Israël: composé en majorité de sionistes fanatiques et de sociopathes au service des riches
11 décembre 2023
11 Déc 2023, Par Khider Mesloub.
Pour ceux qui l’ignorent, il est utile de rappeler qu’Israël est un État théocratique (un État paria et voyou). Qui dit théocratique, dit fanatique. Le fanatisme judaïque est incarné depuis plus d’un siècle par l’idéologie sioniste.
Si, dans sa genèse, le sionisme était d’essence politique, porté par une idéologie colonialiste conquérante d’émanation européenne, rapidement, pour des raisons de prosélytisme colonial messianique, il s’affuble d’un esprit religieux judaïque affirmé. Au point que le courant idéologique sioniste religieux est devenu dominant après la défaite du nazisme, son concurrent.
Depuis la création de l’État d’Israël, ce repaire de criminels de guerre suprémacistes, deux sociétés distinctes forment ce pays colonial : les fanatiques religieux et les laïcs fanatisés par le sionisme. Toutefois, le trait de personnalité commun de ces deux communautés religieusement et politiquement fanatisées composant l’entité sioniste, est la sociopathie.
Une majorité d’Israéliens sont sociopathes. En particulier les sionistes fanatisés. En Israël, dont « l’ADN c’est le racisme, l’apartheid, la tromperie, la domination », selon la formule du penseur juif antisioniste Jacob Cohen, la sociopathie ne constitue pas un trouble marginal de la personnalité, mais un trait de personnalité général, en particulier chez les sionistes fanatiques (voir le témoignage de Madame Avigail Abarbanel en annexe).
La sociopathie concerne l’ensemble de la population adulte sioniste, hommes et femmes. La preuve, en Israël chaque homme et femme passe, dès sa majorité, l’essentiel de sa vie à apprendre à tuer, à haïr et à servir dans l’armée coloniale génocidaire.
Israël, pays fondé par et sur l’ultra-violence, est affecté par un syndrome singulier, le syndrome « sionigène », caractérisé par la bellicosité chronique, la pathologie guerrière, l’affrontement permanent, le terrorisme compulsif…le fanatisme hystérique que de plus en plus de marionnettes politiques affichent effontrément.
Quand tout un pays devient une caserne à ciel ouvert, tous les habitants adultes manient en permanence les armes pour maintenir l’ordre colonial sioniste génocidaire, pour pérenniser et étendre indéfiniment l’impérialisme raciste et fondamentaliste de l’État qu’ils ont proclamé « hébreu », plus aucune humanité ne demeure dans le cœur de ces hommes et femmes sionistes transformés en tueurs assermentés. Autrement dit en sociopathes.
On peut affirmer que sionisme est synonyme de psychopathie. De sociopathie. Or, la psychopathie prédispose aux comportements nuisibles et morbides, autrement dit criminels, illustrés en ce moment par le génocide commis frénétiquement et sans remords par les sionistes contre les Palestiniens de Gaza. Plus inquiétant, la sociopathie constitue un facteur prédictif de récidive criminel permanent, car le sociopathe ne partage pas le même système de valeurs morales que le reste de l’humanité. N’est-ce pas la caractéristique sociologique, marquée par l’inhumain colonialisme caractérisée par le mépris des conventions juridiques internationales, d’Israël ?
Pour rappel, le sociopathe est caractérisé par une froideur émotionnelle, une absence d’empathie, de remords, de moralité et des agissements malhonnêtes, c’est-à-dire la tromperie, l’escroquerie, l’usage répété du mensonge et d’identités fictives (le sionisme se fonde sur des identités fictives – Israël est composé de populations disparates aux différences ethniques et aux clivages culturels prononcés –, sur des mythes religieux fabriqués pour la cause coloniale par des Européens « juifs » athées).
Le sociopathe est un être froid, malveillant et calculateur. Il est caractérisé par l’inaptitude à honorer ses obligations, par l’indifférence affichée et la rationalisation de ses crimes. Par l’incapacité d’admettre la responsabilité de ses actions. De reconnaître ses crimes. Le psychopathe est particulièrement peu réceptif au caractère dissuasif de la punition, de toute condamnation (Israël a toujours fait fi de toutes les résolutions de l’ONU, dont la dernière adoptée il y a quelque jours par 121 pays).
Selon la psychanalyse, le psychopathe serait soumis à une « morale archaïque » toute-puissante, l’incitant à rechercher un milieu marginal mais coercitif, en conflit avec l’ordre établi international (la communauté humaine universelle dans le cas des sionistes israéliens). Le sociopathe est en proie à une irritabilité et agressivité caractérisées par des attaques ou conflits physiques (armés) réguliers. N’est-ce pas la caractéristique essentielle d’Israël, d’être en conflit permanent ?
Le sociopathe se singularise par une fougue destructive (le massacre de masse des Palestiniens de Gaza illustre cette propension génocidaire des sionistes fanatisés). Néanmoins, le psychopathe n’est pas psychotique ni schizophrène puisqu’il est connecté à la réalité, donc conscient de ses agissements. Aussi, les sionistes israéliens sont responsables de leurs crimes coloniaux, crimes de guerre et de génocide.
Le psychopathe, portant médiatiquement le masque de la normalité, incarne au vrai le monstre moral capitaliste contemporain. Le ministre israélien de la Défense, Yoav Gallant, n’a-t-il pas annoncé froidement : « Nous imposons un siège complet à Gaza. Pas d’électricité, pas d’eau, pas de gaz, tout est fermé ». N’a-t-il pas éructé, en parlant des 2,3 millions de palestiniens de Gaza : « Nous combattons des animaux humains et nous agissons en conséquence ». Comment peut-on qualifier ces déclarations du sociopathe ministre de la Défense d’Israël, sinon de mesures à commettre des crimes de guerre, de génocide ?
Qu’il soit clair : pour des raisons éducatives et doctrinales liées à un environnement colonial sioniste, et non génétiques, les Israéliens sont devenus ainsi majoritairement des sociopathes. Les Allemands n’avaient-ils pas sombré également dans la sociopathie sous le régime nazi ? Néanmoins, aujourd’hui, depuis plus de 70 ans, le peuple allemand a recouvré sa normalité, son humanité (jusqu’à quand ? car avec l’actuelle fascisation de l’Europe, rien ne prémunit les Allemands contre le nazisme, sinon la Révolution prolétarienne).
En attendant, Israël, outre le fait d’être une caserne à ciel ouvert où une majorité des habitants s’activent en permanence à tuer les Palestiniens depuis 1948, est aussi un asile psychiatrique à ciel ouvert. Car la folie meurtrière gouverne le comportement d’une majorité des habitants, la paranoïa (délire de persécution) inspire leur attitude impulsive et agressive, la fièvre obsidionale gangrène leur vie.
Les sionistes d’Israël ne trouvent de sérénité que par le massacre rituel des Palestiniens, apaisent leur âme tourmentée que par l’anéantissement des corps palestiniens. Ainsi, ils se nourrissent de la chair palestinienne qu’ils sacrifient pour satisfaire leur voracité de domination coloniale, leur appétence insatiable d’extension territoriale.
Israël, depuis sa création, s’écrit en lettres de sang palestinien. Aussi, ses habitants ont tous les mains souillées de sang et leurs doigts de crimes.
En résumé, un sociopathe, c’est-à-dire un sioniste, est un « brute de décoffrage », un hors-la-loi incontrôlable. Un Serial Killer national. : il peut commettre des massacres de masse répétitifs sans éprouver aucun remords. Ni les assumer (l’armée israélienne n’a-t-elle pas bombardé un hôpital puis l’attribuer au Hamas ?). Les sionistes sont sans foi ni loi, dénués de scrupules, d’empathie.
De fait, Israël, habité par une majorité de sociopathes, est devenu une école du crime, du crime de guerre. Un laboratoire d’expérimentation génocidaire commandité par l’Occident.
Dans cette colonie de peuplement installée par l’Occident au Moyen-Orient, les Israéliens, qui se croient enfin libres, respectés par leurs ennemis héréditaires européens qui les ont des siècles durant ostracisés et génocidés, sont devenus à leur corps défendant les « cobayes » des Occidentaux. Toutes les nouvelles techniques de guerre et politiques militaristes et sécuritaires sont élaborées et expérimentées dans ce camp d’entraînement occidental, baptisé Israël, pays positionné comme un pion au service des intérêts américains.
Néanmoins, cette colonie de peuplement est guettée par le dépeuplement colonial. Incontestablement, comme je le proclame depuis presque 40 ans, en créant leur État colonial en Palestine en 1948, les sionistes ont creusé leur tombe. Israël est devenu l’endroit le plus dangereux pour les juifs. Que symbolise la constitution de cet État sioniste, sinon la dernière création du Grand Ghetto juif mondial instauré sur une terre dépourvue durant des siècles de tout « foyer juif ». Une terre habitée des siècles durant par des Palestiniens de toutes confessions.
Comme l’a écrit, en 1972, le militant israélien antisioniste, Arie Bober, membre d’un collectif intitulé The Other Israel : « Loin d’offrir un refuge pour les Juifs persécutés du monde, l’État sioniste mène les nouveaux immigrants comme les anciens colons vers un nouvel holocauste en les mobilisant dans une entreprise coloniale et une armée contre-révolutionnaire contre la lutte des masses arabes pour la libération nationale et l’émancipation sociale. »
Le sionisme, antithèse du judaïsme pacifique millénaire, aura dévoyé la religion hébraïque vers un projet politique raciste colonialiste, issu de l’impérialisme européen capitaliste et chrétien, et transformé une majorité de juifs pacifiques et apolitiques installés en Israël en sociopathes, en criminels de guerre, en génocidaires.
Au vrai, le sionisme, dernier vestige colonial occidental et dernière idéologie suprémaciste européenne, outre le fait de générer l’antisémitisme, est l’ennemi des adeptes du judaïsme eux-mêmes. Et, bien évidemment, de l’humanité. Le sionisme contient le militarisme et le suprémacisme dans son ADN tout comme le nazisme.
Aussi, seule la défaite du sionisme en tant qu’idéologie fachiste pourra guérir les adeptes de la religion juive en Israël de leur infecte pathologie psychopathique qu’ils ont incidemment contractée au contact des Européens à l’époque de la pandémie et sauver l’honneur de la religion judaïque perverti par les boutefeux sionistes.
Khider MESLOUB
Je m’appelle Avigail Abarbanel*. Je suis né en 1964 à Tel Aviv et j’ai grandi à Bat Yam. Je suis allé à l’école primaire Yitzhak Sadé à Bat Yam et j’ai terminé mes études secondaires à Ort Yad Singalovsky. J’ai eu la chance de recevoir une excellente éducation dans les années 1970 en Israël, et l’école a été une expérience positive dans ma vie. Cependant, c’était un système éducatif très sioniste qui, à notre insu, nous préparait tous à être des citoyens loyaux de l’État d’Israël et à consacrer nos capacités et nos talents, toute notre existence, à la protection du pays.
J’ai quitté Israël en 1991 et j’ai déménagé en Australie. J’ai vécu à Sydney pendant sept ans, puis onze ans supplémentaires à Canberra. J’ai complété les deux tiers d’un baccalauréat à l’Université Bar-Ilan dans le cadre du programme combiné en sciences sociales. J’ai terminé mon BA (Hons) en politique à l’Université Macquarie de Sydney. J’ai ensuite étudié la psychothérapie individuelle et relationnelle au Jansen Newman Institute de Sydney et j’ai ajouté une année supplémentaire d’études en Gestalt-thérapie au Illawarra Gestalt Center de Wollongong.
Je ne m’en suis pas rendu compte à l’époque, mais j’étais déjà en route pour quitter l’endoctrinement sioniste dans lequel j’ai été élevé. J’ai commencé comme un « gauchiste doux » qui ne comprenait pas vraiment l’histoire d’Israël mais n’aimait pas l’injustice faite aux Palestiniens.
En 2001, au début de la deuxième Intifada, j’ai renoncé à ma citoyenneté israélienne. À partir de ce moment-là, je suis devenu un militant plus franc pour les droits palestiniens. Mais il m’a fallu encore quelques années avant d’achever le chemin menant au renoncement au colonialisme de peuplement israélien, ce qui signifie devenir un antisioniste. Source AVIGAIL ABARBANEL : « La résistance ne vient pas de nulle part. S’il y a résistance, c’est qu’il y a oppression. » (vidéo_1h37′) – VIVE LA RÉVOLUTION (mai68.org)