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21 décembre 2024

Contributions pour le développement de l’Afrique


RESISTANCE AFRICAINE

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Samedi 20 décembre 2014

Contributions pour le développement de l’Afrique :

L’abandon du franc CFA, le boom financier provoqué par le lancement d’emprunts obligataires de la CEDEAO pour financer des grands projets d’infrastructure de transport (lancements en bources et augmentations de capitale d’entreprise BTP…), en endiguant le chômage grâce à ce vaste programme de construction d’infrastructures de transport (comme celui de Roosevelt, une sorte de Reconstruction Finance Corporation) et en encouragent les hausses des salaires, relancent ainsi la consommation et l’épargne, rendant les pays de la CEDEAO prêtes à l’implantation d’industrie grâce à la constructions de ses infrastructures de transport : IL SERA ENFIN POSSIBLE DE DIMINUER DE MANIERE DRASTIQUES (mais progressive) LES TAUX D’INTERETS. CE QUI SERA BENEFIQUE POUR LES PMEs DU SECTEURES DES SERVICES ET LES ENTREPRISES DE BTP (qui une fois les infrastructures construites pourront se lancer dans la construction des logements modernes, que les clients pourront acheter à crédit avec le concourt des banques, comme on le fait dans les pays développés). DEPASSER TOUS LES RECORDS DE CROISSANCE BIEN AU DESSUS DES FAMEUX 20% CHINOIS (dans le passé), EN AFRIQUE C’EST POSSIBLE.

 

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Les pays de l’Afrique de l’Ouest et du Centre souffrent d’un manque d’infrastructures logistiques aussi bien maritimes et portuaires que ferroviaires, routières, aéroportuaires. Ce manque empêche nos pays de bénéficier des effets de la délocalisation comme en Asie de Sud-est malgré le cout dérisoire de main d’œuvre, pénalise la consumation et l’épargne, car le cout de transport peut atteindre 70% du prix du produit. Il est évident que ce problème doit se résoudre dans son ensemble, car on ne peut trouver chez les investisseurs des fonds suffisants pour améliorer les infrastructures portuaires sans qu’il ait des infrastructures ferroviaires par exemple et vice versa. Nos pays étant pauvres et ayant déjà une pression fiscales considérable et souffrant d’un manque de concurrence dans le secteur de transport – la seule solution est l’émission obligataire. Premièrement  il est question de procéder à l’émission obligataire banques centrales des pays membres de la CEDAO (CEECA), afin de financer la construction de ses infrastructures ce qui veut dire y compris l’UEMOA (CEMAC). Et presque simultanément par l’émission obligataire du secteur privé (des compagnies qui effectuent ces travaux ou celles qui vont exploiter ces infrastructures). Les obligations émises par les banques centrales pourraient servir au financement REPO favorisant ainsi le marché d’actions sur les bourses africaines (BRVM par ex). Ces émissions simultanées dans les pays de la CEDEAO et de la CEEAC (UEMOA et CEMAC) pourraient surtout avec l’appui de la bourse sud-africaine ranimer Association Des Bourses Africaines et donner un marché boursier panafricain. Nous aurons donc un développement exponentiel des infrastructures de transport tout en donnant un coup de pousse au secteur de construction et travaux publique et parallèlement à cela donnant un coup de fouet à l’émergence du marché financier subrégional et africain

 

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Par rene.kimbassa.over-blog.com
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