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29 mars 2024

Israël-Arabie Saoudite: une alliance solide


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les 7 du quebec

Israël-Arabie Saoudite: une alliance solide

par Stefano Mauro, source: investigation.net

Il n’y a pas de hasard! JAMAIS ;
Encore moins de coïncidence…

Posons nous la question : La guerre actuelle au Yémen, guerre qui implique Israël aux côtés de l’Arabie Saoudite, est elle une coïncidence ?

Et à lumière des écrits, publications et livre du Dr. Ashraf Ezzat, qui ne dit jamais que l’histoire de la bible est une invention. Mais prouve juste que la location GÉOGRAPHIQUE de cette histoire n’est pas la bonne. Et qu’il ne faut pas chercher en Égypte ou en Palestine des traces de l’ »Exode » ou du « Palais de Salomon » mais dans le Sud de l’Arabie Saoudite et au Yémen. On comprend bien que non. À lire ou à télécharger la version PDF {3} de 39 pages des travaux de recherche, publications du Dr. Ezzat ; Traduction de la Bible et Escroquerie Historique ; Ezzat y traite de plus la question des « Racines juives de la culture takfirie » et j’ai pour ma part, rajouté le dossier sur l’Opération « Tapis Volant » qui a consisté à rapatrier, de 1949 à 2016, tous les juifs du Sud Yémen, en Israël… ICI & LÀ.
Et à la lecture de l’article de Stefano Mauro, source Investigaction relayé par Résistance71, on a plus aucun doute ;
Israël-Arabie Saoudite : une alliance solide
Stefano Mauro | 12 mai 2017 | URL de l’article source ► http://www.investigaction.net/israel-arabie-saoudite-une-alliance-solide/

L’alliance entre Israël et l’Arabie Saoudite au Moyen-Orient continue d’évoluer rapidement au niveau de convergences géopolitiques, militaires et économiques. Si, il y a seulement quelques mois, les premiers médias du Moyen Orient et de l’Europe ont commencé à évoquer des relations et des contacts entre les deux États, il est clair qu’il s’agit maintenant d’une véritable normalisation des relations entre Israël et les Saoudiens, mais aussi d’une alliance politique et militaires avec des réunions et des contacts plus fréquents.

La preuve de ce rapprochement entre les deux pays est liée, par exemple, à l’annonce du début des travaux de construction de l’ambassade saoudienne en Israël, probablement la plus grande et la plus importante à Tel-Aviv. Officiellement, les deux pays n’ont pas des relations diplomatiques depuis la création de l’État d’Israël en 1948 (la Nakba) qui a entraîné l’expulsion de centaines de milliers de Palestiniens de leurs terres. Cependant, en 2005, par un accord formel entre le président américain George Bush (proche allié d’Israël et de sa politique coloniale) et le roi saoudien Fahd, la monarchie du Golfe s’est déclarée favorable à la reconnaissance officielle de l’État d’Israël. Depuis lors, selon de nombreux analystes, les convergences entre les deux pays se sont progressivement confirmées, jusqu’à la récente désignation comme futur ambassadeur d’Arabie Saoudite à Tel-Aviv du prince Walid Bin Talal.

Les déclarations du directeur saoudien du Centre d’études stratégiques du Moyen-Orient à Jeddah, Anwar Eshqi, laissent peu de doute. Dans une interview avec le journal israélien Yediot Aharonot, l’ancien général a clairement déclaré que « la coopération entre Riyadh et Tel-Aviv contre leurs ennemis communs (l’Iran, la Syrie et le Hezbollah, ndlr) est arrivée à un tel point que l’État saoudien s’engage à encourager tous les pays arabes à normaliser leurs relations diplomatiques avec Israël ». La seule condition imposée par la monarchie saoudienne serait l’acceptation de la proposition de paix, présentée par les Saoudiens en 2016, au sujet des Territoires Occupés (Palestine et les plateaux du Golan). Une proposition qui a été modifiée, ou mieux, qui a été expurgée des clauses du droit de retour des milliers de réfugiés palestiniens dans leurs foyers et de celles pour le retour du plateau du Golan qui resterait sous administration israélienne. Eshqi a ajouté que « si le gouvernement Netanyahou accepte la proposition de paix arabe, l’Arabie Saoudite invitera Israël à participer à une confédération économique avec tous les pays de la région (pour la création d’une zone de libre-échange que les Saoudiens veulent créer sur l’île de Tiran cédée par le Général égyptien Al Sissi en 2016, avec la construction d’un pont sur la Mer Rouge reliant l’Asie au continent africain, ndlr) ». Sur le plan économique en effet, la presse israélienne rapporte que l’État saoudien et les Emirats ont signé des contrats de plusieurs centaines de millions de dollars avec Tel-Aviv précisément pour « fournir un soutien financier à l’économie israélienne.»

Sur le plan militaire, les convergences entre les deux pays ont des racines plus lointaines. Riyadh avait financé l’invasion israélienne du Liban en 2006, dans le but de détruire l’ennemi commun représenté par Hezbollah et par la résistance libanaise (Source AFP). Le soutien économique a été le

même lors de l’opération militaire contre Gaza en 2008-2009, appelée « Plomb durci », parce que la résistance palestinienne n’était plus alignée aux directives saoudiennes.

Ces dernières années, les accords de Vienne (entre le quintet États-Unis, France, Royaume-Uni, Chine, Russie ainsi que Allemagne et Iran), l’influence croissante de la République iranienne, le changement de direction de l’administration Obama (avec une détérioration des relations entre les États-Unis et ses alliés traditionnels dans la région, les Saoudiens et les Israéliens) et, enfin, les difficultés à faire tomber le régime syrien de Assad Al Bachar, ennemi commun, ont amené inévitablement les deux pays à une alliance solide.

Au niveau militaire, l’État juif soutient, officiellement et officieusement, toutes les initiatives et les interventions de Riyadh. Au Yémen, par exemple, le gouvernement israélien fournit des armes et un soutien logistique aux troupes saoudiennes qui combattent les chiites (Houti), ce qui entraîne le massacre des civils. Le même soutien, indirectement, s’opère contre les groupes djihadistes financés et soutenus par les Saoudiens en Syrie au point qu’un analyste israélien, Yossi Melman, a écrit dans le Jerusalem Post que «les groupes djihadistes comme Daesh ou Al Nusra ne sont pas une menace pour Israël* parce que, depuis que ces groupes se sont installés dans la zone des hauteurs du Golan, ils ont toujours fait preuve de bonnes relations de voisinage avec Israël». Le soutien logistique et médical des miliciens djihadistes protégés et soignés dans les hôpitaux israéliens a été documenté dans le passé par plusieurs journaux du Moyen-Orient.

Témoigne de cette coopération militaire bien établie la construction d’une base militaire dans le territoire saoudien dirigée par les troupes américaines et, pour la première fois, par l’armée israélienne. La base, qui a des systèmes de radar et de missiles sophistiqués, a été construite dans la région de Tabouk, dans le nord-ouest du royaume saoudien, et est devenue opérationnelle depuis novembre 2016. La nouvelle a été annoncée par le site israélien Hona et une parlementaire de la gauche sioniste du parti Meretz, Zahaava Gal-On s’est déclarée « désorientée par la décision prise par le Premier ministre Netanyahou parce qu’il placerait les officiels israéliens en première ligne contre les risques d’attaques terroristes des djihadistes en territoire saoudien « .

L’alliance entre ces deux pays apparaît donc de plus en plus forte et consolidée. Dans une perspective régionale, le plus préoccupant, en particulier pour la résistance libanaise et palestinienne, est le fait que la stabilisation des relations entre Israël et les puissances sunnites va permettre à Tel-Aviv de poursuivre tranquillement sa politique raciste et coloniale ou de frapper son ennemi avoué, le Hezbollah, sans trop de répercussions au niveau international. L’élection à Washington de Donald Trump, fidèle ami de Tel-Aviv, semble même soutenir la consolidation d’une telle alliance dans la lutte contre l’Iran. Les paroles menaçantes «je ne conseille à personne de nous provoquer ou nous tester» proférées par le ministre israélien de la Défense, le faucon et ultra-nationaliste Avigdor Lieberman, lors d’une visite à la frontière nord avec le Liban ne semblent malheureusement pas prononcées par hasard.

Source de l’image issue de l’article ► http://www.investigaction.net/
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*Et on le comprend d’autant mieux en lisant la publication du Dr. Ezzat ;
Les racines juives de la culture takfirie

Dr. Asharf Ezzat | Avril 2016 | URL de l’article : http://www.therebel.is/news/ashrafezzat/859837-the-jewish-roots-of-takfiri-culture

Et que j’ai traité par ce billet de blog « Ni Terre promise, ni Peuple élu » – Grâce à Résistance71 qui traduit de l’anglais au français. Ezzat y expose l’origine hébreu du takfkirisme, plaçant au cœur du mensonge historique les parties en présence et révélant les falsifications, mensonges, mirages historiques, bibliques sur lesquels s’est construit depuis plus de 2600ans notre civilisation.

Nous donnant ainsi la possibilité de faire tomber l’empire Zunien, et gageons qu’ainsi nous serons à même de faire tomber TOUS les empires. Et sans armes, ni haine, ni violence, juste par la force de nos convictions et non par la guerre perpétuelle au terrorisme dans laquelle nous maintient TOUS les présidents et gouvernements successifs Américains, et ses Bien-Zélés, dont la France et gageons que la nouvelle marionnette mise en place directement par les Maitres de guerre témoignera de sa totale et parfaite soumission à l’Empire.

Rappelons-nous seulement que nous pouvons leur retirer notre consentement, et qu’il suffit juste de leur dire NON par un simple TRAIT-D’UNION entre nous TOUS…

Et que l’avenir de l’humanité passe par les peuples occidentaux émancipés de l’idéologie et de l’action coloniales, se tenant debout, main dans la main avec les peuples autochtones de tous les continents pour instaurer l’harmonie de la société des sociétés sur Terre.

JBL1960

Addendum ; Valls se répand dans le JDD à propos de Macron, article sur Marianne.fr

Entre brosse à reluire – « La gestuelle du Louvre était très positive » – et remontrances en direction du camp Macron, Valls sort la carte de son combat pour la laïcité pour prévenir le nouveau président : « Il n’aura pas d’autres choix que de se confronter à la réalité du terrorisme et à la montée de l’islamisme politique ». In fine, Manuel Valls souhaite tout le bonheur du monde à son ancien ministre : « Très sincèrement, je veux qu’il réussisse ». Avec des amis comme ça… Lire l’intégralité de l’article ► https://www.marianne.net/politique/manuel-valls-de-maniere-immodeste-je-pense-qu-besoin-de-moi

Parce que l’on ne doit pas oublier, jamais, la capacité de nuisance de cet homme qui a toujours affirmé ; « Mon seul rôle, ma seule mission c’est de mobiliser pour combattre l’antisémitisme. » Et ; « Par ma femme, je suis lié de manière éternelle à la communauté juive et à Israël » : Article et vidéo en lien, source ASI. « Merde, quand même »…
JBL 1960 | 12 mai 2019 à 0 12 00 05005 | URL : http://www.les7duquebec.com/?p=238674

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