Flotille de barques libanaises fonçant sur la station de pompage de Karish
In Liz we Truss !
Marx avait raison
Craig Murray − Consortium News – 31.8.2022
Publié par Wayan – Le Saker francophone – 6.9.2022
La crise du capitalisme est désormais à nos portes. Il n’y a pas de mesures palliatives qui rendront la situation supportable.
Je ne me suis jamais considéré comme un marxiste. Je suis devenu adulte à la fin de la seule période de 40 ans de l’histoire de la civilisation occidentale où le fossé entre les riches et les gens ordinaires s’est réduit. En conséquence, j’ai cru qu’une société tolérable pouvait être atteinte en prenant juste des mesures simples pour améliorer le capitalisme.
J’ai grandi avec la propriété publique des services publics, des monopoles naturels et des industries stratégiques, avec la gratuité des soins de santé et des médicaments, la gratuité des études universitaires avec de bonnes bourses d’études, des écoles sous le contrôle de conseils locaux élus, des loyers équitables contrôlés, y compris dans le secteur privé, et un nombre important de logements sociaux. Nous pensions que cela durerait toujours.
En 1973, j’ai rejoint le parti libéral. Je peux encore croire aujourd’hui à une grande partie du manifeste du parti libéral de 1974. Les éléments susmentionnés, tels que la propriété publique des services publics et des principales industries et la gratuité de l’enseignement, ne figuraient pas dans le manifeste parce qu’ils n’avaient pas besoin d’y figurer – ils existaient déjà et constituaient la structure de base.
Source : Marx avait raison | Le Saker Francophone
Comme il l’a prédit la décadence est partout…
JEAN-LUC MÉLENCHON EN MODE GUY MOLLET
Régis de Castelnau – Vu du droit – 6.9.2022
Depuis son résultat au premier tour de l’élection présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a adopté un comportement qui peut apparaître comme erratique mais qui finalement obéit à une logique et permet de le rattacher à un précédent politique.
Juste après la deuxième Guerre mondiale, et avant le début de la guerre froide, Guy Mollet avait pris le contrôle de la SFIO (nom du PS de l’époque) avec des positions très à gauche et un discours résolument marxiste. Il avait même initié des contacts avec le PCF pour discuter d’une éventuelle fusion des deux partis ! On sait ce que cela a donné avec la répression anti ouvrière, les guerres coloniales et toutes les capitulations. Et l’on put constater d’ailleurs que François Mitterrand avait été à bonne école lorsque venant de la droite, il avait pris d’assaut le Parti socialiste. À l’aide d’un discours quasi léniniste : « Celui qui n’accepte pas la rupture avec l’ordre établi, avec la société capitaliste, celui-là, je le dis, ne peut être adhérent au Parti socialiste. » On connaît le résultat avec François Mitterrand et le PS, fourriers résolus de l’instauration du néolibéralisme en France.
Source : Jean-Luc Mélenchon en mode Guy Mollet – Vu du Droit
Est-il permis de supposer qu’en sortant à grand fracas du PS, il y a tout à parier que Mélenchon était « en service commandé », pour empêcher que l’hémorragie en cours des militants déçus aille, en s’agglutinant à de plus authentiques « socialistes », fonder une formation dangereusement rivale et que « La France Insoumise » a parfaitement répondu à ce besoin ?
Qui est Hunter Biden : le cheval ou Caligula ?
La décadence de l’Empire états-unien
Thierry Meyssan – Réseau Voltaire – 6.9.2022
Alors que les États-Unis s’affrontent à la Russie et à la Chine pour empêcher une organisation multipolaire du monde et préserver leur hégémonie, ils s’affaiblissent de l’intérieur. Un fils du président Biden s’est arrogé plus de pouvoir qu’un sénateur. Il voyage en avions officiels, comme s’il était mandaté par son père, pour signer des contrats personnels sans que l’on sache ce qu’en pense le président. Mais cet individu n’a aucune compétence particulière, c’est juste un junkie menant une vie de patachon. Nul ne sait qui négocie les contrats qu’il signe et dont il profite. La grandeur de la démocratie américaine a disparu au profit de gens ni élus, ni même nommés.
Caligula déjeunant avec le consul Incitatus. L’empire romain s’effondra lorsque ses dirigeants ne furent plus choisis selon leurs capacités.
Au cours des six dernières années, j’ai publié divers articles, très en avance sur les grands médias, mettant en garde contre la division des citoyens états-uniens et la montée de l’intolérance dans leur pays. J’ai pronostiqué l’inévitabilité d’une guerre civile et de la dissolution de l’Etat fédéral.
Dans les faits, nous assistons à la montée de nouvelles formes de ségrégation, nous avons déjà été témoins d’une élection présidentielle opaque, de la prise du Capitole et d’une perquisition chez l’ancien président du pays. La démocratie US est-elle morte ? Comment ce phénomène de fond se poursuivra-t-il ?
LA DÉMOCRATIE US
En tout premier lieu, nous devons observer le changement démographique et sociologique du pays.
Le nombre de personnes vivant aux USA est passé de 252 millions lors de la dissolution de l’Union soviétique, en 1991, à 331 aujourd’hui, soit près d’un tiers de plus ; 79 millions pour être exact. Dans le même temps, la classe moyenne US n’a cessé de s’étioler. Elle représentait 70 % des États-uniens, à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Bien que les critères statistiques ne fassent plus consensus, il semble qu’elle représente aujourd’hui moins de 45 %. Le nombre de milliardaires a été multiplié par six depuis 1991, tandis que la richesse moyenne a très peu progressé en dollars constants.
Les institutions US sont fondées sur le principe de séparation des pouvoirs énoncé par Montesquieu. Il s’agit d’équilibrer les décisions en distinguant l’Exécutif, le Législatif et le Judiciaire. Le système ne fonctionne que si l’ensemble des décideurs partagent les mêmes intérêts. Ce ne peut plus être le cas depuis la globalisation, c’est-à-dire depuis la délocalisation industrielle vers l’Asie et la disparition des classes moyennes qu’elle a provoquées.
Les conditions sociologiques ne permettent donc plus au système démocratique de fonctionner.
Source : La décadence de l’Empire états-unien, par Thierry Meyssan (voltairenet.org)
Descente d’une étoile, montée d’une autre
Comme personne ne peut l’ignorer, ce 8 septembre est morte Elisabeth II de Grande Bretagne et quelques autres lieux, quoique plus impératrice des Indes, un an et quelques mois seulement après son époux.
Élisabeth II et Philippe d’Édimbourg en 2003, recevant à Buckingham Palace Vladimir Poutine et Ludmilla Poutina
Il paraît que les Grands-Bretons regrettent amèrement Margaret Thatcher. Chimène, qui l’eût dit, Rodrigue, l’eusses-tu cru ?
Retour aux choses sérieuses
Qu’il soit bien clair, une fois pour toutes, que pas un seul Américain vivant ne pourrait, même pour sauver sa vie, expliquer ce que signifie, en politique, le mot « gauche » ni ce qu’a été la seule « gauche » légitime, ni où.
Que la notion de gauche n’ait rien à voir ni de près ni de loin avec les USA va sans dire mais mieux encore en le disant.
Ce que les Zuniens désignent avec de plus en plus d’exécration par ce mot n’est autre que la clique de leur Parti Démocrate, laquelle n’est pas plus démocrate qu’elle n’est de gauche.
Abus de langage ignorant, perpétré non seulement par les plumitifs des USA mais par tous ceux qui, ailleurs, servilement, les imitent.
Au moins leur abus du mot « démocratie » fait-il grincer des dents aux Grecs.
Un seul homme, au XXe siècle, a parfaitement illustré l’expression française « de gauche », qu’il a remplacée d’ailleurs par le mot russe « bolchevique ».
L’article qui suit date du mois de mars, mais c’est toujours l’omertà partout.
Pendant que vous ne faisiez pas attention, l’histoire de l’ordinateur portable de Hunter Biden s’est avérée vraie et… personne n’a eu à rendre de comptes.
Tyler Durden – Zero Hedge – 20.3.2022
Présenté par QTR’s Fringe Finance
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Il s’avère que le parti qui a passé quatre ans à accuser le président Trump de collusion avec les Russes s’est rendu coupable d’une dissimulation massive en faveur de Joe et Hunter Biden alors qu’approchait le scrutin de 2020, dissimulation criminelle pour laquelle ils n’ont pas encore eu à rendre de comptes.
Les Guardianistas sur l’ordinateur portable de l’enfer – Voici à quoi ressemble le gaslighting (1)
TheDarkMan – TheDuran – 7.9.2022
Traduction : c.l. pour L.G.O.
[Le gaslighting renvoie à un long processus de manipulation abusive, qui s’apparente au lavage de cerveau. C’est une forme de harcèlement qui vise à introduire du doute chez la victime. « Cette dernière se questionne sans arrêt et a l’impression qu’elle est folle » indique Dana Castro, psychologue.]
Croyez-le ou non, The Guardian était autrefois un journal honnête, bien que de gauche. Fondé en 1821, il publiait au début des années 90 quatre éditions quotidiennes – deux à Manchester, deux à Londres. Il a en fait débuté sous le nom de Manchester Guardian, et a un journal frère, The Observer, publié le dimanche. Ces deux journaux ont été à l’origine des journaux à grand tirage.
Comme la plupart des journaux, The Guardian a plus souffert que bénéficié d’Internet, mais contrairement à la plupart des journaux, il est subventionné par Bill Gates, à hauteur de trois millions et demi de dollars sur une période de trois ans à partir de septembre 2020.
Il reste à voir si Gates ou tout autre milliardaire peut acheter une bonne presse ou supprimer des articles, mais il est curieux, n’est-ce pas, que les socialistes aient beau professer leur haine des super-riches, ils ne se lassent jamais de prendre leur argent ? Ce qui nous amène à la question suivante : qui paie les critiques du journal pour qu’ils déversent leur mépris sur Mon fils Hunter, ou sont-ils simplement malhonnêtes par nature ?
L’idiote féministe Emma Brockes a publié sa critique le 1er septembre ; Charles Bramesco a publié la sienne le 6 septembre. Les deux critiques se basent uniquement sur le clip de promotion de Breitbart. Qu’ont-ils à dire ?
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/les-guardianistas-sur-lordinateur-portable-de-lenfer-voici-a-quoi-ressemble-le-gaslighting-1-2/
Sur l’origine de cette saga ès pourritures en tous genres :
L’histoire du laptop de Hunter Biden ayant été occultée autant que faire se pouvait par les principales institutions U.S. (FBI, CIA & C°, aussi appelés Deep State) et par tous les merdias à leurs ordres, il y a extrêmement peu de chances pour que le public européen ait pu s’en faire une idée exacte ou même en entendre parler.
En résumant très fort : un jour qu’il était comme d’habitude pété au crack ou à l’héroïne, Hunter Biden s’est engouffré dans la boutique d’un réparateur d’ordinateurs proche du domicile de sa famille, à Wilmington, dans le Delaware. Il a lancé au réparateur derrière son comptoir, un ordinateur portable, disant qu’il avait été endommagé par un liquide et qu’il fallait lui en récupérer le contenu. Puis il s’est réengouffré dans sa voiture.
Lorsque le réparateur a mis le nez dans l’objet, il a eu tôt fait de s’apercevoir qu’il n’avait PAS été endommagé par un liquide et que, donc, vraisemblablement, Biden Jr lui en avait refilé un autre, qui n’avait rien. Et l’a mis de côté pour le lui dire quand il reviendrait le chercher. Sauf que…
Hunter n’est jamais venu le réclamer.
Et le réparateur, M. John Paul Mac Isaac s’est aperçu que des véhicules bizarres stationnaient de plus en plus longuement devant sa porte, en même temps que faisaient rage les accusations clintoniennes contre le candidat Trump.
Commençant à craindre pour sa vie, M. Mac Isaac mit le nez dans l’objet et comprit pourquoi Hunter n’était jamais venu réparer sa bourde : il y avait, sur le disque dur, de quoi le faire pendre une bonne demi-douzaine de fois. Des preuves de délits contre l’État du genre trahison au profit de puissances étrangères, etc.
De plus en plus inquiet, M. Mac Isaac, fils et petit-fils d’officiers de l’U.S. Air Force, s’en ouvrit à son père, qui lui dit : « il faut porter ça au FBI. Ils sont là pour décider quoi en faire ». Le fils, en réparateur consciencieux, fit une copie du disque dur avant de confier l’objet lui-même au vétéran du Vietnam. Qui s’en alla au siège de l’agence pour le remettre à qui de droit. Mais… qui de droit n’en voulut rien savoir et il se fit bel et bien mettre à la porte comme un importun.
Aucun roman picaresque ne pourrait égaler la suite, les efforts des deux hommes pour atteindre l’un ou l’autre responsable et se trouvant de plus en plus en butte à une violente animosité publique (volées de menaces de mort de la part de Bidenistes inconnus ou de voisins, la demeure des Biden étant proche de la boutique). L’objet maudit passant finalement des mains de Giuliani à celles d’on ne sait qui au FBI ou à la CIA, où l’on déclara que 1) il ne contenait rien d’intéressant, 2) tout ça n’était qu’une tentative de désinformation russe. Et qui pourra jamais prouver le contraire, puisque l’objet a probablement, par leurs soins, fini au fond de la mer ?
Assailli de toutes parts comme un dangereux criminel, accusé de trahison par les traîtres patentés, M. Mac Isaac – que l’auteur de l’article ci-dessus qualifie à juste titre de « héros américain » – finit par vendre sa boutique et se réfugier dans un autre État. C’est là qu’il a écrit, en désespoir de cause, un livre où il dit ce qu’il faut savoir de l’histoire, livre qui sort le 22 novembre prochain :
John Paul Mac Isaac
American Injustice : My Battle to Expose the Truth
Éditeur : Liberatio Protocol (22 novembre 2022)
208 pages
Format cartonné : 21,99 $
Kindle : 16,97 $
Le livre :
Voici l’histoire de la façon dont j’ai essayé de faire parvenir le contenu de l’ordinateur portable de Hunter Biden aux autorités.
Ma vie a changé à jamais le 12 avril 2019, lorsque Hunter Biden est entré par hasard dans mon magasin pour me demander de récupérer les données d’un de ses ordinateurs portables endommagé par un liquide. Après que son père ait annoncé sa candidature à la présidence des États-Unis et que Hunter ne soit pas venu me payer et récupérer son ordinateur, j’ai commencé à craindre pour ma sécurité. Hunter avait en sa possession des documents m’autorisant à examiner et à copier ses données – quelqu’un allait se mettre à chercher l’ordinateur portable et me chercher. Craignant de détenir des preuves ressortissant d’une enquête criminelle, j’ai entrepris de tout remettre au FBI. Mais, me sentant trahi par l’inaction du FBI, qui n’a pas présenté l’ordinateur portable comme preuve lors du procès en destitution [de Donald Trump, NdT], je me suis alors tourné vers le Congrès, et finalement vers un avocat du président, Rudy Giuliani. Lorsque l’histoire a éclaté, Big Tech, les réseaux sociaux et les médias grand public ont tout occulté. J’ai été instantanément catalogué comme un pirate informatique et un criminel. Mes actions ont été qualifiées de désinformation russe et il n’a pas fallu longtemps pour que les gens commencent à s’en prendre à mon honneur, à mon entreprise et à ma personne, ce qui m’a contraint à fermer ma boutique et à fuir l’État.
L’auteur
Né dans une famille de militaires, le 3 mai 1976, John Paul Mac Isaac a été un enfant créatif et artiste. Avec une déficience visuelle liée à son albinisme, il trouvait plus de plaisir à dessiner tranquillement qu’il n’en aurait eu sur un terrain de sport. Lorsque de plus sérieux problèmes de vision ont commencé à se faire sentir, au début de son adolescence, il a trouvé une échappatoire dans la création d’infographies. Il a fini par décrocher un emploi au ministère de l’Éducation, où il réparait les Mac Intosh dans les écoles du Delaware. Ses rêves de devenir un créateur ès médias ont pris un autre chemin lorsqu’il s’est rendu compte qu’il pouvait gagner sa vie en réparant des ordinateurs et en aidant d’autres utilisateurs créatifs à travailler sur Mac. Il a poursuivi ses rêves d’activité créatrice en filmant et en archivant des aviateurs militaires, de la Deuxième Guerre mondiale à celle du Vietnam, mais la réparation des ordinateurs Mac est devenue sa profession. Il a été embauché en 2004 pour faire partie de l’Apple Store qui allait ouvrir dans le nord du Delaware et a passé les cinq années suivantes chez Apple, se forgeant une réputation de grande qualité dans le service aux clients. Lorsque, en 2010, il n’a plus été d’accord sur la manière de concevoir le service à la clientèle, il a quitté Apple pour ouvrir son propre magasin de réparations. Il a fourni un service et une assistance « cinq étoiles » à la communauté Apple pendant près de dix ans, jusqu’à ce qu’il soit pris dans le scandale des ordinateurs portables de Hunter Biden. Sa vie en a été changée à jamais.
Il n’est pas encore question, à notre connaissance, d’une édition en français.
Tout ce que nous pouvons faire pour nos lecteurs est leur offrir (toujours en anglais avec nos excuses) une vidéo où M. Mac Isaac et M. Larry Johnson, ancien haut fonctionnaire de la CIA, sont interviewés par Alexander Mercouris et Alex Christoforou, auxquels ils disent leur désespoir de voir les institutions de leur pays – celles, précisément, garantes de la justice, du respect des lois et de la sûreté des citoyens, devenues des cloaques de corruption – violer les lois qu’elles devraient appliquer, au bénéfice de factions criminelles.
M. Johnson termine sur un exemple qui est à ses yeux révélateur : « Il y a 40 ans » dit-il, « on ne voyait pas à Washington une seule agence Lamborghini, Ferrari, Mercedes, Porsche, Rolls Royce ou Bentley… Aujourd’hui : il y en a partout, et c’est ce genre de voitures qu’on croise dans toutes les rues. »
Et il donne une explication sur la haine, parce que la peur, que Donald Trump inspire à ces corrompus repus : c’est parce que son argent est à lui ; parce qu’il l’a gagné en travaillant, bien ou mal ; parce qu’il n’a pas dû vendre sa conscience pour l’avoir et que, par conséquent, « on » ne peut pas le faire chanter et encore moins danser comme le pipeau joue. Si M. Trump n’est pas un enfant de chœur, loin de là, et s’il a fait des choses qu’ici on n’admet pas, comme s’acoquiner avec Israël ou donner le feu vert à l’assassinat du général Soleimani, cette façon de le voir est sans doute la bonne.
The Laptop
w/John Paul Mac Isaac and Larry Johnson
(Live) – 5 sept. 2022
The Laptop w/John Paul Mac Isaac and Larry Johnson (Live) – The Duran
En Europe
Et vous savez qui voilà ? Bart De Wever !
Le bourgmestre d’Anvers dénonce les « verts dogmatiques » et admet que la Belgique « en faillite » est « la nouvelle Grèce ».
Tyler Durden – Zero Hedge – 7.9.2022
Traduction : c.l. pour L.G.O.
Le bourgmestre d’Anvers, Bart De Wever, affirme que la Belgique est en faillite. « Nous sommes la nouvelle Grèce », a-t-il déclaré à la télévision belge. Bien sûr, il ne s’agit pas d’une crise provoquée par Poutine, mais d’une crise que l’Europe a provoquée elle-même en réduisant sa propre production d’énergie primaire au cours du siècle »
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/le-bourgmestre-danvers-denonce-les-verts-dogmatiques-et-admet-que-la-belgique-en-faillite-est-la-nouvelle-grece/
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Seraphim Hanisch – The Duran – 10.9.2022
Mis en ligne le 10 septembre 2022