Un rebelle libyen dans un cercueil à Paris par Parallax
16 novembre 2011
Un Rebelle libyen dans un cercueil à Paris
Publié le 16 novembre 2011 par Parallax.
Ce petit post pouvait aussi être intitulé, «mort d’un renégat de Benghazi à Paris». Le titre choisi va aussi bien. Enfin, je pense. Oui, parfois, certaines informations, malgré la mort d’un homme vous réjouisse. Mais, ici, ce n’est pas le cas. Même si d’ailleurs, il s’agit d’un renégat. Mais, il est important, ici, de relever le fait que, important au demeurant, cet énergumène est décédé à Paris. Une mort d’une certaine envergure. Celle d’un suceur de sang de milliers de Libyens innocents.
C’est une histoire assez rocambolesque. En effet, au fil des jours, la vérité devient irréfragable. Lors des violents combats qui se sont déroulés à Syrte, la ville martyre détruite par l’OTAN, un certain Brahim Mohamed Elhalbous, venu de Misrata, était à la tête des renégats. La résistance farouche des loyalistes dans la ville avait provoqué de nombreux morts et blessés dans le camp des insurgés, dont ce Brahim M. Elhabous.
Suite à ça, le CNT a demandé de l’aide à la France. C’est ainsi que le petit galopin a été évacué à l’hôpital d’Instruction des Armées Percy, à Clamart dans les Hauts-de-Seine, 9-2. Au-delà de la mort de ce traître en France, le problème c’est cette violation de la résolution onusienne 1973 qui, encore une fois, prouve que les Occidentaux ne sont que des hors-la-loi puisque la loi leur interdisait ça.