En attendant M. Sarmat sur Mons…
Qui mettra fin à toutes les bisbilles sur feue la gare de Calatrava
Tucker Carlson n’est pas de gauche. Ni pro-russe. C’est un journaliste U.S. de droite, plus intelligent que les élites autoproclamées qui entraînent ce pays avec pas mal d’autres dans l’abîme, et, franchement, ce n’est pas très difficile. Cela dit, ses arguments, quels qu’ils soient, méritent d’être écoutés.
[Dans sa langue, évidemment. Il ne fallait pas vous jeter au cou des Yankees pour ensuite blâmer préventivement les musulmans de vouloir vous faire ce que vous avez fait vous-mêmes depuis longtemps.]
« Poutine n’a pas déclenché ceci. Biden l’a fait. L’Europe l’a fait.
Que ferez-vous pour les arrêter ? »
Seraphim Hanisch – The Duran – 23.9.2022
Traduction : c.l. pour L.G.O.
C’est Tucker qui le dit. J’aurais aimé qu’il le dise en avril. Braves gens, Tucker le dit maintenant et il faut qu’il le dise, parce que, maintenant, la menace d’un conflit nucléaire est très élevée.
Il est important de dire ceci : La menace de guerre nucléaire n’est pas générée par des souhaits de Vladimir Poutine in vacuum. Si le président Poutine parle de l’utilisation d’armes nucléaires, c’est parce que, depuis le 22 février, deux jours avant le début de l’opération en Ukraine, l’Occident a proféré au moins cinq menaces plus ou moins voilées mais pas toutes contre la Fédération de Russie quant à l’utilisation d’armes nucléaires.
Le président Poutine dit simplement : « Faites cela et il y sera répondu. Vous n’aurez pas le temps de savoir ce qui vous aura frappé. »
La question reste de savoir s’il y a suffisamment de bons Américains pas trop drogués pour agir, pour dissoudre les lignes de défense du Congrès et forcer leur gouvernement à mettre fin à sa volonté nihiliste de réduire la population de la manière la plus radicale possible.
Les gouvernements occidentaux sont hors de contrôle. Mais il y a plus de citoyens que de membres de la classe dirigeante. Qui va s’occuper de cela, si ce n’est pas nous ? Rappelez-vous : La classe dirigeante VEUT cette guerre.
En fait, la classe dirigeante veut VOUS voir morts.
Voulez-vous votre mort ? Sinon, il est temps de faire quelque chose.
Source : Tucker Carlson: Admission from America: This war is Biden’s wish. [Video] – The Duran
Tucker Carlson : This is insane
Putin didn’t start this. Biden did. Europe did.
What will you do to stop them ?
Tucker Carlson: This is insane – YouTube
Enregistré sur The Duran, le 24 septembre 2022
Le « Parti Américain » en Italie
Manlio Dinucci – ByoBlu – 23.9.2022
Traduction et apostille : Marie-Ange Patrizio
Les partis institutionnels mènent la campagne électorale non seulement en Italie mais aux États-Unis. Le secrétaire du PD (Parti Démocrate) Enrico Letta, dans une interview à un journal étasunien déclare : « Avec la droite l’Italie [est] proche de la Russie, avec nous des USA ». Sur le même journal le président du Copasir (Comité Parlementaire pour la Sécurité de la République) Adolfo Urso, en visite à Washington, assure par contre que « pour les USA Giorgia Meloni (candidate du parti Fratelli d’Italia) est pleinement fiable ». Les partis de tout l’arc parlementaire rivalisent ainsi pour obtenir le consensus de Washington, indispensable à tout gouvernement qui sera issu des élections. Mais au même moment ils agissent d’un commun accord quand il s’agit de mettre en oeuvre les directives de Washington. Par exemple, celle de boycotter le Traité ONU sur la prohibition des armes nucléaires, ratifié par 66 États et signé par 20, mais boycotté par les USA et l’OTAN. À la réunion de juin des adhérents au Traité, l’Italie, pourtant invitée, n’était pas présente, pas même en tant qu’observateur.
Toujours en juin le 6ème Escadron de l’Aéronautique italienne à Ghedi (Province de Brescia) a reçu le premier chasseur USA F-35A d’attaque nucléaire qui sera rapidement armé avec les nouvelles bombes nucléaires USA B61-12, prêtes à être employées par l’Aéronautique italienne sous commandement USA. L’Italie viole ainsi le Traité de non-prolifération ratifié en 1975, qui stipule : « Tout État non doté d’armes nucléaires qui est Partie au Traité s’engage à n’accepter de qui que ce soit, ni directement ni indirectement, le transfert d’armes nucléaires ou autres dispositifs explosifs nucléaires ou du contrôle de telles armes ou de tels dispositifs explosifs ».
Preuve supplémentaire de la sujétion de l’Italie aux USA, le 15 septembre dernier la Commission parlementaire d’enquête sur les causes du « désastre » du navire Moby Prince a conclu ses travaux en cachant une fois de plus les véritables causes de la tragédie survenue dans la rade de Livourne il y a plus de 31 ans pour couvrir un trafic d’armes effectué dans la base étasunienne limitrophe de Camp Darby. Le rapport conclusif mystificateur, présenté par Andrea Romano du PD, a été approuvé à l’unanimité par les représentants de tous les autres partis. Par contre ce qu’a été la dynamique réelle de ce massacre est présenté dans cet épisode de Grandangolo par une enquête-vidéo d’une actualité brûlante, transmise en 2016 par Pandora TV du regretté Giulietto Chiesa.
Bref résumé de la revue de presse internationale Grandangolo Pangea du vendredi 23 septembre 2022 à 20h30, sur la chaîne italienne Byoblu,
https://www.byoblu.com/2022/09/23/il-partito-americano-in-italia-grandangolo-pangea/
Quand les vieux cadavres commencent à sortir des placards européens…
Apostille pour la version française :
« La navette maritime Moby Prince, le soir du 10 avril 1991, entre en collision dans la rade du port de Livourne avec le pétrolier Agip Abruzzo, et prend feu. Le SOS lancé à plusieurs reprises ne reçoit aucune réponse. 140 personnes meurent dans le navire en flammes, après avoir attendu les secours en vain pendant des heures.
Pendant des décennies, malgré trois enquêtes et deux procès, les familles demandent en vain la vérité. Elle émerge pourtant impérieusement des faits. Ce soir là dans la rade de Livourne a lieu un trafic intense de navires militaires et militarisés des États-Unis, qui ramènent à la base USA de Camp Darby (limitrophe au port) une partie des armes utilisées dans la guerre du Golfe. D’autres mystérieux navires s’y trouvent aussi. Le Gallant II (nom de code Theresa), navire militarisé USA qui, immédiatement après l’accident, quitte précipitamment la rade de Livourne. Le 21, Oktoobar II de la société Shifco, dont la flotte, donnée par la Coopération italienne à la Somalie, officiellement pour la pêche, est employée pour transporter des armes USA et des déchets toxiques y compris radioactifs en Somalie ; ainsi que pour approvisionner en armes la Croatie en guerre contre la Yougoslavie. Pour avoir trouvé les preuves de ce trafic, la journaliste Ilaria Alpi et son opérateur Miran Hrovatin sont assassinés en 1994 à Mogadiscio, dans un guet-apens organisé par la CIA avec l’aide du réseau Gladio et des services secrets italiens.
Selon toute probabilité, le soir du 10 avril est en cours dans la rade de Livourne le transbordement d’armes étasuniennes qui, au lieu de rentrer à Camp Darby, sont secrètement envoyées en Somalie, Croatie et autres zones, sans exclure des dépôts de Gladio en Italie. Quand survient la collision, ceux qui dirigent l’opération – certainement le commandement USA de Camp Darby – essaient immédiatement d’effacer toute preuve. Cela explique une série de « points obscurs » : le signal du Moby Prince, à seulement 2 miles du port, qui arrive fortement perturbé ; le silence de Livorno Radio, le gestionnaire public des télécommunications, qui n’appelle pas le Moby Prince ; le commandant du port, « pris par d’autres communications radio », qui ne guide pas les secours et se trouve immédiatement après promu amiral pour ses mérites ; le manque (ou mieux la disparition) de traces radar et images satellites en particulier sur la position de l’Agip Abruzzo ; les falsifications sur la navette sous séquestre, où disparaissent des instruments essentiels aux enquêtes. On ignorera qu’au centre de la tragédie du Moby Prince se trouve Camp Darby, cette même base USA où ont enquêté les juges Casson et Mastelloni dans l’investigation sur l’organisation putschiste Gladio. Une des bases USA/Otan qui – écrit Ferdinando Imposimato, Président honoraire de la Cour Suprême de Cassation – fournirent les explosifs pour les massacres de Piazza Fontana, Capaci et Via d’Amelio. Bases dans lesquelles « se réunissaient terroristes noirs, officiers de l’OTAN, mafieux, hommes politiques italiens et francs-maçons, à la veille d’attentats » (Ferdinando IMPOSIMATO, La Repubblica delle Stragi impunite [La République des massacres impunis], Newton Compton, 2012. Disponible en italien sur Internet) ».
Extrait de Guerre nucléaire. Le jour d’avant. D’Hiroshima à nos jours, qui nous mène à la catastrophe et comment, Manlio Dinucci, traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio, Editions Delga, Paris, 2021. p. 170-171.
Manlio Dinucci
Guerre nucléaire – Le jour d’avant
DELGA
275 pages
20 €
Ce livre reconstitue l’histoire de la course aux armements nucléaires de 1945 à nos jours, avec en toile de fond le scénario géopolitique mondial, contribuant ainsi à combler le manque d’informations habilement créé sur cette question d’une importance vitale. Le sentiment qu’une guerre nucléaire est désormais inconcevable s’est répandu et la dangereuse illusion que l’on peut vivre avec la bombe a été créée. C’est-à-dire avec un pouvoir destructeur qui peut effacer l’espèce humaine et presque toute autre forme de vie. Nous pouvons éviter cela en nous mobilisant pour éliminer les armes nucléaires de la surface de la Terre. Tant qu’il est encore temps, le jour d’avant.
Préface de Bernard Genet
Manlio Dinucci
Journaliste et géographe, ex-directeur exécutif pour l’Italie de l’International Physicians for the prevention of Nuclear War, association qui a reçu le Prix Nobel de la Paix en 1985. Porte-parole du Comitato no Guerra no Nato (Italie) et chercheur associé de Global Research (Canada). Prix international de journalisme 2019 pour Analyse géostratégique du Club de periodistas de México
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/le-parti-americain-en-italie/
Que peuvent changer les élections italiennes ?
Apparemment, rien, s’il faut en croire la « Présidente » non élue de l’« Union Européenne » en tournée mondaine à l’Université de Princeton (USA).
À la question :
« Y a-t-il des inquiétudes concernant les prochaines élections en Italie ? Étant donné en plus que beaucoup de politiciens en course ont des relations avec Poutine. »
Dame Ursula a répondu, gracieuse :
« Nous verrons. Si les choses vont dans une “direction difficile” – j’ai parlé de la Hongrie et de la Pologne – nous avons des outils. »
« Nous » ?
« Des outils » ?
Tout ceci n’étant, bien entendu, de la part des Zuniens de Princeton et du sien, ni du « meddling » ni de l’interférence dans les affaires intérieures d’un pays supposé souverain.
En France, quelqu’un vient de donner un avis là-dessus. C’est ici :
L’info continue – TVLibertés – 1ère chaîne alternative | Nous, c’est vous
Critique irréligieuse de l’impérialisme occidental
par Sergueï Lavrov à la tribune de l’ONU
Librairie Tropiques – 25.9.2022
Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, s’est exprimé samedi lors de la 77e Assemblée générale des Nations Unies, expliquant la position de la Russie sur des questions internationales clés, notamment les relations de Moscou avec l’Occident et le conflit en cours avec l’Ukraine. Après avoir prononcé son discours, Lavrov a donné une grande conférence de presse en marge de l’assemblée générale de l’organisation, dont les points marquants sont les suivants.
Le rejet arrogant et constant par l’Occident des propositions de la Russie.
Le conflit en cours en Ukraine est en grande partie le résultat de l’incapacité du collectif occidental à négocier avec la Russie et à répondre à ses préoccupations en matière de sécurité, a déclaré Lavrov à l’AG de l’ONU. Toutes les tentatives d’établir les règles de coexistence réitérées par Moscou ont été ignorées, a-t-il dit. «Nous avons proposé à plusieurs reprises au fil des ans de convenir de règles de coexistence pacifique en Europe sur la base du principe de sécurité égale et indivisible, approuvé au plus haut niveau et acté par des documents de l’OSCE. Nous avons fait notre dernière proposition pour rendre ce principe juridiquement contraignant en décembre 2021, ce à quoi nous avons a été opposé un refus arrogant », a déclaré Lavrov.
NdT : voir à ce propos : Sachs explique à Biden
L’Ukraine n’est qu’un accessoire des ambitions impériales des États-Unis.
Source : Critique irréligieuse de l’impérialisme occidental – … (librairie-tropiques.fr)
Mais on était chez les clowns occidentaux…
Boris Johnson remercie Poutine, dans une bourde à la Chambre des communes
Dans sa première contribution majeure en tant que député d’arrière-ban lors d’un débat aux Communes, l’ancien Premier ministre conservateur a déclaré
« Grâce à l’héroïsme des forces armées ukrainiennes, en partie grâce aux armes que nous sommes fiers d’offrir, je félicite mon très honorable ami pour sa description du travail des forces armées britanniques, les armes que nous envoyons, l’énorme liste…»
« Merci aussi, bien sûr, au leadership inspirant de Vladimir Poutine … euh, pardon, de Vladimir Zelenski, les forces russes ont, ces derniers jours, été expulsées de grandes parties du nord-est du pays autour de Kharkov.»
Vidéo
Boris Johnson accidentally hails Vladimir Putin instead of Volodymyr Zelensky | Watch (msn.com)
Lapsus freudien ou bourde intentionnelle ? Le BoJo qui s’est tant pris pour Churchill, ne s’essayerait-il pas à présent à singer Talleyrand ?
Quoi qu’il en soit, mensonge de calibre extra-size sur « les forces russes expulsées »…
Chez les gens sérieux :
L’ordre de Vladimir Poutine de commencer la mobilisation partielle des forces militaires russes
Scott Ritter – L.G.S. – 24.9.2022
L’ordre de Vladimir Poutine de commencer la mobilisation partielle des forces militaires russes s’inscrit dans la continuité d’une confrontation entre la Russie et une coalition de nations occidentales dirigée par les États-Unis, qui a débuté à la fin de la guerre froide.
La guerre n’est jamais une solution ; il y a toujours des solutions qui auraient pu – et dû – être recherchées par ceux qui sont chargés du destin de la société mondiale avant que l’ordre ne soit donné d’envoyer les jeunes d’une nation se battre et mourir. Tout dirigeant national digne de ce nom devrait chercher à épuiser toutes les autres possibilités de résoudre les problèmes auxquels son pays est confronté.
Si on la considère dans son ensemble, l’annonce faite mercredi par le président russe Vladimir Poutine, lors d’une allocution télévisée au peuple russe, selon laquelle il ordonne la mobilisation partielle de 300.000 réservistes pour compléter les quelques 200.000 soldats russes actuellement engagés dans des opérations de combat sur le sol ukrainien, semble être l’antithèse de la recherche d’une alternative à la guerre.
Cette annonce a été faite parallèlement à une autre qui autorisait la tenue de référendums sur le territoire de l’Ukraine actuellement occupé par les forces russes concernant la question du rattachement de ces territoires à la Fédération de Russie.
Prises isolément, ces actions semblent représenter une attaque frontale contre le droit international tel que défini par la Charte des Nations Unies, qui interdit les actes d’agression d’une nation contre une autre dans le but de s’emparer d’un territoire par la force des armes. C’est ce qu’a affirmé le président des EU Joe Biden lors de son intervention devant l’Assemblée générale des Nations unies, quelques heures après l’annonce de Poutine.
« Un membre permanent du Conseil de sécurité des Nations unies a envahi son voisin, a tenté d’effacer un État souverain de la carte », a déclaré Joe Biden. « La Russie a violé sans vergogne les principes fondamentaux de la Charte des Nations unies ».
L’histoire, cependant, est une maîtresse sévère, où les faits deviennent gênants pour la perception. Lorsqu’on l’examine à travers le prisme des faits historiques, le récit promulgué par Biden s’inverse. La réalité est que depuis l’effondrement de l’Union soviétique à la fin de 1991, les États-Unis et leurs alliés européens ont conspiré pour subjuguer la Russie afin de s’assurer que le peuple russe ne soit plus jamais en mesure d’organiser un défi géopolitique à l’hégémonie des EU définie par un « ordre international fondé sur des règles » qui a été imposé au monde au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Cependant, comme il n’y a pas que l’Ukraine au monde…
Coopération militaire BRICS/Alger ?
Pars Today – 24.9.2022
Fin août, le Sénat brésilien a ratifié un accord de coopération en matière de défense avec l’Algérie, signé en 2018. Cette collaboration permettra l’échange d’informations entre les deux pays, ainsi que la formation de personnel et l’acquisition d’armes, d’équipements militaires et de systèmes d’armes.
En établissant des relations avec les BRICS, dont le Brésil fait partie, l’Algérie tente également de « se séparer de l’hégémonie occidentale », a déclaré à Sputnik le spécialiste de la défense Danilo Bragança, de l’Université fédérale de Fluminense.
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/cooperation-militaire-brics-alger/
Conséquences dans l’immédiat ? Oh, sans surprise :
Pourquoi les Américains parlent-ils de sanctions contre l’Algérie ?
Al Manar – 22.9.2022
Les USA vont-ils laisser tomber leur masque et afficher leur vrai visage au peuple algérien? Un sénateur républicain américain veut de lourdes sanctions américaines contre l’Algérie. Pourquoi ? Les observateurs en expriment plusieurs raisons.
Ainsi, parmi les principales raisons de ce désaccord politique on parle de la relation existante entre le gouvernement algérien et le pays de Poutine [la Russie, NdE]. S’ajoute à cela, le fait que l’Armée nationale populaire (ANP) s’approvisionne en matière d’armes auprès des Russes. Chose qui visiblement ne plait pas forcément aux USA.
Sachant cependant qu’elle n’est pas la seule à le faire…
URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/pourquoi-les-americains-parlent-de-sanctions-contre-lalgerie/
À suivre…
Mis en ligne le 25 septembre 2022
Avant que soient connus les résultats des élections italiennes et des referenda russes.