Aller à…
RSS Feed

28 mars 2024

Le petit journal de Karim



 16 juillet 2014
Objet : Y a-t-il une alternative à l’ensauvagement du monde ?


 
Dernier arrêt avant l’autoroute.



De : Allain Jules <comment-reply@wordpress.com>
Date : 16 juillet 2014
Objet :TERRORISME INTELLECTUEL. Palestine versus Israël: la victoire du CRIF et de la LDJ… by Allain Jules

…Sur la République Le Gouvernement français se cache désormais derrière la police pour faire croire qu’il n’est pas à l’origine de l’interdiction désormais, à Paris, des manifestations pro-palestiniennes, du moins, celle qui devait avoir lieu vendredi prochain, le 18 juillet… Une forfaiture ridicule et un déni de démocratie criard quand on sait que le maire Lire la suite
16/07/2014

Ils veulent que leurs territoires soient placés sous la protection de l’Onu : L’appel à l’aide des Palestiniens


De :Tarik <comiteantiimperialiste@gmail.com>
Date : 16 juillet 2014
Objet :  : URGENT ! Report du rassemblement Donbass du Samedi 19 à 18h !

Que ce soit pour dénoncer les massacres à Gaza ou à Donbass, c’est le même combat. Lutter pour la Justice c’est dénoncer les tueries nazies partout
Ginette

Salut,

Désolé pour ces changements de dernière minute, mais en fin de compte il a été décidé de ne pas changer le jour mais simplement l’heure de notre rassemblement Donbass, pour ne pas être en concurrence avec la manifestation pour la Palestine. Notre rassemblement pour le Donbass aura donc lieu:

Samedi 19 Juillet à 18h
devant l’Ambassade d’Ukraine
Place de Breteuil
Coté Avenue de saxe
75007 Paris
Métro Ségur ou Saint-François-Xavier

A samedi
Tarik pour le Comité France-Donbass

 

 

 


Date : 16 juillet 2014
Objet : Mémoire!mémoire!!! À lire les amis

L’invitation française à Alger pour faire défiler des soldats de l’ANP le 14 juillet démontre que la France officielle n’a qu’une lecture séquentielle de l’histoire, de sa propre histoire d’ancienne puissance coloniale. Car on ne peut parler des «sacrifices» des contingents algérien, marocain et tunisien durant le massacre de la Grande guerre sans le contextualiser dans un processus historique marqué durant plus d’un siècle par les tensions entre les tenants des idées d’émancipation ou d’indépendance d’un côté, et la logique coloniale de l’autre. Comme le démontre la figure de l’Émir Khaled et les jeunes algériens au début du XXIe siècle, et leur combat pour une citoyenneté égalitaire face à une administration française autiste qui s’est joué de l’idée républicaine jusqu’à la vider de son sens, au point qu’aucun militant algérien, même parmi les moins radicaux, n’a pu croire ensuite à autre chose que la libération par les armes.

Pourquoi donc commémorer la séquence de la Grande guerre, ou la participation algérienne forcée à la Seconde Guerre mondiale, en occultant le refus colonial de reconnaître la dignité aux Algériens, réduits au statut de chair à canon de l’Empire qui se meurt ? Cette invitation aurait eu un sens si la France officielle avait engagé une véritable réflexion, loin des passions nourries par des groupes mémoriels insidieux, autour du pourquoi de ce déni, réfléchir sur ce profond stigmate français qu’est la contradiction entre le républicanisme universel et l’inhumaine injustice coloniale.

Une réflexion qui n’est pas seulement utile à l’assèchement des marécages où s’épanouissent les idées nauséabondes de l’extrême droite française (et d’autres), mais qui peut donner des clés sur la persistance des problématiques de l’immigration et du modèle français de l’intégration qui bat de l’aile : comme le préconisait le sociologue de l’immigration Abdelmalek Sayad, on ne peut traiter politiquement, socialement ou culturellement l’immigration algérienne sans comprendre qu’elle n’est que le produit de la colonisation. Ou comme Frantz Fanon, qui va plus loin en démontrant la participation de l’idée coloniale à la construction de l’identité et de la nation française et qui a permis à l’inégalitarisme culturel et identitaire de se banaliser dans une République qui se croit égalitaire.

C’est un profond effort de réflexion qui est nécessaire, des deux côtés de la Méditerranée, sur l’histoire et ce qu’elle nous enseigne, pour que les horreurs ne se répètent pas : rappelons-nous que l’amnésie sélective française a fait que Papon, déporteur des Juifs de France, a récidivé sous l’uniforme de la République française en massacrant les Algériens de Paris en octobre 1961. Un profond effort de réflexion, donc, loin de la politique des petites phrases d’un côté comme de l’autre, et loin des arrangements entre l’Élysée et El Mouradia, sur le dos de l’histoire commune, douloureuse certes, mais si partagée.

Adlène Meddi

Journal El Watan



Date : 16 juillet 2014
Objet :DOCUMENTAIRE. Vidéos: Amia Repetita, le film qui revient sur l’attentat de Buenos Aires by Allain Jules

L’universitaire Maria Poumier revient dans un documentaire intitulé Amia Repetita, sur l’attentat de 1994, en Argentine, qui a fait presque 100 victimes et dont le récit officiel présente beaucoup de zones d’ombre. Elle s’est confiée devant les caméras d’ERTV.

Today Alain Soral publishes an interview of mine, subtitled i
n english, here: http://www.egaliteetreconciliation.fr/Entretien-avec-Maria-
Poumier-sur-son-documentaire-Amia-repetita-26549.html
Partager

Plus d’histoires deLibye