Continuité du Nouvel ordre mondial : Emprisonner et torturer davantage …
8 juin 2012
5 juin 2012 | ||||||||
En Juin, des élections forcées et contrôlées dans la Libye sous l’autorité des milices et des bandes armées, ou règne la peur et ou sont commises d’innombrables atrocités et violations des droits humains doit avoir lieu, avec les bénédictions des États de l’Ouest, des États-Unis d’Amérique, de la France, la Grande-Bretagne, l’UE et l’Australie. C’est une honte pour l’humanité que personne ne se soit élevés contre cette farce, et que les juristes internationaux n’aient pas mis un coups de pied sur le plat alors que le gouvernement démocratique a été renversé par la force brutale, qu’il y ait eut un massacre estimé à 100.000 personnes, qu’il soit interdit de contester ces élections et que des innocents soient torturés à mort. Le chef de la Jamahiriya libyenne, élu démocratiquement, le Secrétaire général du Congrès populaire libyen, Dr Baghdadi Mahmoudi, qui a fui vers la Tunisie, craignant pour sa vie, est donc maintenant menacée d’y retourner pour y être «jugé » par ces voyous sur de fausses allégations, après plusieurs mois de détention injuste et illégale en Tunisie. Il a dû entreprendre une grève la faim qui a faillit lui coûter la vie pour attirer l’attention sur sa détention injuste (où étaient tous les démocrates et ces parlementaires dans le monde entier pour demander sa libération?!) et qui l’a laissé dans un état fragile et malade atteint de diabète, sous la charge d’aucun crime réel et sur la base d’aucune preuve de la part de la Libye de Sarkozy, si ce n’est des allégations absurdes, fausses et calomnieuses de viol proférées par le nouveau régime libyen composé de terroristes. Le Dr Baghdadi est connu pour être une âme douce et courtoise, mais il a été détenu au secret depuis son arrestation par les autorités tunisiennes l’ayant accusé d’avoir « pénétré illégalement dans le pays ». Ces accusations ont été révélées fausses par les avocats tunisiens, après quoi il aurait dû être libéré ou autorisés à se rendre dans un autre pays pour sa sécurité. L’Australie aurait dû lui offrir un refuge. Un appel doit être fait par les citoyens et les organisations australiennes afin qu’il lui soit offert ce refuge humain et un procès équitable en Australie. Après tout, l’Australie est le seul pays à avoir donné quelques 100 millions de dollars aux rebelles libyens comme «aide humanitaire», directement à partir de l’argent des contribuables. Cela rend également le gouvernement australien, et Kevin Rudd notamment et tous ceux qui l’ont conseillé, coupables et surtout si l’intervention de l’Australie est demandée et que cette dernière refuse de faire l’offre, et si le gouvernement tunisien procède a l’extradition de ce réfugié malgré ce que les organisations de défense des droits de l’homme en disent, à savoir qu’il est voué sans aucun doute à la torture et/ou la mort.
Le régime tunisien, s’il envoie le Dr Baghdadi dans le chaos en Libye que près d’un million de Libyens ont fui, lèvera tout doute sur le fait que son «printemps arabe» a été financé par les gouvernements de l’ouest et qu’il est un ennemi de l’humanité. Il montrera également que les opprimés, les réfugiés et ceux qui quittent les zones de guerre et les persécutions, craignant pour leur vie, peuvent être renvoyés dans ces régions très anarchiques, et ceci en violation de toutes les lois et règles internationales. Ce sera une question pour les futurs chargés de crimes de guerre qui se tiendront contre les autorités tunisiennes et les fonctionnaires qui facilitent toute extradition au lieu d’offrir un refuge ou un départ vers un pays tiers, tel que l’Australie. Ceci prouve une fois de plus que les Conférences des gens du monde sur les crimes contre l’humanité sont nécessaires, et que la naissance d’un Comité Populaire Mondiale pour remplacer l’Organisation des Nations Unies après son catalogue d’échecs non-stop à faire respecter les traités et les lois internationales est nécessaire. Ceci doit provoquer les actions des démocrates, des militants des droits humains, des personnes épris de justice, partout à se joindre aux Organisation de la Conférence International du Peuple en exigeant la libération du chef élu sous la forme la plus pure de la démocratie, à ceux qui veulent imposer la dictature du parti contrôlé par les banquiers. Dans le cas de la Libye, le régime au pouvoir contient maintenant Al-Qaïda et les terroristes qui se sont imposés au peuple libyen et sont à la recherche de légitimité au scrutin tout en harmonisant les nouvelles lois orwelliennes qui distribuent la peine de mort à quiconque en Libye glorifie ou soutien la Jamahiriya libyenne renversée dont le Dr Baghdadi était le chef constitutionnelle élu. Les ambassades tunisiennes, les organisations et les personnalités doivent être avertis par tous ceux qui s’intéressent à la justice, aux droits de l’homme et à la dignité des opprimés que s’ils ne parviennent pas à rappeler à leurs autorités leur devoir de respecter les droits humains et de protéger ceux qui sont venus chercher refuge, ils feront face, sans aucun doute, à des poursuites à l’avenir, lorsque la justice sera à leur trousse pour leur (in)actions. Libya Free Press révèle que le porte parole présidentiel de la Tunisie, Adnan Mancer a annoncé que la Tunisie « allait extrader l’ancien dirigeant libyen, le dernier Premier ministre de Mouammar Kadhafi, Al-Baghdadi Al-Mahmoudi vers la Libye dans quelques semaines » en dépit des réserves des organisations des droits de l’homme qui, il y a quelques mois, avaient signé une déclaration avec le gouvernement tunisien, opposant l’extradition d’Al-Mahmoudi, en disant qu’il risquait la mort ou la torture s’il était renvoyé en Libye. Le régime tunisien, avec les Américains appelant au tir, sont les plus susceptibles de tester les eaux pour voir si il n’y a aucune réponse à cette déclaration choquante. Laissons de côté le fait que Baghdadi n’était pas « Premier ministre de Kadhafi », mais le chef du pouvoir du peuple en Libye, légalement élu, des assemblées populaires, qui comme un individu a souvent eu des vues très différentes de Kadhafi, le leader de la révolution, mais qui finalement a été le véhicule de prise de décision pour les gens eux-mêmes. Le fait que les autorités tunisiennes veulent extrader ce démocrate et réfugié, déchu par la force de la guerre et l’anarchie, de son poste qui lui revient et de sa position dans laquelle il a servi le peuple et qu’elles le fasse livrer à la Libye en dépit de plusieurs avertissements, y compris de la part des organisations des droits de l’homme, qui avaient elles-mêmes notoirement adoptées une attitude pro-OTAN pendant la guerre d’agression contre la Libye, en dit long sur la culpabilité du gouvernement tunisien, de ses fonctionnaires et ses conseillers, qui feraient bien de tirer leçon des tribunaux des crimes de guerre de Kuala Lumpur. Les futurs tribunaux de crimes de guerre, sont peu susceptibles d’être tenus à la mode lente et méticuleuse comme cela a été affichée en Malaisie. Les futures tribunaux pour crimes de guerre sont plus susceptibles de ressembler aux procès des masses créés par les gens eux-mêmes, titulaires de l’autorité par l’intermédiaire des institutions très démocratiques que l’ouest et ses marionnettes des « Printemps arabes » cherchent à éradiquer. De nouvelles lois avec des peines plus sévères distribuées, pour poursuivre ceux qui sont accusés d’avoir violé la Convention de Genève et d’autres conventions internationales, les attendent. |