« Que signifie toute cette agitation, au sujet de l’examen minutieux des migrants ? »
Qu’est-ce que c’est que tout ce merdier au sujet des contrôles sur les immigrants ?
Je les ai moi-même vécus… donc n’importe qui d’autre que les vivre !
L’hystérie récente, concernant l’imposition d’un bannissement par le Président Trump, frappant 7 pays dont il s’avère qu’ils sont musulmans, est risible. Parmi plus de 40 pays musulmans de par le monde, Trump en a sélectionné sept, dont cinq qui ont été intensivement bombardés par l’ancien POTUS Obama.
Souvenez-vous : HRC (Hillary Clinton] et Obama ont soutenu est sans cesse poussé à la guerre dans les pays musulmans en guerre suivant : la Syrie, Irak, Yémen, la Libye et la Somalie.
Je n’ai pourtant pas entendu de protestations concernant ces guerres gratuites, qui ont été commencées ou continuées par HRC/Obama, pour le coût de 6000 milliards de dollars.
La farce lacrymale du Sénateur Démocrate Chuck Schumer, contient une hypocrisie sous-jacente qui pousse à la crédulité partout au sein du spectre politique et économique gauchisant, “de gauche“ ou Démocrate [liberal/left/Democratic]. Où étaient donc toutes ces larmes, tandis qu’il regardait mais ne faisait rien concernant le massacre de centaines de milliers d’innocents musulmans, chrétiens, druzes, chaldéens, assyriens, durant la guerre illégale des drones qui fut menée par la CIA, John Brennan et Obama partout au Moyen-Orient ?
Tout aussi méprisable est la déclaration de Lloyd Blankfein, le PDG de Goldman Sachs, un autre juif américain, qui rompt ouvertement avec Trump parce qu’il se sent personnellement offensé par ce bannissement sur l’immigration.
Est-ce que l’Amérique a oublié à quel point Blankfein a violé et pillé ce pays durant la crise bancaire de 2008 ? Lui, ainsi que ses autres sycophantes de Goldman Sachs (dont de nombreux sont à présent au sein de l’Administration Trump) a créé de faux instruments financiers (les CDO), qui ont été vendus aux américains moyens en parfaite connaissance du fait qu’ils deviendraient sans valeur. Blankfein a ensuite parié contre ses propres produits frauduleux, baisant [screwing] les Américains encore et encore. Et tandis que les Américains allaient de banqueroute en expulsion de leurs logements, en tant que résultat des comportements mécréants de Goldman Sachs, Blankfein recevait un salaire augmenté de bonus de 54 millions de dollars.
Le bannissement sur l’immigration de Trump, à amené à se découvrir tout un fouillis de tromperies, de vanités et de préoccupations éhontées de la part de ceux qui n’ont jamais servi leur pays, pas plus au sein de l’appareil militaire qu’ailleurs, ce qui permet à des moralistes autoproclamés (Tartuffes), de se positionner eux-mêmes publiquement du côté de l’apparente droiture.
Je suis arrivé dans ce pays en tant que réfugié vers l’année 1950. Je ne parlais pas anglais, et je n’ai pas été accueilli à bras ouverts. Les critères pour la citoyenneté, pour moi et ma famille, était très clairs : nous avons dû attendre six ans à La Havane, Cuba, avant d’être examinés par les Services Consulaires [Consular Service] du Département d’État américain.
Après que le processus fut complété, nous nous sommes vus octroyer un visa à la condition que mon père réussisse l’examen américain de validation des compétences médicales [American Medical Board]. Mon père était un Docteur médical au sein de l’Armée française, mais pourtant cela ne garantissait pas pour nous de rester en Amérique. Ils devait donc passer l’examen, et il l’a fait ! Il fut le seul à réussir l’examen parmi 469 docteurs médicaux réfugiés. Malheureusement pour les autres, ils furent forcés de quitter les États-Unis.
Lorsque j’ai pris en âge, j’ai été personnellement informé par le service sélectif [Draft], que j’aurais à servir au sein de nos forces militaires à un moment du futur, si je désirais devenir un citoyen des États-Unis. Il ne s’agissait pas d’une suggestion, pas plus qu’il ne s’agissait d’une délicate considération de la part de deux POTUS Démocrates : FDR et Harry Truman.
Au cas où nos amis gauchistes voudraient se plaindre davantage, laissez-moi leur rappeler que par la grâce de deux présidents démocrates, JFK et LBJ, j’ai été le seul “drafté“ [appelé par tirage au sort] au sein de l’Université Médicale de Cornell (peut-être un deuxième, au sein d’une classe de 88 étudiants), durant la guerre du Vietnam.
J’aurais pu quitter le pays pour le Canada, pour Cuba (mon lieu de naissance) ou pour la France. Au lieu de cela, j’ai choisi la plus dure et la plus mortelle route vers la citoyenneté américaine : le service de mon pays.
Personne ne devrait se voir garantir quoi que ce soit, lorsque le sujet est de devenir un citoyen américain : vous servez ce pays… ou pas ! Le choix est le vôtre. Alors cessez de vous plaindre !
Il y aura toujours des réfugiés pour venir sur nos côtes, c’est un fait.
Comment vont-ils bénéficier de l’assistance sociale de notre pays ? Ça, c’est la réelle question.
Lorsqu’un Blankfein ou un Schumer feignent d’être outragé à des fins politiques, cela semble si risible au vu de leurs antécédents personnels de leur cupidité et des magouilles [skullduggery] allant à l’encontre des citoyens américains.
Il est temps pour l’Amérique de se débarrasser elle-même de tous ces poseurs et ces voleurs qui ont violé notre pays encore et encore.
Le grand écrivain britannique, William Blake a écrit :
« Certains sont nés pour les doux délices, certains sont nés pour la nuit sans fin »…
Dr. Steve R. Pieczenik, MD, PhD
Traduit par Jean Maxime Corneille, Chronique de la Vieille République (version francophone du bloc de Steve Pieczenik)