Les femmes, grandes perdantes du printemps arabe
25 septembre 2014
Les femmes, grandes perdantes du printemps arabe
Les éphémères promesses de changement et de démocratisation dans le monde arabe laissent un goût amer. Zineb Ali-Benali, professeur de « littérature francophone et d’études de genre » à l’université Paris VIII, revient pour « Mondafrique » sur le rôle particulier des femmes dans le printemps arabe. Ce fut trop souvent, un rendez-vous manqué pour les militantes laïques comme la blogueuse tunisienne Amina Sboui qui durent affronter un formidable retour du religieux qui marqua, de façon totalement inattendue, les journées révolutionnaires en Tunisie, en Libye, en Syrie, en Egypte.