Par Tarek Benaldjia
Journée internationale de solidarité avec le peuple Palestinien :
Entre trahison et effritement arabes.
L’édifice fallacieux sioniste s’effrite d’année en année. Faire du business sur le dos des morts alors que de nombreux juifs ont été sacrifiés par la « cause » sioniste. C’est à vomir pour l’Éternité. C’est la raison pour laquelle des lois comme « Fabius-Geyssot » se multiplient sous la pression judéo-sioniste, de peur que les goyim, notamment chrétiens, découvrent les vérités cachées, notamment sur ce beau business qu’est la Shoah. Les sionistes peuvent être fier de leur maître Hitler qui a permis la création d’Israël, et d’instaurer le chantage à l’antisémitisme pour spolier les européens qui financent la politique raciste et criminelle de cet état voyou. À tous les pays qui envisagent de déménager leurs ambassades, sachez que cela ne profitera qu’à Israël et aux sionistes et n’a aucun avantage pour le peuple juif dans son ensemble. Israël ne représente pas la communauté juive mondiale.
L’état des Régimes arabe, se bousculant au portillon de la normalisation avec l’ennemi premier de leurs peuples (Israël), n’était pas la résultante de l’instant présent, dès lors que le train a été mis sur les rails, il y a de cela quatre décennies, lorsque l’accord de paix (conclu entre l’Egypte et Israël en 1978) a constitué le premier bâton, qui a fissuré la position arabe officielle, qui était à l’époque, du moins cela apparaissait ainsi, unifiée, et qui rejetait cette entité inséminée, de force, dans le corps de la Nation et qui refusait de traiter avec elle, et a fortiori, de la reconnaître.
Au fur et à mesure que l’on progressait dans le temps, les bâtons de cette fissuration se multipliaient, de jour en jour, et les relations, jadis tenues secrètes, entre Israël et nombre de pays arabes, ont remonté à la surface, ce qui prouve, de manière catégorique, que ce changement n’a pas été créé en un laps de temps court, mais qu’il est la résultante de la situation complexe qui a vu émerger et s’établir les Régimes arabes, depuis les Accords Sykes-Picot.
Face à cette structure qui s’accumulait, depuis plus d’un siècle, les développements actuels se doivent d’être lus comme une résultante logique, naturelle et inéluctable d’un contexte historico-politique où fut annihilée délibérément l’idée du conflit arabo-israélien pour la transformer progressivement et exclusivement en un conflit palestino-israélien, tout en enlisant les peuples arabes dans des conflits intérieurs pour les éloigner et les détourner de leur Cause centrale pour laquelle des générations entières ont combattu, des décennies durant.
De même, l’on a réclamé au peuple palestinien de « faire preuve de réalisme », au-delà des concessions faites, et de renoncer à son « obstination », rejeté internationalement et par les Régimes arabes, tout en se contentant de quelques cantons, dispersés çà et là, sur les décombres d’une rive infestée et envahie par les colonies, et d’une lisière démilitarisée sur la côte méditerranéenne, le tout étouffé par des murs israéliens et arabes, selon l’invention du gendre trentenaire de Donald Trump, dans sa recette magique baptisée « Accord du siècle ».
Dans ce contexte, le « plat politique » concocté, actuellement, ne représente que les derniers jalons dans l’édifice du projet israélo-impérialiste, enveloppé d’atours d’intérêts économiques servis à la table d’un corps arabe chétif, dont les richesses sont pillées, depuis des décennies, et qui est exsangue à cause de la contre-révolution, l’objectif étant que le fruit soit mûr pour accepter les diktats du pire tandem, en l’occurrence, la droite israélienne extrémiste parrainée par la droite républicaine américaine.
Ainsi, ces peuples seront en proie à une acculturation multidimensionnelle, pour les déraciner et les extirper de leurs valeurs, de leurs religions, de leurs langues et de leurs identités, pour l’amener à un état de contentement et de satisfaction, tel un enfant, de l’échange de « cultures », avec un Etat hébreu, inconnu au bataillon des nations, comme si le maximum auquel aspire la Rue arabe sont des dessertes aériennes mutuelles et une diffusion satellitaire commune. Ceci n’est pas une normalisation, c’est plutôt une apostasie. (1)
L’Histoire a déjà prouvé que les précédents accords de normalisation n’ont point fait oublier au plus jeune des enfants arabes qu’Israël est un Etat occupant et qu’il l’a toujours été.
Le nouvel Israélite, la bible, l’archéologie et la stérilité de la victoire
En Palestine, les nouveaux juifs et plus tard les Israéliens furent déterminés de recruter l’Ancien Testament et à le transformer en un code unifiant le futur du peuple juif. La “nationalisation” de la bible planterait dans les esprits des jeunes juifs l’idée qu’ils étaient les descendants directs de leurs illustres ancêtres.
Gardant à l’esprit le fait que la nationalisation était largement un mouvement séculier, la bible fut dépouillée de sa signification religieuse et spirituelle. Au lieu de cela, elle fut regardée comme un texte historique décrivant la “véritable” chaîne d’évènements du passé.
Les Sionistes savent qu’ils habitent la même terre où ont été établis les royaumes francs de la terre sainte « El-Qods-Jérusalem », et qu’ils sont entourés des ruines de ces royaumes, qui leur rappellent que cette expérience colonialiste a bien échoué et disparu. De plus, ce qui aggrave cette obsession de la fin d’Israël, c’est que dans les consciences des sionistes, on considère depuis le début qu’il y a un lien et une continuité entre le projet des croisés et le projet sioniste. N’est-ce pas vrai le discours du Président Donald Trump explique bien l’hyper-activité qui règne sur la scène internationale pour redonner de la vigueur à un corps mourant ! Et comme l’explique l’intellectuel israélien Shlomo Reich : « Israël court d’une victoire à une autre jusqu’à ce qu’il arrive à sa fin inévitable ». Les victoires militaires n’ont rien accompli, car la résistance continue, ce qui aboutit à ce que l’historien israélien) Jacob Talmon nomme (d’après Hegel) « la stérilité de la victoire »
Le secret est que c’est l’esprit qui a conduit les combattants et leurs chefs vers la victoire. L’esprit veut dire le moral, la ténacité, la conscience de suivre un voie juste et la certitude qu’il n’y a pas d’autres options possibles. Et c’est ce qui manque au « makhzen marocain », qui est envahi par le désespoir !
Or, dans la logique de ces extrémistes, il suffit d’estimer que l’État d’Israël actuel est fondé pour se substituer à la souveraineté juive, pour justifier à la fois les guerres contre les idolâtres, mais aussi pour engager des nouvelles guerres de conquêtes jusqu’à ré-annexer l’intégralité du territoire qui recouvre le Grand Israël biblique. On comprend que, dans un tel contexte, rien ne pourrait alors freiner ses fous de Lucifer d’agir en conséquence.
La triste réalité d’aujourd’hui, et que hélas On y trouvera l’assujettissement des Etats et chrétiens arabes ainsi que de leurs autorités politiques sous la domination des Juifs (Sionistes). Ils ont, enfin, une raison religieuse : adorateurs de Mammon, ils pensent que cette pluralité chatoyante est un sacrilège, une offense faite à leur dieu jaloux. L’histoire de l’humanité se jouera toujours entre les Lois de Dieu et celles du Veau d’or !
“Comment le peuple juif fut inventé”
Le professeur d’histoire de l’université de Tel Aviv Schlomo Sand ouvre sa remarquable étude sur le nationalisme juif “Comment le peuple juif fut inventé” (2009, première édition en hébreu, 2008, édition française 2010) en citant Karl Deutsch: “Une nation… est un groupe de personnes uni par une erreur commune au sujet de leurs ancêtres et un dédain commun de leurs voisins.” Aussi simpliste que cela puisse paraître, cette citation résume éloquemment le nationalisme moderne juif et spécifiquement ce qui a trait à l’identité juive. Cela montre du doigt l’erreur collective que les juifs tendent à faire à chaque fois qu’on se réfère à leur “passé collectif” illusoire ou leur “origine collective”.
Dans ce livre, Schlomo Sand émet un sérieux doute sur le fait que le peuple juif ait jamais existé en tant que nation ou race, ait jamais partagé des origines communes. Au lieu de cela, ils sont un mélange coloré de différents groupes qui, au travers différentes étapes de l’histoire, adoptèrent le judaïsme comme religion. Quand fut donc “inventé” le peuple juif ? Sand répond: “A un moment donné au XIXème siècle, des intellectuels d’origine juive en Allemagne, influencés par la caractéristique de la notion de “Volk” ou “peuple” du nationalisme allemand, décidèrent d’inventer un peuple “rétrospectivement”, provenant de cette soif de créer un peuple juif moderne.”
Les Khazars sont les ancêtres des Israeliens:
Voila une histoire qui rejette de manière irréfutable la croyance généralement admise selon laquelle les « Juifs » d’Europe orientale sont « le peuple élu », suivant l’expression consacrée des prédicateurs zélés des plateaux télévisés. La recherche dénonce cette thèse comme la plus fantastique des fabrications de l’histoire. II est apparemment important de parler de ce sujet brûlant pour mettre certaines choses au clair. Aujourd’hui, ce mensonge historique est maintenant solidement prouvé.20/04/2010 : Sur cette fiche des Renseignements Généraux que le magazine Sciences et Avenir a publié en mars 2009, on peut clairement lire le deuxième prénom d’Hitler : Jacob. Adolf Jacob Hitler serait le petit-fils de Salomon Mayer Rothschild ? Cette information a été divulguée par deux sources de très haut niveau : Hansjurgen Koehler officier d’Heydrich, qui était lui-même l’adjoint direct d’Heinrich Himmler et Walter Langer le psychiatre qui a réalisé le profil psychologique d’Hitler pour l’OSS, les services secrets US pendant la seconde guerre mondiale. Le mystère élucidé des origines juives et berbères d’Hitler ? Eva Braun, l’épouse d’Adolf Hitler, aurait eu des origines juives, selon de nouvelles analyses ADN effectuées pour un documentaire diffusé par la chaîne britannique Channel 4.
Professeur Abraham N. Poliak, titulaire de la chaire d’histoire à l’université de Tel-Aviv, a présenté sa thèse intitulée La conversion des Khazars au judaïsme, qui fut accueillie avec beaucoup d’hostilité par la communauté ashkénaze. Son essai démolissant la « tradition sacrée » faisant remonter tous les juifs modernes aux 12 tribus bibliques d’Israël. 30 ans plus tard, son nom fut supprimé de l’Encyclopedia Judaïca pour l’édition 1971-1972, preuve de l’étendue de la polémique à ce sujet. Freedman développa sa thèse dans une lettre ouverte adressée au Dr. David Goldstein en 1954 qu’il fit amplement circuler. Pour Freedman, plus de 90% des juifs actuels descendent des Khazars, en tenant compte des mariages entre les communautés ashkénazes et séfarades. Ses thèses seront reprises plus tard par Arthur Koestler.
Ajouter à cela, la lettre ouverte de « Arthur james Balfour » adressée au baron de « Rothschild », l’un des personnages-clés qui a entraîné la création de l’État d’Israël plus connu sous le nom de Déclaration de Balfour, daté du 2 novembre 1917 est considéré comme l’une des premières étapes qui ont contribué à la création de l’État d’Israël en 1948, modifiant pour toujours la physionomie du Moyen-Orient. Adressée à lord Lionel Walter Rothschild, un (très) riche banquier juif, cette lettre ouverte est publiée à Londres dans l’édition du 9 novembre du Times, sous la têtière «Palestine for the Jews. Official Sympathy» En effet, deux mois après son accès au Pouvoir, le nouveau Chancelier du Reich, Adolf Hitler, s’attèle à l’une de ses tâches les plus motivantes : créer un Etat pour les Juifs et les aider à y partir avec tous leurs biens matériels et financiers. « L’histoire dramatique du pacte entre le IIIe Reich et la Palestine juive » tel est le sous-titre du livre d’Edwin Black « Le Contrat de Transfert ».
Ainsi, en accord avec ceci, le “peuple juif” est une notion inventée, consistant en un passé imaginaire ayant très peu de chose pour le soutenir historiquement, archéologiquement ou textuellement. De plus Sand est parvenu à la conclusion en étudiant les sources disponibles depuis l’antiquité, que l’exil juif est aussi un mythe et que les Palestiniens d’aujourd’hui ont bien plus de chances d’être les descendants directs de l’ancien peuple sémite de Judée/Canaan, que la population actuelle d’origine prédominante Khazar et Ashkénaze, à laquelle Sand admet lui-même appartenir.
Les Juifs forment-ils un peuple ?
A cette question ancienne, l’historien israélien Rabbin Yaakov Shapiro, apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Les sionistes disent que les Juifs sont devenus un peuple quand ils sont entrés en Israël. Pas vrai – c’est arrivé au Mont Sinaï, bien avant que nous entrions en Terre d’Israël. La première étape pour le sionisme était de nationaliser le peuple juif. L’étape 2 pour le sionisme était que les Juifs appelaient Israël leur pays.
L’état moderne d ‘«Israël» a été fondé par des gens qui voulaient créer un pays au Moyen-Orient. D’une certaine manière, ils disent que ce pays est le pays des Juifs dans le monde entier. Comment? Ils prétendent représenter chaque Juif, une revendication complètement infondée. Le peuple juif n’avait rien à voir avec la création de cet état. Les sionistes l’ont fait. La majorité des Juifs religieux de l’époque ne voulait pas qu’Israël les représente à la fondation de l’État. En outre, à l’époque, les sionistes eux-mêmes avaient une compréhension de ne pas prétendre qu’Israël représente la communauté juive mondiale, car cela serait dangereux pour les Juifs du monde entier. Il les jette comme loyalement loyal. Ils ne peuvent jamais être totalement fidèles à leur pays d’origine s’ils sont également fidèles à « Israël ». Ils sont revenus plus tard sur cette compréhension, bien sûr.
Comme indiqué; Le sionisme n’est pas seulement un pays – c’est aussi une idéologie qui prétend que le peuple juif est une nationalité et que «Israël» est leur État-nation. Selon les sionistes, quiconque est en désaccord avec cette pensée est un traître. Netanyahou s’est rendu à l’ONU en prétendant représenter tous les juifs, s’est rendu à Paris et au Danemark pour dire à la communauté juive là-bas qu’Israël est leur patrie. Les Juifs de Paris et du Danemark l’ont accusé de renforcer l’antisémitisme dans leurs pays et de mettre en danger leurs communautés.
Le rabbin Shapiro, signe et persiste en donnant des arguments convaincants sur le thème » Jérusalem est-elle la capitale du peuple juif ? IL explique que le peuple juif se rapporte à Jérusalem comme une ville sainte, pas comme une capitale politique. Jérusalem en tant que capitale des « Juifs » est une fiction sioniste, et est directement en conflit avec les enseignements du judaïsme.
Le rabbin, ne s’arrête pas là ! IL pousse le bouchon plus haut et dit que la nation juive n’a pas de capital, une capitale est un concept politique. Nous ne sommes pas un pays, nous sommes un peuple, une nation établie sur le Judaïsme de la Torah. Oui, Jérusalem est un lieu saint mais cela n’en fait pas notre capitale. C’est un concept sioniste que les Juifs ne sont pas une religion, mais une nationalité / race.
- Voir la vidéo du Rabbin Yaakov Shapiro (2) ci-dessous en anglais, sous titrée en arabe
Voici une histoire qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants de la Palestine (3)
Patriotisme Israélien ? Il n’existe pas. Seul le sectarisme juif et l’antipatriotisme juif existent.
Le patriotisme signifie : « L’amour et la défense de la terre de ses pères ». Or, Israël n’est pas la terre des pères, grand-père et arrière grand-père des juifs Israéliens qui sont immigrés en majorité de divers coins du monde. Par contre Israël est la patrie et la terre depuis le 5ème siècle av. JC des Palestiniens, preuves archéologiques à l’appui. Environ cinq 5 millions de réfugiés Palestiniens, résident à ce jour dans les pays alentours hors Israël et hors colonies juives en Palestine.
Le patriotisme Israélien n’existe pas et ne peut exister, puisque Israël comprend des citoyens juifs (70%) et des goys de souche (25%). Les Palestiniens Israéliens sont les seuls patriotes de la terre de leurs pères et ancêtres, dont une partie leur a été volée par Israël. Les juifs Israéliens sont animés d’un antipatriotisme pour la Palestine, la terre mère, et d’une haine du peuple qui les a laissé les coloniser et les chasser.
Seul existe le patriotisme juif qui s’applique non pas à une terre patrie mais à toutes les terres et tous les pays spoliés à d’autres peuples.
On ne peut donc pas parler de « patriotisme Israélien », qui n’existe pas, n’a jamais existé et ne peut exister, mais bien de sectarisme universel juif. Il est identique au sectarisme universel des adeptes de la scientologie ou de la secte Moon, qui est appliqué par les adeptes en tous lieux et de tous temps.
Israël : État exempt d’immigration arabo-africaine ?
Israël n’est pas un état sans immigrants. 20.7% des citoyens Israéliens sont ethniquement des Arabes ou des maghrébins, de culture arabo musulmane depuis plus de 1400 ans. Les juifs éthiopiens sont des nègres Africains et les juifs yéménites sont arabes.
L’immigration clandestine Africaine s’élève à 64 000 nègres Africains (dont plus de 42 000 encore sur le territoire)- sur l’espace d’un département presque grand comme la Gironde, Israël fait 20770 km² dont 13.000 km² de désert du Néguev. Israël a réussi à expulser des migrants en leur donnant 3 500 euros et un billet d’avion gratuit vers un pays d’Afrique sûr. Il reste 42 000 nègres qui refusent de quitter Israël.
Il y a aussi une forte immigration Philippine (plus de 30 000) destinée aux emplois de maison et pour s’occuper des personnes âgées, mais aussi une forte immigration Indienne et Chinoise dans le secteur du bâtiment. Les Chinois qui signent des contrats en Israël réalisent ces mêmes contrats avec des ouvriers Chinois.
Israël contiendrait aussi 400 000 citoyen dits « faux juifs » (comptés dans les 6.5 millions de juifs vivant en Israël). Il s’agit de Goys en difficulté économique dans leur pays d’origine et qui se font passer pour des juifs afin d’émigrer en Israël et obtenir la citoyenneté juive Israélienne. Pour ce faire, ils trouvent un rabbin véreux, qui atteste de leur judéité contre une coquette somme : tout s’achète et se vend dans le judaïsme.
Comme Etat qui serait exempt d’immigration, Israël a des citoyens à 80% immigrés et issus d’immigrés, en provenance de 164 pays du monde ! De plus, 20.7% des juifs israéliens sont de culture arabo-musulmane depuis 1400 ans (plus de 1.5 millions en provenance des pays arabes et maghrébins). Son taux d’immigrés indésirables au km² (9 000 km² habitables) est très supérieur à celui de la France métropolitaine (plus de 555 000 km² habitables).
Israël n’est qu’une succession de ghettos par pays de provenance. Les divers immigrés juifs ne se supportent pas entre eux et ne partagent que peu de choses, pas même la langue d’origine, les habitudes, l’histoire collective ou la mémoire collective à part les (6 millions bien sûr). Il y a donc le ghetto Russe, le ghetto Ukrainien, le ghetto Marocain, le ghetto Algérien, le ghetto Tunisien, le ghetto Français (Netanya), le ghetto Éthiopien, le ghetto Yéménite…
Israël manque déjà de plus de 10 000 ingénieurs et 50% des jeunes juifs Israéliens n’envisagent pas de passer leur vie professionnelle en Israël, tant ce pays est un modèle !
Combien de juifs Français sont recensés en Israël ? 120 000 dont Finkielkraut, les Klarsfeld et Meyer Habib bien sûr ! Quels dignes et loyaux citoyens Français… Il serait jugé antisémite de ne pas les considérer pleinement Français ou comme individus totalement étrangers au peuple Gaulois et à son intérêt général.
La constitution d’une religion universelle est le but final de ces extrémistes juifs » Après « la Malhama en chrétieneté Armagedoon «
Le Noachisme est la véritable religion de l’humanité ? (une seule religion) rejetant les autres religions monothéistes qui affirment l’existence d’un Dieu unique et la transcendance de Dieu, créateur du monde.
Issue directement du judaïsme talmudique, le « Noachisme » s’applique uniquement aux Gentils (les non-Juifs). Cette religion universelle se subdivise en sept commandements : le premier prescrit l’obligation d’avoir des magistrats (pour faire respecter les lois) tandis que les autres lois interdisent : 2) le sacrilège ; 3) le polythéisme ; 4) l’inceste ; 5) l’homicide et 6) l’usage d’un membre d’un animal vivant.
Tandis que les Gentils sont encadrés par cette religion, le peuple juif régi par le mosaïsme (la loi de Moïse) est considéré comme le peuple prêtre. Ce sacerdoce israélite, constituant le cœur de l’humanité, est l’intermédiaire entre les Gentils et le Dieu unique (le monothéisme). Dans cette pensée, le catholicisme est considéré comme un polythéisme en raison du concept de la Sainte Trinité (idolâtrie ou trithéisme selon les rabbins talmudiques)
Le mondialisme est un messianisme. Retenez cette expression, « le mondialisme est un « messianisme pressé». D’où la prière du 23 septembre 2012 où toutes les communautés juives du monde ont récité une courte prière pour le retour du messie, sous-entendu le roi des juifs, le Mashia’h, car s’ils l’ont fait, cela veut dire que leur colonisation matérielle et spirituelle du monde est suffisamment avancée pour laisser la place à leur messie, roi des juifs, roi matériel et charnel, pour établir la primauté d’Israël. C’est une prière qui a été dite par toutes les communautés juives officielles, en France, aux Etats-Unis… Et donc, ça veut dire, quand j’ai appris ça, à l’époque, je me suis dit qu’ils estiment que leur colonisation planétaire est presque arrivée…’est-à-dire que depuis des générations, ils ont réussi à mettre les éléments temporels et spirituels permettant l’édification de l’édifice permettant d’être couronné ensuite, par le roi des juifs, qui va régner sur le peuple prêtre, l’intermédiaire entre le dieu unique et les gentils…
Il y a donc dans cette banalisation de la violence, légitimée au nom de la Torah, un glissement vers une toute autre conception du Judaïsme en rupture totale avec la norme halakhique, telle qu’elle a été fixée par les sages depuis la Mishna et le Talmud.
« Dieu ne saurait désirer la destruction de l’humanité, et ne donnera jamais l’ordre de tuer des êtres humains. »
R. Joseph Albo (1380-1444) – (Sefer haïkarim III, 14)
« Il est effroyable que la seule valeur qui nous reste soit celle du coup de poing juif. »
Yeshayahou Leibowitz
Une telle explication commence alors à jeter la lumière sur la conduite israélienne et sur le soutien juif des crimes de guerre d’Israël.
Conclusion
Être nationaliste Blanc est incompatible avec le fait de soutenir Israël ou de prendre le pays comme un exemple. Ils n’ont rien, mis à part leur juiverie, qui les relie entre eux. C’est l’exemple parfait du peuple qui n’a pas de racines, pas d’histoire, pas de civilisation. Ils n’ont toujours été que des parasites qui ne savent que voler des territoires ou des technologies.
Mais nous avons foi en Dieu et notre victoire future. Leur monde issu du matérialisme n’est pas fait pour durer car trop antinaturel. Nous le subissons à ce jour, ils exultent et s’imaginent qu’enfin, les temps messianiques sont en train de s’ouvrir devant eux.
Il est possible de tirer les bénéfices de cette stratégie appliquée dans la région sur les personnalités tirant les ficelles actuellement de l’élaboration de la décision israélienne et américaine, comme suit :
-Lancer une vague de normalisation tels des ballons d’essai et créer un état d’intégration et d’acceptation des prochaines bousculades arabes et islamiques officielles au portillon de la normalisation, dès lors que les vagues de normalisation s’intensifieront d’ici la fin de l’année et que d’autres Régimes arabes s’activent à élaborer des justificatifs pour faire avaler la couleuvre à leurs peuples.
-Prolonger le mandat et le « règne » de Benyamin Netanyahu à la tête de l’Etat hébreu, compte tenu des liens personnels qu’il a réussi à tisser avec des dirigeants arabes de la région.
-Accorder une forte impulsion électorale à Donald Trump, en renforçant le rapprochement avec le lobby sioniste, véritable décideur à l’élection américaine.
Comme d’habitude, ils ne se contiennent plus et leur arrogance, leur mépris du goy, s’affichent au grand jour, mais bientôt émergera une génération qui comme à la fin de l’Empire de Rome, rejettera ces pratiques indignes de nos démocraties où le respect des Droits Fondamentaux doit s’appliquer à tous. . Nous pensons que dans la naissance il y a la mort, et dans le commencement il y a la fin. Cela ne peut aller qu’en s’accentuant, au risque de pousser les Sionistes à faire leur valises et partir, ce que certains ont déjà fait, tournant la page du « rêve sioniste ».
Le Tout Puissant, nous informe dans le Noble Coran :
« N’ont-ils pas vu combien de générations, avant eux, Nous avons détruites, auxquelles Nous avions donné pouvoir sur terre, bien plus que ce que Nous vous avons donné? Nous avions envoyé, sur eux, du ciel, la pluie en abondance, et Nous avions fait couler des rivières à leurs pieds. Puis Nous les avons détruites, pour leurs péchés; et Nous avons créé, après eux, une nouvelle génération. » Sourate 6 – Verset 6
Il est interdit aux habitants d’une cité détruite par Nous d’y revenir. Les prophètes en français | Sourate 21
(1) Tribune signée par Khaled Haniyyeh Traduit de l’arabe
(2) Vidéo en anglais, sous titrée en arabe. https://www.facebook.com/khaled.moghrabi.7/videos/1672933856119915/
(3) D’après un article publié par : Marie-Antoinette Pourquoi sionisme et nationalisme français sont incompatibles ?
Texte intéressant publié par une frange nationaliste opposée à la mode actuelle que l’on rencontre dans les milieux identitaires et racialistes français de soutien inconditionnel au sionisme et à l’entité sioniste criminelle. Les arguments sont effectivement puissants et la description de la réalité actuelle du peuple colonisateur de la Palestine déconstruit définitivement l’argumentaire sioniste. Intéressant de lire ce type d’articles et de débats au sein du mouvement nationaliste français.
Source : auteur