Nederlands onderaanUne délégation s’est rendue ce mercredi matin à l’ambassade de France à Bruxelles et a remis « l’Appel belge pour la libération immédiate de Georges Ibrahim Abdallah » et 300 signatures, dont 35 organisations, à Madame l’Ambassadrice Claude-France Arnould.
(voir Appel et liste ci-joint) 300 signataires belges, dont 35 organisations, s’adressent au gouvernement Macron pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah Fait rare et exceptionnel : plus de 300 signatures d’organisations et de personnalités et de citoyens engagés ont été collectées, tant au nord qu’au sud du pays. Vous trouverez dans les listes ci-jointes les noms de 35 organisations belges, de 35 personnalités du monde universitaire, de 18 avocats, de 14 syndicalistes, de 15 journalistes et photographes, de 28 personnes acteurs/actrices culturels, de 42 personnes actives dans des associations, de 12 militants et mandataires politiques. Tou.te.s s’adressent au nouveau gouvernement français pour qu’il libère Georges Ibrahim Abdallah, le plus ancien prisonnier politique d’Europe. L’Appel, lancé au moment où Georges Abdallah a entamé sa 34e année de détention dans une prison de haute sécurité française, indique qu’à deux reprises, la justice française a voulu libérer Georges Abdallah mais qu’à chaque fois, l’État français s’y est opposé. Les signataires s’insurgent contre ce rétablissement déguisé de la peine de mort, sous la forme de la peine de perpétuité réelle, imposée par les gouvernements français successifs à ce militant anti-impérialiste. Ils espèrent que le gouvernement Macron tournera cette page honteuse et s’opposera dorénavant au droit de veto de la part des États-Unis et d’Israël, qui veulent que Georges Abdallah ne sorte plus jamais de prison. Georges Ibrahim Abdallah doit être libéré. Il doit pouvoir retrouver sa famille au Liban. |