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15 novembre 2024

Les Grosses Orchades, les Amples Thalamèges, le blog


 

 

 

 

 

 

 

En vrac (suite)

 

La Chine refuse d’autoriser l’accès au port de Hong Kong à deux navires de guerre US

 

Signe de tensions persistantes dans les relations entre Washington et Pékin, la Chine a annulé l’escale à Hong Kong de deux navires de la marine américaine.

Des responsables américains ont déclaré que le gouvernement chinois avait rejeté les demandes de deux navires de la marine américaine d’effectuer des escales à Hong Kong.

Un porte-parole de la flotte américaine du Pacifique, Nate Christensen a déclaré mardi que le navire de transport amphibie USS Green Bay devait se rendre à Hong Kong le 17 août et que le croiseur lance-missiles Lake Erie devait s’y rendre en septembre.

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Source : https://www.presstv.com/DetailFr/2019/08/14/603512/Navires-US-interdits-de-faire-escale–Hong-Kong

 

 

 

 

Bien entendu…

Hong Kong : le piège d’un Tien-An-Men bis, objectif principal des agitateurs du désordre

 

Strategika51  – 14.8.2019

 

 

 

 

Dans la crise secouant depuis des semaines la Région Administrative Spéciale de Hong Kong, Pékin a su jusqu’ici éviter de tomber dans le piège tendu par ses ennemis: un Tien-An-Men bis en plein Hong Kong à l’ère des réseaux sociaux et de la manipulation de masse.

C’est ce scénario rêvé qu’attendent les services spéciaux US et britanniques qui manipulent et orientent les meneurs du désordre dans l’ancienne colonie britannique restituée à la Chine en 1997.

Une intervention chinoise à Hong Kong est l’objectif assigné par Washington et Londres aux agitateurs de la Région Administrative Spéciale afin de la transformer en une répression caricaturale d’un régime dictatorial tel qu’imaginé par Hollywood. Ce qui ferait d’une pierre deux coups : une sorte de révolution colorée à la sauce cantonaise enclenchant un second Tien-An-Men et le tour est joué.

Pékin a saisi le message dès le début des troubles à l’ordre public à Hong Kong. Après tout, ce n’est pas la première fois que Washington tente soit des révolutions colorées douces soit des manigances politiques dans la région pour amener les pays entourant la Chine à lui tourner le dos. Que ce soit en Thaïlande ou au Laos ou encore au Myanmar, la machine tournait à plein régime. Ce qui change, cette fois, c’est que la vague ait atteint l’un des pivots de l’économie chinoise.

Les stratèges chinois connaissent la portée des risques d’une intervention directe. Les protestataires, à Hong Kong, ressemblent à s’y méprendre aux manifestants arabes du Printemps arabe en Tunisie et en Egypte. Ils en diffèrent par leur propension manifeste à la provocation, avant un passage à des actes de terrorisme, lequel n’est plus qu’une question de temps.

Si Pékin intervient, le ciel lui tombera sur la tête. Et c’est d’ailleurs l’appellation du nom de code de l’opération en cours à Hong Kong contre la Chine. Dans le cas où Pékin s’abstient d’intervenir directement, continuant à déléguer le maintien de l’ordre public à la police locale de Hong Kong, les agents du renseignement US et britanniques, secondés par ceux d’autres pays alliés de l’OTAN et de la région ASEAN, continueront à avoir de larges marges de manœuvre et à fomenter des troubles.

C’est la solution à ce dilemme qui va mettre fin à la crise à Hong Kong. Cela requiert le recours à une forme de lutte asymétrique qui semble inévitable dans ce genre d’imbroglio. Après tout, il s’agit d’un nouveau front de la guerre imposée à la Chine par les puissances atlantistes. Ce point de tension s’ajoute à ceux du Détroit de Taïwan (revendication territoriale), de la Corée du Nord (conflit géostratégique), par exploitation de l’Islamisme politique et militant).

La décision finale appartient à la Chine. Une intervention rapide et expéditive pourrait théoriquement tenter les dirigeants chinois. Mais la Chine de 2019 n’est plus la Chine de 1989 et Pékin dispose de suffisamment de ressources de cyberguerre pour contrer la guerre médiatique et autres propagandes adverses.

En attendant une prise de décision chinoise, Washington tente d’abattre les portes du ciel sur la Chine, sur fond de guerre économique et commerciale. L’Empire ne supporte plus la concurrence de l’Empire du Milieu pour l’hégémonie planétaire.

Le Grand Jeu s’étend et devient bien plus complexe à saisir. Il couvre désormais l’ensemble de la planète habitée.

 

Le célèbre acteur Jackie Chan prend parti pour la Chine :

 

 

 

 

 

 

 

CACHEMIRE : « La guerre, c’est la continuation de la politique par d’autres moyens… »

 


Richard Labévière – Comité Valmy  – 12.8.2019

 

 

 

 

 

C’est sans doute la bombe géopolitique de l’été… Et la question qui vient aussitôt à l’esprit, c’est pourquoi maintenant ? alors qu’aucune menace terroriste imminente ou autre (quoi qu’en dise New Delhi) ne vise particulièrement l’Inde et ses intérêts. Un ambassadeur européen en poste en Asie le dit plus clairement : « En dépit de tout complotisme, c’est bien les Etats-Unis qui ont décidé d’allumer tous les feux possibles contre la Chine qui ose leur résister commercialement. Le Cachemire est l’un d’eux ! ».

Dans sa logique d’agent immobilier, Donald Trump a pris la responsabilité de réveiller la question du Cachemire pour deux raisons principales : faire rendre gorge à Pékin dans la phase actuelle du bras de fer économico-monétaire et « surtout, endiguer, sinon casser l’irrésistible avancée des Routes de la soie et du Collier de perles… », ajoute notre ambassadeur.

Que s’est-il passé ? Annoncée le 5 août dernier par décret présidentiel, la révocation de l’article 370 de la constitution indienne met fin au « statut d’autonomie relative » qui prévalait au Jammu-et-Cachemire depuis sept décennies. Les habitants perdent leur droit exclusif à posséder des terres dans la vallée himalayenne. De plus, selon une loi ratifiée cette semaine par le parlement indien, l’Etat fédéré est scindé en deux « territoires de l’Union », placés sous administration directe de New Delhi.

Selon le Premier ministre Narendra Damodardas Modi, ces mesures vont « donner une chance historique au changement… ». L’abrogation de l’article 370 devrait permettre à New Delhi, estime-t-il, d’assainir les comptes du Cachemire, de débloquer des projets d’infrastructures et d’encourager la croissance régionale. Le premier ministre affirme miser sur les investissements des entreprises et la création d’emplois pour dynamiser la région et susciter au sein de la population « de nouveaux espoirs et de nouvelles aspirations ».

L’opposition dénonce un « projet nationaliste » qui vise « une assimilation forcée du Cachemire au reste de l’Inde, et qui ne pouvait se faire qu’avec l’abolition de l’article 370 ».

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Source : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article11486

 

 

 

 

Le gouvernement indien risque-t-il d’être pris au piège par Israël ?

 

PressTV – 8.8.2019

 

 

Un membre des forces de sécurité indiennes monte la garde dans une rue sous couvre-feu à Srinagar le 8 août 2019, alors que de larges restrictions de mouvement et une coupure de toutes les communications sont restées en place après que le gouvernement indien a révoqué l’autonomie du Jammu-et-Cachemire.

 

 

Le gouvernement indien a annulé l’article 370 de sa Constitution, révoquant l’autonomie constitutionnelle du Jammu-et-Cachemire depuis son adhésion au pays en 1947, jetant ainsi de l’huile sur le feu à un moment où les tensions montent avec le Pakistan. Pour un grand nombre d’analystes, Israël y est pour quelque chose.

Après trois jours de couvre-feu au Cachemire, les manifestations contre l’occupation des militaires indiens ont atteint leur apogée.

En dépit du couvre-feu, les habitants du Cachemire ont été, ce jeudi 8 août, des milliers à descendre dans la rue pour scander des slogans contre le gouvernement indien et revendiquer le rétablissement des règles.

Les derniers rapports font état de six morts et de centaines de blessés suite aux tirs directs des militaires indiens qui, durant les trois dernières décennies, ont tué plus de 100 000 individus au Cachemire et en ont fait disparaître 10 000 autres.

Les Nations unies ont qualifié les actions de l’Inde au Cachemire de violation flagrante des droits de l’homme et ont appelé à l’organisation d’un référendum libre pour que la population de la région puisse déterminer le sort du Cachemire.

Une semaine à peine après l’envoi de 10 000 soldats supplémentaires au Cachemire, le gouvernement de Narendra Modi y a envoyé 25 000 soldats de plus, suscitant la crainte des habitants.

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Source : https://www.presstv.com/DetailFr/2019/08/08/603019/Cachemire–Isral-impliqu-

 

 

 

 

 

 

 

 

Golfe Persique : l’armée chinoise débarque ?

 

PressTV – 12.8.2019

 

Le lundi 12 août l’ambassadeur de Chine aux Émirats arabes unis, Ni Jian, a déclaré que la marine chinoise pourrait rejoindre la coalition américaine dans le golfe Persique.

L’annonce a fait couler beaucoup d’encre, dans un moment où le torchon brûle entre Pékin et Washington et que les Chinois, au mépris des sanctions US, continuent d’acheter du pétrole iranien.

Pékin s’engagera-t-il sous le drapeau US ?

Fabrice Beaur, expert pour l’ONG EODE, s’exprime sur ce sujet :

 

 

 

 

 Et pourquoi pas ?

 

 

Source : https://www.presstv.com/DetailFr/2019/08/13/603449/GPersique-larme-chinoise-dbarque

 

 

 

 

 

 

Gibraltar relâche le tanker iranien Grace 1 en dépit des pressions US

 

PressTV – 15.8.2019

 

 

 

 

Gibraltar a libéré le pétrolier iranien Grace 1 malgré la tentative américaine de blocage.

En dépit de la demande du département américain de la Justice de prolonger la détention du pétrolier iranien, la Cour suprême de Gibraltar a autorisé son départ.

L’ambassadeur iranien au Royaume-Uni affirme que le Grace 1 quittera bientôt Gibraltar, soulignant  ce qu’il appelle « la défaite misérable des tentatives américaines d’empêcher la libération du pétrolier ».

Confirmant la demande américaine de détenir le Grace 1, le juge de la Cour suprême de Gibraltar, qui avait reporté à cet après-midi l’énoncé du verdict au sujet du pétrolier iranien, a prétendu que l’ordre ne lui était pas parvenu à temps et que sa décision avait été prise sur la base des preuves disponibles.

« Le département américain de la Justice a demandé que le Grace 1 soit saisi sur la base d’un certain nombre d’allégations actuellement examinées », a déclaré le gouvernement de Gibraltar dans un communiqué, ajoutant : « L’affaire sera renvoyée devant la Cour suprême de Gibraltar à 16 h (14 h GMT) aujourd’hui. »

Les médias britanniques ont annoncé que la libération du navire était imminente à la suite d’une série d’échanges diplomatiques entre Téhéran et Londres.

Le ministère espagnol des Affaires étrangères a annoncé après l’annonce de la décision que le Royaume-Uni avait saisi le navire à la demande des États-Unis, qui tentaient de perturber la circulation sans entraves des navires pétroliers internationaux iraniens dans le cadre de sa campagne de pression économique contre la République islamique.

Un différend diplomatique a éclaté entre le Royaume-Uni et l’Iran le 4 juillet, lorsque les forces navales britanniques ont intercepté illégalement Grace 1 et sa cargaison de 2,1 millions de barils de pétrole dans le détroit de Gibraltar sous prétexte que le supertanker était soupçonné de transporter du pétrole brut en Syrie, en violation des sanctions unilatérales de l’Union européenne contre ce pays.

Cependant, des rapports montrent que l’interception a eu lieu à la suite d’un appel des États-Unis.

Téhéran a rejeté l’affirmation de Londres selon laquelle le pétrolier se dirigeait vers la Syrie, qualifiant l’acte de « piraterie maritime ».

L’organisation iranienne des ports et de la navigation maritime a annoncé mardi que le Royaume-Uni allait bientôt libérer Grace 1, après que les deux parties aient échangé certains documents en vue de préparer la libération du supertanker.

Source : https://www.presstv.com/DetailFr/2019/08/15/603616/Grace-1-libr-malgr-les-USA-

 

 

 

 

Tour d’horizon…

 

De l’Argentine, de la Baltique et de quelques autres choses

 

Observatus Geopoliticus – Chroniques du Grand jeu – 13.8.2019

 

 

 

 

Tour d’horizon des points chauds du Grand jeu…

À tout seigneur tout honneur, le chef de l’Organisation de Coopération de Shanghai a appelé la grande formation eurasienne à intensifier la coopération avec le Caspian Five (Iran, Russie, Azerbaïdjan, Kazakhstan et Turkménistan), notamment dans les infrastructures de transport afin de mieux intégrer le continent-monde. Chose intéressante, il a convié l’Afghanistan à y participer au moment où Washington, la queue entre les jambes, tente piteusement de s’extraire de l’interminable bourbier.

Ces déclarations de l’OCS sonnent familièrement à l’oreille du fidèle lecteur de nos Chroniques qui en avait eu un avant-goût il y a trois ans :

Le corridor RAI (Russie-Azerbaïdjan-Iran) se combinera avec les voies chinoises pour former un maillage eurasien serré par lequel transiteront marchandises et hydrocarbures. De Lisbonne à Pékin et de l’Océan indien à l’Océan arctique. Un seul absent dans tout cela : les Etats-Unis, dont la capacité de nuisance s’amenuise à mesure que l’intégration de l’Eurasie se poursuit.

Le RAI est sur les rails et sera à terme raccordé aux Nouvelles routes de la Soie. On comprend la fébrilité des stratèges impériaux, qui ont d’ailleurs bien d’autres raisons de se prendre la tête à deux mains…

En Argentine, le président Mauricio Macri, gentil toutou des USA, vient de se prendre une volée aux élections primaires, répétition générale de l’élection présidentielle du mois d’octobre. Pour Washington, c’est une bien mauvaise nouvelle, d’autant que le grand vainqueur est le parti de l’ancienne présidente Cristina Kirchner, elle aussi bien connue des lecteurs. Nous en parlions entre autres dans un billet consacré à l’établissement d’une base radar chinoise dans la pampa :

L’accord sino-argentin avait été signé en 2015, du temps de Cristina Kirchner, égérie de la multipolarité. Ironie du sort, l’objet de l’accord se réalise sous son successeur et adversaire, pion de l’empire comme nous l’expliquions il y a deux ans :

Macri, dans la plus pure tradition des leaders latino-américains dévoyés, est l’homme de paille des Etats-Unis en Argentine, permettant l’installation de deux bases US dans son pays, plaçant sa fortune chez son maître, s’attirant les louanges de son suzerain.

… et acceptant avec gloutonnerie tout accord avec le FMI visant à esclavagiser un peu plus son pays. Sans surprise, la Cristina, maintenant sénatrice, s’y oppose résolument et préfère les prêts de la banque des BRICS ou de la Chine. D’où la base radar, facilité donnée au dragon contre des espèces sonnantes et trébuchantes à un moment où l’Argentine était étranglée financièrement. Le combat continue entre la pasionaria et le vassal. Macri est largement devancé par C.K dans les projections du premier tour (39%-30%). Quel que soit le résultat, la base chinoise est là pour rester, l’accord ayant été signé pour 50 ans.

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Source : http ://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/08/de-l-argentine-de-la-baltique-et-de-quelques-autres-choses.html

 

 

 

 

 

 

France

 

Pour un Secours Rouge de masse et populaire !

 

Parti Communiste Maoïste – LGS – 14.8.2019

 

 

 

 

 

La situation des prisonniers politiques dans l’État français. La situation de la répression dans l’État français appelle, particulièrement aujourd’hui en 2019, au développement d’une solidarité de classe plus importante contre l’État bourgeois. Nous pouvons prendre quelques exemples pour expliquer pourquoi la solidarité contre la répression est d’une importance capitale :

D’abord, prenons celui du Camarade Théo El Ghozzi, militant ouvrier révolutionnaire. Emprisonné depuis le 22 Juillet 2019 et en grève de la faim depuis cette date. Ce Camarade explique dans une lettre, publiée sur la Cause du Peuple, les conditions d’arrestation et de détention des prisonniers politiques dans l’État français aujourd’hui :

« La police est venue m’arrêter dans mon usine – je suis soudeur. Tout a été très vite ; les flics m’ont notifié que j’étais en rétention judiciaire par rapport à une action menée le 23 juin 2016 (lors du mouvement contre la loi travail) où j’avais été condamné à 6 mois de prison avec sursis. Je ne serais pas venu à des “convocations” envoyées à une adresse où je n’ai jamais résidé et desquelles je n’avais pas connaissance, alors ils auraient révoqué mon sursis. Le lundi à 18h, me voilà en taule !

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Source : https ://www.legrandsoir.info/pour-un-secours-rouge-de-masse-et-populaire.html

 

 

 

 

 

 

 

Quant à nous, nous croirons que les GILETS JAUNES ont un avenir, quand on les verra, aux ronds-points, discuter entre eux le Lénine de Gérard Walter (pour commencer !). Non pas dans le but d’imiter servilement ce qu’a fait quelqu’un d’autre, mais pour prendre, les yeux ouverts, la mesure de ce qui les attend, dont RIEN ne leur sera épargné.

Les Grosses Orchades

 

 

 

Gérard WALTER

Lénine

Éditions. Marabout (Format poche)

Collection Université : MU N°23 (1963)

 

Gérard WALTER

Lénine

Éd. Jules Tallandier – 1971

Illustrations

560 pages

 

Gérard WALTER

Lénine

Présenté par Leonid Brejnev. Suivi d’une vue panoramique de l’œuvre de Lénine commentée par Gérard Walter

Albin Michel – 1974

674 pages

 

Gérard WALTER

Lénine

Albin Michel – 2003

Identique à l’édition ci-dessus – Format Kindle.

678 pages

Présentation de l’éditeur

Spécialiste de la Révolution française, Gérard Walter (1896-1974) a consacré plusieurs ouvrages à cette période (Les Massacres de septembre, Histoire de la Terreur, 1793-1794)…

Parallèlement à la publication d’études sur le communisme (Histoire du Parti communiste français) et l’Antiquité (Brutus et la fin de la république, La Ruine de Byzance), il a écrit plusieurs biographies sur Robespierre, Marat, Marie-Antoinette, Brutus, César, Néron, Lénine…

 

 

 

 

Dernière minute :

L’imbitable même par viol Lénín Moreno vient de faire lancer, par une juge à ses ordres, un nouveau mandat d’arrêt international contre l’ex-président Rafael Correa, réfugié en Belgique. Et sur une charge aussi indiscutable que les précédentes  : corruption (défense de rire, ce n’est pas drôle !). À quand un « tournant » à la mode argentine pour débarrasser l’Équateur (et le monde) de cette putride engeance ?

 

 

 

 

Christine, la mère de Julian Assange, secoue à nouveau le cocotier : les Britanniques sont occupés à assassiner son fils à petit feu.

Lire ici :

Christine Assange : « Mon fils est lentement, cruellement et illégalement assassiné »

 

Il semble que, faute de pouvoir s’opposer sans doute au juge US qui a récemment statué sur les responsabilités de Wikileaks, « on » ait décidé en hauts lieux de neutraliser autrement le gêneur.

Rappelons que son « informateur » Manning est maintenu en prison pour un an au moins. À la suite de quel jugement ? Oooh !

Lire aussi :

Assange trahi par les siens ? Quand les réseaux Soros s’affairent autour de Wikileaks

Aymeric Monville – LGS – 15.8.2019

 

 

 

 

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