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12 mars 2025

Le petit Journal de Karim ( 2è partie)


 ET LA PALESTINE GAZA ISRAËL A SA PERTE!- (15)
 


L’Agenda de Washington face à l’Émirat islamique 

10/09/2014

Lundi 8, le président Obama recevait à dîner les principaux stratèges et think tankers du pays, dont Sandy Berger, Zbigniew Brzezinski, Tom Donilon, Michele Flournoy, Richard Haass, Steve Hadley, Jane Harman, Michael Morell et Strobe Talbott.
Mardi 9, le président Obama reçoit à la Maison-Blanche les quatre principaux leaders du Congrès pour leur exposer sa stratégie contre l’Émirat islamique. Le même jour, les membres de la Commission de la Défense à la Chambre auditionneront à huis clos de hauts fonctionnaires de la Défense et du Renseignement pour leur exposer les données et les choix stratégiques face à l’ÉI.
Mercredi 10, le président annoncera au peuple états-unien sa stratégie contre l’ÉI lors d’une allocution télévisée.
Jeudi 11 septembre (13ème anniversaire du coup d’État militaire), le président de la Commission de la Défense de la Chambre s’exprimera à l’American Enterprise Institute.
Mardi 16, la Commission sénatoriale des Forces armées auditionnera le secrétaire à la Défense, Chuck Hagel, et le chef d’état-major interarmes, le général Martin Dempsey, sur « la politique face à l’ÉI et les menaces posées par l’EI ».
Le même jour, la Commission des Affaires étrangères de la Chambre auditionnera le secrétaire d’État John Kerry pour lui demander quelle politique a été arrêtée face à l’ÉI.
Mercredi 17, la Commission de Sécurité de la Patrie de la Chambre auditionnera le secrétaire à la Sécurité de Patrie Jeh Johnson, le directeur du FBI James Comey et le directeur du Center national anti-terroriste Matthew Olsen sur « les menaces mondiales qui pèsent sur la patrie. »
Durant cette période, quatre auditions à huis clos sont prévues par l’administration Obama auprès des Commissions du Renseignement de la Chambre et du Sénat.
En outre, durant les 12 jours de session du Congrès avant les élections de mi-term, une féroce bataille opposera ses membres sur la nécessité ou non pour le président d’obtenir l’aval du Congrès avant de lancer cette opération.
Réseau Voltaire


*2eme partie
Algérie 1

Obama annonce qu’il est prêt à lancer des frappes contre sa progéniture en Syrie

Par Khidr Omar | 11/09/2014

20140829obama-afpSous prétexte de frapper sa progéniture l’État islamique,  le président américain Barack Obama a annoncé mercredi qu’il était prêt à lancer des frappes aériennes en Syrie.

Il a aussi annoncé que les forces américaines étendront les raids qu’elles mènent en Irak depuis un mois contre les insurgés. « Je n’hésiterai pas à agir contre l’État islamique en Syrie, comme en Irak », a déclaré M. Obama dans un discours prononcé depuis la Maison Blanche.

Depuis le 8 août, les forces américaines ont mené plus de 150 frappes aériennes en Irak contre des positions jihadistes sans le moindre résultat. « En collaboration avec le gouvernement irakien, nous étendrons nos actions au-delà de la protection de nos compatriotes et des missions humanitaires et viserons l’État islamique pour soutenir les forces irakiennes dans leur offensive », a dit le président américain.

Puis bombant le torse, le chef de l’Empire a affirmé sans honte. « C’est un des principes fondamentaux de ma présidence: si vous menacez l’Amérique, vous ne serez jamais en sécurité ».

En même temps qu’il annonçait faire la guerre soit disant contre l’EI, Obama annonçait une aide de 500 millions de dollars à ses marionnettes de « rebelles modérés » et de créer pour ces derniers des camps d’entrainement en Jordanie avec l’accord et l’aide de l’Arabie saoudite.

Le but de tout ce cinéma hollywoodien étant bien entendu d’attaquer le gouvernement légitime de Bachar al Assad, L’État islamique ne jouant dans ce scénario que le simple rôle de cheval de Troie.

Des dizaines, voire des centaines de milliards de dollars ont été déjà déversés au profit des fantoches de l’opposition et des innombrables groupes terroristes qui sévissent en Syrie sans pouvoir abattre le gouvernement syrien. Cet acharnement va provoquer encore plus de destructions dans un pays déjà exsangue après trois années de guerre contre le valeureux peuple syrien voué à la mort ou à l’exil http://www.algerie1.com/actualite/obama-annonce-quil-est-pret-a-lancer-des-frappes-contre-sa-progeniture-en-syrie/

 

 


Objet :  Obama à l’assaut de l’État Islamique ou la stratégie du chaos (ou encore la Turquie prise à son propre piège) by Dziri

Les choses semblent se dessiner maintenant. Le gouvernement des États Unis a décidé de former une coalition à laquelle est fixée la mission de vaincre l’État Islamique qui a pris corps sur une partie des territoires de l’Irak et de la Syrie.

La coalition comprend un noyau dur avec des pays comme la Grande Bretagne et la France et des partenaires plus périphériques.

L’article que je vous propose parle justement du positionnement de la Turquie par rapport à cette orientation stratégique du président Obama, Turquie qui vient de refuser l’utilisation de ses bases aériennes pour des bombardements en territoire syrien et irakien.

L’auteur nous explique que, parmi les pays susceptibles de participer à ce noyau dur,  la Turquie, est le seul État à partager une frontière avec l’État islamique n’a nulle envie de faire partie de ce noyau dur.

Pour la bonne raison que les autorités turques ont longtemps misé et misent encore sur des mouvements comme celui qui a donné naissance à l’État Islamique en Irak et au Levant (aujourd’hui État Islamique) pour venir à bout des régimes qui selon elles maltraitent les Sunnites. La priorité du gouvernement turc étant de corriger le gouvernement irakien et d’éliminer le régime baathiste au pouvoir à Damas.

Une bonne partie des milliers de combattants qui peuplent les rangs du Califat proclamé par Abou Bakr al-Baghdadi ont en effet à un moment ou à un autre transité par le territoire turc et y retournent à l’occasion pour se soigner par exemple.

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Un autre problème auquel fait face le gouvernement turc tient à ce qui se passerait si l’État Islamique était contraint d’abandonner ses positions : ce serait alors le reflux des miliciens « djihadistes »vers la Turquie où l’armée de ce pays n’aurait sans doute plus d’autre choix que de leur livrer bataille.

Tout cela est exposé dans cet article (que j’ai traduit de l’anglais à partir d’un original écrit en turc, ce qui explique certains défauts du texte), Ainsi que ce cauchemar pour le gouvernement turc que constituerait une alliance formelle ou de facto entre la coalition anti-EI et le régime de Bachar al-Assad !

Pour l’heure on ne sait cependant pas si l’intervention militaire occidentale aura un effet positif pour le régime syrien où si elle cherchera à l’affaiblir sous couvert de bombarder les forces de l’État islamique.

Enfin l’auteur observe que, en cas de défaite de l’État Islamique, les organisations qui pourraient se substituer à lui sont faites à peu près du même bois, l’une d’entre elles étant officiellement affiliée à  Al-Qaïda.

Ce qui ne saurait gêner outre mesure la CIA comme on peut s’en douter.

Le dilemme de la Turquie devant la lutte contre l’État Islamique

par Fehim Taştekin, Al-Monitor 7 septembre 2014 traduit de l’anglais par Djazaïri

http://www.al-monitor.com/pulse/contents/authors/fehim-tastekin.html

Tournée du secrétaire d’état Américain au moyen-orient : La coalition anti-État islamique à l’ordre du jour

  Le secrétaire d’Etat américain John Kerry.

| © D. R.le 10.09.14

Le secrétaire d’État américain John Kerry.

Le président américain, Barack Obama, présidera le 24 septembre une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la menace des djihadistes étrangers opérant en Syrie et en Irak.

Le président américain, Barack Obama, présidera le 24 septembre une réunion du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la menace des djihadistes étrangers opérant en Syrie et en Irak.

Les États-Unis rallient 10 pays arabes contre Daech, la Syrie met en garde
12-09-2014
Les Etats-Unis ont obtenu jeudi de dix pays arabes leur engagement, y compris éventuellement militaire, dans l’offensive annoncée par le  président Barack Obama pour « éradiquer » Daech (EI) en Irak et en Syrie.

La Syrie, a toutefois mis en garde Washington contre d’éventuelles frappes sur son territoire sans son accord.

Après la déclaration solennelle d’Obama à la Maison Blanche mercredi soir, son chef de la diplomatie John Kerry a réussi lors d’une réunion à Jeddah (Arabie saoudite) à convaincre ses homologues arabes, dont le poids lourd saoudien.

Washington, les pays du Golfe, l’Egypte, l’Irak, le Liban et la Jordanie « ont déclaré leur engagement partagé à se tenir unis contre la menace que pose pour la région et le monde le terrorisme, y compris le soi-disant EI », selon un communiqué commun, au terme de sept heures de tractations.

Ce soutien ferme des pays arabes inclut leur accord à « se joindre, le cas échéant, à une campagne militaire coordonnée », précise le communiqué sans entrer dans les détails.

Parmi les mesures évoquées figurent la mise à la disposition de l’US Air Force  d’aérodromes supplémentaires dans la région, ainsi que la création éventuelle de zones d’exclusion aérienne.

Les ministres de la Défense des pays participants à la rencontre de Djeddah doivent se réunir prochainement pour mettre au point un scénario d’application des ententes intervenues dans cette ville.

Toutefois, selon Kerry, « aucun pays ne parle de placer des troupes au sol et nous ne pensons pas qu’il y en ait besoin ».

A la télévision ABC, il a été encore plus clair: « Pas de troupes combattantes américaines au sol, point à la ligne ».

Il aussi affirmé sur les chaînes CNN et CBS que les Etats-Unis n’étaient « pas en guerre contre Daech », mais conduisaient une « très importante opération anti-terroriste ».

Le chef de la diplomatie américaine poursuivra sa tournée vendredi à Ankara puis au Caire samedi pour rencontrer le chef de la Ligue arabe.

Armer l’opposition syrienne

Aux yeux de diplomates américains, l’Arabie saoudite doit être l' »élément clé de la coalition par sa taille, son poids économique et sa portée religieuse avec les sunnites ».

Après l’appel téléphonique de Barack Obama mercredi au roi Abdallah d’Arabie, Kerry a eu un entretien avec lui jeudi soir.

Ils sont tombés d’accord pour renforcer l’aide à l’opposition syrienne armée, qu’ils qualifient de modérée.

Les Saoudiens pourraient former et entraîner des rebelles syriens, qui combattent à la fois le pouvoir syrien et Daech.

Les Etats-Unis entendent aussi « renforcer (leurs) bases » dans le Golfe et accroître « les vols de surveillance » avant d’éventuelles frappes en Syrie, selon un responsable du département d’Etat.

Le Pentagone va commencer à baser une partie de ses avions à Erbil, au Kurdistan irakien.

La stratégie Obama a été bien accueillie par l’opposition syrienne, qui devrait bénéficier des moyens militaires qu’elle réclame depuis longtemps.

Mais le Congrès américain a prévenu qu’il n’y aurait pas de vote sur cette aide avant la semaine prochaine.


André Chamy, avocat spécialiste des questions internationales

vendredi, 12 septembre 2014

IRIB- Maitre Chamy explique ce qu’il pense de la conférence anti terroriste de Jedda.http://french.irib.ir/analyses/interview/item/340470-andr%C3%A9-chamy,-avocat-sp%C3%A9cialiste-des-questions-internationales
La Syrie et la Russie estiment que tout raid contre la Syrie est une violation
12-09-2014 ”La résolution internationale n°2170 a inclu les deux organisations de ”Nosra” et ”EIIL”, tandis que les États-Unis n’a inclus que l”’EIIL” ”, a fait noter Chaabane.
La Russie et la Syrie qualifient  tout raid contre la Syrie est une agression et une violation du droit international, a rapporté la chaine satellitaire iranienne alAlam.

Le ministre des affaires de la réconciliation nationale, Ali Haydar a affirmé à l’envoyé de l’ONU, Staffan de Mistura,  que «toute action quelle qu’elle soit sans le consentement du gouvernement syrien est une attaque contre la Syrie », ajoutant que « dans le droit international, il faut  coopération et la coordination avec la Syrie,  l’approbation de la Syrie dans toute action sur son territoire qu’elle soit militaire  ou pas. « 

Dans une interview avec la chaine satellitaire alMayadeen, la conseillère politique et médiatique de la présidence de la république Boutheina Chaabane a affirmé que « le discours du président américain Barak Obama, sur sa stratégie dans la lutte anti-terroriste, contient de nombreuses lacunes et n’apporte rien de nouveau » toujours selon alAlam.

Chabaane a affirmé que la résolution n° 2170 des Nations Unies a été adoptée à l’unanimité par le Conseil de sécurité, c’est pourquoi toutes les parties qui l’avaient approuve doivent faire partie de la lutte contre le terrorisme, rappelant que les États-Unis avaient exclu la Russie et la Chine de l’appel à la lutte contre le terrorisme.

”La résolution internationale n°2170 a inclu les deux organisations de ”Nosra” et ”EIIL”, tandis que les États-Unis n’a inclu que l”’EIIL” ”, a fait noter Chaabane.

A propos de la réunion tenue aujourd’hui à Jeddah, avec la participation des États-Unis, la Turquie, des pays du Golfe et certains pays arabes, Chaabane a fait savoir que les pays qui avaient soutenu, armé et financé le terrorisme en Syrie, étaient une partie essentielle du terrorisme.

Pour sa part, le porte-parole du Ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch, a affirmé que si les États-Unis mèneraient des frappes aériennes contre des sites de  Daesh sur les territoires syriens sans l’approbation du l’État syrien et le feu vert des Nations-Unies, « ces frappes seraient considérées comme un acte agressif ».

Loukachevitch a fait noter que le président américain Barak Obama avait annoncé la possibilité d’exécuter des frappes militaires contre des sites de (l’EIIL) sur les territoires syriens sans l’approbation du gouvernement syrien.

Il a fait savoir que les États-Unis avaient fermé les yeux depuis longtemps des comportements des éléments extrémistes en Syrie et s’étaient servies de cette situation pour renverser le gouvernement légitime en Syrie.

Il a critiqué la contradiction dans la position du président américain, qui apporte une aide au gouvernement irakien face aux terroristes extrémistes, alors qu’il appelle le Congrès de consacrer 500 millions de dollars au soutien de l’opposition syrienne armée http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=191178&cid=18&fromval=1&frid=18&seccatid=37&s1=1
Tensions en mer Noire
11-09-2014
  J Les Américains ont été effrayés par le fait que l’aviation russe ait utilisé des moyens de lutteélectronique.Le vol d’un avion russe au-dessus des eaux neutres près de la frontière de Russie a provoqué une réaction nerveuse de la part du ministère canadien de la Défense, dont le navire Toronto participait aux exercices militaires conjoints OTAN-Ukraine. L’incident a eu lieu au Nord-Ouest de la mer Noire.

C’est une provocation, s’indignait le ministre de la Défense Rob Nicholson, car cet incident peut provoquer une nouvelle escalade des tensions entre les pays de l’OTAN et la Russie. Tout en reconnaissant que les avions russes n’ont posé aucune menace au navire canadien, le ministre canadien a exhorté la Russie à cesser de mener ce genre de manœuvres qu’il juge « d’irresponsables ».

Nicholson juge d’irresponsable le fait que l’aviation russe puisse patrouiller ses frontières, alors que des exercices militaires impliquant de 12 navires de guerre d’une organisation, qui est loin d’être amicale pour la Russie, se déroulent à proximité. Ou alors les pays membres de l’OTAN sont tellement naïfs pour penser que la Russie va observer de loin avec des jumelles ces exercices de l’Alliance Nord-atlantique en mer Noire ?

Un épisode semblable a d’ailleurs déjà eu lieu. En avril de cette année, lorsque le destroyer américain Donald Cook se trouvait déjà en mer Noire, l’avion militaire russe Su- 24 s’est approché de lui. Et le lendemain, le porte-parole du Pentagone Steve Warren a parlé « des actions provocatrices » qui contredisent les accords sur l’interaction professionnelle entre les forces armées de la Fédération de Russie et les États-Unis. Il s’est avéré que ces actions ont démoralisé l’équipage du navire : 27 officiers américains ont immédiatement demandé à démissionner de l’armée. Le directeur du Centre des problèmes sociaux et politiques Vladimir Evseev relativise, en expliquant que la vie de ces militaires n’était pas en danger.

« Les Américains ont été effrayés par le fait que l’aviation russe ait utilisé des moyens de lutte électronique. Ils ont découvert que des avions russes peuvent soudain apparaître au-dessus d’un navire américain, et le viser en cas de nécessité. Les officiers américains ont été choqués par la démonstration de telles capacités de la destruction des navires américains en mer Noire. Ils étaient convaincus de la toute-puissance de leur équipement, alors qu’il s’est avéré que la Russie a un avantage significatif dans la guerre électronique ».

L’avion russe, équipé de la dernière version du système de guerre électronique, a pu mettre hors service l’équipement électronique installé sur Donald Cook. Les marins auraient pu le voir dans le ciel depuis le pont, alors que leurs écrans radar étaient vides. Et le système Aegis, installé sur le destroyer américain, s’est avéré inefficace dans cette situation. Quelque chose de similaire aurait pu se produire sur le navire canadien Toronto, suppose le directeur adjoint de l’Institut d’analyse politique et militaire Alexandre Khramtchikhine.

« L’avion Su- 24 a bloqué les fonctionnalités du système américain Aegis à l’aide de son dispositif de guerre électronique. La frégate canadienne Toronto est incomparable par ses propriétés avec le destroyer américain, elle est beaucoup moins puissante, et il est donc plus facile de mettre hors service sont équipement militaire. Je n’exclus pas que l’appareil russe ait pu employer la même méthode de tactique de guerre électronique ».

Le ministère russe de la Défense a indiqué que l’avion réalisait ce vol en stricte conformité avec les réglementations internationales sur l’utilisation de l’espace aérien au-dessus des eaux neutres dans le voisinage de la frontière de Russie. Cependant, le ministère a refusé de commenter l’utilisation possible par l’avion des dispositifs de guerre électronique.http://www.almanar.com.lb/french/adetails.php?eid=191002&cid=19&fromval=1&frid=19&seccatid=33&s1=1


LE 11 SEPTEMBRE ET L’INSTRUMENTALISATION DE LA LUTTE ANTITERRORISTE

mercredi, 10 septembre 2014

A qui profite la manipulation?A qui profite la manipulation?

Thierry Meyssan, analyste géopolitique

jeudi, 11 septembre 2014

IRIB- le 11 septembre 2001….le 11 septembre 2014…
où en sont les États Unis?  l’auteur de « L’Effroyable imposture » répondhttp://french.irib.ir/analyses/interview/item/340390-thierry-meyssan,-analyste-g%C3%A9opolitique


Les 8 mystérieuses boites noires du 11-Septembre (G.Chiesa)

Jeudi 11 Septembre 2014


Les 8 mystérieuses boites noires du 11-Septembre (G.Chiesa)
GIULIETTO CHIESA SERA À GRENOBLE
LE 16 SEPTEMBRE 2014, À 19h30
Programme sur www.reopen911.info

Cette semaine, sera commémoré le 13e anniversaire des attentats du 11 septembre 2001. Pour ma part, je continue à suivre le travail de l’équipe du 9/11 Consensus Panel (auquel je vous renvoie, en l’occurrence au Point FLT-4 : Mystérieuses anomalies concernant les boites noires des 4 avions du 11-Septembre).

Je dois dire tout d’abord que même en ayant suivi de près ce travail collectif durant toutes ces années, chaque fois que j’étudie cette affaire plus en détail, je reste stupéfait par cette évidence impressionnante : l’ensemble de l’histoire racontée au monde par les ministères de la propagande (c’est-à-dire par les grands médias occidentaux) sur le 11-Septembre n’est qu’une gigantesque atteinte à l’intelligence la plus élémentaire. Le monde entier a été amené à croire au père Noël. Et cela continue, treize ans après.

Prenons l’exemple de la question des fameuses « boites noires » des quatre avions qui furent – soi-disant – détournés par 19 terroristes le matin du 11 septembre 2001. Dans cette affaire, comme nous allons le voir, pas une seule ligne de la version officielle ne tient debout. Tout d’abord, les « boites noires » sont de couleur orange, c’est important de le rappeler pour la suite. Tous les avions commerciaux dans le monde en emmènent deux. Elles sont conçues pour être pratiquement indestructibles. Et en effet, elles le sont. Elles contiennent un ensemble d’appareils faits pour supporter des sollicitations extrêmement violentes, que ce soit au niveau physique, électrique, chimique, magnétique ou thermique. Les deux appareils essentiels parmi ces équipements sont le FDR (Flight Data Recorder), celui qui enregistre à chaque instant les données de vol, comme la vitesse, l’altitude et la position de l’appareil, et le CVR (Cockpit Voice Recorder), qui recueille tous les sons et les voix dans la cabine de pilotage.

Les cas où ces boites noires n’ont pas été retrouvées, ou bien n’ont pas pu fournir de données utilisables pour comprendre l’incident, sont extrêmement rares. Ces matériels ont été pensés dans ce but. Et cela fonctionne. Les premières à les utiliser sont les compagnies d’assurance, et juste après, arrivent les gouvernements, les services secrets, etc. Donc, quatre avions égalent huit boites noires. Que nous dit la version officielle ? Quatre parmi ces huit boites noires « n’ont jamais été retrouvées. » La moitié donc. Un échec équivalent à un record du monde de tous les temps. Il s’agit des quatre boites noires des deux avions qui ont – officiellement – percuté les Tours Jumelles : l’American 11 (AA 11) et l’United Airlines 175 (UA 175).

Il en reste donc quatre. Celles du Vol American 77 (AA 77), celui du Pentagone, semblent avoir été récupérées. Mais le CVR était trop endommagé et les données étaient irrécupérables. Résultat nul donc pour celle-ci. Quant au FDR du Vol AA 77, il semble bien avoir été retrouvé, cependant, les versions à propos de l’endroit où il l’a été sont contradictoires. Mais comme nous le verrons d’ici peu, il y a plus grave.

Enfin, nous avons les CVR et FDR du Vol United Airlines 93 (UA 93), celui qui s’est soi-disant écrasé dans un champ en Pennsylvanie. La transcription du CVR a été rendue publique par le FBI, mais seulement en 2006, lors du procès de Zacharias Moussaoui. Nous y reviendrons non sans avoir souligné qu’il s’agit là d’une « transcription », vieille de plus de cinq ans. Enfin, il y a le FDR du Vol UA 93. Nous disposons d’un compte-rendu du NTSB (National Transportation Safety Board) du 15 février 2002, numéro DCA01MA065, et nous savons que la carte mémoire (Memory Board) a été amenée dans les locaux d’Honeywell à Redmond, où elle a été examinée. Alors tout est en ordre ? Loin de là !

Résumons : même sur les quatre boites noires récupérées se posent de nombreuses questions encore à éclaircir, treize ans après les faits. Et des contradictions flagrantes. À propos des quatre boites noires des vols qui ont percuté les Tours Jumelles, le « Rapport de la Commission sur le 11/9 » se contente d’affirmer qu’elles n’ont pas été retrouvées. Mais nous avons deux témoins qui disent en avoir retrouvé trois sur quatre, en octobre 2001. Il s’agit d’un pompier, Nicholas DeMasi, et d’un volontaire, Mike Bellone (ci-contre). Les boites se trouvaient parmi les débris et furent consignées à quelqu’un, qui a disparu. La Commission d’enquête ne l’a pas recherché. Toutes les informations ont disparu. Mais dans le même temps, la Commission d’enquête, sans peur du ridicule, et dans le plus grand silence des principaux médias occidentaux, annonce la découverte du passeport (en papier) de l’un des présumés pirates de l’air du Vol AA 11, Salam al-Sugami ; rien de moins ! Nous n’avons donc aucune information [provenant de ces boites noires] ; pas un enquêteur au monde ne se contenterait de ce résultat.

Et il y a plus grave encore. Il ressort des documents judiciaires que le 18 septembre 2001, le directeur de la FEMA (Federal Emergency Management Agency), Edward E. Jacoby Jr. a envoyé un mémo au gouverneur de l’État de New York, George Pataki, pour l’informer que «  les enquêteurs ont identifié les signaux de l’une des boites noires parmi les décombres du World Trade Center. » Et aussi : le général Paul Kern, commandant du US Materiel Command, a rapporté en 2002 que les « capteurs de fréquences radio du CECOM (Communications Electronics Command) avaient été utilisés [avec succès] pour retrouver les boites noires des avions qui ont frappé les Tours Jumelles. » Alors, qui ment ?

Pour les deux boites noires du Vol AA 77, l’affaire est plus compliquée. Deux pompiers (Burkhammer et Morawitz) disent les avoir retrouvées «  près du point d’impact  ». Le porte-parole du Conté, Dick Bridges, explique lui aussi qu’elles étaient « précisément là où l’avion a percuté le bâtiment  » du Pentagone. Mais d’autres sources disent que le FDR a été récupéré à presque 300 pieds (100 mètres) de là. Une différence notable. En outre, Burkhammer et Morawitz racontent que les deux boites noires étaient “de couleur sombre”, alors qu’on leur avait dit qu’elles étaient orange. Mais quand ils les ont indiquées aux fonctionnaires du FBI et du NTSB, ces derniers ont confirmé : mieux vaut noires que rien du tout.

D’autant que l’histoire du FDR du vol AA 77 présente un autre point faible, et pas des moindres. En 2008, un citoyen américain obstiné a posé un recours au titre de la loi FOIA (Freedom of Information Act) sur la liberté de l’information pour contraindre le NTSB à divulguer le fichier rassemblant les données brutes du FDR. Or, il ressort que ce fichier a été créé à 23 h 45 le jeudi 13 septembre 2001. C’est assez étrange, vu que le FDR en question, noir ou orange selon les versions, n’aurait été retrouvé que le lendemain, le vendredi.

Et enfin, voyons ce qui s’est produit avec le FDR du Vol UA 93. Je rappelle à ceux qui auraient oublié, qu’un film commercial a été fait sur ce vol et sur la rébellion héroïque des passagers pour reprendre aux pirates de l’air le contrôle de l’avion. Et je vous demande de garder à l’esprit le cadre global de cette histoire. Voyons ce qu’en dit l’association Pilots for 9/11 Truth.

Ses membres ont également déposé une requête FOIA avant d’obtenir, en 2007, l’information sur ce FDR. Mais les données qui leur ont été fournies, censées correspondre au contenu de cette boite noire, divergent totalement d’autres données disponibles. «  La trajectoire de vol et la hauteur » indiqués ne sont pas ceux enregistrés. La provenance du vol par le nord ne colle pas avec les témoignages publiés par le New York Times. L’avion arrivait du sud-est, comme le prouve, entre autres, le fait qu’on a retrouvé des débris à New Baltimore, à plus de 8 miles (13 km) du cratère où l’avion s’est écrasé. Mais surtout, l’angle de chute de l’appareil, d’après l’enregistrement contenu dans le document du NTSB, ne correspond pas à l’impact vertical que la version gouvernementale soutient, et que le cratère lui-même semble indiquer. Plus précisément, le FDR indique un angle de chute de 35 degrés. Alors que la version officielle dit que l’avion est tombé verticalement. Enfin, les analyses faites par la protection civile sur le lieu d’impact n’ont pas permis de retrouver les traces de pollution aux résidus de kérosène. Cela n’a aucun sens, étant donné que les réservoirs de l’avion devaient être pleins de carburant.

En somme, nous avons le choix : soit cet enregistrement est faux, soir c’est la version officielle du gouvernement américain qui est fausse. Comme l’est, bien sûr, toute l’histoire décrite dans le film, qui n’a servi qu’à émouvoir le grand public. Il ne sera pas inutile de rappeler que toutes ces remarques ont été adressées aussi bien au NTSB qu’au gouvernement US. Réponse : aucune. Zéro. A l’époque, tout comme maintenant, treize ans après les faits.

Il existe enfin l’enregistrement du Centre de contrôle de Cleveland, qui contient les dernières minutes du vol. On peut l’écouter ici.

Dramatique, mais aussi, mystérieux et inexplicable. Ceux qui ont le temps de l’écouter entendront que le personnel à terre tente pendant plusieurs minutes de contacter l’avion en répétant la même question, mais qu’aucune réponse ne leur parvient. L’équipage est muet. Puis, à l’improviste, leur parvient une voix étrange, presque couverte par un important fond sonore. « United 93, c’est votre commandant de bord qui vous parle, merci de rester assis, restez dans vos sièges, il y a une bombe à bord. » Une bombe à bord ? Rester assis ? Mais où se trouve exactement ce Commandant de bord ? Qu’entend-on en bruit de fond ?

A terre, on insiste pour avoir des éclaircissements ; les contrôleurs contactent les autres avions volant dans la zone. Des confirmations leur parviennent. Puis à l’improviste, encore la même voix : « United 93, ici votre commandant. Il vaut mieux que tout le monde reste assis. Nous avons une bombe à bord et nous revenons à l’aéroport. Ils ont accepté nos requêtes, et donc, s’il vous plait, restez assis. » Et puis, plus rien. Mais est-ce vraiment là le comportement d’un pilote de ligne expérimenté ? Sommes-nous certains que ces deux messages provenaient bien du Vol UA 93 ?

Résumons : pas une seule pièce du puzzle officiel ne s’assemble correctement aux autres. Et nous ne parlons que des boites noires qui ont été apparemment retrouvées. L’autre moitié des informations a, comme nous l’avons vu, été totalement effacée de la surface de la Terre. Et tout cela n’est pas l’oeuvre des présumés pirates de l’air, dont d’ailleurs la présence à bord n’a jamais été prouvée. Mais alors, qui a travaillé à effacer toutes ces traces ? Qui a menti ?

Il est plus que jamais devenu impossible de croire encore que la fable officielle qu’on nous a racontée correspond à la vérité.
Giulietto Chiesa

7 septembre 2014
IlFattoQuotidiano.it

Traduction IlFattoQuotidiano.fr

Communiqué de Presse du 9/11 Consensus Panel : Aucune boite noire retrouvée au World Trade Center ? Des personnalités importantes remettent en cause la Version officielle

Black Box Image NEW YORK, 10 septembre 2014 – Alors que les disparitions d’avion continuent de faire les gros titres, de nouveaux éléments remettent en question le fait que certaines boites noires des avions du 11/9 n’ont jamais été retrouvées.

Des pompiers travaillant à Ground Zero en octobre 2001 affirment avoir retrouvé trois de ces quatre appareils pratiquement indestructibles. La localisation du signal (pinging) de l’un de ces enregistreurs de vol avait préalablement été annoncée par le directeur du Bureau de gestion des urgences de New York, et a été confirmée grâce à des détecteurs de fréquences radio.

Ces informations sont présentées par les 24 membres du 9/11 Consensus Panel, qui a utilisé une méthode de travail rigoureuse utilisée dans le domaine de la médecine pour sélectionner les éléments les plus probants. En trois ans, le Panel a élaboré au travers de son Comité de lecture, et publié, un total de 44 Points de Consensus réfutant la version officielle des événements du 11 septembre 2001.

Par exemple, bien que 19 pirates de l’air musulmans aient soi-disant pénétré en force dans les cockpits et aient pris les commandes de quatre avions le 11/9, aucun des 8 pilotes n’a déclenché le signal d’alerte « 7500 » synonyme de détournement.

De même, il n’existe aucune preuve que la perte des signaux radars (qui a compliqué les opérations d’interception du NORAD) est due au fait que les supposés pirates de l’air ont éteint les transpondeurs dans le cockpit.

Cette absence de preuves est corroborée par le fait que les procédures standard du NORAD pour intercepter un avion qui dévie de sa course ou dont on perd le signal radar ou le contact radio n’ont pas été appliquées le 11/9.

Bizarrement, le commandant en chef du NORAD, le général Ralph Eberhart, avait programmé pour le matin du 11-Septembre un nombre inédit d’exercices militaires annuels qui a impliqué la majeure partie de l’US Air Force.

Une fois qu’il a été informé des attaques se passant dans le monde réel, les activités et les décisions déroutantes d’Eberhart ont créé d’importants retards qui ont amené à l’échec des défenses aériennes.

Ses explications sur ces retards publiées le 18 septembre 2001 dans la Chronologie du NORAD se sont totalement inversées lorsqu’il a témoigné devant la Commission sur le 11/9 en 2003.

D’autres questions à propos de l’attitude de certains officiels sont détaillées dans le « Point MC-10 : Les activités du maire de New York Rudolph Giuliani le 11 sept. 2011 »

Giuliani a expliqué à Peter Jennings d’ABC le matin même du 11/9 que lui et son équipe de Gestion des urgences – qui se trouvaient dans un bâtiment au 75 de Barclay Street où ils avaient établi leur quartier général temporaire après les frappes contre les Tours Jumelles – avaient été prévenus que le World Trade Center allait s’effondrer.

Giuliani omit de prévenir les autres de cet avertissement. La façon dont il a appris que les Tours Jumelles étaient sur le point de s’effondrer et les raisons pour lesquelles il n’a pas passé l’information rendent nécessaires une enquête approfondie et un témoignage sous serment.

Le 9/11 Consensus Panel ainsi que ses Membres d’honneur, qu’a rejoint le lanceur d’alerte William Binney avec ses 30 ans d’expérience en tant que responsable à la NSA, exigent une nouvelle enquête sur le 11-Septembre.
Source : Le 9/11 Consensus Panel @911consensus Contacts : http://www.consensus911.org/fr/contact-medias/ Coordinatrice : Elizabeth Woodworth, emwoodworth@gmail.com


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