LE PETIT JOURNAL DE KARIM
20 février 2016
« Vous lirez plus bas des infos et opinions contradictoires que nous ne retrouvons pas dans « nos » médias
et dont nous ne partageons pas forcément toujours le point de vue.
L’hygiène mentale et la voie de la raison consistent à analyser les faits et opinions sous tous leurs angles,
en prenant en compte tous les points de vue, ce qui permet ensuite de décider sa propre opinion, en âme et conscience.
Ce qui manque aujourd’hui dans les pays qui subissent un processus
d’Occidentalisation ….ou d’Oxydation(?)
C’est donc ce que j’essaie ici de vous offrir en profitant à l’occasion de l’apport de militants participant au
Collectif Guerre Mondiale PASENNOTRENOM
De : michel.taube@citizens-media.com <michel.taube@citizens-media.com>
Date : 19 février 2016 à 19:21
Objet : Astéroïdes : les klondikes de l’espace
Le « Space Act » prévoit que tout matériau trouvé par un Américain ou une entreprise américaine sur le satellite naturel de la Terre ou sur ces corps célestes lui appartiendra.
Ressources minières des astéroïdes: la chasse est ouverte
Pascale MOLLARD-CHENEBENOITAgence France-Presse Paris Publié le 03 février 2016
La chasse aux ressources minières de l’espace, notamment des astéroïdes, ne relève plus de la science fiction: après les États-Unis, le Luxembourg a lancé mercredi une initiative pour inciter les entreprises à se lancer dans l’aventure.La Nasa, l’agence spatiale américaine, a identifié 1500 astéroïdes facilement accessibles.http://www.lapresse.ca/sciences/astronomie-et-espace/201602/03/01-4946847-ressources-minieres-des-asteroides-la-chasse-est-ouverte.php
Controverse Économique
02-18-2016 Publié le Feb 20, 2016
http://francophone.sahartv.ir/tv/controverse-i26125-controverse_02_18_2016
De : Jean-Michel Schw <jeanmichelschwaederle@gmail.com>
Date: 2016-02-20 5:31 GMT+01:00
Subject: [Nouvelle explosive] La SYRIE innocentée…
Comme d habitude, comme avec les soit disant bidons explosifs et autre info bidonnée, le démenti arrive tard et ne sera pas diffuse par les médias du mensonge et de la manipulation CNN al jazeera al arabiya france 24 BBC Li Monde l hibernation Etc etc ……….Mentir prend 1 seconde établir la vérité prend des mois. Guerre contre le temps et l intelligence …
Diffusez, compensons le silence du gouvernement et des médias…
Cette désinformation, mensonge d’état de plus… !
L’armée syrienne innocentée des massacres aux armes chimiques
International et Défense.Article rédigé par Liberté politique, le 11 février 2016
L’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OPCW), instance internationale qui regroupe la quasi totalité des États du monde, vient de terminer son rapport officiel sur le massacre de Ghouta. Il est le fruit de deux ans de travail.
Les experts de l’OPCW ont analysé la nature du gaz qui a tué tant d’innocents, notamment par des prélèvements sur les corps des victimes. Leur conclusion est formelle:la composition de ce gaz est différente de celle que l’on trouve les stocks de l’armée syrienne. Suite
AMÉRIQUES
USA
De : Hassan <ara0@free.fr>
Date : 19 février 2016 à 01:00
Objet :Benjamin Freedman prévient les États-Unis (1961) – Sionisme & Khazars
Benjamin Harrison Freedman est un homme d’affaires et pamphlétaire américain du xxe siècle (New York, 1890 – 1984)1.Né dans une famille juive ashkénaze, il se convertit au christianisme et devient alors un virulent orateur, conférencier et pamphlétaire antisioniste et critique du judaïsme2.
Freedman fut l’assistant de Bernard Baruch à la campagne présidentielle de 1912. Il assurait la liaison entre Rolla Wells, futur gouverneur de la Réserve fédérale à Saint-Louis et Henry Morgenthau senior. Il assistait régulièrement à des réunions avec le futur président des États-Unis Woodrow Wilson au sein du Comité démocratique national où il croisa également Samuel Untermyer. Il aurait été présent parmi la délégation envoyés par les milieux sionistes (un groupe de 117 personnes menées par Bernard Baruch) lors de la conférence de Versailles qui devait aboutir au traité afin de veiller aux suites de la déclaration Balfour de 1917. Parmi ses relations, on peut citer Franklin Roosevelt, Joseph Kennedy et son fils John F. Kennedy ainsi que d’autres personnes influentes telles que Haroldson Lafayette Hunt, Jr. et son fils Nelson Bunker Hunt.
Dans les années 1920 il collabora à la gestion d’un institut dermatologique et fut le principal actionnaire de la Compagnie des savons Woodbury. Il disposait d’une conséquente fortune personnelle.
En 1946, il fonda la « Ligue pour la paix et la justice en Palestine ».https://www.youtube.com/watch?v=pRoEiH5IizM
en complément:Benjamin Freedman à l’hôtel Willard | L’Amer Dessous Des cartes
———- Message transféré ———-
De : Robert Bibeau. Les7duQuébe.com <bibeau.robert@videotron.ca>
Date : 17 février 2016 à 22:23
Objet : ÉLECTIONS AMÉRICAINES !
MASCARADE ÉLECTORALE AU PAYS DES YANKEES
« Un sondage Gallup effectué le mois dernier indique que 76 % des Étasuniens sont insatisfaits de la façon dont les choses se déroulent dans leur pays. », euphémisme pour décrire la hargne convulsive des Américains aussi bien de la classe bourgeoise déjantée ; de la petite bourgeoisie paupérisée ; de la classe prolétarienne anémiée ; ainsi que des couches pauvres et déshéritées de la société. Gallup n’a rien trouvé de mieux pour qualifier cette colère que de l’appeler « insatisfaction » ! http://www.les7duquebec.com/7-au-front/mascarade-electorale-au-pays-des-yankees/
De : Gilles Munier <gilsmun@gmail.com>
Date : 16 février 2016 à 11:18
Objet : Sur France-Irak Actualité :
Trump: la guerre d’Irak, une « grosse erreur » des USA
Les États-Unis ont déstabilisé le Proche-Orient en lançant une campagne militaire en Irak, selon le milliardaire américain Donald Trump, candidat à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle.
De : « Mounadil al Djazaïri » <comment-reply@wordpress.com>
Date : 17 février 2016 à 21:53
Objet : Syrie: Jeffrey Sachs balance tout (ou presque) by Dziri
L’article que je vous propose est signé Jeffrey Sachs. Jeffrey Sachs n’est pas exactement n’importe qui: c’est un universitaire de renom qui dirige un institut à la Columbia University (New York) et est consultant auprès du Secrétaire Général des Nations Unies.
Eh bien dans cet article Jeffrey Sachs balance tout sur la Syrie. Dans le meilleur esprit complotiste, il pointe le rôle des services secrets américains dès le début de la crise en Syrie et il souligne l’obstination de la diplomatie américaine, de Hillary Clinton en particulier, à empêcher tout règlement politique qui ne passerait pas par le préalable d’une reddition du président Bachar al-Assad quitte à aggraver et à prolonger l’effusion de sang.
Il est , je pense, une des premières signatures dans la presse grand public américaine à relever le rôle de l’entité sioniste dans la situation en Syrie et le partenariat entre cette même entité et deux puissances régionales qu’il qualifie de « sunnites », la Turquie et l’Arabie Saoudite.
Hillary Clinton et le bain de sang en Syrie
« Hi Hi Hi-Ha Ha Ha»
par Jeffrey Sachs, The Huffington Post (USA) 14 février 2016 traduit de l’anglais par Djazaïr
https://mounadil.wordpress.com/2016/02/17/syrie-jeffrey-sachs-balance-tout-ou-presque/
De : Khalid Abdilqadir <ak.1@live.fr>
Date : 18 février 2016 à 22:36
Objet : Brandon Turbeville : « Les connexions entre les États-Unis et et Daesh sont sous nos yeux »
Mohsen Abdelmoumen : Ne pensez-vous pas que l’accord sur une trêve en Syrie que les USA ont obtenu de la Russie vise à donner un nouveau souffle aux groupes terroristes pour leur permettre de se réorganiser, mais aussi d’effacer les traces de liens entre les États-Unis et Daech ? Certaines informations provenant de diverses sources de renseignement révèlent que des éléments de Daech ont été exfiltrés suite aux bombardements russes, qu’en pensez-vous ?: https://www.oximity.com/article/Brandon-Turbeville-Les-connexions-entr-1
From: « Gearóid Ó Colmáin »
Date : 18 février 2016 à 11:05
Objet : Publié par le Comité international de la Quatrième Internationale (CIQI)
Le « plan B » américain pour la Syrie et la menace d’une guerre mondiale
Par Bill Van Auken 13 février 2016
Des négociations sur le conflit armé sanglant de Syrie ont eu lieu jeudi à Munich sur fond d’une offensive gouvernementale syrienne soutenue par des frappes aériennes russes et destinée à briser l’emprise des «rebelles», soutenus par l’Occident, sur la partie orientale largement en ruines d’Alep.
Les pourparlers se sont tenus sous les auspices des 17 membres du Groupe international de soutien à la Syrie qui comprend les États-Unis et leurs alliés régionaux – Arabie Saoudite, Turquie et Qatar – dans la guerre de changement de régime en Syrie, la Russie et l’Iran étant alliés au gouvernement du président Bachar al-Assad, qu’ils aident activement.https://www.wsws.org/fr/articles/2016/fev2016/pers-f13.shtml
Washington dévoile à Moscou les positions de ses militaires en Syrie
Washington a dévoilé à Moscou les positions de ses détachements de troupes spéciales en Syrie, a annoncé le responsable des opérations aériennes du Commandement central des forces armées américaines (Centcom), le général Charles Brown.
Selon lui, ces informations ont été fournies « afin d’assurer la sécurité des militaires américains », les Forces aérospatiales russes ainsi que l’Armée de l’air américaine réalisant des frappes contre les positions des djihadistes de l’État islamique.
Le général s’est déclaré certain que la partie russe souhaitait éviter de créer des incidents dangereux en Syrie. Selon lui, les Russes ne veulent pas faire monter la tension dans les relations avec la coalition dirigée par les États-Unis.
A son tour, le porte-parole du Pentagone Peter Cook a précisé que les États-Unis ont « adressé une demande officielle à la Russie », dans laquelle Moscou était prié de faire en sorte que la sécurité des militaires américains en Syrie ne soit pas mise en question par les actions des Forces aérospatiales russes.
Toutefois, les États-Unis ont informé Moscou sur « les régions géographiques, et non sur les positions concrètes » des groupes de militaires américains en Syrie, a ajouté le porte-parole.
Les avions russes réalisent des frappes contre les positions de djihadistes en Syrie depuis l’automne 2015. Moscou a plusieurs fois proposé aux alliés de la coalition dirigée par les Etats-Unis d’échanger les renseignements, mais s’est toujours heurtée à un refus. Auparavant, le 17 février, le Pentagone a refusé à Moscou de fournir les renseignements sur les positions des djihadistes et rebelles syriens. Washington redoute que l’aviation russe ne frappe les forces considérées par les États-Unis comme « l’opposition modérée ».
Le 16 février, le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov a annoncé que les avions des forces aérospatiales russes avaient effectué 444 sorties en une semaine au cours desquelles ils avaient attaqué 1.593 cibles terroristes dans les provinces de Deir ez-Zor, de Deraa, de Homs, de Hama, de Lattaquié et d’Alep.
Il a ajouté que les terroristes dans les provinces syriennes d’Alep et d’Idlib continuaient de recevoir, dans l’ombre, à travers la frontière turco-syrienne, des armes, des munitions et des renforts humains.
To: ecrire@voltairenet.org
Date: 2016-02-16
Subject: [Reseau Voltaire] Les principaux titres de la semaine
par Thierry MeyssanRéseau Voltaire | Damas (Syrie) | 15 février 2016
- Conférence de presse de Sergeï Lavrov, John Kerry et Staffan De Mistura, au Hilton de Munich, à l’issue de la réunion du Groupe international de soutien à la Syrie.
La réunion du Groupe international de soutien à la Syrie semble marquer la reprise en main du dossier par la Maison-Blanche au détriment des « néo-conservateurs » et des « faucons libéraux ». La déclaration finale impose une supervision états-uno-russe à l’Onu, démettant Jeffrey Feltman de ses prérogatives. Elle impose une libre-circulation de l’aide humanitaire et une cessation des hostilités. La formulation choisie légitime l’action militaire russe non seulement contre le Front al-Nosra et Daesh, mais aussi contre Ahrar el-Sham et Jaysh el-Islam. Cependant, la déclaration ne dit mot du projet franco-britannique de création d’un pseudo-Kurdistan.http://www.voltairenet.org/article190253.html
Pendant les négociations de Genève, le Tsar anti-Daesh de la Maison-Blanche, Brett McGurk, s’est rendu à Kobané (ville kurde au Nord de la Syrie, à la frontière turque) où un général du YPG l’a décoré (photo).
La Turquie était parvenue à exclure les Kurdes syriens des négociations de Genève. L’immense majorité d’entre eux sont d’anciens Turcs qui ont fui leur pays durant les années de répression, ont trouvé asile en Syrie et ont obtenu la nationalité syrienne au début de la guerre. Cependant, le 31 octobre 2014 à Paris, une rencontre secrète s’était tenue entre le chef des Kurdes de Syrie, Salih Muslim, Recep Tayyip Erdoğan et le président français François Hollande pour mettre en œuvre un projet de création d’un État fantoche pour expulser les Kurdes de Turquie et les installer au Nord de la Syrie.
Depuis novembre 2015, certains Kurdes de Syrie tentent de conquérir un vaste territoire de manière à y édifier un État au détriment des habitants arabes et assyriens.
Quoi qu’il en soit, le président Erdoğan a considéré qu’en s’appuyant sur les Kurdes de Syrie pour combattre Daesh, les États-Unis soutiennent de facto les autonomistes kurdes de Turquie, c’est-à-dire le PKK. Il a donc sommé Washington de choisir entre la Turquie et les Kurdes.http://www.voltairenet.org/article190197.html
RUSSIE
Une incursion en territoire syrien serait illégale, dit Moscou
Interrogée sur les implications d’une incursion au sol en Syrie, la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères Maria Zakharova a déclaré aux journalistes : « Nous considérons le territoire syrien comme le territoire d’un Etat souverain. Toute incursion dans le territoire d’un Etat souverain est illégale. »
La Turquie, opposée au gouvernement syrien de Bachar el-Assad et inquiète de l’avancée des combattants kurdes à l’intérieur de la Syrie, a dû démentir cette semaine des informations de presse selon lesquelles elle avait déjà envoyé des troupes de l’autre côté de la frontière.
Le ministre turc des Affaires étrangères Mevlut Cavusoglu a également déclaré à Reuters cette semaine que son pays, l’Arabie saoudite et certaines puissances européennes étaient favorables à des troupes au sol en Syrie, bien qu’aucun plan sérieux n’ait été débattu.
Les relations de la Russie avec la Turquie ont touché le fond en novembre quand l’aviation turque a descendu un bombardier russe près de la frontière entre la Turquie et la Russie. Le président russe Vladimir Poutine avait parlé à l’époque d’un « coup de poignard ignoble dans le dos ». Lire la suite de l’article sur zonebourse.News
Date : 17 février 2016 à 00:06
Objet : Intervention russe en Syrie: clarté et cohérence des buts et des moyens by Dziri
On n’a guère l’habitude d’entendre ou de lire les diplomates russes s’exprimer sur la politique étrangère menée par leur pays.
Ici, c’est l’ambassadeur de Russie en Grande Bretagne qui publie une tribune dans un tabloïd londonien à grand tirage. Et il le fait pour exposer la vision russe du conflit en Syrie ainsi que de son règlement.
Deux choses ressortent nettement de son propos. La première est que l’intervention de l’aviation militaire russe a été dictée par la perspective de voir la capitale syrienne tomber entre les mains de Daesh avec la bénédiction des puissances occidentales qui auraient « repeint en blanc » un Sunnistan qui correspond aux objectifs stratégiques des États Unis. La deuxième chose qui apparaît nettement, c’est que le gouvernement russe a une vision très précise des buts de son intervention et des moyens militaires mais aussi politiques de les atteindre. Et cette vision ne nie le rôle d’aucun acteur pour peu qu’il n’entre pas dans la liste des organisations terroristes, une liste à établir entre « partenaires » et dont certaines organisations pourraient sortir sous certaines conditions
La diplomatie russe nous offre en définitive un brillant contre exemple de celui donné par les actions brouillonnes, nocives, criminelles et contraires au droit international entreprises dès 2011 par les puissances occidentales et leurs alliés régionaux. Des actions qui n’ont fait qu’aggraver la situation tout en fermant méthodiquement toutes les issues vers une solution de la crise en Syrie.
Alexander Yakovenko: la Russie et les États Unis sont partenaires pour essayer de mettre fin à la guerre en Syrie
The Evening Standard (UK) 15 février 2016, traduit de l’anglais par Djazaïri
par Alexander Yakovenko, ambassadeur de Russie au Royaume Uni,
Boston Globe: la stratégie de Moscou en Syrie et en Ukraine est gagnante
La stratégie russe dans le règlement de la crise syrienne s’est avérée plus pondérée que celles des États-Unis, affirme Stephen Kinzer, journaliste du quotidien américain The Boston Globe et expert à l’Institut des études internationales rattaché à l’université Brown.
La politique menée par Washington en Syrie était erronée depuis le départ. En mettant le cap sur le renversement de Bachar el-Assad, les États-Unis ont éliminé toute possibilité de négociations entre le gouvernement et l’opposition, contribuant à l’escalade du conflit dans le pays, estime l’analyste.
En outre, le renversement de Bachar el-Assad aurait créé en Syrie « un vide catastrophique », rapidement comblé par les organisations terroristes.Consciente de cette menace, la Russie cherche à prévenir l’échec de l’armée syrienne, observe M. Kinzer. Selon lui, les États-Unis devraient se rallier à cette approche.
« La sécurité dans notre pays serait meilleure et nous aurions contribué à la stabilité dans le monde si nous avions suivi la Russie en matière de politique étrangère », déplore l’expert américain.
Stephen Kinzer rappelle par ailleurs les conséquences de l’intervention américaine en Afghanistan et en Irak. « Dans les deux cas, la Russie a eu raison et nous non. En Syrie, elle a eu raison une troisième fois », poursuit-il.Washington devrait reconnaître l’unité des intérêts des États-Unis et de la Russie et soutenir la stratégie russe en Syrie. Dans le cas contraire, l’effusion de sang dans la région ne cessera pas, conclut M. Kinzer ajoutant que le refus de coopérer pourrait s’avérer plus lourd de conséquences pour Washington que pour Moscou. http://fr.sputniknews.com/international/20160214/1021741398/moscou-syrie-strategie-gagnante.html#ixzz409Flf0mX
Une coopération avec la Russie dans le règlement du dossier syrien et des concessions de l’Occident quant à la concentration des forces de l’Otan aux frontières russes sont les composantes d’un « grand marché » entre Moscou et Washington, estime Stratfor.
La Russie et les États-Unis ont progressé dans la recherche d’une compréhension mutuelle quant aux crises ukrainienne et syrienne, estiment des experts de la société de renseignement privée proche de la CIA Stratfor.
Des rumeurs concernant un éventuel « marché secret » entre l’Occident et Moscou sont apparues après la rencontre, en janvier dernier, de la secrétaire d’État adjointe pour l’Europe et l’Eurasie Victoria Nuland avec le conseiller du président russe Vladislav Sourkov à Kaliningrad (Russie occidentale). Ces rumeurs ne seront sans doute jamais confirmées, mais on ne peut pas nier les progrès enregistrés concernant le retrait des armements lourds de la ligne de contact (en Ukraine) et les élections locales dans le Donbass, notent les experts.En outre, le secrétaire d’État américain John Kerry a rencontré en janvier son homologue russe Sergueï Lavrov à Zurich. Deux jours plus tard, intervenant lors du Forum économique mondial de Davos, M. Kerry a évoqué la possibilité de lever les sanctions antirusses « dans les mois à venir » et a de nouveau nommé les conditions de cette décision, à savoir le respect total des accords de Minsk.
« Cette déclaration est digne d’attention, étant donné que la position des États-Unis à l’égard des sanctions anti russes était plus sévère que celle de leurs partenaires européens. L’Union européenne a prorogé les sanctions de six mois, mais certains représentants de l’UE se sont dits intéressés par à la levée des restrictions en juillet, lorsque cette question devra être réexaminée », souligne Stratfor.La crise syrienne est une autre composante d’un éventuel compromis russo-américain. Moscou et l’Occident ont un ennemi commun en Syrie, à savoir l’État islamique. Ce facteur recèle un potentiel pour la recherche de points de convergence entre leurs intérêts.
« La Russie pourrait réclamer aux États-Unis des concessions quant à la concentration des forces de l’Otan à ses frontières, Washington semble intéressé par une coopération avec Moscou et sa participation aux négociations sur l’avenir de la Syrie. Les deux pays ne sont pas toujours du même côté de la barricade, mais leur intérêt commun à contenir la menace liée à Daech donne une chance de coopération sur d’autres dossiers également », affirment les auteurs de l’étude.
Cependant, l’instabilité en Ukraine risque d’empêcher de trouver un compromis sur ce pays. En effet, la cote de popularité du gouvernement en place est en chute libre, en outre, une réforme du système judiciaire s’impose. Ceci porte un coup dur à la coalition au pouvoir, et en premier lieu au président Piotr Porochenko et au premier ministre Arseni Iatseniouk. »Tout pousse à prédire un remaniement ministériel en Ukraine: Iatseniouk pourrait perdre son poste dans les semaines à venir », supposent les experts. http://fr.sputniknews.com/international/20160213/1021723401/usa-russie-ukraine-syrie.html#ixzz409GOKDtg
From: Bruno DRWESKI <drweski.bruno@orange.fr>
Date: 2016-02-14
Subject: Que ce soit en Afghanistan ou en Irak, Moscou avait mis en garde contre les conséquences de l’intervention américaine, et ses prévisions se sont réalisées. En Syrie, la Russie a aussi fait preuve d’une plus grande lucidité. De ce fait, Washington devrait appuyer sa stratégie.
Les visites d’Hervé Mariton et d’Emmanuel Macron à Moscou
Stratpol 13 févr. 2016
Par Xavier Moreau, auteur du livre « Ukraine, pourquoi la France s’est trompée »
Premier bilan de l’opération russe en Syrie
Stratpol 13 févr. 2016
CHINE
De : Éditions Démocrite <democrite@neuf.fr>
Date : 17 février 2016 à 22:52
Objet : Téhéran ne sera pas la destination finale de ce type de trains depuis la Chine, l’avenir le train irait jusqu’en Europe.
Xinhua (Rédacteurs :Yishuang Liu, Guangqi CUI) | 16.02.2016
Le premier train de Chine vers l’Iran participe à la renaissance de la Route de la Soie
Départ de Chine et l’Iran ce jeudi 28 janvier, de la ville de Yiwu dans la province Zhejiang (est)
Le premier train de marchandises de Chine vers l’Iran est arrivé à Téhéran lundi, représentant un jalon dans la renaissance de la « Route de la Soie », qui ouvre un nouveau chapitre de coopération gagnant-gagnant entre la Chine et l’Iran.
Le train, également appelé train de la Route de la Soie, est passé via le Kazakhstan et le Turkménistan jusqu’en Iran, parcourant une distance de 10 399 kilomètres. Il avait quitté la ville de Yiwu, dans la province du Zhejiang à l’est de la Chine, le 28 janvier.
Ce train transportait des dizaines de containers, selon le vice-ministre iranien des Routes et de l’Urbanisme, Mohsen Pour-Aqaei, qui a prononcé le discours de bienvenue à l’arrivée du train cargo à la gare de Téhéran lundi.
Comme chacun sait, le commerce de la Route de la Soie a été un important pont dans le commerce entre l’Orient et l’Occident et a été un lien étroit entre les civilisations chinoises et perses.
L’initiative de « la Ceinture et la Route » proposée par le président chinois Xi Jinping en 2013, consiste en la Nouvelle ceinture économique de la Route de la Soie, reliant la Chine à l’Europe via l’Asie centrale et occidentale, et la Route de la Soie maritime du 21ème siècle, reliant la Chine aux pays d’Asie du Sud-Est, à l’Afrique et à l’Europe.
« Afin de relancer la Ceinture économique de la Route de la Soie, le lancement du train est une importante initiative, dans la mesure où 700 kilomètres de distance ont été parcourus chaque jour », a déclaré M. Pour-Aqaei, qui était présent à la cérémonie d’accueil du train à la gare de Téhéran.
« Comparé au voyage par mer des bateaux cargos depuis la ville de Shanghai en Chine jusqu’au port de Bandar Abbas en Iran, le temps de voyage du train a été de 30 jours plus rapide », a-t-il lancé.
M. Pour-Aqaei, également PDG de la société des chemins de fer iraniens, a ajouté que conformément au programme, il n’y aurait qu’un seul tel voyage de Chine vers l’Iran chaque mois.
Le voyage du train de marchandises de Chine en Iran fait partie d’une initiative chinoise pour relancer l’ancienne Route de la Soie utilisée par les commerçants pour relier l’Europe et l’Asie de l’Est.
Téhéran ne sera pas la destination finale de ce type de trains depuis la Chine, a indiqué le vice-ministre iranien, ajoutant qu’à l’avenir le train irait jusqu’en Europe.
Cela bénéficiera à l’Iran en tant que point de passage des trains de marchandises entre l’Asie de l’Est et l’Europe, a-t-il estimé.
L’ambassadeur de Chine en Iran Pang Sen a indiqué à Xinhua qu’en tant que projet de coopération après la visite du président Xi en Iran, le train de marchandises joue un rôle important pour promouvoir la mise en œuvre de l’initiative de » la Ceinture et la Route ».http://french.peopledaily.com.cn/Chine/n3/2016/0216/c31354-9016937.html
IRAN
L’Iran soutient la décision de l’OPEP visant à stabiliser le marché du pétrole.
Wed Feb 17, 2016
Intervention en Syrie : un grand bluff
le 14 février 2016 ©IRNA.Le ministre iranien des Affaires étrangères, Mohammad Javad Zarif, arrive à Bruxelles, capitale belge,
Le chef de la diplomatie iranienne a qualifié de grand bluff les déclarations des voisins de la Syrie concernant une offensive terrestre contre ce pays.
TURQUIE
De : Bruno DRWESKI <drweski.bruno@orange.fr>
Date : 19 février 2016
Objet : pour info, à vous d’en analyser les objectifs…
Erdogan crée l’Internationale islamiste deux jours après avoir reçu des dirigeants sionistes à Ankara
Article | 16. février 2016 –
Le dirigeant islamiste turc Recep Tayyip Erdogan est passé à la seconde phase de son plan visant à se placer comme le père fondateur de l’internationale islamiste, la naissance de cette entité qui rassemble les démembrements de la secte des Frères musulmans à travers le monde ayant eu lieu à Istanbul. La prochaine phase de ce plan éminemment politique sera de noyauter les pays musulmans, dont l’Algérie, par le truchement de sa filière algérienne, membre de cette internationale, le MSP, soutenu par des dirigeants d’autres partis islamistes. L’acte deux de cette «résurrection» de la confrérie a été signé le 13 février dernier dans l’ancienne métropole ottomane, avec la proclamation du «Forum des libertés et de la démocratie», nom donné au regroupement de toutes les formations islamistes inféodées à Ankara. Se présentant eux-mêmes comme des partis islamistes «modérés», les présents à ce conclave se sont félicités d’avoir enfin «un statut juridique» en Suisse, à l’instar de l’Internationale socialiste. Vingt-deux partis de différents pays ont pris part à cette réunion dont la préparation a duré une année. Un organe de direction a été installé, présidé par le Mauritanien Mohamed-Djamil Mansour, ancien député et à la tête d’un parti, le Rassemblement national de la réforme et du développement, qui succédait au Front islamique, interdit par les autorités mauritaniennes. Il est secondé par cinq adjoints, dont l’Algérienne Fatima Saïdi, députée et secrétaire nationale du MSP chargée de la condition féminine. Dans cette structure, on retrouve d’autres islamistes algériens, dont l’ancien PDG de la chaîne de télévision Al-Watan, suspendue par les autorités algériennes en octobre dernier, Djaâfar Chelli, désigné trésorier du Forum. La présence du responsable de ce média confirme au moins la tendance islamiste de cette chaîne et son inféodation au parti d’Abderrezak Mokri. Il y a aussi Abdelmadjid Menasra, dissident du MSP, aujourd’hui à la tête du Front du changement, plusieurs fois ministre, nommé président de commission. On retrouve également des membres connus du mouvement des Frères musulmans égyptien, comme Mohamad Al-Feky. A noter que le président du MSP, qui a siégé au sein du comité préparatoire du forum, s’était excusé de son absence, parce qu’il était pris dans un autre conclave de partis islamistes à Kuala Lumpur, en Malaisie, pour une autre mission. Mokri s’est distingué ces derniers mois par un activisme exceptionnel à l’international, au point que ses activités à l’intérieur du pays se font de plus en plus rares. Dans une déclaration rendue publique, le «Forum des libertés et de la démocratie» se présente comme «un espace politique de coordination, de concertation et de solidarité pour propager les valeurs de justice et de démocratie dans la pensée et la pratique». Ses membres s’engagent à «renforcer l’unité des nations et leur stabilité, tout en les protégeant contre les visées hostiles». Une notion qui reste aussi évasive que confuse. Comme l’est le soutien exprimé aux «causes justes des pays aspirant à la liberté». Les membres de ce forum, dont la naissance a coïncidé avec des raids aériens de l’armée turque contre des Kurdes qui venaient de vaincre des terroristes d’Al-Qaïda dans le nord de la Syrie, disent s’engager à lutter contre le… terrorisme. Deux jours auparavant, le président turc Recep Tayyip Eerdogan recevait à Ankara deux dirigeants du puissant lobby sioniste américain Stephen M. Greenberg et Malcolm Hoenlein.http://www.algeriepatriotique.com/article/erdogan-cree-l-internationale-islamiste-deux-jours-apres-avoir-recu-des-dirigeants-sionistes
R. Mahmoudi
De : Jean-Michel Vernochet
Date : 16 février 2016 à 21:28
Objet : Syrie, conflagration mondiale. L’alliance offensive Turquie/Arabie. Vidéo Jean-Michel Vernochet et Youssef Hindi débattent de la situation cataclysmique en Syrie
Conflagration mondiale. L’alliance offensive Turco-Saoudite
16 févr. 2016-Jean-Michel Vernochet et Youssef Hindi débattent de la situation cataclysmique en Syrie où s’affrontent presque directement maintenant Russie et États-Unis, par l’intermédiaire de l’armée régulière Syrienne soutenue par l’Iran et Daech soutenue par la Turquie et l’Arabie séoudite.https://www.youtube.com/watch?v=_VvUFVBKaVk
De : bassam tahhan <pierhan@yahoo.fr>
Date : 15 février 2016 à 22:50
Objet : Russie-USA : qui arrachera Raqqa à Daech/État islamique ?
De : Éditions Démocrite <democrite@neuf.fr>
Date : 16 février 2016 à 13:05
Objet : Exclusif:
Les brutalités de la police parisienne contre les Kurdes
Ce lundi 8 février nous nous sommes rassemblés, rue Lamballe métro Passy, à proximité de l’Ambassade de Turquie, pour dénoncer le massacre de 60 civils kurdes dans la ville de Cizre.Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20160210/1021637215/berivan-firat-kurdes-mouvement-europe.html#ixzz40KqJBzJI
EUROPE
Date : 16 Février 2016
Objet : FGTB Wallonne:
Europe : La jeune fille et le papa clandestin
Publié le 8 oct. 2015
D’après le livre de Bruno Poncelet, paru aux Éditions Aden en coédition avec le CEPAG et Barricade.
Date: 2016-02-18 22:03 GMT+01:00
Subject: Les ministres de la défense OTAN ont décidé de « renforcer la présence avancée dans la partie orientale de notre Alliance ».
De : wafae Jamila <>
Date : 15 Février 2016 à 20:24
Objet : de IlFatto
« Le TAFTA ? Comme une odeur de totalitarisme »,
selon une députée allemande qui a lu le texte
Venant s’ajouter aux préoccupations sur le très controversé projet d’accord entre les Etats-Unis et l’Union européenne dénommé TAFTA, la permission a été accordée à quelques députés allemands d’accéder, sous certaines contraintes, au texte de l’accord. Malgré cette initiative plutôt positive, la députée Katja Kipping (ci-contre) nous fait part de son inquiétude quant au manque de transparence de ces négociations.
Même si certains ont accueilli favorablement le fait de pouvoir accéder à la salle de lecture du texte du TAFTA, et ont considéré cela comme une victoire de la transparence, Katja Kipping, du parti Die Linke, a énuméré les nombreuses limitations imposées aux parlementaires à partir du moment où ces derniers cherchent à comprendre les aspects les plus subtils de cet accord.
Selon les procédures annoncées par le vice-chancelier allemand, Sigmar Gabriel,… En savoir plus »
Poisson s’offusque des conditions « spéciales » de consultation du traité transatlantique
De : « Éditions Démocrite » <democrite@neuf.fr>
Date : 14 février 2016 à 19:08
Objet : L’effondrement des banques est arrivé !
Le 10 Fév 2016
Le chaos qui règne est tellement important que je ne sais même pas par où commencer. Depuis très longtemps, j’ai mis en garde mes lecteurs qu’un effondrement bancaire majeur arrivait en Europe, et c’est ce qui est en train se se passer maintenant. Commençons par la Deutsche Bank. L’action de la plus importante banque au sein de l’économie la plus forte d’Europe a plongé une nouvelle fois de 8 %, lundi , et elle stagne maintenant juste au-dessus de son plus bas historique qui avait été atteint lors de la dernière crise financière. Dans l’ensemble, l’action a perdu 36 % depuis le début de l’année 2016 et les credit default swap (CDS) de la Deutsche Bank grimpent de manière exponentielle. Bien sûr, mes lecteurs avaient été alertés des problèmes majeurs à la Deutsche Bank tout au long du mois de Septembre , et maintenant, nous assistons au dénouement. En plus de la Deutsche Bank, la liste des autres banques en Europe “trop grosses pour faire faillite” qui semblent être en très grave difficulté comprend la Commerzbank, Crédit Suisse, HSBC et BNP Paribas. A peu près toutes les grandes banques en Italie pourraient se retrouver sur cette liste, et les banques grecques ont perdu près 25 % de leur valeur sur la seule journée de lundi. L’Apocalypse arrive en Europe, et la planète entière va ressentir l’onde de choc. http://www.businessbourse.com/2016/02/10/leffondrement-des-banques-dites-trop-grosses-pour-faire-faillite-est-arrive/ |
De : jeff <capitainejeff@yahoo.fr>
Date : 16 février 2016
Objet : a lire absolument
Vous n’aviez pas le droit de savoir que les banquiers peuvent aller en prison
Joe Clifford – Information Clearing House – 4 février 2016
La crise et l’effondrement de 2008 se sont produits parce que de très grandes banques avaient spéculé sur des prêts frauduleux et risqués, qui se sont cassé la figure. Quand l’effondrement s’est produit, les banques se sont tournées vers le gouvernement fédéral, qui a aussitôt adhéré à l’idée que les banques sont bien trop grosses pour faire faillite, et les contribuables ont subventionné les banques pour des trillions de dollars. Personne ne sa