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18 avril 2024

Les grosses orchades, les amples thalamèges.. Littératures vagabondes – états d’âme à La Thalamège


12/02/2017

ON N’A PAS LE TEMPS DE FAIRE MIEUX…

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On n’a pas le temps de faire mieux en ce moment… mais on vous relaie ce qui en vaut vraiment la peine

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Le DECODEX Alternatif (méfiez-vous des imitations)

Le Grand Soir11 février 2017

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Le Grand Soir, toujours à l’écoute de ses lecteurs (réguliers, occasionnels ou accidentels) vous offre le DECODEX ALTERNATIF, un vrai DECODEX rédigé par de vrais gens dotés d’une véritable expérience. Ces analyses ne sont basées ni sur une vague impression après un survol rapide, ni sur un coup de fil à « Conspiracywatch », mais sur l’expérience de militants/bénévoles chevronnés de « l’information alternative ».

Contrairement à d’autres DECODEX de bas de gamme qui circulent sur le marché, ce que vous ne trouverez pas ici une liste (qui se voudrait impressionnante) de 600 médias… Pour deux raisons :

1) Un peu de sérieux, quand même… vous croyez réellement que quelqu’un a passé le temps nécessaire et indispensable pour analyser, un par un, 600 médias ?
2) En ce qui concerne les médias mainstream, ils sont tous détenus par une poignée de groupes aux idéologies et intérêts convergents et interchangeables. L’analyse des uns vaut donc largement pour les autres. Qu’on se le dise.

Le Grand Soir

PS : Les lecteurs et responsables de sites dits alternatifs sont invités à compléter le tableau.

 

LE DECODEX ALTERNATIF

Le Monde

Détenu par une poignée de membres du 1% (Xavier Niel, Pierre Bergé et Matthieu Pigasse) qui n’hésitent pas à investir des millions d’euros dans l’unique but de défendre le droit à l’information des 99%.

Pseudo-quotidien de référence, le Monde est souvenu qualifié dans les milieux des spécialistes de la solidarité internationale de « torchon ». Sous couvert de « sérieux », les journalistes du Monde sont connus pour publier régulièrement des articles de propagande (cf Bertrand de la Grange) et même des articles inventés de toutes pièces (cf Paranagua).

Souffre d’un « syndrome du larbin Atlantiste » qui l’amène à publier des articles aux titres volontairement trompeurs tels que « Des soldats américains déployés en Pologne en réponse à l’activité militaire russe dans la « région » (sic) » (13 janvier 2017)

Connu comme le quotidien de « ceux qui savent déjà tout ». Anti-progressiste lorsqu’il s’agit de régimes qui déplaisent à Washington.

Lire la suite…

Source : https://www.legrandsoir.info/le-decodex-alternatif-mefiez…

Notre avis :

Hélas, il en manque, mais c’est un bon début.

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Marine Le Pen amène le pire (*)

Théophraste R. – Le Grand Soir 10 février 2017

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Invitée le 9 février de « L’Emission politique » (France 2), Marine Le Pen a convaincu 41 % des téléspectateurs au terme d’un numéro où elle a multiplié les mensonges, les truquages des chiffres, les logorrhées brouillonnes, les fuites dilatoires devant chaque question précise, les contradictions (exemple avec des éléments ici accolés : « J’ai fait toute ma scolarité dans l’école publique qui est déplorable, on n’y apprend pas à lire, j’en ai été l’élève et je suis avocate. »).

Ah, qu’on me dise pourquoi faudrait-il que la candidate d’un parti qui, plus que tout autre, collectionne les casseroles judiciaires, un parti qui a été fondé par son père et des nazillons (officiers de la Waffen SS, de la division Charlemagne, membres de la LVF, du PPF…) dont les idées intactes jaillissent des entrailles de la bête dès que les militants tatoués se croient à l’abri des micros et des caméras, pourquoi faudrait-il que cette femme devienne présidente de la France si les honnêtes gens ne se résolvent pas, en mai 2017, à élire un ancien ministre de Hollande (Macron ou Hamon) après avoir juré « Plus jamais je ne voterai socialiste ! »

Ah, Benoît Hamon (qu’on aimerait aimer), que ne renoncez-vous pas à nous serrer à la gorge avec votre « C’est moi ou la peste brune, c’est une resucée de Hollande (avec ses anciens ministres et députés) ou le fascisme » !

Interpellé par une citoyenne qui lui disait qu’on ne veut pas de la loi El Khomri, Valls avait répondu avec morgue : « Eh bah, vous l’aurez ! » (1). Benoît, ne nous refaites pas ce coup-là avec le hollandisme.
Demandez au Président, à Valls, Sarkozy, Juppé, Fillon, quelle distance sépare le Capitole de la roche Tarpéïenne.

Théophraste R. (Fabriquant de banderoles : « Plutôt le Front populaire qu’Hitler »).

__________________

* Titre du livre de Frédéric et Maxime Vivas, préfacé par Paul Ariès (éditions Golias, 250 pages, 12 euros, édité en 2014 en collaboration avec le site legrandsoir.info). On peut le commander chez l’éditeur (http://golias-editions.fr/) ou à des librairies comme Terra Nova : http://www.librairie-terranova.fr/

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Note :
(1) http://lelab.europe1.fr/video-eh-bah-vous-laurez-la-repon…

Source : https://www.legrandsoir.info/marine-le-pen-amene-le-pire-…

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On n’est pas sûrs de tout comprendre et on ne voit pas bien comment ils veulent faire, mais ils ont le mérite de poser la question et… les commentaires sont aussi intéressants que l’article.

 

Les défis pour la gauche dans la zone euro

Article collectif présenté par plus de 70 co-signataires

Le Grand Soir10 février 2017

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Ce qui fait l’importance de ce texte, outre son contenu, est qu’il est co-signé par des personnalités et des militants de plus de 15 pays européens, provenant de différents horizons : de Podemos et Izquierda Unida au Bloc de Gauche portugais, du Parti de Gauche au NPA en passant par Ensemble ! en France, de l’Unité populaire à Antarsya en Grèce, de la gauche radicale danoise à celle de Chypre en passant par celle de pays comme la Slovénie, la Bosnie-Herzégovine ou la Hongrie. Il est signé par des députés européens de différents partis et de différents pays, par le responsable des finances de la Ville de Madrid, par l’ex-présidente du parlement grec, par une série de membres de la commission pour la vérité sur la dette grecque…

Article collectif présenté par plus de 70 co-signataires dont :

Eric Toussaint, Jeanne Chevalier, Costas Lapavitsas, Stathis Kouvelakis, Christine Poupin, Zoe Konstantopoulou, Marina Albiol, Miguel Urbán Crespo, Alexis Cukier…

Voici un texte co-signé par plus de 70 personnes actives dans de nombreux pays d’Europe (voir liste complète en bas de l’article). Ce texte collectif établit une analyse claire des rapports de force dans l’Union européenne et avance une série de propositions radicales mais nécessaires, pour quiconque prétend lutter contre l’austérité, en faveur d’une Europe des peuples et pour la transition écologique.

Ce qui fait l’importance de ce texte, outre son contenu, est qu’il est co-signé par des personnalités et des militant-e-s de plus de 15 pays européens, provenant de différents horizons : de Podemos et Izquierda Unida au Bloc de Gauche portugais, du Parti de Gauche au NPA en passant par Ensemble ! en France, de l’Unité populaire à Antarsya en Grèce, de la gauche radicale danoise à celle de Chypre en passant par celle de pays comme la Slovénie, la Bosnie-Herzégovine ou la Hongrie. Il est signé par des député-e-s européen-ne-s de différents partis et de différents pays, par le responsable des finances de la Ville de Madrid, par l’ex-présidente du parlement grec, par une série de membres de la commission pour la vérité sur la dette grecque…

Les 10 propositions avancées dans ce texte résultent de l’analyse de la situation en Europe depuis 2010, de l’affrontement entre Syriza et la Troïka – car ce fut bien un affrontement – au premier semestre 2015 et de l’application des politiques d’austérité par Syriza depuis lors, mais aussi des expériences espagnoles, irlandaises ou chypriotes. Les événements récents ont clairement démontré la nécessité pour un gouvernement de gauche d’avoir le courage de désobéir aux injonctions des autorités et des traités européens. Cela doit s’accompagner d’une mobilisation populaire encouragée par le gouvernement et d’une série de mesures fortes : organiser un audit de la dette avec participation citoyenne, mettre en place un contrôle des mouvements de capitaux, socialiser le secteur financier et le secteur de l’énergie, réformer radicalement la fiscalité… Et bien sûr, avoir l’inévitable débat sur la zone euro, dont la sortie est une option qui doit être défendue au moins dans certains pays.

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Source : https://www.legrandsoir.info/les-defis-pour-la-gauche-dan…

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La soudaine fébrilité du Monde…

Pierre Lévy – Comité Valmy 11 février 2017

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Spécialiste des questions européennes, Pierre Lévy pointe un éditorial du Monde qui attaque, avec une violence de ton inhabituelle, l’idée de quitter l’euro et l’UE.

Le Monde fulmine. Dans l’éditorial de son édition datée du 07 février, le quotidien du soir a déployé l’artillerie lourde contre deux cibles – Marine Le Pen et l’idée de quitter l’Union européenne. L’on comprend vite que la frayeur que lui provoque la seconde est la véritable raison de l’attaque contre la première.

La candidate adoubée par le Front national « ne veut plus revenir sur l’abolition de la peine de mort […] et se range volontiers aux us et coutumes de l’époque concernant le mariage homosexuel », s’agace notre confrère qui, on le sent, eût peut-être pardonné un véniel conservatisme sociétal. Mais, s’étouffe-t-il d’indignation, elle « n’a qu’un programme : sortir de l’Union européenne et de l’euro ». Presque incrédule devant un tel blasphème, l’éditorialiste répète, comme interdit : « Il faut regarder les choses en face, le FN veut casser l’Europe. »

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Source : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article8233

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Dans le torrent des explications, interprétations, déplorations, conjectures et/ou prédictions qui n’en finissent pas de balayer la toile depuis la victoire du candidat GOP et plus encore depuis son inauguration, nous avons relevé ceci, qui ne nous a pas paru manquer de bon sens.

 

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Cirque Trump-USA et nous dans tout ça ?

Réflexions d’un communiste

Alexandre Moumbaris – Les Dossiers du BIP 2 février 2017

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Comme on a déjà beaucoup vu M. Trump, ceci est le portrait de l’auteur.

Et ceci son CV : http://paris8philo.over-blog.com/alexandre-moumbaris.html

Les élections étasuniennes nous ont interpellés avec une très grande intensité. Le risque d’une guerre nucléaire était notre première préoccupation. Nous ne pouvions pas assumer une pseudo-pureté idéologique et condamner les deux candidats de la même manière – attitude répandue parmi des «communisants» d’extrême gauche – ou ce qui au fond revient quasiment au même, s’enfoncer la tête dans le sable et attendre que l’orage passe.

Notre principal raisonnement était le suivant: comment éviter le pire et choisir ce qui était le mieux pour le mouvement ouvrier. Ce qui nous est apparu comme étant le primordial était que la candidate pro-guerre     Hilary Clinton ne gagne pas. Il y eu aussi d’autres raisons pour nous rendre Trump plus «sympathique», tout capitaliste, milliardaire, sioniste, un peu bigot, souvent grossier, vulgaire, raciste, sexiste, même un peu fascisant… qu’il soit. Sa position visant à chercher à améliorer les relations des États Unis avec la Russie, le renvoi de tous les ambassadeurs y compris de Victoria «fuck the E.U» Nuland, néoconservatrice très impliquée dans le coup d’État de Maïdan en Ukraine, annonçaient d’importants changements, un progrès dans l’apaisement au moins partiel des conflits. Malheureusement ses positions vis-à-vis de la Chine, de la Corée du Nord, de l’Iran et de la Palestine restent hostiles. Quant au rapprochement avec la Russie il pourrait être soit une diversion pour diviser l’alliance russo-chinoise, soit répondre à une autre stratégie malicieuse.

Il est à noter que depuis octobre 2016 un projet de Loi (Bill) a été introduit pour interdire au Président des États-Unis de déclencher une guerre préventive sans l’approbation du Congrès. Selon ses auteurs son objet était d’éviter que Donal Trump, qui ostensiblement n’avait pas leur confiance, puisse avoir cette possibilité. Ce projet de Loi «H.R.669» a été soumis au Congrès le 24 janvier 2017. Il n’a donc pas encore été adopté. Donald Trump a déclaré le soutenir. Ce qui est étrange c’est qu’en octobre lorsque ce projet de loi a été introduit, il n’était pas possible de prévoir lequel des candidats serait élu. La conclusion à en tirer est que les divers conflits opposant essentiellement les États-Unis à la Russie et à la Chine ont atteint un tel niveau de dangerosité, qu’ils ont poussé le Congrès étasunien à – maladroitement et tardivement – mettre un frein – en dépit des néoconservateurs post-trotskistes – à leur politique d’agression permanente. Le bon sens aurait quelque peu prévalu et montré qu’aux États-Unis il y a quand-même beaucoup de gens sensés qui tiennent à la vie.

Sur le plan intérieur, le positif réside dans la pénalisation par une taxe de 20% ou 30% des produits d’entreprises délocalisées, moyen de décourager les importations et de favoriser la production interne. De telles mesures, ne peuvent que faire du bien à la production nationale, à l’emploi, aux salaires avec pour conséquence une hausse du pouvoir d’achat des salariés. Des dispositions douanières identiques en France seraient les bienvenues.

Concernant les restrictions de l’immigration clandestine, par le fait même qu’elle soit clandestine elle est illégale. Or il faut tenir compte de la misère ouvrière aux États-Unis. Detroit entre autres, une ville où les plus démunis n’ont même pas d’eau potable à boire, et comme chacun sait c’est le propre du capitalisme de se délecter d’un grand réservoir de chômage (la France ne manque pas de misère non plus). Par ailleurs cet arrêt brutal d’entrées, de ressortissants provenant de Libye, de Somalie, du Yémen, d’Irak, de Syrie ne peut être considéré, dans des circonstances normales, que comme scandaleux. Toutefois les circonstances ici ne sont pas tout à fait normales. Nous sommes très dubitatifs quant aux motivations des personnes qui voudraient entrer aux États-Unis, considérant que leurs pays n’ont cessé d’être bombardés, tuant et handicapant des centaines de milliers de leurs compatriotes dans des guerres faites ou soutenues par les États-Unis eux-mêmes. Pour faire un parallèle, c’est comme si pendant l’occupation, des Français avaient voulu immigrer ou visiter l’Allemagne nazie.

Notre attitude n’est pas sans «danger», au sens où, dans l’avenir des «camarades purs ou neutres», nous la reprocheront et nous tiendront pour responsables de tous les actes malfaisants de Trump. Mais notre analyse se fait sur la base d’un raisonnement établi à un moment donné. Nous ne prophétisons en rien le comportement ultérieur de Donald Trump.

Mais il y a deux choses qui sont très claires. La première est que Trump n’aurait pu être plébiscité sans l’appui du prolétariat pauvre, présumé blanc. La deuxième, qui est réjouissante, est d’entendre les media à la solde du système, piquer des crises d’hystéries à propos de la défaite du camp Clinton/néoconservateurs soutenu par Obama.

L’avancée triomphale accélérée et avide, ces dernières décennies du Nouvel ordre mondial, de la Mondialisation, de la Globalisation, des sociétés transnationales et surtout des banques prédatrices, des néoconservateurs, des néolibéraux et des sociétés multinationales quasiment apatrides, sur les entités nationales, semblent s’être heurtée à des résistances de plus en plus fortes, telle une vague de fond mondiale qui augure de leur déclin. La défense de la souveraineté nationale, est une notion qui prend de plus en plus de l’ampleur, surtout quand elle a pour moteur les intérêts allant de ceux de la bourgeoisie nationale jusqu’à ceux du prolétariat pauvre. De ce courant ont su profiter Trump,  Marine le Pen et quelques autres. Malheureusement les partis communistes européens sapés de l’intérieur, soumis au matraquage médiatique, bourgeois social-fasciste, l’absence de clarté, de direction et de pragmatisme dans leur discours, ainsi que leur démoralisation, n’ont pas su se mettre à la portée, donner confiance à leurs prolétariats et les mobiliser pour défense leurs intérêts. «Inspirés» par les media et le discours ambiant, ils adoptent parfois les positions des adversaires de classe, même des agresseurs impérialistes, telle que l’exemple flagrant de la participation du PCF à un gouvernement social-démocrate pendant la guerre d’agression contre la Yougoslavie. Ils ont eu dès lors du sang sur les mains.

Essentiellement il y a deux camps qui se confrontent, ceux qui bénéficient de la globalisation et ceux qui en pâtissent. D’un côté il y a les transnationales étrangères et même des sociétés nationales plus ou moins délocalisées, qui fourguent sur le marché intérieur des produits fabriqués à l’étranger, faits dans des conditions de production plus profitables à cause du coût inférieur de la main-d’œuvre, de l’absence de réglementation…; et de l’autre la bourgeoisie et la petite-bourgeoisie commerçante, les agriculteurs, les artisans et les travailleurs, qui respectivement ne peuvent concurrencer des prix aussi bas; n’arrivent pas à vendre leur produits agricoles à un prix normal; subissent la concurrence des produits importés à bon marché auxquels s’ajoute la baisse de revenus de leur clientèle, et les travailleurs qui ne récoltent que le chômage, et qui par voie de conséquence voient leurs salaires tirés vers le bas. Des pans entiers de secteurs ont été happés par des entreprises internationales, comme dans la restauration rapide, pas chère et malsaine: McDonalds, KFC, Quicks…; l’électroménager ou les marques françaises deviennent rares,……, sans parler des prises d’intérêt dans des sociétés par actions. Par ailleurs il est difficile de savoir si une société «française» l’est par son siège, son lieu de fabrication, son marché, la nationalité de ses propriétaires ou si la destination de ses profits n’est pas un paradis fiscal.

Notre place à nous communistes est d’assumer nos devoirs et de nous appliquer à agrandir cette brèche, et non pas abandonner nos positions sur le terrain de la lutte à d’autres. Mais rien ne peut s’accomplir sans la souveraineté nationale couplée à l’indépendance économique et militaire.

Évidement ici on ne parle pas des échanges nécessaires et mutuellement profitables entre pays, pas plus que de ceux qui s’y rattachent, bien qu’ils aient, strictement parlant, une fonction compradore. Cela étant dit nous réservons la qualification «compradore» pour cette couche de la bourgeoisie qui fourgue des produits qui auraient pu être fabriqués en France si les conditions de production étaient comparables et qui découragent l’autosuffisance du pays. L’autre problème réside dans leur poids économique, couplé aux poids politique, médiatique, publicitaire avec lesquels ils tentent d’atténuer, de masquer le caractère inacceptable de la production étrangère facilitant de plus en plus leur incursion économique, politique, linguistique, culturelle dans la vie du pays. Cette aberration pourrait être atténuée par des droits de douane à l’importation qui prendraient en compte le coût du chômage causé et des avantages sociaux non payés. Mais cela ne règle en rien les effets psychologiques, sociaux et par-dessus tout provoque une pression vers le bas des salaires et du niveau de vie des travailleurs et par extension des agriculteurs et des artisans….

Nous sommes convaincus que nous vivons une période de lutte intense entre d’un côté l’alliance du pouvoir de la globalisation et de la couche compradore de la bourgeoisie et de l’autre l’alliance de la bourgeoisie nationale, des agriculteurs, des artisans et indispensablement le prolétariat national. Cette dernière alliance contient en son sein une contradiction entre classes, mais celle-ci dans les circonstances actuelle est une contradiction de moindre importance qui se résoudra ultérieurement.

Alexandre MOUMBARIS

Source : https://dossiersdubip.wordpress.com/2017/02/05/editorial-…

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Ceci date de juin dernier mais ne manque pas de sel :

Une association présidée par M. Moumbaris privée de compte bancaire pour raisons idéologiques.

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http://www.ouest-france.fr/leditiondusoir/data/758/reader…

 

Mais-z-où s’arrêteront les banques ???!!! Et qui aura ENFIN les couilles de les remettre à leur place ? À notre avis, aucun des candidats en course pour l’élection à la présidence de la République, alors qui d’autre ?

 

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Trump contre les globalistes

entrefilets.com3 février 2017

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La panique est totale, l’angoisse cosmique. Trump va-t-il faire exploser la planète ? Provoquer la disparition des espèces ? Celle de notre galaxie dans un immense trou noir ? Va-t-il détruire l’univers ? Pire ! Rendre accidentellement sa liberté à l’Europe ? Toute la vertueuse élite globaliste, ses merdias et son internationale progressiste sont littéralement saisis d’effroi devant le gouffre d’incertitudes qui vient de s’ouvrir. Alors on gronde, s’offusque, on appelle même à l’assassinat de l’importun et, dans l’intervalle, on manifeste bruyamment son secret désir de revenir en arrière, de rétablir la caste certes génocidaire mais ô combien rassurante d’avant: des Clinton, des Bush ou même de l’inénarrable Obama qui, en embuscade, semble attendre son heure à la manière d’un président légitime qui aurait été renversé par on ne sait quel coup d’Etat. Bref, le monde entier est au diapason : Trump le déplorable doit disparaitre pour que la cash-machine de l’oligarchie planétaire des globalistes puisse continuer à fonctionner.

Crimes suprêmes

On savait bien que l’arrivée de Trump à la Maison-Blanche allait mettre un sacré coup de pied dans la fourmilière. Et de fait, toute la pègre des globalistes s’étrangle jour après jour, heure après heure, minute après minute devant le spectacle de l’imprévisibilité absolue du bonhomme.

C’est que le type casse tous les codes, balaie tous les repères, transgresse toutes les règles qui cimentent habituellement la caste dirigeante atlantiste, allant même jusqu’à respecter ses promesses de campagne. C’est dire !
Toute l’élite est donc médusée, sous le choc, poussant des cris d’orfraie pour dénoncer l’outrage permanent que constitue l’existence même de ce POTUS «nationaliste et isolationniste» (bigre), pour décréter l’insupportable infamie de la chose.

 

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Il faut dire que Trump en fait des tonnes. Mépris affiché pour l’UE; gesticulations avec Téhéran; dénonciation d’accords économiques ou politiques; frictions commerciale avec la Chine; construction d’un mur à la frontière du Mexique et, crimes suprêmes : nomination d’un juge pro-life à la Cour suprême (encore à valider par le Sénat), dédain affiché pour la cause LGBT et, enfin, décret anti-immigration provisoire, certes, mais tout de même…

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Source : http://www.entrefilets.com/trump_contre_les_globalistes.h…

 

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Ceci est l’avant-dernier article publié par entrefilets.com. Le dernier – du 10 février – aborde un autre sujet, beaucoup plus vaste et glaçant. Nous le signalons ici aux curieux en espérant y revenir bientôt :

La chute de l’homme dans l’algorithme
De la bataille contre le Système (épisode XIII)*

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http://www.entrefilets.com/La_chute_de_l_homme_dans_l_alg…

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Irrésistible ascension et décadence de George Soros ?

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Comprendre ceux qui nous dirigent : interview rare du milliardaire George Soros (1998)

Raphaël BerlandCercle des Volontaires  8 février 2017

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Dans la série Essayons de comprendre la folie de ceux qui nous dirigent, cette interview de George Soros semble tout à fait éclairante. Je tire mon chapeau au journaliste qui a mené l’interview, il a su à la fois établir une relation de confiance propice à la confidence, et en même temps il a réussi à amener George Soros à s’exprimer sur les paradoxes essentiels de son comportement de prédateur financier. Le journaliste ose même évoquer l’enfance tragique du milliardaire juif à Budapest, en Hongrie, pendant la seconde guerre mondiale ; il le questionne notamment sur sa participation aux confiscations de biens appartenant à des juifs. Je vous laisse découvrir les réponses de l’intéressé. Bien sûr, n’hésitez pas à partager…

Raphaël Berland

 

 Voir une version plus longue mais non sous-titrée de l’interview.

 

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Il est bien évident que le but poursuivi par George Soros depuis des décennies est une victoire du Nouvel Ordre Mondial (et non des États-Unis en tant que tels) sur la Russie. Dans ce but, le milliardaire apatride né en Hongrie a fomenté toutes les révolutions colorées – celles qui ont réussi comme celles qui ont raté – principalement dans les anciennes républiques de l’URSS et en Russie même.

Récemment, cependant, il s’est mis à poursuivre les mêmes buts dans le reste de l’Europe, en y faisant déferler des masses de « réfugiés » incontrôlés et incontrôlables, et voici qu’il s’en prend à l’intérieur des États-Unis, contre le récent vainqueur des élections présidentielles, coupable d’avoir mis sur la touche le camp qui lui était dévoué corps et âme. Tous les mouvements anti-Trump des USA sont organisés par Soros et ses petites mains, à Washington, à Berkeley et ailleurs. Il tente en ce moment de soulever les latinos contre la Maison Blanche.

L’appétit vient en mangeant, certes, mais M. Soros n’a jamais dû lire les fables de La Fontaine, « La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf » par exemple.

Il ne faudrait pourtant pas croire que Soros est, seul, responsable de tous les maux. C’est un virus. Il y en a d’autres. La peste McCain, le cholera Soros, etc. etc. etc.

À suivre…

 L.G.O.

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En attendant…

Soros dans les cordes ?

Wayne Madsen – Strategic Culture 29 janvier 2017

Bien que le géant multi-milliardaire des hedge funds et agitateur politique international George Soros ait perdu beaucoup, suite à l’élection de Donald Trump au poste de président des États-Unis et à la victoire du référendum du Brexit au Royaume-Uni, il est en passe de perdre encore du terrain, politiquement et financièrement, alors que les vents du changement politique balaient le globe.

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Soros, qui se considère comme le meilleur pour placer des options de vente à découvert sur les actions, se traduisant souvent, à la fin du processus, en tonnes de milliards de dollars lorsque les valeurs boursières s’effondrent, a encaissé au corps quelques coups financiers. Récemment, le régulateur néerlandais du marché des valeurs mobilières AFM a accidentellement révélé en ligne tous les raids boursiers à découvert de Soros depuis 2012. Les raids de Soros ont été révélés sur le site Web de l’AFM et ont été retirés après que le régulateur a réalisé son erreur. Cependant, les données de Soros avaient déjà été capturées par des logiciels automatiques de saisie de données utilisés par des agences de renseignement et des maisons de courtage, qui scrutent régulièrement l’Internet à la recherche de telles erreurs.

Parmi les actions bancaires ciblées par le raid de Soros figurait Ing Groep NV, une institution majeure et un élément important de l’économie néerlandaise. Après avoir fait campagne contre le Brexit, Soros a misé sur les actions de Deutsche Bank AG, qui, selon lui, chuteraient après que la Grande-Bretagne a voté pour quitter l’UE. Les actions de Deutsche Bank ont ​​chuté de 14% et Soros a ramassé la mise. Mais la joie de Soros n’a pas duré. Avec l’élection de Trump, Soros a perdu l’énorme somme d’un milliard de dollars en spéculation boursière. En compagnie de ses collègues manipulateurs financiers, Soros a expliqué ses pertes récentes lors de sa participation au récent Forum économique mondial à Davos, en Suisse.

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Source : http://www.strategic-culture.org/news/2017/01/29/soros-on…

Via : http://lesakerfrancophone.fr/soros-dans-les-cordes

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Ministre hongrois : « Ce n’est pas à Soros de décider quel gouvernement doit diriger la Hongrie »

Interview de Peter Szijjárto par RT8 février 2017

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En se référent aux ONG financées par le financier Georges Soros, le ministre hongrois des Affaires étrangères Peter Szijjártó affirme qu’il est « très antidémocratique que quelqu’un de l’étranger veuille influencer le choix électoral des citoyens ».

 

Peter Szijjártó est un homme politique hongrois. Depuis le 23 septembre 2014, il occupe le poste de ministre des Affaires étrangères de son pays.

 

RT : Budapest a promis de «balayer» les ONG étrangères financées par le milliardaire américain George Soros. D’après nos informations, il finance aujourd’hui plus de 60 de ces groupes. Quelle est le danger que représentent ces organisations pour votre pays ?

Peter Szijjártó (P. S.) : En fait, il s’agit d’une approche très injuste qui gagne en importance : on tente de dire que ce sont en vérité les ONG qui représentent les gens d’un pays donné – ce qui est une approche très dangereuse, car elle n’est pas vraie. Jamais il n’y a eu des élections où des ONG seraient candidates, donc il n’y a jamais eu de gens à avoir voté pour être représenté pour telle ou telle ONG. Les gens votent pour des hommes politiques, pour des partis politiques. Donc, c’est le parlement et c’est le gouvernement qui représentent le peuple d’un pays donné, nous considérons donc que cette approche affirmant que ces ONG représenteraient la société civile est très dangereuse. C’est la première chose.

La deuxième chose, c’est qu’il y a une exigence très claire et juste pour que la politique soit transparente. Et je pense que ce n’est pas seulement la politique qui doit être transparente, mais toute organisation ayant un impact sur les affaires publiques, sur les questions politiques ou sociales. Les gens ont le droit de savoir qui sont ces ONG, quelles personnes ces organisations représentent réellement. C’est pourquoi nous voulons dire que s’il y a dans le pays des ONG qui sont financées par des citoyens étrangers, par d’autres pays, par d’autres gouvernements – cela devrait être su du peuple.

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Source : https://francais.rt.com/opinions/33667-ministre-hongrois-…

 

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Une pétition aux États-Unis pour que la Maison Blanche le fasse arrêter.

Signez la pétition demandant à La Maison Blanche d’arrêter George Soros

 Sean Adl-Tabatabai – YourNewswire 11 février 2017

Traduction : Petrus Lombard

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Partager la publication « Signez la pétition demandant à La Maison Blanche d’arrêter George Soros ».

Des milliers de citoyens étasuniens demandent à la Maison Blanche d’émettre un mandat d’arrêt international contre le milliardaire mondialiste George Soros.

Cette pétition a déjà recueilli près de 6000 signatures, ce qui la met sur la trajectoire des 100 000 signatures nécessaires pour obtenir une réponse officielle de la Maison Blanche.

Thegatewaypundit.com rapporte :

La pétition indique :

George Soros est une menace pour le monde libre et il s’oppose à ce que les États-Unis retrouvent leur grandeur. Il est coupable des crimes suivants :

1) Il soutient financièrement l’insurrection publique dans de grandes villes étasuniennes, entraînant des millions de dollars de dommages matériels ainsi que des pertes de vies humaines.

2) Il tente de manipuler les élections démocratiques en donnant des millions de dollars à ses candidats préférés.

3) Il cherche à restreindre la souveraineté étasunienne. Selon ses propres mots : « Les États-Unis sont le principal obstacle à un ordre mondial stable et juste… Changer l’attitude et les politiques des États-Unis demeure ma principale priorité. »

4) Il manipule les devises. Il a initié une crise financière en Grande-Bretagne en se débarrassant de 10 milliards de livres sterling, ce qui a forcé la dévaluation de la monnaie et lui a permis de gagner un milliard  de dollar.

Vous pouvez signer la pétition ici.

Sean Adl-Tabatabai

Source : yournewswire.com/white-house-arrest-george-soros/

Via : http://reseauinternational.net/signez-la-petition-demanda…

 

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Effet Trump ? Mouvement massif anti-Soros en Macédoine

 guerrecivileeneurope  – 21 janvier 2017

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Une nouvelle initiative appelée Opération d’arrêt Soros (SOS), un mouvement dédié à arrêter le mal causé par le milliardaire mondialiste, George Soros, a été lancé en Macédoine.

Les fondateurs de SOS ont appelé les citoyens du monde entier à « lutter contre un esprit dans le secteur civil conçu et dirigé par George Soros ». Le mouvement a été mis en place pour exposer les «activités subversives de toutes les organisations de George Soros.

La Hongrie a également pris des mesures pour réprimer les organismes financés par Soros en leur interdisant le pays.

Selon Nikola Srbov, chroniqueur au portail de nouvelles pro-gouvernementales Kurir et co-fondateur de SOS, les ONG financées par Soros ont monopolisé la société civile en Macédoine et utilisé leur position pour supprimer les opinions dissidentes. «Nous avons assisté à la prise du secteur civil en entier et ses abus et son instrumentalisation pour atteindre les objectifs d’un parti politique. Cela est inacceptable et va au-delà des principes de l’organisation civique » a déclaré Srbov lors de la conférence de presse.

« La Fondation Open Society, opérant sous l’égide de Soros, a utilisé son financement et son personnel pour soutenir les processus violents en Macédoine. Il a monopolisé le secteur de la société civile, poussant en dehors toute organisation qui est en désaccord avec l’idéologie de Soros  » a-t-il déclaré.

Lire la suite…

Source : https://civilwarineurope.com/2017/01/21/effet-trump-mouve…

 

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Soros, migrants et Macédoine / Pour un mouvement Stop Operation Soros France et Europe

Thibault Kerlizin – Sorosconnection.org28 janvier 2017

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On assiste aujourd’hui à un réveil actif de la Macédoine qui, à la suite de la Hongrie, a décidé d’agir contre Soros, qui s’ingère particulièrement dans les affaires du pays, en plus d’y financer des ONG d’aide aux migrants.

George Soros, le fléau des nations, doit regretter jour après jour l’élection de Donald Trump. Si le nouveau président américain n’a pour le moment pas pris de mesures ni lancé d’enquête qui mènerait à l’arrestation du faux philanthrope (le fera-t-il ?), l’effet Trump a néanmoins été rapide. En Hongrie, le Premier ministre Viktor Orbán veut interdire les ONG financées par Soros. Plus récemment, la Macédoine suit la voie hongroise et a lancé l’initiative Stop Operation Soros[1], venant de Nikola Srbov, journaliste pro-gouvernemental du site Kurir, Cvetin Cilimanov, rédacteur en chef de l’agence de presse gouvernementale MIA, et Nenad Mircevski, rédacteur en chef de la plate-forme d’informations Republika. Les trois hommes appellent tous les citoyens « libres d’esprit » à les rejoindre afin de combattre la pensée unique du secteur de la société civile, financé essentiellement par les réseaux de George Soros.

Ceci se produit quelques semaines après que l’ancien Premier ministre macédonien, Nikola Gruevski, ait également accusé Soros et d’autres ONG étrangères de s’ingérer activement dans les affaires intérieures de la Macédoine, dont l’un des « torts » serait de dialoguer et de se rapprocher des BRICS.[2]

A ce titre, on se rappelle que le 5 juin 2016 se tenaient des élections anticipées dans ce pays – suivies d’élections parlementaires elles aussi anticipées, le 11 décembre. Ce fut l’occasion, une fois de plus, de nombreuses manifestations inspirées de la méthode Gene Sharp et dont Soros s’est fait l’un des praticiens les plus zélés. Ces tentatives de déstabiliser le gouvernement du pays durent depuis deux ans et se sont caractérisées par des violences et de nombreux blessés.[3] Cependant, non seulement le parti de Nikola Gruevski a été réélu, faisant échouer la tentative américano-sorosienne de révolution colorée, mais l’élection de Trump et sa volonté de mettre fin aux « changements de régime » a quelque peu ralenti Soros.[4]

Stop Operation Soros dispose désormais d’un site au contenu de qualité que nous invitons les lecteurs à suivre.[5] Les premiers articles datent d’hier (27 janvier 2017) et sont déjà une dizaine. L’un des derniers, « Why Stop Operation Soros », rapporte que l’Open Society Macedonia, présente depuis la séparation de la Macédoine et de l’URSS, aurait dépensé plus de 150 millions de dollars dans le pays depuis cette époque – cinq millions chaque année –, en majorité à des fins de promotion de la société ouverte. En complément, l’USAID, ONG écran des services de renseignement américains, apporte également son soutien financier aux activités de l’Open Society en Macédoine et travaille avec cette dernière. Mais à présent, le parti au pouvoir VMRO-DPMNE a déclaré qu’il ne laisserait plus de projets de l’USAID et de Soros mener à des manifestations violentes.[6]

En France, presque personne, dans le milieu institutionnel, ne critique George Soros et l’Open Society. Pourtant, au regard de l’ensemble des méfaits accomplis par le spéculateur depuis plusieurs dizaines d’années, il serait plus que temps qu’un mouvement Stop Operation Soros – France naisse. L’élection de Trump est loin d’avoir privé Soros mais également ses vastes réseaux d’influence de leur marge de manœuvre. En 2017, la France élira un nouveau président. On peut alors se demander si, d’une manière ou d’une autre, les réseaux Soros n’auraient pas intérêt à soutenir un prétendant en particulier. Il serait ainsi intéressant de savoir qui finance la campagne d’Emmanuel Macron, et si des personnalités des réseaux Soros le soutiendront. En parallèle, les sorosites ont toujours pignon sur rue en France (Sherpa, Transparency International, Anticor, etc.) et bénéficient de soutiens et de relais bienveillants. Peut-être serait-il enfin temps de leur demander des comptes et, le cas échéant, de leur appliquer le même traitement qu’en Russie, en Hongrie et en Macédoine, pays conscients que la rhétorique de la transparence et de la société ouverte n’est qu’une duperie du soft power.

En tout cas, on ne peut qu’appeler de nos vœux la constitution d’un réseau Stop Operation Soros à travers l’Europe entière. Celui-ci ne doit en aucun cas se limiter à la Hongrie, la Macédoine et la Russie, mais concerner chaque nation du Vieux Continent, le « philanthrope » disposant d’antennes. Sur l’ensemble du globe, l’Open Society est présente dans au moins quarante pays, à en croire son site. Néanmoins, rien que pour l’Europe, le site de l’ONG de Soros fait état de sa présence dans quatorze pays, mais en « oublie » trois : la Pologne (où se trouve la Fondation Stefan Batory, nom de l’Open Society dans ce pays et qui y tenta d’ailleurs une révolution colorée fin 2015), la Bulgarie avec l’Open Society Sofia, et la Slovaquie avec l’Open Society Bratislava, présentée comme une « filiale indépendante ».[7] Stop Operation Soros demande, pour combattre le spéculateur, « un soutien international », et rappelle au passage que la Macédoine, pays voisin de la Grèce, a joué un rôle central dans le blocage des migrants en fermant ses frontières avec les Grecs. Dès lors, si les réseaux Soros parvenaient à renverser le gouvernement au pouvoir et à imposer ses hommes-liges comme ils le firent par exemple avec Kmara en Géorgie, les digues cèderaient, ne faisant qu’amplifier la crise migratoire largement orchestrée par Soros.

 

***

Pour rappel, voici les ONG d’« aide aux migrants » dont il est l’un des bailleurs de fonds :

ONG pro-migrants sponsorisées par l’Open Society de George Soros

 

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Cliquer pour agrandir

Voir la suite…

(qui est très instructive)

Source : https://sorosconnection.org/2017/01/28/soros-migrants-et-…

 

Qui sont les vrais réfugiés, manipulés ou non, quels sont les autres ?

 

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Mis en ligne le 12 février 2017

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