Anvers Molenbeek Anvers-Belgique et… Alep, Raqqa et Syrie : de la haine pour la société
11 avril 2016
11/04/2016
Comment ces fous assassins lobotomisés, qui font la une désormais des médias, nous racontent, en s’en vantant, » le pourquoi ils sont tous « djihadistes » et comment ils vivent et très bien en Syrie, dans divers bouquins dont : « Pourquoi nous sommes tous djihadistes » ed. Jourdan- la Boîte à Pandore, 2015 ou encore » J’étais djihadiste en Syrie »… idem.
Mais, en fait, font la preuve qu’ ils ne sont que de parfaits incultes irresponsables en tout, et des profiteurs- squatters sans une once de scrupules, d’ex-délinquants dans leur majorité : des voleurs, bourreaux-tortionnaires et des assassins…qui s’étonnent que leurs copains – jamais eux (sic) – soient devenus si abjects …quand par exemple ce jeune d’origine algérienne leur raconte gentiment son islam en Syrie et se révèle à ses copains squatters en Syrie être celui qui décapite les prisonniers syriens en public, ou a fait brûler vif le pilote jordanien !
Au Salon du livre-Livre Paris étaient présentés, en fin mars et sur quelques stands, un certain nombre d’ouvrages, très pénibles d’ailleurs à consulter car si lourds de terribles conséquences. Ce sont par exemple des écrits de ces djihadistes » revenus en Belgique, »repentis » ou soit disant infiltrés en Syrie, ou témoignages de mères ou des familles de ces filles et garçons » partis » : les uns pour « mourir en martyr » ou les autres d’Europe ou d’ailleurs, instaurer en terre d’islam (le mot « Syrie » ne leur vient que peu sur clavier) leur Califat » avec charia très strict. C’est encore pour suivre les étapes de a à d (d étant la phase de la bataille ) établi par le « père du djihad global, il y a trente ans » et revenir vers l’Europe » car nous avons voyagé en Europe pour terroriser les croisés qui s’attaquent aux musulmans… » Et ils expliquent ( un Anversois en Syrie) que : » on retrouve en Syrie, des personnes issues de toutes les couches de la société… des gens qui ont des diplômes de master, et même qui ont étudié à l’Université d’Anvers…et plutôt que des jeunes défavorisés. Je dirais plutôt : des hommes qui viennent de quartiers défavorisés… »
Les mères-auteurs écrivent pour dire leur tristesse de n’avoir plus l’enfant à la maison. De la Syrie, ces parentsne savent rien du tout, et rien de ce que vivent les Syriens sous la coupe de leurs enfants ! ils s’en fichent d’ailleurs ce n’est pas leur problème ! La guerre, oui, leur fait peur ! Si, là bas, ils ou elles se trouvent bien, ils doivent se résigner et accepter car, en Belgique ou en France, » ils n’ont pas trouvé leur place »; et si les filles » sont heureuses avec « l’époux » qu’elles ont suivi, ou avec l’homme rejoint, ou trouvé sur la Toile, c’est normal qu’elles vivent leur islam en ..Syrie ! Sic)
Sauf que….pour la famille restée à la maison, il y a, en Syrie » les bombardements ! ‘on ajouterait presque « dommage » pensent- ils !
Certains parents partent même retrouver leurs rejetons, peut- être pour renouer le contact, et dans un voyage dont le trajet passe toujours par la Turquie si facile d’accès, puis à la frontière : une destination connue de tous ! Certaines filles sont parties en couple, des gamins : en famille, et comme il est dit dans les textes » pas pour combattre mais parce qu’en Syrie tout est donné ! « une Syrie promise » en quelque sorte comme il est dit par le titre d’un bouquin d’opposante et parce que « démocrate » car pour elle,,l’islam c’est pas le but, « ( celle ci est Syrienne par ses parents des citadins (Damas ou Homs…) mais tous français depuis des lustres, et pour une Syrie rurale dont ils ignorent les paysages et les gens comme ils le reconnaissent eux-mêmes et très aisés, bien établis en France).
Les très Belges, eux, qui parlent en Syrie le néerlandais, et pour beaucoup de parents marocains, font leurs courses au village de Atarib, à la sortie d’Alep, dans les petites collines verdoyantes qui ondulent, au sud-ouest et à droite de l’autoroute Alep Damas; Alep : ils n’y vont pas » car c’est trop dangereux ». Ils vivent « très bien » dans de villas cossues squattées et réservées aux »chefs », ont des prisonniers syriens à leur service et qui vivent dans les cabanes des gardiens, les yeux bandés. Leurs maitres profitent des piscines et du soleil, ont de épouses marocaines qui leur « font très bien la cuisine avec les sauces du bled » ! Tout cela se passe un peu plus au sud d’Alep, et face aux tours à gauche de la minoterie (pillée et squattée par l’Asl puis explosée, ) et du parc aquatique de Blue Lagon ( pillage idem) ils s’estiment chez eux, car : » cette terre leur appartient (sic :cela rappelle d’autres déclarations…même si avec ces Belges, cette terre syrienne a des autochtones à convertir à leur »vrai » islam, et c’est le but )
ils sont tout puissants vers idlib, ou en direction de Saraqueb assez proche, al Urem al kubra : zone résidentielle où des Alepins plus aisés s’étaient installés, ou à Idlib et dans les environs vers la frontière de Bab al Hawa au loin, D’ autres « partis » squattent aussi les villas au nord d’Alep, le long de l’avenue de Gazientep qui, part vers les Turcs, du faubourg de Liramoun et du mall -et du Carrefour ( pillé et dont ils ont rempli les sous sols de voitures bourrées d’explosifs) et d’ Hérétane ( séjour des Kosovars et d’une foule de Tchétchènes ! : « Tu es Montasser? j’espère que tu vas rester ici, je ne pense pas que tu as une villa et une piscine à Bruxelles. Nous avons tous les avantages du djihad. Nous sommes libres » dit en riant Abou Batal : un Néerlandais mais d’ Anvers en Belgique et qui » a rallié Jabhat al Nosra « . Plus loin page 100 d’un de ces ouvrages, un Belge précise : » En Belgique on ne peut imaginer vivre sans payer d’impôts. ici, nous ne payons ni impôts ni assurances. Dans un Etat islamique ou dans un califat, il n’y a pas de taxes à payer, ni factures d’eau de gaz et d’électricité….En Belgique les gens sont esclaves du système capitaliste…; » Et il se félicite que » en Syrie o, vit dans le luxe, même si c’est la lutte qui nous guide) tout arrive de Turquie qui a peur de nous, et fournit tout y compris » notre Nutella' »
Les filles, elles, selon plusieurs paragraphes et long chapitre consacré au bonheur de la « femme en islam « , sont parties pour enfin, porter le voile intégral, et se marier à Raqqa ou à Al Bab, ou à Raqqa,…avec ces combattants barbus » qui doivent être « mariés » « pour avoir des relations licites » et portent leur kalach mais pas obligatoire en bandoulière,(sic) On leur a promis : une belle villa, avec piscine ou un grand appartement et un salaire et pas de loyer à payer, toute une vie facile à faire des enfants, en niqab, et à la maison, mais parfois avec le droit d’être armées. Elles ont des Syriennes esclaves à humilier à gogo….et tous organisent des harangues et prêches criés » en parfait arabe coranique » par des très jeunes gamins embrigadés : « des fils de combattants en tunique noire, et hurlant que » toutes innovations apportées à la religion ne sont que des déviations ». Cela en direction des Syriens à convaincre, et pour « amadouer » (sic) une foule de villageois syriens rassemblés sous leur menace, et hébétés, harassés, épuisés et résignés… Des réfractaires divers battus ou décapités par des enfants et exposés sur la place donnent l’exemple à ne pas suivre !
Et il y avait aussi, au salon et en librairie, quelques livres écrits par les Syrien(ne)s surtout, franco-syrien(ne)s et installé(e)s en France depuis des lustres: tous issus de familles aisées le plus souvent de Damas, ou fonctionnaires UN à Paris, mais qui se proclamèrent, illico, » en exil en France et réfugié(e)s politiques ». Présentés comme représentants de l’Opposition en exil, Ils sont très souvent invités sur les plateaux de télé, et dans les médias divers.ET ils « écrivent aussi ! Pour les dames, elles se présentent comme « femmes et opposantes, et syriennes et écrivaines, poètes aussi .. ». l’une d’elles raconte son séjour à Saraqueb et comment attendue et guidée très facilement par son contact de Al Nosra, depuis Bab al Hawa, elle va à Idlib visite Maarat al Noman et le musée où ce qu’il en reste. Elle s’étonne, naïve, de tant de pillages ! « Nous faisons la guerre dit le chef Nosraqui l’accueille hautain, et c’est pas à nous de protéger…le patrimoine. » Un autre de ce groupe se vante que, non seulement, ils ont décapité à Maara » la statue du « mécréant » le grand poète du 10e s. Ala Al Maari « , mais ont aussi vendu la tête !
II semble nécessaire de lire cette littérature de l’opposition ASl ou Al Nosra (d’ailleurs liées…) et « partis en Syrie surtout quand la Syrie, ruinée et martyrisée, c’est désormais au coeur de leurs villes d’origine, que ces » jihadistes autoproclamés » se font exploser ; que la liste de leurs malheureuses victimes qui se comptent déjà par centaines, dans leurs propres pays s’allonge jour après jour. La population syrienne, elle, ruinée, terrorisée torturée ou ballotée aux frontières sans plus rien, n’est même pas évoquée dans ces ouvrages sauf quand il est écrit qu’il faut « l’amadouer » et qu’on ne sait pas trop ce qu’elle pense même quand elle affirme préférer Jabhat al Nosra à l’ « EI, Ce Syriens passent comme des ombres dans le « très beau paysage syrien ». A la vue de l’un de ces barbus étrangers en goguette, et si bien armé, le Syrien, apeuré, se demande d’abord » est-ce un chef djihadiste », avant de se faire docile s’il le peut ! Un berger pro régime exécuté, les Belges se régalent de son troupeau !
Pas toujours, pourtant, facile d’être dociles puisque, bien qu’opposés déclarés au régime syrien, le poète syrien Mohammed Bacher al Aani et son fils, venus de Damas à Deir ez Zor pour y enterrer l’épouse, ont illico été faits prisonniers par le » pseudo Etat » islamique et, viennent d’être assassinés comme apostats !
ET enfin, comme se plait aussi à dire un certain Abou Fulaan rigolard et bien installé avec femme et amis dans une villa du sud d’Alep : « nous faisons tourner l’économie néerlandaise depuis la Syrie…Je suis en Syrie depuis neuf mois, puis octobre 2013, et pour moi, c’est un fait, le djihad armé est obligatoire.. » mais pourquoi la Syrie ? : » …le chemin vers la Syrie est une route aisée … c’est le Levant..) » et encore : » nous recevons 10.000livres syriennes par mois quelques dizaines d’euros) plus le butin de guerre : argent armes, voitures, moutons…nous sommes pour « ‘l’application de la charia. les combattants étrangers avaient tout dans les pays d’où ils viennent …nous préférons les Jazrawiyyin (Saoudiens). nous sommes durs pour nos ennemis mais nous ne tuons pas les musulmans (sic))…
La motivation : et donc pourquoi ? ?
Ces opposants » se disent d’ailleurs « modérés », et bien protégés et armés (en ce qui concerne Al Nosra ou ASL affillié Al Nosra – affilié à Al-Qaïda), par l’Europe la France, surtout, ou par les USA : Les opposants dits « modérés » se disent vouloir un Etat islamique avec ou non califat, et la charia partout ! Rejoignant » ensuite l’EI, ils se disent proches de « front islamique » et Ahrat al Sham, et de l’ Arabie Saoudite et se réfèrent comme tous ces Belges, aux prêches des cheikhs « saoudiens.
Ils y ont fait de fréquents allers et retours des années durant, sans aucun problème, à leurs dires, et en Afghanistan comme au Maroc, et enfin en Irak et bien sûr en Syrie ! C’est le cas pour ces derniers » djihadistes écrivains » par exemple, et pour ce « chercheur très belge d’ailleurs, et comme ceux d’Anvers, Verviers ou de Bruxelles-Molenbeck, mais aussi des Pays Bas. Il explique être parti en Syrie, mais comme en Jordanie avant, et en Arabie Saoudite, sans aucun vrai contrôle des douanes, et pour sa thèse avec un vrai faux certificat de son professeur de l’ université d’Anvers à la rencontre des jeunes Belges installés en Syrie, dans la région d’Alep et sous prétexte (sic) » de mieux cerner leurs motivations » ! «
ET il est d’autant plus compréhensif que d’origine palestinienne, il ne s’est senti « pas aimé »: en Belgique. Comme le titre de l’ouvrage le suggère : « djihadiste » car » Nous sommes tous des… « ( mais selon le type de djihad à mener » avec longue explication des nuances i et comme beaucoup de combattants en Syrie, : » Plus je ressentais une véritable indignation, nourrie par une recherche infructueuse d’une place dans la société ( belge)… plus mon horizon mental se tournait vers le Moyen-Orient … »
Les motivations donc :de ces départs en Syrie sont que musulmans en Belgique ( mais comme encore en Finlande comme le raconte un Finlandais très blond (et à qui il ne manque que le lait de l bas, car de parents mécréants ) ou à Londres… ils ne sont pas aimés, ils sont regardés de travers ; les filles ne peuvent pas porter le voile dont ils commentent les variétés, et dont ils donnent les divers noms : khimar, ni le jilbab, ou le hijab, ou le niqab (lui total et le mieux : car corps, visage cachés et seuls les yeux visibles ). » » les femmes doit s’habiller ainsi » … »…parce qu’un voile avec un petit sac jaune, avec du parfum et du rouge à lèvres, c’est interdit….je n’ai rien contre l’interdiction… explique un certain Abou Fulaan d’Anvers ou ils ne peuvent vivre leur religion musulmane en toute liberté, (sic) Et écrivent : » ..(en Syrie ) ici, les filles peuvent se déplacer en Khimar. Ici (à idlib àou Raqqa) elles peuvent aller à l’école. Ici elles peuvent suivre les cours … » et etc…
ET pour ces « convertis » le voyage Bruxelles-Turquie et de Antioche ou Reyhanli: : Alep à 79 kilomètres par Bab al Hawa « , c’est un agréable jeu d’enfant !
Même si presque tout est déjà dit des motivations divers au « voyage en Syrie et même en Orient (sic) » : il est clair que ce dont témoignent d’abord ces voyageurs criminels ou complices, ou « reporters embedded chez les jihadistes et assimilés, c’est d’abord la facilité avec laquelle la route de la Syrie a été tenue ouverte, et est rapide, bien balisée, même à leur grand étonnement, et dès la première minute du voyage !
Alors que sur la photo du passeport le » jihadiste » en partance est rasé, la longue barbe qui lui arrive jusqu’à mi poitrine », lui ouvre facilement le passage de la douane à l’aéroport de Bruxelles- National » même si on apprend : « ..j’ai vu son regard (le douanier) se fixer à plusieurs reprises sur mon visage et la photo » …sic ! et même indifférence à Istanbul, alors que le voyageur a sur la page de son bloc note : » les numéros des contacts de Jabhat al-Nosra : » que je dois appeler quand j’arrive à Hatay, Il y a aussi le numéro du trafiquant qui doit me faire passer la frontière… » et etc ». Dans l’avion, un voisin de siège lui demande : » D’où es-tu? De Tchétchénie ? »
A Reyhanli, très facile de contacter » via Skype al Halabi », un combattant syrien affilié à jabhat al-Nosra qui » vient souvent en Turquie. » L’adresse lui a été donnée par un Belge d’Anvers, et voilà le « jihadiste » en route pour Bab al Hawa ! ce « jihadiste jubile : » le passeur ne demande rien : » c’est un passeur. Tout ce qui compte est l’argent qui fait vivre sa famille »
Et le voyageur devient avec un faux passeport tout neuf » un fermier de Jisr al Shougour » ( un gros bourg sur l’Oronte au su- ouest d’Idlib) » qui doit juste déployer un keffieh autour de la tête : » Au poste frontière où flotte un immense drapeau turc, il n’y a aucun contrôle, bien qu’il y ait un local avec des douaniers » : » les gens affluent. A ma droite, je vois des Tchétchènes, des Bosniaques, des Kosovars, des Albanais qui vont certainement combattre en Syrie… »
Ensuite » un passeur syrien qui travaille lui aussi pour Jabhat al Nosra l’emmène…en compagnie d’un Flamand » qui s’exprime avec un fort accent anversois … »vêtu d’une qamis …sa tête couverte d’un bérèt noir comme sa qamis avec en lettres blanches la profession de foi, et une Kalachnikov pend à son épaule;..Et suit l’explication : » …les jihadistes belges affiliés à Jabhat al Nosra qui sont dans le nord syrie) peuvent se déplacer librement dans la région, je pense que c’est toujours le cas aujourd’hui ( écrit en 2014)
Un chapitre plus loin on apprend que : » si l’on examine le passé..;et si on examine le phénomène des Flamands partis sur le front de l’est aux côtés des nazis ou des collaborateurs…ce sont souvent des personnes frustrées de ne pouvoir exprimer leur caractère flamand … » (sic)Plus loin, on saura que c’est en effet cette langue qui est courante dans ces « Al Nosra ». tous installés dans la région sud d’Alep…et d’Hama dont ils ont été délogés, depuis, puis idlib et etc ..
Et l’auteur ajoute : » c’est vraiment très bizarre de s’exprimer en néerlandais dans un pays en guerre… »
les retours « au pays » seront moins réjouissants ; les ennuis dont la prison les attendent et traverser la frontière est coûteux car elle est plus surveillée ..Il faut donc payer plus et courir pour rejoindre le taxi truc qui attend pour rejoindre l’aéroport de Hatay … toujours aussi accueillant pourtant !
et finalement dans ces textes et avec tant de détails trop longs à rapporter ici, surtout dans cette loghorrée-explicative de leur islam, et en ces jours d’arrestations multiples de ces voyous qui se disent d’abord rifains mais assassins belges et assimilés, ce qui est pénible aussi c’est de découvrir la vie dans une Syrie squattée pillée, sous leur pouvoir, dans ces environs d’Alep qui nous était si familiers, de ces ignobles voyous assassins et dont on découvre, dans les médias, les têtes ou celles de leurs copains complices des tueries et, tous, passés en Syrie, pour y perpétrer leurs tout aussi ignobles méfaits
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