DE LA SERVITUDE MODERNE (DOCUMENTAIRE) Social
4 mai 2015
DE LA SERVITUDE MODERNE
De la servitude moderne est un livre écrit par Jean-François Brient en 20072 et publié en 2009 en Colombie.
En mai 2009, il bénéficie d’une adaptation cinématographique sous forme de film documentaire monté par Victor León Fuentes. Il est diffusé gratuitement en français, en anglais et en espagnol, sous plusieurs formats, dans certains lieux alternatifs en France et en Amérique latine.
SYNOPSIS:
L’œuvre dénonce la condition d’esclave de l’homme moderne, et décrit le monde contemporain comme un « totalitarisme marchand ».
La thèse défendue, correspond à l’idée que désormais, la dictature ne s’exerce plus par un homme. C’est plutôt un principe : la marchandise ou l’argent qui dictent l’existence de chaque être humain qui en étant réduit à être un consommateur, un travailleur, un serviteur, perd son humanité.
Mais, et c’est là où le film se rapproche du Discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie, si cette servitude perdure, s’il existe des maîtres c’est parce que les esclaves ont choisi de demeurer esclaves et non pas parce qu’il existe des maîtres.
Pour les auteurs du film, un changement par le haut n’est pas à attendre, c’est à chacun, à chaque individu de se changer soi-même pour commencer à changer le monde.
DE L’OBEISSANCE COMME SECONDE NATURE:
Le vidéogramme montre comment le pouvoir utilise son action programmatrice à travers l’éducation, pour désactiver la contestation. En effet la violence est condamnée par la société civile, alors que toutes les tentatives pacifiques pour empêcher la ruine de l’être humain sont assimilées par le système et réutilisées par celui-ci pour sa propre consolidation. L’idée d’une confrontation ultime entre le système et une violence-révolte venant de ses victimes semble donc improbable.
Brient expliquera un peu plus loin, dans son œuvre, que le problème semble résider en chaque individu, dès lors qu’il refuse d’assumer sa stature humaine et préfère la facilité d’une vie programmée par d’autres que lui-même. Cet individu perdra tôt ou tard son humanité, car l’éducation normalisée qu’il a subie l’a programmé pour cela. L’esclave moderne n’est ni un animal, ni un être humain, mais une espèce fabriquée, au même titre que les objets et idées qu’il produit. La prise de conscience reste donc le seul espoir pour qu’il y ait une humanité retrouvée par le plus grand nombre un jour.
BON A SAVOIR: CETTE VIDEO EST BLOQUEE DANS CERTAINS PAYS COMME L’ALLEMAGNE, L’IRLANDE, LES AMERIQUES, ETC.
De la servitude moderne est un livre écrit par Jean-François Brient en 20072 et publié en 2009 en Colombie.
En mai 2009, il bénéficie d’une adaptation cinématographique sous forme de film documentaire monté par Victor León Fuentes. Il est diffusé gratuitement en français, en anglais et en espagnol, sous plusieurs formats, dans certains lieux alternatifs en France et en Amérique latine.
SYNOPSIS:
L’œuvre dénonce la condition d’esclave de l’homme moderne, et décrit le monde contemporain comme un « totalitarisme marchand ».
La thèse défendue, correspond à l’idée que désormais, la dictature ne s’exerce plus par un homme. C’est plutôt un principe : la marchandise ou l’argent qui dictent l’existence de chaque être humain qui en étant réduit à être un consommateur, un travailleur, un serviteur, perd son humanité.
Mais, et c’est là où le film se rapproche du Discours de la servitude volontaire d’Étienne de La Boétie, si cette servitude perdure, s’il existe des maîtres c’est parce que les esclaves ont choisi de demeurer esclaves et non pas parce qu’il existe des maîtres.
Pour les auteurs du film, un changement par le haut n’est pas à attendre, c’est à chacun, à chaque individu de se changer soi-même pour commencer à changer le monde.
DE L’OBEISSANCE COMME SECONDE NATURE:
Le vidéogramme montre comment le pouvoir utilise son action programmatrice à travers l’éducation, pour désactiver la contestation. En effet la violence est condamnée par la société civile, alors que toutes les tentatives pacifiques pour empêcher la ruine de l’être humain sont assimilées par le système et réutilisées par celui-ci pour sa propre consolidation. L’idée d’une confrontation ultime entre le système et une violence-révolte venant de ses victimes semble donc improbable.
Brient expliquera un peu plus loin, dans son œuvre, que le problème semble résider en chaque individu, dès lors qu’il refuse d’assumer sa stature humaine et préfère la facilité d’une vie programmée par d’autres que lui-même. Cet individu perdra tôt ou tard son humanité, car l’éducation normalisée qu’il a subie l’a programmé pour cela. L’esclave moderne n’est ni un animal, ni un être humain, mais une espèce fabriquée, au même titre que les objets et idées qu’il produit. La prise de conscience reste donc le seul espoir pour qu’il y ait une humanité retrouvée par le plus grand nombre un jour.
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Christophe MASHIKA WA N’TUMBA
Chef d’entreprise autodidacte citoyen
Initiateur et administrateur d’Examine
Siège social:
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Nous sommes malheureux, parce l’autre est malheureux.
Nous serons heureux, lorsque l’autre sera heureux. Disait l’autre.
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