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23 novembre 2024

Les grosses orchades, les amples thalamèges.. Littératures vagabondes – états d’âme à La Thalamège


04/12/2017

DU SAKER À POUTINE EN PASSANT PAE JUPITERPAN

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Du Saker à Poutine en passant par JupiterPan

 

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Une attaque sio-wahhabite contre le Hezbollah et l’Iran ?

Israël et l’Arabie Saoudite établissent les conditions préalables d’une guerre contre le Hezbollah – une analyse critique.

The Saker.is – Réseau International 17 novembre 2017

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SouthFront vient de publier une analyse très intéressante dans la vidéo ci-dessous, qui avertit de la possibilité d’une guerre impliquant le Liban, l’Arabie Saoudite et, éventuellement, la Syrie, l’Iran et Israël. Cela signifie bien sûr que la Russie et les États-Unis y seraient également entraînés. Commencez par regarder la vidéo.

Ce que je propose est de passer en revue les implications d’un tel scénario.

Le contexte : un échec anglosioniste sur tous les fronts

Pour comprendre le contexte de ces développements, nous devons d’abord résumer brièvement ce qui s’est passé en Syrie et dans tout le Moyen-Orient ces dernières années.

Le plan anglosioniste initial était de renverser Assad et de le remplacer par les fous takfiris (Daech, al-Qaïda, al-Nusra, ISIS – appelez-les comme vous voulez). Y parvenir atteindrait les objectifs suivants :

  1. Détruire un État arabe laïque fort en même temps que sa structure politique, son armée et ses services de sécurité ;
  2. Provoquer total chaos et horreur en Syrie, pour justifier la création par Israël d’une « zone de sécurité », non seulement dans le Golan mais plus loin au nord ;
  3. Déclencher une guerre civile au Liban en lançant les fous takfiris contre le Hezbollah ;
  4. Faire en sorte que les takfiris et le Hezbollah se saignent mutuellement à mort, puis créer une « zone de sécurité », mais cette fois au Liban ;
  5. Empêcher la création d’un axe chiite Iran–Iraq–Syrie–Liban ;
  6. Diviser la Syrie le long de lignes ethniques et religieuses ;
  7. Créer un Kurdistan qui pourrait être utilisé contre la Turquie, la Syrie, l’Irak et l’Iran ;
  8. Permettre à Israël de devenir la puissance incontestable du Moyen-Orient et obliger le Royaume d’Arabie Saoudite, le Qatar, Oman, le Koweït et tous les autres de s’adresser à Israël pour tout projet de gazoduc ou d’oléoduc ;
  9. Progressivement, isoler, menacer et finalement attaquer l’Iran avec une large coalition de forces ;
  10. Éliminer tout centre de pouvoir chiite au Moyen-Orient.

C’était un plan ambitieux, mais les Israéliens avaient assez confiance que leur État vassal étasunien leur fourniraient les ressources nécessaires pour le réaliser. Et maintenant, tout le plan s’est effondré à cause de la très grande efficacité d’une alliance informelle mais redoutable entre la Russie, l’Iran, la Syrie et le Hezbollah.

Dire que les Israéliens bouillonnent de rage et sont dans un état de panique totale serait un euphémisme. Vous croyez que j’exagère ? Alors regardez cela du point de vue israélien :

Lire la suite…
Source : http://reseauinternational.net/une-attaque-sio-wahhabite-contre-le-hezbollah-et-liran/#OUkIRT9boJKv5ggO.99

 

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C’était donc pour ça que CNN s’indignait du trafic d’esclaves en Libye !

On se disait bien aussi…

 

Macron s’en va-t-en guerre, pour de vrai ou pour de faux ?

PAR WILL SUMMER le 2 DÉCEMBRE 2017 • ( 2 )

Par Franck Pucciarelli et Lawrence Desforges, le 1 décembre 2017

 

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Le Président français a tout récemment attiré l’attention des médias internationaux en déclarant que face aux crimes esclavagistes se déroulant en Libye, il convenait d’intervenir militairement.

Une telle déclaration belliciste a de quoi retenir l’attention car elle engage des troupes au sol et la vie des soldats sur le terrain, surtout quand elle vient de la part de la France sur les traces de la destruction dont celle-ci s’est largement rendue responsable voici six ans, en 2011.

L’occupation militaire occidentale de la Libye n’aurait aujourd’hui pour effet que d’en prolonger les inutiles souffrances, aux mains mêmes de ses tortionnaires qui, face aux défaites de leurs armées de mercenaires par procuration au Moyen-Orient et de leur repli en Libye elle-même, s’apprêtent à envoyer des troupes sur le terrain non pas pour protéger les migrants de trafiquants d’esclaves, mais pour sécuriser et consolider leurs intérêts en cours de pillage en plein jour devant les Libyens, et devant le nez de la « communauté internationale » qui en ignore la réalité soit par impuissance soit par aveuglement.Franck Pucciarelli est le correspondant pour l’Europe du Comité Révolutionnaire International et spécialiste de la situation libyenne

 


 

Source : https://globalepresse.net/2017/12/02/macron-s-en-va-t-en-…

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Toujours la Libye…

 

Nous vous avons annoncé récemment une conférence qui devait se tenir au Théâtre de la Main d’Or. Elle a eu lieu. La voilà in extenso, en deux vidéos

 

 

 

 

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Conversations avec Poutine

d’Oliver Stone

Le livre

 

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Voici le livre extrait du documentaire que diffusa, il y a quelques mois, la télévision française. On y lit la retranscription, très bien traduite de la version anglaise (elle-même traduite du russe, induisant un risque de « perte en ligne » qui semble avoir été évité ici), des entretiens du cinéaste Oliver Stone avec Vladimir Poutine entre 2015 et 2017. Qu’en retenir ?

D’abord quelques points de forme et de mise en scène, qui ne sont pas des détails dans ce qui fut au départ filmé, et que le livre matérialise par de nombreuses didascalies. On est d’abord frappé par la grande liberté de ton et la grande courtoisie mutuelle de ces échanges, qui sont rythmés par des anecdotes personnelles ou des moments de détente : Poutine parle du judo (mais pas seulement), Stone parle des rêves qu’il fait, les deux hommes s’arrêtent en plein milieu d’une discussion pour jouer au ping-pong ou visiter une église.

Ensuite, cet aplomb calme et implacable qui est la marque de Poutine : « Si vous élevez la voix, rappelle-t-il, les gens ont semble-t-il du mal à comprendre ce que vous dites. » Face à lui, Oliver Stone se force à jouer, avec malice, à l’Américain typique, ce qui fait naître de sacrées formules. Exemples. Au sujet de l’intérêt récent de Poutine pour le patin à glace : « N’avez-vous jamais peur de vous blesser ? » Réponse : « Si l’on pense ainsi, il vaut probablement mieux rester chez soi. » Clin d’œil à Monluc ou au prince de Ligne, inimaginable pour un cerveau en marche.

Autre échange à la volée : « N’avez-vous jamais de mauvais jours ? » « Je ne suis pas une femme, donc je n’ai pas de mauvais jours. » J’entends claquer d’ici les nerfs optiques des lectrices féministes… Pour faire bonne mesure, et provoquer des AVC chez les LGBT, il y a cette passe d’armes à la fin d’un match de hockey auquel Poutine vient de participer. Taquiné par Stone sur l’homophobie supposée des Russes, il répond tranquillement : « Mon devoir consiste à défendre les valeurs familiales et traditionnelles. Pourquoi ? Parce que les mariages entre individus de même sexe ne produiront aucun enfant. C’est Dieu qui en a décidé ainsi, et nous accordons une grande importance à notre taux de natalité. » Et puis voilà.

Sur le fond, ensuite. Poutine n’esquive quasiment rien. On parle de l’Ukraine ? Mais bien sûr. Et Snowden, on peut ? Oui, sans problème. Et la Syrie, et l’Afghanistan ? Évidemment. Et à chaque fois, ce n’est peut-être pas la vérité chimiquement pure, mais c’est un exercice de décrassage mental particulièrement salutaire. Tous les mensonges américains sont passés au Kärcher, toutes les indignations de l’Occident se dégonflent comme des baudruches. Et quand on ne peut pas en parler, la réponse est toute simple. Des chiffres sur le budget des systèmes de surveillance ? « Non, c’est un secret. » Et puis voilà (bis).

Une grande sérénité et une grande sincérité se dégagent de ces entretiens, qui vont dans le détail de l’analyse des crises et défis auxquels le monde et la Russie font face. Vladimir Poutine a sans doute beaucoup de défauts (Oliver Stone aussi), mais tous deux ont des qualités qui ne se rencontrent guère dans les interviews du temps : Stone est plutôt humble et souriant (impensable chez un réalisateur français), Poutine assertif, univoque et précis (impensable chez un mâle occidental 2.0). Quand on se demandera, en 2040, à quoi ressemblait une discussion avant l’écriture inclusive, les Fouquier-Tinville de Twitter et les discours algorithmiques macroniques de viol des foules, on relira ce livre. Mais rien n’empêche de l’ouvrir dès maintenant.

 

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Oliver Stone

Conversations avec Poutine

Traduction : Aurélien Blanchard

Paris, Albin Michel, Novembre 2017

432 pages

 

 

 

 

Présentation de l’éditeur

Jamais Vladimir Poutine ne s’était livré aussi librement que lors de ces cinquante heures d’entretiens avec le grand cinéaste Oliver Stone. Un huis clos absolument fascinant. Voici l’interview complète, où le maître du Kremlin aborde sa vie personnelle, revenant sur son parcours, son enfance et sa vie de famille, mais où il nous révèle également sa vision sur des sujets aussi variés et brûlants que les relations russo-américaines, le conflit syrien, la liberté de la presse ou le traitement des homosexuels dans son pays. Au-delà des questions de société ou des enjeux géopolitiques, ce sont les secrets d’une personnalité surprenante que Vladimir Poutine dévoile pour la première fois au réalisateur de Platoon. Un document unique.

Biographie de l’auteur

Oliver Stone est l’un des réalisateurs américains les plus talentueux. De nombreuses fois oscarisés, ses films sont tous des succès mondiaux (Midnight Express, Né un 4 juillet, Wall Street ou encore Platoon). Oliver Stone a signé aussi des documentaires qui sont de véritables chefs d’oeuvres : « JFK », « Nixon », ou encore « Comandante » sur Fidel Castro. Son dernier, « Conversations avec Monsieur Poutine »  restera l’un de ses films incontournables.

 

Source : http://www.bvoltaire.com/livre-conversations-poutine-doli…

 

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On n’a pas vu le film, on a trouvé ça  sur Internet :

PMA-GPA

DIANE A LES ÉPAULES :

La GPA s’invite au cinéma !

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On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.

L’insistance avec laquelle on nous reparle, en ce moment, de la GPA pour mieux nous dire qu’elle n’est pas à l’ordre du jour – contrairement à la procréation médicalement assistée – est déjà suspecte en soi, mais il y a tout lieu, également, de s’inquiéter de son écho dans la « culture » du moment. La culture préfigurant bien souvent les évolutions sociétales comme nous le confirme largement l’histoire occidentale contemporaine. Le film de Fabien Gorgeart, Diane a les épaules, ne sera donc pas de nature à nous rassurer.

L’intrigue suit les neuf mois de grossesse de Diane, jeune femme immature, désinvolte et inconséquente, ayant accepté de porter l’enfant d’un couple d’amis homosexuels comme s’il s’agissait d’un service des plus classiques, assimilant le bébé en question à un objet dont il serait tout à fait généreux, après tout, de faire don à autrui. Devant composer avec la santé du fœtus, qu’elle ne cesse de mettre en péril de par ses excès physiques personnels, et avec les attentes sentimentales de son nouveau compagnon Fabrizio, Diane devra assumer ses choix jusqu’au bout et contenter tout son petit monde.

Portant de prime abord un regard critique et distancié sur les frasques d’une héroïne « adulescente » et irresponsable, le réalisateur cherche malgré tout au fil du récit, par le biais de l’humour, l’adhésion du spectateur au personnage principal, et se complaît allègrement dans la mise en scène de ses coups d’éclat.

Tout est mis en œuvre pour nous rendre sympathiques la mère porteuse et, par ricochet, le sujet du film…

Endoctrinée par son époque, gavée jusqu’à la rétine de discours politiquement corrects entendus à la télévision autour du « droit à l’enfant », Diane s’emporte, vocifère et va jusqu’à feindre de ne pas comprendre les questionnements de Fabrizio (le seul personnage à peu près sain du scénario) lorsque celui-ci émet la moindre réserve sur cette affaire : « Cela ne te concerne pas ! », lui dit-elle sèchement. Celui-ci n’a même pas le droit de toucher son ventre, l’objet qui s’y trouve ne lui appartenant pas. Et lorsque l’accouchement aura lieu autour du schéma classique entre un homme et une femme, Diane chassera Fabrizio de la salle d’opération pour qu’il aille chercher les deux pères « légitimes »…

 

 

Point d’illusion, cependant, si Fabien Gorgeart fait mine de s’attarder longuement sur « la beauté du don », tout en tenant compte (sincèrement) du désarroi de Fabrizio : c’est pour masquer en vérité la cruauté de l’abandon d’une mère et l’irresponsabilité de ces apprentis sorciers, enfants pourris-gâtés et capricieux de la génération 68, qui jouent avec les repères d’un nouveau-né et ne veulent pas assumer les contraintes naturelles de leur homosexualité. Le beurre, l’argent du beurre et la compote du bébé… Un tableau lamentable.

On se demande ce que le pauvre Fabrizio Rongione, comédien remarquable et fidèle des frères Dardenne, est allé faire dans cette galère.

1 étoile sur 5 (pour l’efficacité des procédés de manipulation).

Source : http://www.bvoltaire.com/cinema-diane-a-epaules-gpa-sinvi…

 

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Et pendant qu’on y est :

Un nobélisable sur la liste rouge des décodeurs

 

Un médecin français candidat au prix Nobel de Médecine – par Doctorix

 

jo Busta Lallyjbl1960 28 novembre 2017

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L’article initial ayant été supprimé par AGORAVOX suite à un signalement avec menace de plainte au CONSEIL DE L’ORDRE, que Doctorix a pu récupérer ;

Bonjour,

Un médecin français candidat au prix Nobel de Médecine…

Peu connu du grand public, jamais médiatisé, ne bénéficiant d’aucune subvention de l’industrie pharmaceutique, honni par nombre de ses pairs, ce médecin a pourtant découvert un procédé révolutionnaire simple et peu coûteux pour éliminer, par exemple, 87,11% des asthmes de l’enfant.

On sait que ce mal, qui naguère n’affectait que 1 à 2% de nos enfants, en touche aujourd’hui 10%, ce qui en fait un des plus grands fléaux du siècle.

Sa quasi élimination devrait donc valoir à ce chercheur solitaire les plus grands hommages de l’humanité.

Et cela d’autant plus que son procédé présente de nombreux autres avantages, proprement inespérés.

Il élimine en effet la quasi totalité des autismes, ce mal qui touche aujourd’hui un enfant américain sur 50.

Il élimine aussi 95% des sinusites, 53,71% des allergies, 74,18% des hyperactivités de l’enfant, 65% des diabètes de type 1, 94,12% des affections thyroïdiennes, 90,84% des épilepsies de l’enfance, 90,75% des scolioses, 94,72% des maladies auto-immunes, 82,6% des otites, 97,9% des herpes, 70,5% des rhumes des foins, 56,4% des migraines chez l »enfant. Et bien d’autres fléaux modernes encore, cette liste n’étant pas exhaustive.

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Source : https://jbl1960blog.wordpress.com/2017/11/28/un-medecin-f…

 

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Mis en ligne le 4 décembre 2017

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