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27 décembre 2024

Les Grosses Orchades, les Amples Thalamanèges


 

 

 

 

 

 

Sur la rivière, à Voronej, le jour de la Victoire

 

 

À l’économie, en touchant du bois pour que notre serveur ne nous rebloque pas…

 

 

Partout

 

il manifesto – Sun Tzu – The Saker blog

 

 

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Une exposition et un livre

 

 

C’est l’acteur et auteur dramatique Ascanio Celestini qui présente, dans le n° du 15 août d’il manifesto, l’exposition de photos :

 

Pier Paolo Pasolini

à travers le regard de Sandro Becchetti :

fragments d’une narration

 

 

 

 

Cette exposition est en cours au Centro Studi Pier Paolo Pasolini de Casarsa della Delizia (Province de Pordenone), village natal de la mère du poète, juillet-octobre 2020.

 

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La poésie de l’erreur

 

Ascanio Celestini – il manifesto – 15.8.2020

Traduction : Marie-Ange Patrizio

 

 

 

 

Narrations. À bord du T.E.R pour aller au Centro Studi Pier Paolo Pasolini de Casarsa della Delizia (Province de Pordenone), où jusqu’au 11 octobre sont exposés les clichés réalisés par le photographe romain Sandro Becchetti. « Ratés » et « essais » compris.

 

Deux courtes pages d’Empirismo Eretico sont un petit testament dans lequel Pier Paolo Pasolini laisse une obsession littéraire et humaine, quasiment pêchée de l’inconscient. « Si à travers le langage cinématographique je veux exprimer un portier, je prends un vrai portier et je le reproduis : corps et voix » c’est-à-dire « avec sa tête, sa chair et la langue avec laquelle il s’exprime ». Moravia n’est pas d’accord et soutient que cet acteur peut aussi être un vrai portier, mais ne doit pas parler, sinon c’est du cinéma naturaliste. Bernardo Bertolucci lui répond qu’il faut prendre la bouche du portier et y mettre « des paroles philosophiques » comme fait son Godard. Ainsi « se termine la discussion parce que personne ne pourra jamais enlever de la tête de Moravia que « le cinéma soit image» » et « personne ne pourra jamais enlever de la tête de Bertolucci que les portiers doivent parler comme des philosophes ».

ET LÀ, PASOLINI se demande pour quelle raison un vrai portier ne peut pas rester silencieux ou parler comme un philosophe tout en continuant à être un portier de la réalité. Il se demande le pourquoi de « tant de peur du naturalisme ». Cette crainte ne « cacherait-elle pas, par hasard, la peur de la réalité ? ». Pour le poète ce portier du cinéma doit être un portier mort et, ainsi, les paroles qu’il prononce seront celles qui « s’inscrivent dans la mémoire comme des épigraphes ». Paroles réelles, mais résultat d’une synthèse. Il ne faut pas en avoir peur.

Avec ces propos en tête je descends d’un T.E.R et me dirige vers le Centro Studi Pier Palo Pasolini. C’est un des nombreux bâtiments de Casarsa della Delizia. Je l’ai cherché sur ma carte. Je me l’étais imaginé plus loin de la gare et au contraire je m’y retrouve en quelques minutes. Un peu plus loin, peut-être un quart d’heure de route, il y a le cimetière. Une dame bavarde m’avertit en souriant « vous y trouverez une hécatombe de Colussi ». Parce que, comme dans tous les villages, on trouve un nom qui met en commun un grand nombre d’habitants. Les vivants et les morts. C’est celui de Susanna, la mère du poète.

ET C’EST JUSTEMENT dans la maison Colussi qu’est le Centro Studi qui garde une part importante de sa mémoire, surtout celle des premières années. Les photos de famille, les peintures de la période frioulane, les affiches politiques de 1948-49 et une dense correspondance de Pier Paolo avec ses amis et sa famille. Mais avant d’entrer dans ces salles, les deux commissaires de l’exposition, m’amènent voir le cimetière. Ce sont Valentina Gregori et Piero Colussi. Lui aussi. La dame bavarde m’a parlé du laurier qui a été planté sur la tombe du poète. C’est-à-dire la sienne et celle de sa mère.

ENTRE DEUX PIERRES carrées se trouve le petit arbre, symbole de la poésie, qui planté là pour ombrager les pierres dépouillées rappelle surtout les arbres qu’on trouve dans nombre de potagers et jardins. Ceux dont on s’approche sans grand lyrisme pour prendre quelques feuilles à mettre dans la sauce. En allant un peu à l’entour on voit les autres proches, un peu de cordialité, un peu d’affliction. Outre sa maman il y a ses tantes, mais aussi son père Carlo, que Pier Paolo et Susanna, fuyant à Rome, laissèrent « près d’un poêle de pauvres, avec son vieux pardessus militaire et ses horribles fureurs de malade de cirrhose ». Le père qui ensuite les rejoindra dans la maison de Ponte Mammolo et essaiera de se rapprocher. Pendant quelques temps lui servant de secrétaire et s’abonnant même à l’Eco della stampa. Et puis une stèle entre deux fresques sur laquelle se trouvent gravés des noms de résistants. Parmi eux celui de Guido qui, écrit son frère, « mourut d’une façon que je n’ai pas le coeur de raconter ». Tué dans un moment de guerre fratricide entre partisans en lutte pour la frontière qui divisa les destins de la Yougoslavie et de l’Italie.

Peut-être l’album de famille commence-t-il justement entre ces tombes. Et il ne paraît pas inadapté de trouver le poète frioulan dans cet endroit du bout du monde plutôt qu’à Paris parmi les stèles fameuses ou à Rome à côté des cendres de Gramsci. Moi aussi je cueille trois feuilles du petit arbre et je les mets dans les pages d’un livre qui, sans le faire exprès, parle d’un autre garçon frioulan mort jeune (Giulio Regeni, ndt). Un étudiant de Fiumicello torturé en Égypte.

PUIS NOUS REVENONS vers la maison et nous sommes enfin prêts pour voir l’exposition avec les photos de Sandro Becchetti, photographe romain mort il y a sept ans.

Presque deux années de travail pour construire l’exposition qui restera à Casarsa jusqu’au 11 octobre. « Au début nous avons montré au Centro Studi la sélection officielle faite par Sandro », raconte Valentina qui connaît bien le travail de Becchetti et parcourt depuis longtemps les photos de ses archives labyrinthiques desquelles nous attendons que sortent rapidement de nombreux visages et routes, mémoires et visions. « Et puis on nous a demandé de voir aussi d’autres photos, celles qui ont précédé le cliché définitif. Pour suivre les traces de Pasolini, mais aussi pour comprendre comment Sandro cherchait l’image ». Et comment la cherchait-il ? « Il prenait les photos rapidement », dit-elle. Pasolini l’accueillit avec une froideur initiale. « Deux yeux glacés, le regard incisif comme un coup de couteau », raconte le photographe. Et le long des salles de l’exposition nous suivons les traces de ses mouvements. Y compris les ratés.

TROIS PHOTOS EN FILE pleines de petites imprécisions nous racontent cette recherche. Ensuite deux autres avant d’arriver à une composition équilibrée, incisive. Encore le détail des mains, un regard qui ne se trouve pas encore. Puis de nouveau la trace d’une fulgurance. Oui, dans l’exposition de Casarsa se trouvent les photos qui racontent le repérage avant le résultat. Et il nous semble un peu entrer dans la tête de Becchetti, penser ses pensées.

Puis apparaît Le Ceneri di Gramsci. Le regard est bas pour les premiers clichés comme dans les ébauches préparatrices d’un peintre. Les yeux de Pasolini bougent et regardent dans l’bjectif. Gianna Bellavia, la femme du photographe et archive vivante de ses clichés, rappelle que son mari justement demanda au poète de le [livre, Le ceneri di Gramsci ] tenir entre ses deux mains. Un rectangle gris sur la veste noire, dans une position qui rappelle certaines figures de saints tenant les écritures sacrées, icônes russes qui nous regardent en traversant la fine paroi du cadre et racontent davantage le silence que la prière, le vide étincelant autour des corps comme si ceux-ci n’étaient là que pour nous rappeler combien nous sommes proches de la disparition.

Et il semble vraiment qu’en un déclic Becchetti et Pasolini se soient rencontrés en essayant d’exorciser la peur de la réalité décrite dans Empirismo Eretico. Aucun des deux artistes n’a reculé devant la peur du naturalisme.

TOUS LES DEUX, chacun à sa façon, se sont mis dans un coin pour regarder le monde avec un pied dedans et un dehors. Inévitablement. Parce qu’il n’est pas possible de regarder la vie sans y participer, ni d’être impliqués sans s’imaginer comme personnages secondaires d’un mystère total. Ou d’une duperie. Becchetti l’écrit quand il parle de son « privilège d’être en marge » qui lui a concédé de devenir « une personne meilleure, parce que meilleur était le monde que les protagonistes de mes photos souhaitaient et pour lequel ils se battaient ».

Je sors de la maison Colussi. Le T.E.R de 16h31 est en retard de dix minutes.
Je prends un café au bar de la gare et feuillette le catalogue. La photo avec ce livre fameux de poésies est sur la couverture. Dans ce cadre il y a un troisième protagoniste qui a rempli de sens les fantasmes du 20ème siècle. Et se compose alors l’icône laïque.

Gramsci, Becchetti et Pasolini. Les cendres de trois poètes.

Édition de samedi 15 août 2020 d’il manifesto

https://ilmanifesto.it/la-poesia-dellerrore/

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio. Diffusion avec l’aimable autorisation de l’auteur.

 

À propos de l’auteur :

https://www.facebook.com/AscanioCelestini/

et https://www.theatre-contemporain.net/biographies/Ascanio-Celestini/

 

 

On trouvera ici les livres d’Ascanio Celestini publiés en français :

 

https://www.amazon.fr/Livres-Ascanio-Celestini/s?rh=n%3A301061%2Cp_27%3AAscanio+Celestin

 

 

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Mais c’est aussi l’occasion de rappeler un précieux livre d’entretiens inédits en français de P.P.P. lui-même :

 

 

Pier Paolo PASOLINI

Entretiens (1949-1975)

DELGA – 2019

347 pages

ISBN 978-2-37607-161-7

26 €

Ces entretiens, pour la plupart inédits en français, et édités par Maria Grazia Chiarcossi pour le public hexagonal, offrent un complément indispensable à la découverte de l’un des artistes majeurs du siècle passé et dont la profondeur de réflexion nous est devenue désormais indispensable, vitale.

On retrouvera les thèmes essentiels chers au poète italien, qui partent des recherches menées sur la langue et le style pour aboutir à la défense poétique de l’humanité ravagée par le néocapitalisme. On y lira aussi des réflexions sur marxisme et christianisme, sur son enfance, sur la révolte des étudiants de 1968 vue comme lutte interne à la bourgeoisie, sur son engagement communiste et humaniste, sur les ravages du développementisme au détriment du progrès.

Édition établie par Maria Grazia Chiarcossi

Traduit de l’italien par Marie-Ange Patrizio

Présentation éditoriale par Aymeric Monville

 

 

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Bien intéressant tout ça…

 

L’étrange Odyssée du Rhosus

 

 Comaguer – Bulletin n° 410 – 22.8.2020

 

 

 

 

Nous reprenons pour en approfondir certains aspects le récit couramment véhiculé par tous les médias internationaux des événements ayant précédé la catastrophe meurtrière de Beyrouth du 4 Août : 2750 tonnes de nitrate d’ammonium (NA) chargées à Batoumi Géorgie en septembre 2013 à destination du port de Beira au Mozambique pour une entreprise portugaise Fabrica de Explosivos de Mozambique fabriquant des explosifs et qui ne sont jamais parvenues à destination.

Le fournisseur est une entreprise chimique géorgienne Rustani Azot installée depuis l’ère soviétique à Rustani à l’est de Tbilissi et qui fabrique des produits azotés à partir de gaz naturel reçu d’Azerbaïdjan . Cette entrepris était la plus grosse entreprise industrielle de Géorgie et a bénéficié après la dissolution de l’URSS de l’aide financière de la BERD, banque destinée à soutenir l’activité économique dans les anciennes républiques soviétiques. L’Occident aidait ainsi les nouvelles républiques à s’insérer dans l’activité économique capitaliste internationale. La Géorgie était un des objectifs de cette réinsertion et était destinée à intégrer l’OTAN et l’Union européenne. Pas de chance cette entreprise a été rachetée par une autre après 2013 et ses dirigeants actuels n’ont, disent–ils, pas de trace de la « commande mozambicaine ». Pour mémoire, 2013 est l’année où la Géorgie se débarrasse de l’agent étasunien Saakashvili arrivé au pouvoir grâce à la première révolution des couleur ou plus exactement l’année où les Etats-Unis se débarrassent d’un agent décidément trop agité dans une république ex soviétique où ils sont particulièrement influents.

Lire la suite en pdf sur le site de Comaguer…

 

 

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Un petit livre rouge occidental ?

 

 

Un des collaborateurs du Saker, qui signe Straight Bat, a fait paraître sur le Saker’s blog, entre le 27 juin et le 15 août, une suite de quatre essais, consacrés à l’histoire de la Chine d’abord, de l’URSS ensuite, qui devraient, si les Occidentaux avaient quelque instinct de conservation, devenir leur « Petit livre rouge », tant ils sont à la fois documentés, rigoureux et, tant ils sont clairs, à la portée des plus ignares.

Straight Bat ne donne jamais son avis sur les événements qu’il rapporte, ni ne les « explique ». Il se contente d’aligner des faits irréfutables. C’est la somme de ces faits qui constitue pour lui (et pour nous) la vérité historique d’où n’importe qui devrait pouvoir tirer des leçons porteuses de futur, à supposer qu’il en reste un.

N’importe qui, parce que c’est le futur de tous que ce passé est en train d’engendrer. Les Occidentaux en particulier, parce qu’ils ont eu infiniment plus que les autres le cerveau lavé par toutes les formes possibles du mensonge et qu’il leur faut rebrousser un bien plus long et plus dur chemin que n’importe qui.

Ces essais ne sont hélas pas traduits en français. Ils devraient l’être sans tarder. Et publiés non seulement en ligne mais aussi sur papier : samizdats d’un nouveau genre à faire circuler !

 

 

Greatest ‘sin’ of Lenin and Stalin

Straight Bat for The Saker blog – 14.8.2020

https://thesaker.is/greatest-sin-of-lenin-and-stalin/

 

 

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Bridging China’s past with humanity’s future

Straight Bat for The Saker blog – 14.8.2020

Part 1 – 27.6.2020 – http://thesaker.is/towards-a-new-dawn-of-collective-community-in-a-new-union-2/

Part 2 – 29.6.2020 –  http://thesaker.is/bridging-chinas-past-with-humanitys-future-part-2/

Part 3 – 1.7.2020 – http://thesaker.is/bridging-chinas-past-with-humanitys-future-part-3/

 

 

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L’auteur :

Short profile : By profession I’m an Engineer and Consultant, but my first love was and is History and Political Science. In retired life, I’m pursuing higher study in Economics.

I’m one of the few decade-old members of The Saker blog-site. Hope that this website will continue to focus on truth and justice in public life and will support the struggle of common people across the world.

An Indian by nationality, I believe in humanity.

 

 

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Guerre hybride contre le Belarus : fidèle à sa réputation, Loukachenko apparaît avec un AKS-74U à la main

 

Strategika 51 – VIDÉOS – 24.8.2020

 

 

 

 

La Pologne et la Lituanie jouent avec le feu. Une guerre entre ces deux pays ayant ouvert l’ensemble de leurs bases militaires à l’OTAN et le Belarus n’est aucunement à exclure.

 

Le gouvernement polonais semble n’avoir rien appris des dures leçons de l’histoire. Son obsession à détruire la Russie est susceptible de causer une autre catastrophe mondiale et surtout un autre drame historique pour la Pologne.

Alexandre Loukachenko a toujours été droit dans ses bottes. Ses adversaires le connaissent et ce n’est point un hasard si ses ennemis ont choisi une femme pour jouer le même rôle que le pantin Juan Guaidó au Venezuela. Loukachenko n’a jamais cessé de critiquer en des termes très crus l’idéologie néolibérale et ses dérives.

Lire et voir la suite…

Source : https://strategika51.org/2020/08/23/guerre-hybride-contre-le-belarus-fidele-a-sa-reputation-lukashenko-apparait-avec-un-ak-74u-a-la-main/

 

 

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Et pendant qu’on y est :

 

Dernières infos de Secours Rouge

https://secoursrouge.org/

 

 

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Pas du tout

 

Mais à lire aussi

 

 

Le virus et la thérapie de choc appliquée au peuple

 

 

Nicolas Bonnalnicolasbonnal.wordpress.com – août 2020

via Le Saker francophone

 

 

 

 

Le virus inaugure comme nous le savons une redistribution des richesses par le haut (les oligarques et les GAFAM) et l’établissement d’une dictature informatique et médicale par le chaos apparent. Cette dictature voulue par les élites de Davos passe par la torture psychologique et même physique : le masque permanent et l’organisation de l’espace de nos villes comme celui des prisons. Le vaccin permettra d’achever le camp de concentration électronique qui fait rêver les élites qui gouvernent et qui ont été dénationalisées depuis longtemps (Huntington). Les impératifs humanitaires, écologiques ou autres servent comme toujours d’alibi à ce putsch que nous voyions venir au cours des années 2010 et que nous décrivions ici. Pour comprendre ce narrative je propose d’en revenir à l’inépuisable ouvrage de Naomi Klein Le Stratégie du choc. Les premiers chapitres donnent la clé pour comprendre le fascisme néolibéral depuis qu’il fut mis en place un fameux 11 septembre… 1973 au Chili. On complètera cet ouvrage par l’extraordinaire étude d’Armand Mattelart (proche un temps du président Allende qui citait avant de mourir la phrase de Jefferson sur les marchands qui n’ont pas de patrie) sur l’utopie planétaire, publiée à la fin des années 90.

Naomi Klein commence par citer l’écrivain uruguayen Eduardo Galeano : « Comment préserver cette inégalité autrement que par des décharges électriques ? »

Lire la suite…

Source : https://lesakerfrancophone.fr/le-virus-et-la-therapie-de-choc-appliquee-au-peuple

 

 

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L’inénarrable Navalny a-t-il inventé son coma ou ses sponsors l’ont-ils inventé pour lui ? Ils ne seraient quand même pas en train de s’en servir une dernière fois en s’en débarrassant ?

 

 

Navalny dans le coma : son aura politique reprend des couleurs

https://russiepolitics.blogspot.com/2020/08/navalny-dans-le-coma-son-aura-politique.html?m=1

 

 

Soyons sûrs que les merdias de service ne vont pas laisser passer une si belle occasion de nous administrer des shampoings de leur cru. Dans Le Soir de Bruxelles, le brave Kroll y va de son petit jappement. Faut bien manger :

 

 

 

 

 

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Dernière minute :

 

L’opposant russe Alexeï Navalny présente des signes d’« empoisonnement », selon un hôpital allemand

 

Sputnik.fr   –  24.8.2020

 

Ils ne disent pas à quoi…

https://fr.sputniknews.com/international/202008241044306980-lopposant-russe-alexei-navalny-presente-des-traces-dempoisonnement-selon-un-hopital-allemand/

 

« D’après la Charité, la substance exacte n’a pas encore pu être établie. Des analyses plus approfondies ont été lancées. »

 

Oh, ben… au novitchok, tiens ! Il devait sûrement leur en rester de l’autre fois.

 

 

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Mis en ligne le 24 août 2020

 

 

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