Les vaincus n’écrivent pas l’histoire
7 octobre 2019
Les vaincus n’écrivent pas l’histoire, À plus forte raison lorsque leur défaite S’apparente À un bouleversement géopolitique. Ce sont les vainqueurs qui s’octroient, Pour paraphraser la chanson de Demis roussos, le privilège « d’écrire Sur les murs le nom de ce que l’on aime » ( ou que l’on doit aimer désormais ) et le nom de ce qu’il faudra haïr. Les « messages pour les jours à venir» Des libérateurs présumé sont en général trop limpide pour ne pas être troubles. Il s’agit de Marteler et d’accréditer leur narrative officielle: les ennemis terrasses étaient jouisseur, fourbe, menteur, vicieux, despotique, massacreurs, traître est lâche. On dénonce à l’envie leur cynisme, leurs abus de pouvoir, leur arbitraire, leur corruption, leurs exactions, leurs crimes. Pour faire simple, ils sont responsables de tous les mots et, le cas échéant, du chaos et de la destruction du pays et de l’État qu’ils n’ont pas su ou pas pu préserver des dangers. La mémoire des peuples et des sociétés étaient ce qu’elle est, C’est-à-dire sélective est souvent ingrat, ce qui ont eu le malheur d’être jeté dans les oubliettes de l’histoire peuvent attendre longtemps— et sans doute pour l’éternité— que l’on veuille bien les en tirer pour rendre justice à la cause qu’ils ont servi, si grande ait -elle été.
Malheur au vaincu est bien heureux les vainqueurs fugitivement Parés de tout les mérites : Il va de soi que nos triomphateur, Qui sont les meilleurs, les plus beaux, les plus clairvoyant, les plus honnêtes, peuvent faire beaucoup plus mal et bien pire que leurs prédécesseurs déchus, Mais en toute impunité, pour peu que leurs méfaits avenir bénéficie de l’indulgence de la «communauté internationale», entendu au sens convenu du terme (c’est-à-dire les trois occidentaux membres permanents du conseil de sécurité). Avec la caution «démocratique» que prodigue nos vertus prédicateur, L’avenir il forcément Radieux pour le pays qui était au bord du gouffre
Pauses. La suite demain