Problématique/Colère/Désolation…
3 mai 2015
Interpellation : Problématique majeure… le 27 avril 2015 De l’histoire de l’humanité à nos jours, un territoire constitué et organisé autour des populations s’y retrouvant s’est-il à jamais développé avec des activités… |
…de renoms et majeures de son économie détenues et contrôlées par des entreprises et puissances étrangères à ce territoire ?
Dans le cadre de l’Afrique: existe-t-il une activité économique d’envergure dans un territoire donné (constitué par des étrangers non africains….cela aurait sans doute l’importance de cause !) qui soit détenue de conception, d’utilité, de pratique, d’actionnariat, de direction, par les Africains et pour les Africains aussi ?
La nouvelle donne (fumisterie!) relationnelle d’avec les territoires constitués d’Afrique, scandée de firmament par l’Ogre asiatique et son porte étendard chinois, serait le modèle de partenariat dit gagnant-gagnant ! Soit ! Mais est-il partenariat gagnant-gagnant si les directions des entreprises en relation sont sous le contrôle (direct, indirect) d’une des parties ? Combien d’entrepreneurs Africains sont invités (autorisés) à l’actionnariat d’influences des activités dominantes étrangères portées au prétendument développement émergent de l’Afrique !? Cela serait une aberration dans un modèle de partenariat gagnant-gagnant !?
L’émergence serait plus de réalité et de sincérité un comportement qu’une litanie d’état d’esprit à sentiments. Pour ce faire, un rééquilibrage de la participation dans les activités économiques en Afrique, et, une méthodologie d’équivalence égalitaire structurée par le présence -d’identique- en possession africaine dans l’actionnariat d’entreprises étrangères (mères) et non filiales ou succursales africaines présentent en Afrique. Ceci se devant de conditionner l’initiative étrangère dans les secteurs d’activités africaines de renommées.
C’est par de tels procédés et mécanismes, de sincérité logique, que la réalité d’une Afrique prospère prenant le pas du chemin du bonheur pérenne, que se traduirait de bon sens la réalité d’une construction d’émergence sociétaire africaine en contradiction salutaire d’avec l’escroquerie intellectuelle servie à nos jours.
Le bien fondé…
Les sociétés humaines émergentes et dominantes de leurs vues le monde terrestre actuel, le sont toutes devenues en suite de libération contre un joug oppresseur : Les sociétés européennes contre l’absolutisme royal, les Usa contre la domination du Royaume-Uni, contre l’oppression modèle occidental ! De ce constat en comparaison analogique : L’Afrique peut-elle sincèrement prétendre être en voie de libération d’un joug (à moins de ne pas en connaître ou en vivre un) condition visiblement sine qua none à la matérialité et bénéfice de l’émergence !
Notons toutefois que le combat de libération de joug des sociétés influentes le monde actuel et précitées, ne fut entrepris par d’autres que leurs populations fut-il par la violence ou dictature (de Robespierre à Mao, les populations subirent pour le meilleur actuel). L’Afrique aurait invraisemblablement besoin d’Hommes fort afin d’émergence de société africaine forte et en corollaire des institutions fortes.
Comment comprendre que les Africains qui étaient, de part les réalisations de leurs ancêtres s’imposant à la nature en Égypte par exemple avec ses pyramides, de grands bâtisseurs ne le soient plus !
Joseph TAPA
Le timbre de la colère des dirigeants africains ! le 22 avril 2015 Samora Machel une des figures de la lutte du départ des portugais du territoire mozambicain et premier président du Mozambique « indépendant » eut à dire à ses compagnons de lutte que… |
…s’ils entendaient les européens dire du bien de lui c’est qu’il avait entrepris de trahir la cause qui était la leur ! Cette présentation à nos jours résonnerait en Afrique « post coloniale » d’un tout autre rayonnement saisissable d’observation que si vous entendez un des grabataires du pouvoir à nos jours en Afrique médire ou geindre d’opposition à une intention européenne en Afrique, c’est qu’il est en protestation d’être tancé de menace (lâché) et mis au pilori du départ sous menace.
À l’instar du sénile encore président depuis 1987 Robert Gabriel Mugabe du Zimbabwe, qui se découvre à l’aube de sa vie une vitalité à exciter les Africains à médire les occidentaux au profit des asiatiques (chinois) après avoir affreusement collaboré, et indécemment de contrariété à ses reproches peaufinés à l’endroit des occidentaux, avec ceux-ci.
Tout comme Denis Sassou Nguesso qui cumule pas moins d’une trente années de pouvoir au Congo, qui s’émeut de grimace que l’Afrique ne soit cité et invité à la suite de l’appel européen à s’entretenir d’esquisse de solution en réunion d’urgence sur la situation des naufragés réfugiés sur les côtes méditerranéennes occidentales. Tancé est-il par la communauté internationale notamment l’Europe, de quitter le pouvoir en respect des institutions congolaises (nouvelle constitution érigée qui plus est sous son emprise) limitant la durée d’exercice à deux mandats. Sassou, l’occasion faisant le larron, qui fait mine de découvrir la situation pourtant notoire et perdurant depuis des années, avec l’intention de se draper de la cape d’incontournable progressiste (comme se le convaincu à son temps Blaise Comparé du Burkina avant d’être chassé par une orchestration occidentale portée par les populations locales), dans la foulée de la colère européenne, s’insurge du fait qu’il reviendrait aux Africains de s’entretenir de la situation et réclame à son tour que l’instance africaine qu’est l’Union africaine (U-A) substantiellement financée par l’Europe se réunisse à son tour. Son compère grabataire du pouvoir à la tête en qualité de président provisoire de l’instance africaine (U-A), Mugabe, ne lui a pas emboîté le pas au profit du silence… La sagesse attachée à l’expérience mais certainement plus à la vieillesse de ce dernier, le conseillerait certainement de ne pas mettre à jour la fumisterie qu’ils colportent Tous de responsabilité…à moins de cynique jubilation à piquer ainsi les européens avec le sang des africains mourant en mer sur la route de l’Europe.
Le silence de la dite nouvelle génération des leaders africains, grabataires du pouvoir en confrérie de laptots de vues étrangères qu’ils écument de poste ministériels à hautes responsabilités depuis des lustres, les Ali Bongo du Gabon, Ibrahim Boubacar Kéita du Mali, Alpha Condé de , Alassane Dramane Ouattara de d’Ivoire, Faure Essozimna Gnassingbé du Togo, Macky Sall du Sénégal, etc., en soudard se confortent dans le déni, soucieux de n’être tôt à d’aussitôt mis au pilori de l’infamie.
D’une désolation coutumière d’insultes à traîtrise, il faille que l’Europe s’ambitionne pour les supposés valeureux Africains s’excitent en mauvais goût qui plus est.
Joseph TAPA
Désolation désolation désolation…la « FAIM » justifie-t-elle tout ! le 21 avril 15 Le retour des beaux temps ensoleillés de la période estivale, qui, en Europe est significatif de vague de vacances et de développement du commerce intra régional tout en étant… |
…vecteur psychologiquement de bon moral social, serait menacé par une vague poussive de réfugiés (D’Afrique, du Moyen-Orient, etc.) au départ d’embarcations inappropriées et non autorisées depuis l’Afrique.
Le risque d’aggravation et de montée en puissance des vagues des réfugiés, en faveur des beaux temps, d’un regard de revanche des frustrations aux développements en Afrique soutenues des guerres et actions politiques imputées à l’Europe, d’une part, menaçant la concorde sociale interne aux États européens en absence de solidarité (économique…) d’avec les États riverains de la méditerranée où accostent les réfugiés, et contextualisant des menaces de mécontentements populaires européens à de probables oppositions à destructions physiques et matérielles d’autre part.
D’anticipation des craintes in fine négatives pour l’économie européenne chancelante, et d’astuce à se redorer l’image auprès des populations en capitalisant de l’émoi sur fond d’humanisme : Les dirigeants européens entendent se réunir afin de projeter d’esquisses de solutions à parer l’Europe contre la malsaine vague venue d’Afrique.
Les dirigeants africains pour qui les économies usufruitières sont misent au service de l’Europe détentrice, de considération basse de leurs populations en terme de ressenti de celles-ci, n’entendent guère se réunir à quoique se soit en guise d’instiguer des mesures salutaires contre la vague montante de prétendants réfugiés en Europe. On pourrait même y voir une incitation de leurs parts (dirigeants africains), en prenant en considération le fait que les États africains caracolent en tête d’achats d’armes de guerres sur le marché international et occidental de l’armement. Nul doute à avoir sur l’utilisation de ces armes qui seront exclusivement retournées contre les populations africaines, et soutiendront ainsi l’embellissement des vagues de réfugiés aux portes de l’Europe (cynique volet de revanche ou complot orchestré ?).
Les États africains sous la nasse d’économie locale propriété de l’Europe (marché international des débouchés des productions et des exploitations africaines), tenus, entretenus et contenus de la sorte en suppliante mendiante, ne sauront être cités et encore moins associés dans la prise des décisions venues d’Europe et pourtant dirigées à leur endroit (état de fait coutumier et propre qu’à l’Afrique et les Africains). Coutume étant, ils subiront et appliqueront avec célérité.
Piste de résolution à la problématique africano-européenne de l’émigration forcée…
La qualité d’une problématique se révèle de l’éventail de multiplicité de solutions, toutes aussi les unes et autres applicables d’effets de résolution, qu’elle suscite.
Le contexte de la problématique présente, du moins étayée des événements de l’émigration massive non autorisée depuis les côtes méditerranéennes africaines vers celles européennes, se trouve être de fond de perception l’état d’esprit (sentiment) de pauvreté endurée par des populations africaines et exacerbée des rouages divers notamment la pression économique occidentale.
Deux aspects à retenir autours desquels la réflexion suivante s’articule : d’une part, combattre l’état d’esprit de pauvreté emprisonnant l’Africain, et tout aussi combattre le poussif contre-productif de la pression économique occidentale affaiblissant fatalement l’Africain, d’autre part.
La pression économique occidentale est mécanisée par l’entremise d’entreprises de toutes sortes installées à l’excès profit à elles en Afrique, organisant pour ce faire la satisfaction de la consommation occidentale au détriment de celle africaine. Ainsi, il devrait être attendu de ces entreprises qu’à défaut de verser une part substantielle de leurs profits dans des investissements directs en Afrique à la faveur de l’emploi local et le développement d’un espace concurrentiel, que les réfugiés émigrants forcés vers les côtes méditerranéennes soient de facto inscrits au salariat de ces entreprises par le biais de la hausse proportionnelle sans limite des impositions dues aux Etats africains d’établissements de leur activité. Aussi, ces entreprises étrangères installées en Afrique doivent être regroupées en partenariat avec les autorités africaines dans des projets agricoles et mini et moyennes industries locaux orientés à la satisfaction du marché intérieur africain ; projets qui accueilleront en priorité les candidats à l’émigration ou encore les rescapés réfugiés immigrés arrivés en Europe.
L’état d’esprit soutenant de pauvreté notoire et entretenant les déceptions aux incapacités africaines se doit d’être affaibli à anéanti par le procédé d’investissement des Africains dans les microprojets matérialisant leurs conceptions d’avec les outils et moyens locaux, des développements de leur environnement. Afin de redorer d’excitation à poursuivre la fierté de contribution. Aussi, ces microprojets se doivent d’être en partie financés par les Africains résidant hors des frontières d’Afrique, par une contribution financière annuelle à possibilité de mensualisation indexée proportionnellement avec limite (plafond) sur les revenus et collectée auprès des ambassades ; conditionnant d’éventuel séjour en Afrique pour ces derniers. Cette contribution se devant d’être portée au minima du double sur la base du revenu intermédiaire des Africains dans le pays de résidence pour les personnes détentrices de nationalités multiples dont l’une africaine, ou encore celles s’étant déchargées par naturalisation à une nationalité étrangère de toute nationalité africaine.
L’émigration forcée objet de cette proposition se trouvant être conséquence de maltraitance qu’entretient les activités occidentales en Afrique et du défaut de solidarité à (rétro) intérêt direct en herbe chez les Africains.
Joseph TAPA