On relaie en vitesse parce qu’on a autre chose sur le feu
Et pour une fois, Do en première ligne (et tel quel)
Gilets Jaunes – Acte 50
http://mai68.org/spip2/spip.php?article4602
À Bordeaux, le Rojava qui fut soutenu par la CIA infiltre la manif (vidéos)
BORDEAUX ACTE 50 : RÉVOLUTION !
26 octobre 2019
Cliquez sur l’image pour voir la vidéo
Bonjour à toutes et à tous,
Le Rojava est un territoire « kurde » au nord de la Syrie qui était tenu par les FDS, eux-mêmes soutenus par l’impérialisme US, et récemment abandonnés à leur propre sort par celui-ci.
L’impérialisme US, qui avait besoin d’eux pour détruire l’État syrien, les a bien entendu abandonnés dès qu’il a perdu la guerre contre la Syrie. Guerre qu’il menait avec l’aide de divers Djihadistes islamistes dont DAECH ne fut que la dernière mouture.
Les Kurdes se sont donc tournés vers Bachar el-Assad pour être sauvés. Mais il faut se méfier des oustachis kurdes autant que des peshmergas croates.
Depuis 1999 que leur chef Occalan est en prison, les Kurdes font n’importe quoi. Par exemple, en 2003, ils se sont alliés aux Américains qui envahissaient l’irak. Ils se sont à nouveau alliés à eux quand les Amerloques ont tentés de détruire la Syrie.
Ce qui semble difficile à comprendre, c’est qu’ils ont encore le soutient de ce qui fut la Ligue † et de divers anarchistes. Mais, rien d’étonnant en fait, car ces gens sont eux-mêmes infiltrés par les services secrets qui leur disent ce qu’il faut faire pour être de bons communistes et de bons anarchistes.
Bien à vous,
do
http://mai68.org/spip2
La CIA et la Culture en France :
http://mai68.org/spip2/spip.php?article4420
La CIA infiltre et contrôle la Culture des pays d’Europe (Vidéo Arte)
http://mai68.org/spip/spip.php?article1066
La CIA s’est servie d’anciens nazis pour infiltrer et contrôler la culture de gauche dans divers pays d’Europe. Ce film est extrêmement intéressant pour avoir les preuves de ce fait et pour voir comment elle s’y est prise et quel était son but.
Le titre originel donné par ARTE en 2006 à cette vidéo-preuve est au passé ; mais, il faudrait être bien naïf pour croire que tout ça est fini et que, désormais, la France et les autres pays d’Europe ont vu leur(s) Culture(s) se libérer de l’influence secrète et néfaste de la CIA.
Par exemple, on peut citer quelques sites internet soit-disant d’« extrême gauche » ou « anarchistes », mais en réalité tenus par des sionistes et très probablement infiltrés par la CIA : Indymedia-Paris, Article11, ou encore conspishorsdenosvies ; qui, d’ailleurs, sont liés les uns aux autres. Et certainement bien d’autres sites seront fabriqués sur le même modèle, c’est-à-dire où la CIA et le MOSSAD nous expliqueront ce qu’on doit penser pour être vraiment de gauche, d’extrême gauche ou anarchiste.
Le malheur, c’est que tout le monde n’a pas encore compris cela et que ces sites peuvent par conséquent influencer diverses personnes et divers autres sites pourtant originellement honnêtes.
Cliquer ici pour l’article et les commentaires
Note du 10 avril 2016 : depuis, ceci a été formellement prouvé concernant Indymedia Paris qui a d’ailleurs dû fermer, ayant perdu toute crédibilité. Et c’est très probablement paris-luttes.info qui a pris la suite avec le même rôle. Voir au sujet d’Indymedia Paris l’article ci-dessous.
Des agents de la CIA dans des pseudo sites d’information alternative :
http://mai68.org/spip/spip.php?article3444
Source : http://mai68.org/spip2
Se souviendra-t-on plus tard des méthodes d’élimination zuniennes comme on se souvient aujourd’hui du cheval de Caligula fait consul ?
L’art de la guerre
Le Calife, un film CIA entre fiction et réalité
Manlio Dinucci – il manifesto – 29.10.2019
Traduction – Marie-Ange Patrizio
« Ça a été comme regarder un film », a dit le président Trump après avoir assisté à l’élimination d’Abu Bakr al Baghdadi, le Calife chef de l’Isis (Daesh), transmise dans la Situation Room de la Maison Blanche. C’est là qu’en 2011 le président Obama assistait à l’élimination de l’ennemi numéro un de l’époque, Oussama Ben Laden, chef d’Al Qaeda.
Même mise en scène : les services secrets USA avaient depuis longtemps localisé l’ennemi ; celui-ci n’est pas capturé mais éliminé : Ben Laden est tué, al Baghdadi se suicide ou est « suicidé » ; le corps disparaît : celui de Ben Laden enseveli dans la mer, les restes d’al Baghdadi désintégré par sa ceinture explosive sont eux aussi dispersés en mer.
Même maison productrice du film : la Communauté d’Intelligence, formée de 17 organisations fédérales. Outre la Cia (Agence centrale d’intelligence) il y a la DIA (Agence d’intelligence de la Défense), mais chaque secteur des Forces armées, tout comme le Département d’État et celui de la Sécurité de la patrie, a son propre service secret.
Pour les actions militaires la Communauté d’intelligence utilise le Commandement des forces spéciales, déployées dans au moins 75 pays, dont la mission officielle comprend, outre l’« action directe pour éliminer ou capturer des ennemis », la « guerre non-conventionnelle conduite par des forces extérieures, entrainées et organisées par le Commandement ».
C’est exactement ce qui advient en Syrie en 2011, l’année même où la guerre USA/OTAN démolit la Libye. Le démontrent des preuves documentées, déjà publiées par il manifesto. Par exemple : en mars 2013 le New York Times publie une enquête détaillée sur le réseau CIA à travers lequel arrivent en Turquie et Jordanie, avec le financement de l’Arabie Saoudite et d’autres monarchies du Golfe, des fleuves d’armes pour les militants islamistes entraînés par le Commandement des forces spéciales USA avant d’être infiltrés en Syrie.
En mai 2013, un mois après avoir fondé l’ISIS (Daesh), al Baghdadi rencontre en Syrie une délégation du Sénat des États-Unis chapeautée par John McCain, comme le révèle une documentation photographique.
En mai 2015, est révélé par Judicial Watch un document du Pentagone, daté du 12 août 2012, dans lequel on affirme qu’existe « la possibilité d’établir une principauté salafiste en Syrie orientale, et [que] ceci est exactement ce que veulent les pays occidentaux, les états du Golfe et la Turquie qui soutiennent l’opposition ».
En juillet 2016 est révélée par Wikileaks un email de 2012 dans lequel la secrétaire d’État Hillary Clinton écrit que, étant donnée la relation Iran-Syrie, « le renversement d’Assad constituerait un immense bénéfice pour Israël, en faisant diminuer sa crainte de perdre le monopole nucléaire ».
Ceci explique pourquoi, bien que les USA et leurs alliés lancent en 2014 la campagne militaire contre Daesh, les forces de Daesh peuvent avancer sans être dérangées dans des espaces ouverts, avec de longues colonnes de véhicules armés.
L’intervention militaire russe en 2015, en soutien des forces de Damas, renverse le sort du conflit. L’objectif stratégique de Moscou est d’empêcher la démolition de l’État syrien, qui provoquerait un chaos comme en Libye, exploitable par les USA et l’OTAN pour attaquer l’Iran et encercler la Russie.
Les États-Unis, court-circuités, continuent à jouer la carte de la fragmentation de la Syrie, en soutenant les indépendantistes kurdes, pour ensuite les abandonner afin de ne pas perdre la Turquie, avant-poste OTAN dans la région.
On comprend sur un tel fond pourquoi al Baghdadi, comme Ben Laden (auparavant allié USA contre la Russie dans la guerre afghane), ne pouvait pas être capturé pour être jugé publiquement, mais devait disparaître physiquement pour faire disparaître les preuves de son rôle réel dans la stratégie USA. C’est pour cela que Trump a tant aimé le film qui finit bien.
Édition de mardi 29 octobre 2019 de il manifesto
https://ilmanifesto.it/il-califfo-film-cia-tra-fiction-e-realta/
Traduit de l’italien par M-A P.
Fin de la récré au nord, calife mort et Deir ez Zoor
Observatus Geopoliticus – Chroniques du Grand jeu – 28.10.2019
La Syrie se retrouve une nouvelle fois sous les feux de l’actualité. Si nos bons médias font, comme de bien entendu, leurs gros titres sur l’écume événementielle, à savoir la mort d’Al Baghdadi, d’autres choses autrement plus importantes, donc passées sous silence, s’y déroulent.
Ainsi, le calife aurait été tué lors d’un raid américain. Passons sur le fait que c’est la cinquième ou sixième fois qu’on annonce son élimination ; le fait qu’il se soit réfugié à Idlib, fief de ses frères ennemis d’Al Qaeda, est fort étrange. Peut-être s’est-il rabiboché avec ses ex-compagnons de djihad, peut-être les Turcs l’ont-ils imposé à leurs protégés (tout en donnant sa localisation aux Américains lors du troc Erdogan-Trump), peut-être tout cela n’est-il qu’une opération de communication de Washington. Peu importe au final. Daech est finie et son leader n’avait plus aucune influence sur le cours des événements.
Pour Donaldinho, c’est un scoop médiatique qui lui donnera du prestige auprès du public américain gavé à la sauce hollywoodienne. La mort du grand méchant empêchera celui-ci de réfléchir aux aléas de la politique impériale. Reagan avait créé Al Qaeda dont le chef fut tué sous Obama, lui-même coproducteur de l’EI dont le chef est tué sous Trump. Une vraie affaire de famille…
À cette occasion, les remerciements de l’occupant de la Maison Blanche à la Russie (qui doute d’ailleurs de la véracité de l’opération) et à la Syrie ont une nouvelle fois provoqué une réaction épidermique d’hystérie collective dans le Deep State.
Au-delà des paillettes de l’actualité, des tendances profondes se dégagent. Au Nord, l’aventure ottomane est terminée. L’accord de Sochi concocté par Vladimirovitch donne ses premiers fruits. Le cessez-le-feu est globalement respecté et les Kurdes, après deux jours d’hésitation, ont accepté le plan et commencé à battre en retraite de la frontière. Ils sont remplacés par l’armée syrienne qui se déploie à vitesse grand V pour contenir toute avance future des Turcs.
À l’Ouest…
Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/10/fin-de-la-recre-au-nord-calife-mort-et-deir-ez-zoor.html
Pendant que vous y serez, ne manquez pas, juste avant :
La guerre des tubes
Même site même auteur – 26.10.2019
http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/10/la-guerres-des-tubes.html
Climatotalitarisme
Slobodan Despot – ANTIPRESSE – 28.10.2019
La fin du monde se fait attendre — depuis la nuit des temps. Ces dernières années, du GIEC à Greta Thunberg, nos directeurs de conscience s’emploient de nouveau à la réveiller, elle ou son spectre. L’écologisme est la nouvelle religion de la société sécularisée. Peut-on encore ménager la nature sans plier le genou devant ses prêtres et ses gendarmes ?
J’aime me réfugier au fin fond du val d’Hérens, dans sa veinule la plus reculée. Au-delà d’Arolla, il n’y a que la roche, les glaces et le ciel. Sous nos pieds, le grondement imperceptible des eaux collectées par la Dixence, le plus majestueux barrage du monde et, au bout du bout, la masse divine du Mont Collon, le Kailash des Alpes. De temps à autre, des corniches gelées s’effondrent vers la vallée avec un fracas de tremblement de terre.
J’ai observé depuis une dizaine d’années le reflux constant du glacier qui permet au promeneur ordinaire que je suis de s’avancer toujours plus loin sans crampons ni piolets. Mais je découvre aussi que la fonte met à jour de curieux vestiges: tronc d’arbre à 2500 mètres, objets fabriqués de main d’homme et même, paraît-il, des restes de charrues. Preuve que là où nous ne voyons que des surfaces blanches immaculées passaient jadis des chemins, à sec. À une certaine époque, vers la fin du Moyen Âge, les vallées latérales de la haute vallée du Rhône communiquaient entre elles par la source et non par l’embouchure, par ces plaines lunaires où passe aujourd’hui la Patrouille des Glaciers. Le grand été du XIIIe siècle était beaucoup plus chaud que ceux que nous connaissons aujourd’hui. Il aurait, selon certains, contribué à la formidable expansion de la civilisation européenne.
Une urgence vieille comme le monde
Les variations climatiques sont la respiration même de cet être vivant qu’est la Terre. Les hommes d’avant l’ère industrielle n’en avaient même pas conscience. Ils n’avaient ni les moyens ni l’idée de s’y intéresser. Les cataclysmes naturels se cristallisaient dans les temps mythiques de la tradition. Le souvenir du Grand Déluge, par exemple, est commun pratiquement à toute l’humanité.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/climatotalitarisme/
Source : https://medium.com/antipresse/climatotalitarisme-45001605886
Retour à Assange
Quand il y avait toutes les raisons du monde d’extrader, ils ne l’ont pas fait. Devinez pourquoi…
Intéressante comparaison entre deux demandes d’extradition au Royaume Uni : Pinochet et Assange
Les Crises – 28.6.2019
Alors que Julian Assange risque d’être extradé de Grande-Bretagne vers les États-Unis pour avoir publié des secrets classifiés, Elizabeth Vos revient sur le cas parallèle mais bien différent d’un dictateur chilien notoire.
[Le pouvoir contre la presse : les cas d’extradition de Pinochet et d’Assange – Elizabeth Vos – Consortium News – 28-06-2019 ]
Dans huit mois, l’une des audiences d’extradition les plus importantes de l’histoire récente aura lieu en Grande-Bretagne, quand un tribunal britannique et le ministre de l’Intérieur détermineront si l’éditeur de WikiLeaks, Julian Assange, sera extradé vers les États-Unis pour répondre d’accusations d’espionnage pour le crime de journalisme.
Il y a 21 ans, dans une autre affaire d’extradition historique, la Grande-Bretagne a dû a dû décider d’envoyer l’ancien dictateur chilien Augusto Pinochet en Espagne pour le crime d’assassinats de masse.
Pinochet en 1982. (Ben2, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons)
En octobre 1998, Pinochet, dont le régime était devenu synonyme d’assassinats politiques, de « disparitions » et de torture, était arrêté à Londres où il se faisait soigner.
Un juge madrilène, Baltasar Garzón, demanda son extradition au motif de la mort de citoyens espagnols au Chili
En anglais :
JOHN PILGER : Did This Happen in the Home of the Magna Carta?
October 25, 2019 • 6 Comments
In a special comment written for Consortium News, John Pilger, legendary filmmaker, journalist and friend of Assange, describes the troubling scene inside a London courtroom this week where the WikiLeaks publisher appeared in his U.S. extradition case.
By John Pilger
Special to Consortium News
The worst moment was one of a number of ‘worst’ moments. I have sat in many courtrooms and seen judges abuse their positions, This judge, Vanessa Baraitser—actually she isn’t a judge at all; she’s a magistrate—shocked all of us who were there.
Her face was a progression of sneers and imperious indifference; she addressed Julian with an arrogance that reminded me of a magistrate presiding over apartheid South Africa’s Race Classification Board. When Julian struggled to speak, he couldn’t get words out, even stumbling over his name and date of birth.
When he spoke truth and when his barrister spoke, Baraister contrived boredom; when the prosecuting barrister spoke, she was attentive. She had nothing to do; it was demonstrably preordained. In the table in front of us were a handful of American officials, whose directions to the prosecutor were carried by his junior; back and forth this young woman went, delivering instructions.
The judge watched this outrage without a comment. It reminded me of a newsreel of a show trial in Stalin’s Moscow; the difference was that Soviet show trials were broadcast. Here, the state broadcaster, the BBC, blacked it out, as did the other mainstream channels.
Having ignored Julian’s barrister’s factual description of how the CIA had run a Spanish security firm that spied on him in the Ecuadorean embassy, she didn’t yawn, but her disinterest was as expressive. She then denied Julian’s lawyers any more time to prepare their case – even though their client was prevented in prison from receiving legal documents and other tools with which to defend himself.
Her knee in the groin was to announce that the next court hearing would be at remote Woolwich, which adjoins Belmarsh prison and has few seats for the public. This will ensure isolation and be as close to a secret trial as it’s possible to get. Did this happen in the home of the Magna Carta? Yes, but who knew?
More Important Than Dreyfus
Julian’s case is often compared with Dreyfus; but historically it’s far more important. No one doubts — not his enemies on The New York Times, not the Murdoch press in Australia – that if he is extradited to the United States and the inevitable supermax, journalism will be incarcerated, too.
Who will then dare to expose anything of importance, let alone the high crimes of the West? Who will dare publish ‘Collateral Murder’? Who will dare tell the public that democracy, such as it is, has been subverted by a corporate authoritarianism from which fascism draws its strength.
Once there were spaces, gaps, boltholes, in mainstream journalism in which mavericks, who are the best journalists, could work. These are long closed now. The hope is the samizdat on the internet, where fine disobedient journalism is still practised. The greater hope is that a judge or even judges in Britain’s court of appeal, the High Court, will rediscover justice and set him free. In the meantime, it’s our responsibility to fight in ways we know but which now require more than a modicum of Assange courage.
John Pilger is an Australian-British journalist and filmmaker based in London. Pilger’s Web site is: www.johnpilger.com. In 2017, the British Library announced a John Pilger Archive of all his written and filmed work. The British Film Institute includes his 1979 film, “Year Zero: the Silent Death of Cambodia,” among the 10 most important documentaries of the 20thcentury. Some of his previous contributions to Consortium News can be found here.
Ou la « juge » est très laide ou très prudente ou les deux : elle ne laisse traîner aucune photo d’elle sur Internet. Et les caricaturistes ne sont plus ce qu’ils étaient.
==See Also==
Julian Assange’s Extradition Case is a SHOW TRIAL – John Pilger
Il se passe aussi des choses très vives dans plusieurs pays d’Amérique Latine.
Exemple : en Bolivie, Evo Moralès a été massivement réélu au premier tour, ce qui déplaît fort aux Amères Loques. Résultat : un autre Hong Kong.
Le reste à l’avenant.
Voyez Le Grand Soir et Telesur (en espagnol) : ils suivent tout cela de près.
Mais vous pouvez aussi regarder ceci (c’est au Chili… pour l’augmentation du ticket de métro) :
https://fr.sputniknews.com/photos/201910301042317193-manifestations-chili-photo/
On avait bien dit que la bête blessée pouvait être plus dangereuse qu’au temps de sa splendeur. Elle le prouve. Elle fera encore beaucoup de mal avant de crever.
Mis en ligne le 30 octobre 2019