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20 avril 2024

Le grand danger posé par « Scholars at Risk » et la « Théorie du Genre » à la Tunisie


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Le grand danger posé par « Scholars at Risk » et la « Théorie du Genre » à la Tunisie
Posted on 09/04/2014 by Les Pacifistes de Tunis

scholarsatriskDe quoi parle cet article: Par leur occupation du terrain médiatique, de nombreuses associations de la «  »société civile » » tunisienne révèlent désormais leur vulgaire fonction de courroies de transmission de l’impérialisme. Dans un langage méta-démocratique et soigné propre au climat « révolutionnaire » pro-OTAN de 2011, elles visent à mener le peuple tunisien à accepter comme « naturels » ou « inévitables »: le mariage homosexuel, la pornographie en libre accès et partout, le caractère inéluctable des viols; soit un modèle de société aux antipodes des traditions vivantes de la Tunisie. La réflexion est ici suscitée à partir du cas de la très active organisation nord-américaine « Scholars at Risk » (« Chercheurs menacés », de Université de New York) qui, d’une part, s’intéresse de manière principale, et par là suspecte, aux prétendus dangers encourus par les chercheurs dans des pays comme l’Iran ou la Syrie. D’autre part, elle magnifie, dans notre pays, la Tunisie, les menaces de groupes fanatisés que les Etats-Unis eux-mêmes ont propulsés sur la scène mondiale en les finançant et en les formant: de l’Afghanistan à la Jamahiriya Libyenne et de la Syrie à l’Algérie. Pour leur salut, les Tunisiens doivent bouter hors de leur pays « Scholars at Risk », organisation dangereuse pour la confusion qu’elle entretient. Les Tunisiens n’ont pas besoin d’agents de l’impérialisme le plus totalitaire et le plus criminel que l’Humanité ait connu (récemment en Syrie et en Jamahiriya Libyenne – sans parler du viol permanent de la vie privée de tous les citoyens du monde) pour protèger eux-mêmes la liberté de penser des chercheurs indépendants comme ici, le doyen de la Faculté de sciences humaines de Tunis-La Manouba.

Par Les Pacifistes de Tunis

Le 9 avril 2014, s’est tenu une réunion de l’organisation Scholars at Risk (« Chercheurs scientifiques en danger ») dirigée par l’Université de New York et très active en Tunisie. Au programme de la réunion, on remarque notamment les interventions suivantes à partir de 15h30 (sous le titre: « Courage de penser »): Ahmed Shaheed, rapporteur spécial aux Nations Unies pour les droits de l’homme pour l’Iran; Ielyzaveta Shchepetylnykova, président d’une association ukrainienne d’auto-gouvernement estudiantin (« Student Self-Government »); Kholoud Saber, de l’Association pour la liberté de pensée et d’expression en Egypte; Myint Oo, de la Société birmane de médecins » et, enfin, pour la Tunisie, le doyen de la Faculté de sciences humaines de Tunis-La Manouba.

A 9h15, le lendemain (10 avril), sous le titre « Protéger les chercheurs menacés », on remarque les interventions de: « Berend Jonker, du programme UAF pour l’Iran; Stephen Wordsworth, du Conseil d’assistance aux académiciens du Zimbabwe; et Sarah Willcox, du Fonds de Secours aux chercheurs en Syrie.

Il est inutile d’aller plus loin dans les détails. Il est clair que les chercheurs « à protéger » sont des ressortissants, pour dire les choses très vite, des « Etats voyous », selon l’expression des impérialistes pour désigner ceux qui résistent à leur domination:

-l’Iran (en raison de son projet nucléaire et son soutien substantiel à la cause palestinienne et à la Syrie)

-l’Irak (en raison de sa résistance passée et présente et son alliance stratégique avec la Syrie)

-la Syrie (en raison de sa résistance et de son soutien indéfectible à la cause palestinienne et à la Jamahiriya Libyenne)

-le Zimbabwe (en raison de sa résistance à la domination coloniale et néocoloniale blanche en Afrique et son soutien à la Jamahiriya Libyenne)

La mention de Myanmar est visiblement destinée à éviter que la « focalisation » sur les Etats ci-dessus ne paraisse trop suspecte. On peut aussi suspecter que Myanmar se montre, depuis quelque temps, peu docile vis-à-vis des Etats-Unis …

Pour l’Ukraine, tout observateur aura vite compris quelle fonction antirusse est appelée à y jouer la « société civile ».

Par conséquent, dans tous ces Etats « triés sur le volet » (et dont l’actualité est « brûlante » comme chacun sait), les chercheurs scientifiques se trouveraient, selon « Scholars at Risk », en grand danger parce qu’ils y seraient systématiquement persécutés et menacés en permanence d’élimination physique. Dans le cas de l’Ukraine, c’est, bien entendu, la Russie, en tant qu' »ex-URSS », qui est visée. Il est également inutile de chercher à savoir pourquoi l’organisation new yorkaise n’évoque pas les chercheurs assassinés par les agents des services secrets des Etats pour lesquels elle-même sert de paravent…

Quant à la Tunisie, ne s’agira pas pour « Scholars at Risk », non plus, de critiquer ses institutions (de l’Armée à la Constitution et du Gouvernement à la « Société Civile » et aux partis politiques) puisque, dans leur grande majorité, elles ont pris (une nouvelle) forme suite aux diktats et remodelages de l’impérialisme lui-même à la faveur de son « printemps arabe ». Aussi, l’épouvantail reste-t-il toujours celui qui a servi à justifier les récentes guerres partout à travers le monde (de l’Afghanistan à la Jamahiriya Libyenne et de l’Irak à la Somalie): « Al-Qaida » et tous les groupes issus de cette bombe (avant tout médiatique) à fragmentation, comme les « jihadistes » et autres « salafistes » lesquels, de temps à autres, se retournent contre leurs maîtres et commanditaires de leurs crimes. Cela dit, la menace est réelle de la part de ces derniers, notamment vis-à-vis d’un chercheur sincère comme le Tunisien doyen de Faculté, invité à l’événement, et bien que ce dernier semble ignorer comment il est manipulé par « Scholars at Risk ».

« Scholars at Risk » et « Théorie du Genre »: un objectif commun

Afin d’assurer la pérennité de leur Système (basé, pour rappel, sur l’exploitation capitaliste de l’humanité entière et de son environnement), les Etats-Unis (et leurs laquais européens à la traîne) doivent faire en sorte que les sociétés de pays qu’ils dominent (par la force du dollar) adoptent leur mode de vie: en l’occurrence, l’American Way of Life.

Par exemple, selon eux, la « démocratie » n’a qu’une seule forme « efficace »: la leur, basée sur la mascarade tragiquement cyclique et bien connue des élections (gaspillage de millions de dollars en permanence, de temps et d’énergie) et c’est elle qui doit être imposée au monde entier. Quand une explosion sociale majeure a lieu quelque part dans le monde, comme en Tunisie en 2011, elle doit être canalisée par et vers cet artifice.

Dans le domaine de la vie quotidienne, les sociétés dominées en question sont appelées à se transformer radicalement en « évoluant » vers une pratique consumériste et la marchandisation de tous les aspects de la vie: de la nourriture à l’air des villes, et des loisirs jusqu’aux relations interfamiliales et sexuelles. C’est ainsi que des individus et organisations similaires à « Scholars at Risk » sont particulièrement actives en Tunisie (et dans tous les Etats se trouvant dans une situation de semblable instabilité) afin de préparer l’opinion à accepter puis changer son propre mode de vie en le confirmant, par la transformation de ses propres lois. Par exemple, et comme nous l’avons montré dans un article récent (1), il s’agit de conduire peu à peu le peuple à accepter la fameuse « théorie du genre » (Gender Theory) laquelle constitue en fait le fondement idéologique de toutes les législations visant, non pas à garantir l’égalité de minorités soi-disant opprimées mais, à déliter le tissu social et le conduire à s’harmoniser avec les objectifs de l’impérialisme (eugénisme, marchandisation de la santé, des corps, etc.).

L’exemple qui vient naturellement à l’esprit est celui du mariage des homosexuels (« mariage « gay » ») mais, comme le débat le montre dans un pays comme la France, la nouvelle éducation sexuelle des enfants, au nom de cette même théorie, vise en fait un conditionnement psychologique précoce à l’indifférenciation (entre les sexes) et à l’entrée dans le marché capitaliste désormais mondialisé de la pornographie (2).

En Afrique et en Asie, les impérialistes, sous le couvert de l’ONU (Agenda de l’ONU en matière de sexe)(3), en sont venus à conditionner l’aide économique à l’acceptation et à l’officialisation, par les Etats bénéficiaires, des nouveaux arsenaux juridiques relatifs aux droits des L.G.B.T. (Lesbiennes, Homo-sexuels masculins, « Bi-sexuels », « Trans-sexuels »). Des pressions permanentes ont également lieu pour contraindre les Etats à lever toute forme de blocage de la pornographie transnationale (pour rappel: principalement produite aux USA). Encore une fois, l’objectif est de chercher à transformer les comportements et les « goûts » de la jeunesse africaine et asiatique afin de les rendre conformes à celle des jeunes Etatsuniens en matière de sexe si bien illustrée par la production hollywoodienne. Les « sociologues » de service se font alors toujours remarquer avec des titres en librairie du style: « La nouvelle sexualité des Français » et, en Tunisie-copie-collée, la même chose (juste remplacer « Français » par « Tunisiens » dans le titre…).

Au-delà, on peut également y déceler une volonté d’empêcher la jeunesse de ces régions de s’interroger sur les sources ultimes de son exploitation (fonction d' »opium du peuple », en termes marxistes).

Vers l’officialisation du mariage homosexuel en Tunisie

Dans un pays comme la Tunisie, où les gouvernements, issus de la révolution pro-OTAN du 14 janvier 2011, ont docilement levé tous les obstacles à l’invasion de la pornographie (1), la question du « mariage pour tous » tunisien (autrement dit du mariage entre individus homosexuels) n’est plus, selon les calculs de l’impérialisme, qu’une question de temps.

Pour qui s’oppose à de tels plans, un mouvement d’opposition s’est heureusement mis en marche en France. Sa figure emblématique est Farida Belghoul (4), une femme dont la conception et la pratique du féminisme tranche avec ce qu’il était devenu, ou tel qu’il est maintenant illustré, dans ses pâles imitations dans la Tunisie « révolutionnaire », par des avocat(e)s qui révèlent déjà leur rôle d’agents d’introduction des arsenaux juridiques L.G.B.T. (Lesbiennes, Homo-sexuels masculins, « Bi-sexuels », « Trans-sexuels ») à venir. A n’en pas douter, ces derniers se limiteront, comme dans beaucoup d’aspects de la « Nouvelle » Constitution, à un vulgaire « copié-collé-un-petit-peu-adapté-et-traduit-en-arabe » de leur original français.

genretheoriefrance

Le « pavé » qu’a lancé la révolutionnaire Farida constitue encore un geste dans la direction opposée à celui des faux-athées tunisiens (Jabeur Mejri et Ghazi El-béji)(5), « encensés » et défendus par tout ce dont la lie de la « société civile » tunisienne liée à l’impérialisme peut disposer d’agents. En effet, comme enfants de la « révolution » tunisienne, leur « exploit » fut de produire des écrits insultants mais non pas contre l’impérialisme, véritable responsable de leur condition de paumés et chômeurs de la ville côtière de Mahdia. En effet, la dictature dont le peuple tunisien a souffert n’est pas celle du régime de Ben Ali en soi mais celle de sa surexploitation par les diktats du Fonds Monétaire International (FMI) que l’ex-président se chargeait de mettre en œuvre. Quand on voit, après trois ans de « révolution » que les mêmes diktats ont été renouvelés au peuple tunisien par les « nouveaux » dirigeants « démocratiques » (voir le « prêt toxique » de 300 millions d’euros par le FMI)(6), on peut en déduire que la nouvelle dictature n’a rien à envier à la précédente puisqu’elle n’a rien amélioré dans la vie quotidienne des gens: à commencer par le travail pour gagner le pain quotidien. Les deux « héros » de la « liberté d’expression » (sic) ci-dessus ne s’en sont pas pris à ce Système inhumain mais ont accepté d’en jouer le rôle d’agents en diffusant en Tunisie une fresque pornographique et sioniste « made in USA » intitulée « Wahm Al-Islam » (L’Illusion de l’Islam) de plus de cent pages et mettant en scène le Prophète de l’Islam lui-même…

Par conséquent, on peut s’attendre à ce que les avocat(e)s de la « société civile », via leurs porte-voix habituels (des journaux du Système comme Leaders.com.tn, Nawaat.org, Kapitalis.com et tant d’autres), s’entraînent déjà à la manière de présenter, définir, et expliquer les gros mots L.G.B.T. (Lesbiennes, Homo-sexuels masculins, « Bi-sexuels », « Trans-sexuels ») et « Théorie du genre », au peuple tunisien.
A quoi ressemble une avocate de la « société civile » et un journal servant les intérêtes de l’impérialisme tunisienne dans la Tunisie de l’An III de la Révolution pro-OTAN. l’époque

A quoi ressemble une avocate de la « société civile », épanouie, « libérée » et parlant « librement » des viols (liés en fait à l’invasion pornographique récente autorisée par la nouvelle législation approuvant la « libéralisation » capitaliste des télécommunications) – et à quoi ressemble un journal « libre »servant de courroie de transmission à l’impérialisme dans la Tunisie de l’An III de la Révolution pro-OTAN (laquelle a causé, après 7 mois de bombardements, la mort de 150 000 personnes dans la Jamahiriya libyenne, un pays voisin et ami depuis toujours…)

Voyez, par exemple l’analyse insipide d’une Jamila Ben Mustapha, « universitaire » (sic) qui prétend mettre sur un même plan deux comportements: le port du Niqab et la nudité publique totale (7). Mieux, considérez, plus récemment, comment une autre « universitaire » (sic) encore plus pédante et ostensiblement « sexuellement libérée » comme Monia Ben Jémia (8), discourt (dans le même journal de l’Empire en Tunisie (Leaders.com.tn, celui-là même qui annonçait aussi le congrès de « Scholars at Risk ») sur les divers types de viols. Où est sa crédibilité si, comme la précédente « intellectuelle », elle ne dit pas le moindre mot sur l’invasion pornographique capitaliste de l’éther tunisien, à l’origine même de l’explosion de viols en Tunisie (et partout ailleurs dans le monde, là où le robinet à pornographie, principalement internet, a été ouvert par décision gouvernementale suite à un diktat de l’impérialisme)(1)? Et ne parlons pas du viol de l’intégrité territoriale et aérienne de la Tunisie par des engins liés aux menées de ce même impérialisme depuis la révolution pro-OTAN du 14 janvier 2011 (9 et 10)…

Le monde musulman attend son Dieudonné caché

Sur ces questions (de sexe, évidement), tous ces beaux-esprits, occidentalisés (ou, plutôt hyper-occidentalisés depuis 2011), avocat(e)s de la « société civile » et du « printemps arabe » de l’OTAN, dont ils chantent les louanges du matin au soir dans les médias, font face à une capitulation inattendue de la part de pratiquement tous les Tunisiens et particulièrement des groupes religieux comme celui d’Anne Nahda, entre autres. On peut se demander pourquoi. Une telle attitude constitue de fait un aveu de faiblesse devant un Ennemi, hyper-vicieux et violent, contre lequel ils ne peuvent utiliser ni de la même langue ni, en raison de leur pudeur (pareille à celle des Catholiques), du même langage: c’est-à-dire celui de la pornographie. Au lieu d’affronter les arguments des premiers, ils fuient littéralement en avant ou se replient sur eux-mêmes.

Rappel d’une révélation psycho-sociologique: C’est cette même attitude (de repli sur soi-même, la tradition et la religion) qui explique l’épidémie mondiale de « voile « islamique » » depuis trois décennies (début de l’invasion pornographique du monde par l’impérialisme). Le voile est, pour eux, un symbole de résistance (non-dite et donc à « déchiffrer » pour qui voudra bien comprendre).

Un détour par la France résistante à un tel Nouvel Ordre Moral (et mondial) aidera à mieux comprendre. Dans ce pays, un artiste comme Dieudonné s’est souvent opposé à l’Empire, non pas en insultant les religions et leurs fidèles mais en utilisant la même arme pornographique contre ses agents qui la déploient partout: des hommes et femmes politiques valets de l’impérialisme aux avocat(e)s de la « société civile » et des médias à leur solde. Ses ennemis ne trouvent alors d’autre épouvantail à agiter que de crier au « négationnisme » par ci et à l' »antisémitisme » par là.

D’une part et si nous avons bien compris, Dieudonné, dans un moment de « ras-le-bol », comme disent les Français, a publiquement qualifié de « pornographie » l’abus de l’usage de l’espace public (médias du Système, notamment) pour rappeler constamment, et exclusivement, à la mémoire du peuple, un même évènement indubitablement tragique et inhumain: celui du massacre de Juifs pendant la seconde guerre mondiale.

D’autre part, et encore une fois si nous avons bien compris, il est souvent critiqué pour lancer des « quenelles » (ayant une évidente connotation pornographique) à ses détracteurs et non pas aux fidèles des diverses religions. C’est sur ce point qu’il est intéressant ici parce que l’artiste, tant haï par le monde « politiquement correct », et peut-être sans s’en rendre compte, utilise en fait une arme d’une efficacité symbolique aussi forte que celle de ses détracteurs.

Or, en Tunisie, comme dans tous les pays musulmans, désormais impuissants pour contenir le tsunami pornographique imposé comme un diktat du FMI (1), un artiste comme Dieudonné ne s’est pas encore manifesté. Tous ceux que l’on peut voir s’exprimer sont des produits du Système et sont payés pour assurer la continuité de ce dernier. Le monde musulman se tient donc l’attente de son Dieudonné caché qui le libèrera de l’horreur totale dans laquelle il est plongé.

Conclusion

-Résistons ensemble à l’empire le plus hyper-totalitaire qu’ai jamais connu l’Humanité et à l’immense lavage quotidien de cerveaux.

-Femmes tunisiennes, sans enfants ou mères de famille, relevez, haut, la flamme du féminisme authentiquement révolutionnaire. Gloire à:

-la Libyenne Hala Misrati (11),

-la Syrienne Yara Saleh (12),

-la Russe Clara Zetkin (5),

-la Française Farida Belghoul (4)!

-Osez démasquer tous les des agent(e)s avocat(e)s

de la « société civile » tunisienne à la solde de l’impérialisme!

-Avec amour et pour la paix sociale et entre les peuples du monde,

reprenez en cœur:

«  »Scholars at Risk », Yezzi Now! Go to Hell »!

« Théorie du Genre », Dégage! »

SOURCES A CONSULTER

1- Le capitalisme a un sexe gros comme le monde et voici comment il l’utilise… Avril 2014

http://pub.mathaba.net/2014/04/06/le-capitalisme-a-un-sexe-gros-comme-le-monde-et-voici-comment-il-lutilise/

http://www.plumenclume.net/articles.php?pg=art1574

2- La pilule à gogos. Par Maria Poumier

http://www.plumenclume.net/articles.php?pg=art1552

http://www.civitas-institut.com/content/view/1131/1/

3- La conspiration sexuelle de l’ONU. Par Btoux_1979.

http://www.dailymotion.com/video/xvc1rt_la-conspiration-sexuelle-de-l-onu_news

4- Farida Belghoul. Initiative en France contre la « théorie du genre » et sa « pratique »

http://www.jre2014.fr/2014/03/05/lettre-type-aux-chefs-detablissements/

http://www.civitas-institut.com/content/view/1131/1/

5- Tunisie: La vérité censurée sur les `Versets Sataniques` de Ghazi El-Béji et Jabeur Mejri. 17 avril 2012

http://www.mathaba.net/news/?x=630227

6- Appel de toutes les forces démocratiques et progressistes tunisiennes pour s’opposer au prochain prêt toxique de l’Union européenne à la Tunisie. 25 mars 2014

http://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/author/entreleslignesentrelesmots/

7- « Nudité intégrale contre niqab ». Par Jamila Ben Mustapha: 13 mars 2014.

http://www.kapitalis.com/afkar-2/21170-tribune-societe-nudite-integrale-contre-niqab.html

8- « Les violences physiques ne sont pas inhérentes au crime de viol en droit pénal tunisien ». Par Monia Ben Jémia: 8 avril 2014.

http://www.leaders.com.tn/article/non-les-violences-physiques-ne-sont-pas-inherentes-au-crime-de-viol-en-droit-penal-tunisien?id=13771

9- Le ciel tunisien devenu un terrain de surveillance de masse. Les Pacifistes de Tunis, 7 janvier 2014

http://www.tortillaconsal.com/albared/node/2978

10- Vidéo de confirmation : « Croisement de 5 avions de ligne simultanément dans le ciel » (de Tunisie). Par Anouar Hamza

http://www.youtube.com/watch?v=bMa66gtzzTg

11- Le rouge et le noir chez Hala Misrati, héroïne mondiale du journalisme. 8 mars 2012 (pour la Journée mondiale de la femme…)

http://www.mathaba.net/news/?x=629992

12- La Syrienne Yara As-Saleh et la Libyenne Hala Misrati, héroïnes du journalisme libre. 14 août 2012

http://www.mathaba.net/news/?x=631076

About Les Pacifistes de Tunis
Nous sommes un collectif de citoyens (en majorité des femmes) ayant décidé de réagir à la guerre impérialiste et hyper-totalitaire contre la Grande Jamahiriya Libyenne, menée avec la complicité des médias et partis politiques tunisiens dans leur très grande majorité… Depuis près d’un siècle, l’opposition à l’impérialisme implique de défendre sans hésiter tout pays à travers le monde (du Zimbabwe à Cuba et de la Syrie au Nicaragua) qui serait agressé par une ou des puissance(s) néocoloniale(s). Aussi, nous nous tenons sans ambigüité aux côtés de la SYRIE dans son épreuve actuelle. Nous défendrons aussi l’Iran et le Liban malgré les graves et suicidaires erreurs morales («crier avec les loups» contre la Jamahiriya) de leurs dirigeants politiques. Nous n’oublierons jamais les millions de morts causés par les guerres incessantes de l’impérialisme contre les peuples d’Asie (particulièrement les 200 000 victimes, dont 100 000 morts immédiates, des bombes d’HIROSHIMA et NAGASAKI ; la guerre contre le Vietnam, l’Afghanistan, le Pakistan) ; les peuples d’Amérique Latine; du Moyen Orient (Irak…); d’Afrique et d’Europe aussi (Yougoslavie). Nous faisons nôtre les consignes humanistes de Che GUEVARA et Mouammar AL-GADDAFI : « Surtout, restez toujours capables de ressentir au plus profond de vous-même toute injustice commise contre quiconque, n’importe où dans le monde. C’est là la qualité la plus belle chez un révolutionnaire ». Les Pacifistes de Tunis
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