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22 novembre 2024

17 centrales nucléaires à l’arrêt.


 

 

Le PPAPA demande à Monsieur Fillon, dans le cadre de la transition énergétique, et dans la perspective d’une troisième guerre mondiale, dise la vérité aux Français sur le nucléaire .

L’arrêt de 17 centrales nucléaires pour   défaut générique pose un problème crucial en dehors de la responsabilité criminelle de falsifications de vérifications d’un organe majeur de la sécurité qu’est la cuve d’un réacteur : sommes nous technologiquement capables de respecter les spécifnications théoriques de sureté de fabrication d’une telle cuve ?

Le PPAPA demande à Monsieur Fillon de répondre aux questions que selon PPAPA posent le nucléaire.

La première question qui se pose concerne la dissuasion nucléaire. Tous nos élus, notamment ce qu’il est convenu d’appeler les Verts, en choisissant que la France soit membre de l’OTAN ont fait le choix de l’allégeance à la puissance dominante actuelle les USA. Ils ont substitué la politique d’agression des USA, à la politique de défense de notre territoire. Nos élus ont accepté que notre pays soit automatiquement engagé dans tous les conflits décidés par les USA. Ceci constitue une menace existentielle majeure. Il est impossible pour tout écologiste de renoncer à ce qui fait l’essence de notre souveraineté : décider de la paix et de la guerre

Nous demandons à Monsieur Fillon qu’il nous précise ce que devient la politique de dissuasion nucléaire dans le cadre de l’Otan. Plus exactement quelle est la doctrine d’emploi de l’arme nucléaire. En cas de conflit qui déclenche le feu nucléaire, le président de la France où le général américain qui commande l’OTAN ?

historiquement   le nucléaire est d’essence militaire il n’y aurait jamais eu de nucléaire comme source énergétique sans le Manhattan project, sans la réalisation de l’arme atomique. Dans le contexte géopolitique actuel une nation dépourvue d’armes nucléaire est vouée à subir le sort de l’Irak. Si la population choisi la souveraineté, nous devons conserver le nucléaire militaire. C’est la première question qui doit être posée à la population par les représentants du peuple.

La deuxième question est :   faut-il conserver le nucléaire civil ?

Dans ce cas, nous devons pas craindre de poser la question : en cas de conflit, faut-il arrêter les centrales nucléaires et les décharger de leurs combustibles : Les centrales nucléaires sont un des élément de vulnérabilité principal du territoire national .

Nous devons poser une question fondamentale dans le cadre de la transition énergétique : Quelle quantité d’énergie non fossile minimum pour assurer la survie de 7 milliards  d’hommes? Il faut pour cela dire la vérité à la population, ni le nucléaire ni les énergies dite renouvelables   qui représentent actuellement tout au plus 20 % de notre consommation énergétique ne peuvent en aucun cas se substituer aux énergies fossiles. L’électricité, quel que soit son mode de production, n’est pas une énergie primaire et sa production aléatoire pour les énergies dites vertes comme le photovoltaïque et l’éolien n’existent que parce qu’elles sont actuellement produites grâce aux énergies fossiles. Ce n’est pas l’électricité qu’elles produisent qui permet leur construction et leur entretien.

Il existe des centaines de millions d’hommes en Inde notamment qui n’ont pas d’électricité. On voit mal comment nous gros consommateurs d’énergie pourrions leurs demander pour sauver la planète et de continuer à s’éclairer à la bougie. On peut donc admettre qu’il est exclue de croire que l’espèce va renoncer volontairement à améliorer son « niveau de vie ».

Les réserves d’énergies fossiles si elles sont exploitées vont transformer la planète en enfer vénusien.  L’énergie fossile est le moteur de cette destruction.

Très concrètement le seul facteur sur lequel on puisse agir   c’est sur le facteur : «  nombre de consommateurs » . Mais il est impossible d’arrêter la progression démographique de la population en moins de trois générations pour les populations en expansion démographique.

Dans ces conditions nous aurons le charbon et le nucléaire, on voit mal comment le nucléaire source non aléatoire de production ne rejetant pas directement de CO2 ne pourrait pas participer à a transition énergétique.

Pour ce qui est déchets ils seront géologiquement dispersés, C’est dans l’ordre des choses

Reste que la population devra accepter   l’éventualité non nulle de voir Paris subir le sort de la ville de Tchernobyl.

Une certitude l’eau et les terres arables seront les facteurs limitant de la surpopulation humaine.

Avec ce corollaire que l’extension des terres arables, avec les pesticides sont deux facteurs déterminant de l’effondrement de la biodiversité, l’homme colonisant les territoires nécessaires à leur survie. La question est que proposez-vous dans ces condition comme programme de transition énergétique. Il va de soi que la cop 21 et 22 ne sont qu’une sinistre mascarade.

En attendant la sixième extinction qui s’accélère, le PPAPA est évidemment pour essayer de promouvoir   les énergies non fossiles, et pour ce qui est du nucléaire, il réclame sur le plan national que des experts indépendants siègent dans les conseils d’administration des sociétés dont l’activité présentent un risque d’accidents majeurs, représentants rétribués par   les citoyens via les communes .

Sur le plan international, la multiplication d’accidents majeurs réputés impossibles par les concepteurs et réalisateurs de centrales nucléaires de différentes technologies, doit imposer un contrôle planétaire et suivi des centrales nucléaires.

Il nous parait évident qu’il n’est pas possible de parler d’élections démocratiques si les candidats se dispensent de préciser leur position sur ces questions ;

 

 

06/12/2016

Dr. Jean Brière

Le PPAPA demande à Monsieur Fillon, dans le cadre de la transition énergétique, et dans la perspective d’une troisième guerre mondiale, dise la vérité aux Français sur le nucléaire .

L’arrêt de 17 centrales nucléaires pour   défaut générique pose un problème crucial en dehors de la responsabilité criminelle de falsifications de vérifications d’un organe majeur de la sécurité qu’est la cuve d’un réacteur : sommes nous technologiquement capables de respecter les spécifnications théoriques de sureté de fabrication d’une telle cuve ?

Le PPAPA demande à Monsieur Fillon de répondre aux questions que selon PPAPA posent le nucléaire.

La première question qui se pose concerne la dissuasion nucléaire. Tous nos élus, notamment ce qu’il est convenu d’appeler les Verts, en choisissant que la France soit membre de l’OTAN ont fait le choix de l’allégeance à la puissance dominante actuelle les USA. Ils ont substitué la politique d’agression des USA, à la politique de défense de notre territoire. Nos élus ont accepté que notre pays soit automatiquement engagé dans tous les conflits décidés par les USA. Ceci constitue une menace existentielle majeure. Il est impossible pour tout écologiste de renoncer à ce qui fait l’essence de notre souveraineté : décider de la paix et de la guerre

Nous demandons à Monsieur Fillon qu’il nous précise ce que devient la politique de dissuasion nucléaire dans le cadre de l’Otan. Plus exactement quelle est la doctrine d’emploi de l’arme nucléaire. En cas de conflit qui déclenche le feu nucléaire, le président de la France où le général américain qui commande l’OTAN ?

historiquement   le nucléaire est d’essence militaire il n’y aurait jamais eu de nucléaire comme source énergétique sans le Manhattan project, sans la réalisation de l’arme atomique. Dans le contexte géopolitique actuel une nation dépourvue d’armes nucléaire est vouée à subir le sort de l’Irak. Si la population choisi la souveraineté, nous devons conserver le nucléaire militaire. C’est la première question qui doit être posée à la population par les représentants du peuple.

La deuxième question est :   faut-il conserver le nucléaire civil ?

Dans ce cas, nous devons pas craindre de poser la question : en cas de conflit, faut-il arrêter les centrales nucléaires et les décharger de leurs combustibles : Les centrales nucléaires sont un des élément de vulnérabilité principal du territoire national .

Nous devons poser une question fondamentale dans le cadre de la transition énergétique : Quelle quantité d’énergie non fossile minimum pour assurer la survie de 7 milliards  d’hommes? Il faut pour cela dire la vérité à la population, ni le nucléaire ni les énergies dite renouvelables   qui représentent actuellement tout au plus 20 % de notre consommation énergétique ne peuvent en aucun cas se substituer aux énergies fossiles. L’électricité, quel que soit son mode de production, n’est pas une énergie primaire et sa production aléatoire pour les énergies dites vertes comme le photovoltaïque et l’éolien n’existent que parce qu’elles sont actuellement produites grâce aux énergies fossiles. Ce n’est pas l’électricité qu’elles produisent qui permet leur construction et leur entretien.

Il existe des centaines de millions d’hommes en Inde notamment qui n’ont pas d’électricité. On voit mal comment nous gros consommateurs d’énergie pourrions leurs demander pour sauver la planète et de continuer à s’éclairer à la bougie. On peut donc admettre qu’il est exclue de croire que l’espèce va renoncer volontairement à améliorer son « niveau de vie ».

Les réserves d’énergies fossiles si elles sont exploitées vont transformer la planète en enfer vénusien.  L’énergie fossile est le moteur de cette destruction.

Très concrètement le seul facteur sur lequel on puisse agir   c’est sur le facteur : «  nombre de consommateurs » . Mais il est impossible d’arrêter la progression démographique de la population en moins de trois générations pour les populations en expansion démographique.

Dans ces conditions nous aurons le charbon et le nucléaire, on voit mal comment le nucléaire source non aléatoire de production ne rejetant pas directement de CO2 ne pourrait pas participer à a transition énergétique.

Pour ce qui est déchets ils seront géologiquement dispersés, C’est dans l’ordre des choses

Reste que la population devra accepter   l’éventualité non nulle de voir Paris subir le sort de la ville de Tchernobyl.

Une certitude l’eau et les terres arables seront les facteurs limitant de la surpopulation humaine.

Avec ce corollaire que l’extension des terres arables, avec les pesticides sont deux facteurs déterminant de l’effondrement de la biodiversité, l’homme colonisant les territoires nécessaires à leur survie. La question est que proposez-vous dans ces condition comme programme de transition énergétique. Il va de soi que la cop 21 et 22 ne sont qu’une sinistre mascarade.

En attendant la sixième extinction qui s’accélère, le PPAPA est évidemment pour essayer de promouvoir   les énergies non fossiles, et pour ce qui est du nucléaire, il réclame sur le plan national que des experts indépendants siègent dans les conseils d’administration des sociétés dont l’activité présentent un risque d’accidents majeurs, représentants rétribués par   les citoyens via les communes .

Sur le plan international, la multiplication d’accidents majeurs réputés impossibles par les concepteurs et réalisateurs de centrales nucléaires de différentes technologies, doit imposer un contrôle planétaire et suivi des centrales nucléaires.

Il nous parait évident qu’il n’est pas possible de parler d’élections démocratiques si les candidats se dispensent de préciser leur position sur ces questions ;

 

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