 | 8 commentaire(s)

Rome : Sylvio Berlusconi de retour sur le devant de la scène politique italienne, a fait des révélations fort embarrassantes pour la France, sur la guerre en Libye, qui se sanctionna par le sanglant détrônement de Mouammar Kadhafi et la destruction des infrastructures libyennes.


Berlusconi : La chute de Kadhafi n’était pas une révolution, mais un complot français
A une agence de presse italienne, a donné entretien, l’ex président du conseil italien, Sylvio Berlusconi, évoquant la guerre en Lybie, qui fit mort, Mouamar Kadhafi, et à laquelle avait pris part l’Italie sous lui, avec aviationmarine et bases aériennes.

A cette guerre, Berlusconi a refusé le qualificatif de révolution : «Ca n’a jamais été une révolution, mais bel et bien un complot européen».

Son instigateur, Berlusconi nomme un pays et un homme, «La France et son président d’alors Nicolas Sarkozy».

«Ils ont tout provoqué» a accusé Berlusconi, selon ce qu’a rapporté le journal londonien Al Quds Al Arabi.

Du voyage à Benghazi du philosophe franco-israélien Bernard Henry Levy, jusqu’à son très dramaturgique appel d’aide adressé à Nicolas Sarkozy alors président, Berlusconi, en dit qu’il s’ait agit de mise en scène.

«Les avions français ont attaqué la Libye bien avant la décision du conseil de sécurité de l’ONU» souligne t il, expliquant que l’objectif pour la France, talonnée aussitôt par laGrande Bretagneétait prioritairement de détruire les équipements et infrastructures de la Lybie, en plus de tuer Kadhafi.

Il ajouta que les deux pays européens voulaient, pour lutter contre la crise économique chez eux, faire refaire par leurs entreprises, les infrastructures de la Libye , après leur destruction, en se faisant payer avec l’argent de son pétrole.

A rappeler que grande fut la proximité entre Berlusconi et Kadhafi, jusqu’à ce que le premier, ne se retourne contre le deuxième et ne participe à son terrassement.

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