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17 avril 2024

Émanation du 23ème sommet de l’entente africaine de Malabo


Émanation du 23ème sommet de l’entente africaine de Malabo

Joseph TAPA

Aujourd’hui à 3h29 PM
02/07/14

Afrique-Centrafrique : Le cynisme chinois en Afrique à
                                 vomir
Afrique-Centrafrique : Le cynisme chinois en Afrique à vomir
Pendant que les esprits avertis sont préoccupés à échafauder des idées et moyens à endiguer à défaut d’éradiquer les voies de la violence déstabilisatrice des concordes et cohabitations nationales, à l’instar du délitement parcourant  la Centrafrique  :  la Chine  elle s’infiltre d’une perversité des plus abjectes concourant à déstabiliser les efforts par l’achat des consciences.

L’ambassadeur chinois, Sun Haichao, accrédité à Bangui (Centrafrique), se démène à positionner son pays dans les bonnes grâces des populations et l’administration locale par des pratiques sulfureuses, malintentionnées et méprisables. Ce dernier tenant à faire savoir que son pays a accordé un don de 1,2 millions de dollars sous forme d’articles de bureaux, des équipements et des médicaments pour les populations centrafricaines !

Pratique sulfureuse
Vu la faiblesse du montant du don au regard de la population de pas moins de 5 millions d’habitants, de la répartition de celui-ci, il ne peut en ressortir que celui-ci ne poursuit aucunement le but à lui pressenti : aider les populations centrafricaines.

De plus, il ne serait surprenant que les présents, composants de répartition du don, en sont des babioles communément dénommées chinoiseries en raison de mauvaise qualité. Tout comme il ne saurait être minoré le vicieux de l’impact réel du dit don, dont le bénéfice d’importance se retrouve être un patent soutien financier aux entreprises chinoises (bénéficiaires des achats) au détriment de celles centrafricaines qui en ont bien besoin de financement par consommation de leurs productions pour ainsi concourir de participation au retour à la paix par l’emploi dans ce pays.

Pratique malintentionnée
Au vu du montant du don par rapport à la réalité du nombre de la population centrafricaine et dont les besoins en équipements et médicaments ne sauraient être satisfaits par si peu….il ne saurait autrement être douteux du but poursuivi non distinct de corruption d’une élite à des fins d’éblouissement et en poursuite d’avilissement via cette élite des masses populaires : pratique ayant fait ses preuves aux plus belles heures des colonisations où des babioles distillées à certaines élites suffirent à flouer leur discernement et embarquer pour des siècles leur populations dans des souffrances encore à nos jours présentent chez nombres d’Africains.

Pratique méprisable
Au regard de la grave crise de fragmentation sociétale parcourant  la Centrafrique  : le concours d’assistance d’un intérêt à participer positivement et de bon esprit à la résorption de crise impose, à cet effet, un certain silence sur des actes désintéressés de profit individuel.

Communiquer de la sorte face à une crise d’une telle importance que celle que traverse  la Centrafrique  et sur si peu au vu de la réalité des besoins, emprunte de perversité indubitable la marque caractérisé d’un réel mépris.

Joseph TAPA 
 
Des néo rebelles chez les leaders africains se font-il jour ?

le 30 juin 2014

La nouvelle dynamique chez certains leaders Africains en serait à s’apitoyer d’excitation le soutien populaire par de fumantes déclarations sur l’illusion d’une Afrique nouvelle en voie de modernisme (à l’image de l’Occident),
prospère (à en croire qu’elle ne le serait pas), et autres escamoteurs épithètes des faiblesses qui à défaut d’être leurs qu’ils n’arrivent ou n’entendent pas combattre ; en gesticulant -de discours- asséner des vérités à l’endroit de l’Occident !

Que de déclarations sur fond d’incartades, dont se fend en fatuité entre autre Obiang Nguema de  la Guinée Equatoriale , tendant à évoquer un chamboulement de conscience et d’esprit essaimé auprès des Africains. À en croire que l’agentivité dont fit montre jusqu’ici le peu d’illustres leaders africains vite assassinés à l’instar Thomas Sankara, à agir, à influencer et transformer les êtres dans un élan à sortir les populations africaines des marqueurs scarifiés des colonisations, ferait des émules auprès de cette génération de leader plus soucieux à plaire et de complaisance susciter compassion à s’attirer les faveurs d’étrangers notamment l’Occident quand ce n’est l’Asie en substitution.

En admettant, de charmante illusion, que le supposé virulent des propos des prétendument néo rebellés (à l’image des Obiang Nguema, Paul Kagané du Rwanda, etc.) scandés de vacarme de concert médiocre sur fond de distraction tapageuse à destination du minuscule d’affidés, rabâchant « en lecture » de discours, l’irréversibles marche de l’Afrique vers la prospérité (dixit Obiang Nguema) : de sincérité que l’on veuille bien pouvoir porter à ses louables déclarations « intentionnelles », celles-ci résistent-elles au vide de la vacuité au constat que les auteurs-lecteurs des discours populistes ne s’appuient à jamais sur des réalisations concrètes !

Où en est ou sont les traces ou marqueurs de la supposée révolution instiguée par les néo rebellés ? Elle se caractériserait par les réalisations d’ouvrages publics par des étrangers prétendument fustigés d’entraver le développement de l’Afrique ? L’illustre assassiné Sankara eut recours aux populations locales pour matérialiser les structures et ouvrages (tels des barrages hydroélectriques, aménagements d’espaces et voiries publics, etc.) nécessaires à l’expression de leur bien et mieux être avec l’ambition de favoriser l’expérience et dotant là l’initiative et esprit capacitaire !

Les néo rebellés dont le soutien populaire, pour peu que l’on puisse dire, leur fait défaut dans leur propre espace, qui d’admiration ouvrirait un halo de lumière transnational africain : conceptualiseraient d’observation qu’à entrevoir le bien et mieux être dans les traces, derrière les pas et sous la bienveillance de faveurs de non africains ! Ce à quoi d’une quête d’enfumage collective d’esprit via l’étourdissement du rêve, ces néo rebellés distillent allègrement des sornettes !


Elle est bien belle celle là qui voudrait à faire croire que l’on puisse être meilleur et vivre mieux en absence de son propre fait mais du fait d’autrui ! Avec Qui ces néo rebellés entreprennent-ils s’appuyer et mettre en œuvrent leurs fantasmes : les Africains ?

Elle est bien drôle cette moue contestataire des néo rebellés sans en rappeler de navrant cet autre enfumage tapageusement en son temps présenté de civilisation et qui vit l’Africain mis en marge ou à l’écart de la définition, de l’organisation, de la constitution des artères de son existence actuelle : que les néo rebellés pourfendent en ne s’appuyant pas, d’une ironie, sur l’Africain !

Quelle saveur peut avoir un bien être construit par d’autres que Vous ?


Que les faux néo rebellés, indélébiles complices à ne pas en douter (marqués de jeunesse de colonisés) de l’avilissement des structures et organisations africaines aux puissances exogènes et de l’enferment en médiocrité de l’initiative et l’emprise africaine dans les constructions sociétaires : prospèrent d’héritage de colonisés ailleurs que sur les sentiers de l’Honneur et de  la Dignité  empruntés par les illustres Grands Frères tels les Sankara, Lumumba, Kadhafi (qu’ils ont par ailleurs sciemment abandonné être porté à l’échafaud), Boganda, nombres d’anonymes, etc.

Joseph TAPA

 
Le président Biya divague ou s’éveille drôlement ? 
le 29 juin 2014

Le président du territoire dit Cameroun, plus connu sous le patronyme de Paul Biya, dans une adresse à ses congénères et laudateurs lors du récent 23éme sommet ordinaire
de l’entente africaine (Union Africaine : U-A) à Malabo en Guinée Équatoriale, sur la thématique ouverte de lutte contre l’insécurité galopante et la menace de paix, aurait déclaré que l’Afrique devrait s’organiser à combattre les envahisseurs !

Soit, il s’agissait d’un discours dont le pedigree rattachable n’est autrement qu’expression d’intentionnel. Quand bien même sincérité puisse en être en une voie de matérialisation : il en est à se demander ce que couvrirait chez ce dernier l’utilisation du mot envahisseur ? Devrait-il s’agit de lutter contre l’Occident, l’Asie, le Moyen Orient, l’Amérique…vu que l’Africain ne saurait être un envahisseur sur son territoire et continent ?

Il eût été possible de croire que cette adresse entendait mettre en garde des territoires africains contre le fait de populations africaines étrangères à ces territoires. Cependant, dans les faits des territoires africains où sévissent des dissensions avec emploie d’armes à feu, force est de constater : qu’en Centrafrique, au R.D Congo, en Libye, au Mali, au Soudan et Soudan du Sud, et autres, les contestataires en plus d’être africains sont des ressortissants de ces nations….point des envahisseurs.

En outre qu’est ce qui transforme des pans de population à se sortir de la symbolique de la contestation non violente….: que de choix entre l’exclusion ciblée des structures collectives, l’accaparation clanique du pouvoir et des responsabilités publiques, la permanence d’échecs sociétaux et économiques en tous genres, l’enfermement alors que dit indépendant dans des vues étrangères aux populations locales, la contrainte dans des aspirations dictées de l’étranger, bien longue serait la liste. Qui en porte la responsabilité pour en être combattu ?

Manifestement le sursaut d’éveil cérébral en lutte contre la sénescence produirait des confusions décrédibilisant de sérieux les déclarations sous l’emprise d’un tel état.

Et si de bonne compréhension cette adresse serait une estocade à l’immixtion étrangère en terre africaine : l’interpellation là aussi serait à savoir des moyens que mettraient à disposition des populations à cet effet, ce dernier et comparses actuellement en chargent de la destinée des territoires africains !?
 
Joseph TAPA 
 
L’Ironique Conclave du sommet de l’entente africaine de Malabo

le 27 juin 2014

À la mutation de la contestation en Afrique, du symbolique à une évolution de violence armes en mains, contre les affres néocoloniaux, c’est intronisée d’extraordinaires rencontres internationales sous les intitulées de Paix et  Sécurité en Afrique.
Sous l’égérie, des plus retentissant pour l’heure, de  la France  à deux reprises officielles. Révélant d’une aporie l’impéritie des guignes en responsabilité des voies de lutte contre les contestations.
 
Le dilettantisme affirmé des responsables africains face à ces questions de sécurité se véhicule à la perception du fait qu’ils ont tout bonnement attendu une cession ordinaire de l’institution politique et sécuritaire majeure africaine, qu’est l’Union Africaine dotée d’un organe dénommé Conseil de paix et de sécurité, pour en interne internationale africaine se saisir ensemble des interpellations relatives à la recrudescence des constations armées en Afrique.
 
L’urgence de la prise de mesures d’importances essentielles qu’impose la tenue de sommet extraordinaire, ayant été de compétence supranationale, sur le fondement d’inconnue convention, octroyée aux puissances étrangères à l’Afrique : le tapage du sommet de Malabo  saurait-il être autre chose que la distraction au mieux d’un conclave de présentation et d’enregistrement de ce qui se dégagea des sommets extraordinaires ? Peut-il s’imaginer qu’il puisse en sortir résolution contraire à celles définies sous le férule des sommets extraordinaires à initiative non africaine ?
 
L’Union Africaine au loin des missions à elle conférée et devoirs dues à l’endroit des populations dont-elle exprime la représentation internationale, sans qu’ils soient ouvert à son encontre des mécanismes de sanction au bénéfice des représentées, se spécialiserait en des rencontres en sommet de type raout mondain ou est mis en avant la quête du populisme…à l’exemple récent des obséquieuses annonces de dénonciation de retrait -de toujours pas actée plus d’une année plus tard- du traité reconnaissant compétence supranationale à  la Cours  pénale internationale accusée à tord ou à raison de juridiction partiale. Dans le même élan de similarité soporifique : la nouvelle donne de la diatribe africaine en serait à s’insurger contre la nouvelle forme de contestation populaire armes au poing, et s’ambitionner -comme de toujours dans l’écoulement du temps et à l’horizon d’un avenir malmené d’un présent insoluble de spécificités divergentes- à y porter adéquate et conséquente réponse par le renforcement de la capacité des moyens militaires ! Qu’elle est belle cette ambition contraire à la célèbre image de l’arbre à palabre africain autour duquel tout dissentiment se devait d’être porté à résolution par les sages (aînés)…la novation culturelle en serait que tout dissentiment soit porté d’extraordinaire en sommet à et chez l’étranger non africain et que de résolution la sagesse en soi le concours de son industrie d’armement !
 
Quel(s) conflits la guerre ouverte par la supériorité technologique a larvé au point de faire naître un meilleur fut-il des cendres ? De Hiroshima au Japon ou l’utilisation de la bombe atomique ne vient point à bout de la vie ; aux multiples guerres occidentales plus précisément en Afrique comme récemment en Libye et celles Us en Irak et Afghanistan avec l’appui de supériorité de tout genre : le recours à la négociation dont à l’écoute des contestataires n’en est-il pas l’issu ?
 
Le conclave de Malabo en vitrine certaine pour les ectoplasmes qui ne bouderont pas à se défouler et à renâcler tout le mal qu’ils pensent du néocolonialisme dans un élan populiste, tout en se disposant à s’armer dans les artères du néocolonialisme voué aux gémonies y compris asiatique, serait indéniablement un lieu de digression de plus. Qui ne touchera point de sujet : de l’appauvrissement accentué des Etats et populations par le secours porté aux chancelantes économies étrangères sous le fallacieux de sécurité en l’Afrique ! Comme ci les conflits parcourant actuellement l’Afrique d’Est en Ouest, du Nord au Sud, n’étaient pas internes aux nations constituées, et de loin la marque d’agression extérieure, caractérisant qu’il ne puisse autrement que difficilement être ouvert des voies de l’entente ou de la négociation au détriment de celle génocidaire ! Après l’envolée en sera de l’exècre à l’endroit de  la Cours  pénale internationale.
 
Manifestement, coutume étant des rencontres des impétrants paradant sous les lumières de l’Union Africaine, l’objectif en serait en continuité de pantalonnade à frapper d’hémiplégie la conscience collective des masses populaires africaines : endoctrinées à se liguer contre un ennemi virtuel !
 
Les conflits fraternels africains pour juste que l’on veuille sincèrement s’appliquer à y porter  résolution et entraver de possible propagation : ne sauraient emprunter de succès le cyclisme du bellicisme…dont l’intérêt de fond n’est autrement que soutien à des structures non constituées et non établies au bénéfice des Africains.
 
Que les faux marabouts en conclave à Malabo sous le fumant d’entente africaine aillent disséminer leur malheur ailleurs. La violence des contestations en interne africaine serait neutralisée à coup sûr par l’interdiction de ces derniers (faux marabouts) à prodiguer des soins…mais voilà que de finasse il n’est pas de mécanisme ouvert aux populations pour les sanctionner en interne de l’entente africaine !
 
Joseph TAPA
 
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