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24 avril 2024

Est-il un moyen de désintéresser les intentions conquérantes à l’envahissement en nuisibilité à dénier à médire l’africain-e- dans la construction de l’Afrique ?


 

Joseph TAPA

26/09/2014

Est-il un moyen de désintéresser les intentions conquérantes à l’envahissement en nuisibilité à dénier à médire l’africain-e- dans la construction de l’Afrique ?

S’imposerait-il d’observations des intentions conquérantes aux actions envahissantes projetées et renouvelées à l’endroit de l’Afrique :

que ce vaste espace territorial richement doté et généreusement choyé par la nature n’exprimera à jamais au travers de ses enfants une emprise sur son développement et maîtrise de son essor, tant qu’il s’orchestrera d’organisation à s’attendre tirer profit des dons naturels exploités par d’autres et au loin de son propre compte ?

 

Quoi qu’il advienne, qu’un territoire d’Afrique soit richement ou pauvrement choyé par la nature, d’hier à aujourd’hui ou de la colonisation aux prétendument indépendances ; Il se dévoile d’observations des intentions et actions à l’endroit de l’Afrique : Qu’il semble être purement interdit avec l’acceptation assassine et complice de majorité d’Africain-e-s (lâches), que les Africain-e-s en aient maîtrise à la conduite de leur évolution en tous domaines (culturelle, sociétaire, humaine, psychologique, intellectuelle, etc.) ; Et s’y affèrent à formuler à cet effet des aspirations contraires et distantes de celles définies à préétablies par les conquérants et aspirants aux actions/intentions d’envahisseurs.

 

Pour mieux le souligner d’exemple

Patrice Emery Lumumba à la tête du gouvernement d’indépendance d’un grand ensemble territorial (Congo) richement choyé par la nature et fortement doté humainement ; En ce qu’il s’osa d’alors, à vouloir s’investir à contrôler le développement économique en appui d’exploitations substantiellement bénéficiaires à la construction du territoire et concourant à l’épanouissement de la nation à sa charge, puis, en poursuite, à la maîtrise politique (souveraine) des vues à l’essor de la nation qui est sienne : remercié fut-il de la prime mortuaire par assassinat !

 

Thomas Noël Isidore Sankara laissé de négligence porter à la tête de l’État -le prétendument père de l’indépendance depuis longtemps chassé- d’un territoire peu considéré en ce que chichement choyé de richesses naturelles enfouies dans le sol et sous-sol, sous entendu pauvre et dont sans grands intérêts pour l’action rapace des conquérants et envahisseurs ; En ce qu’il s’osa à prôner le possible de la construction africaine, et meilleur essor via l’entremise et entreprise africaine qui de pratique concrète d’actions louables et multiformes illumina les populations africaines au loin de son territoire renommé par son fait  en négation de l’héritage colonial « Burkina Faso » : remercié fut-il de la prime mortuaire par assassinat !

 

Légions sont celles et ceux d’Afrique, des regrettés Grands frères Gamal Abdel Nasser aux innombrables anonymes en passant par le récent défunt assassiné Mouammar Kadhafi, s’ambitionnant en la droite ligne des faits d’illustres ci-dessus évoqués,  s’osant à entrevoir une construction et réalisation africaine débarrassée de la peu divine -sérénade des colonisations qui se revendiquaient civilisatrices- mais obstruant (écueil) main étrangère sur l’essor des sociétés africaines : qui subirent, subissent et subiront peut-être la même prime mortuaire si rien n’est fait en opposition.

 

En somme, d’une froide et profonde analyse, peu importe qu’un territoire africain soit richement choyé ou « dit » pauvre (standard de vue occidentalisée), que l’Africain-e- soit peu ou prou brillamment instruit :L’interdit est fait aux Africain-e-s à s’oser à réaliser par eux-mêmes, au point d’entrevoir impulser des dynamiques propres, à risquer de formuler des aptitudes en maîtrises de leurs développements à l’emprise sur leur essor.

 

À défaut de novation à prospérer mettre en forme de nouvelles voies de résolution à sortir d’étreintes et sangles -de conquérants à envahisseurs- pesant d’Épée Damoclès sur la construction africaine, tout comme à neutraliser la complicité entretenant de généralité d’ensemble la faiblesse d’esprit grandissant chez les Africain-e-s : Le Moyen d’efficacité à la portée des Africain-e-s serait-il autrement qu’appauvrir l’Afrique des quêtes à désintéresser les conquérants à envahisseurs ?

 

Joseph Tapa

 

L’Afrique ou quel État africain serait en mesure d’aussi tirer profit de partition à la nouvelle sournoise guerre internationale onusienne !le 25 sept 2014
De principe l’Organisation des nations unies (Onu) agirait d’intentions à actions en le Nom et supposé bénéfice de l’ensemble de ses membres.

Par le truchement de décision démocratique votée à la majorité de ses membres. Avec une particularité spécifique octroyant à un petit nombre -groupuscule- de membres (cinq constituants le conseil de sécurité), en conformité ou non d’avec les statuts onusiens (acquittements d’obligations et droits divers, à l’exemple du paiement des cotisations de fonctionnement), la faculté à s’opposer à toute décision majoritaire….de ces membres n’y figurent aucun représentant d’Afrique (vue et convenue comme l’avenir économique de Tous).

 

L’Onu a-t-elle une fois de faits hérités de son prédécesseur ancêtre  la Société  des nations (Sdn) en poursuite à nos jours, par une guerre, apportée solution politique enviable à durable et non embellie économique considérable à exponentielle à ceux (spécifique groupuscule) qui portent les conflits en son nom ?

 

Le conflit actuel de déchéance sociétaire, en viscérale fragmentation d’opposition groupusculaire sous clivage d’obédience théologique, en Irak, aurait-il autre émanation en conséquence que les suites de  la Barbare Mesquinerie  Assassine du particulier membre spécifique Usa ? Qui d’une mascarade, entraîna l’Onu de passé (1991) dans un précédent sauvage conflit d’agression armée contre la paix sur cette terre irakienne !

Les idéaux et autres bons sens à vertus moraux démocratiques, tant vantés de mieux-être à l’expression à l’harmonie nationale des peuples, trouveraient difficilement application au sein de l’Onu. Qui s’en est remis à être présidé par le principal acteur (Usa) de la crise irakienne, dans une réunion visant à l’esquisse de voies et moyens au rétablissement de la paix dans ce pays et devant iriser les régions environnantes. Où l’invitation de l’auteur -en bonne conscience- recherchant un méfait à s’investir à chapeauter la lutte contre ce qu’il fit sciemment en poursuivant un but non disparu !

 

L’Afrique à l’économie fortement imbriquée d’interdépendance, dans l’organisationnelle étatique mondialisée, souffre elle aussi des impossibilités à impérities de ses Actuels Responsables et Représentants politiques. Couvant les tares du système organisationnel à répondre efficacement aux besoins primaires et grandissants de ses populations. L’économie générale africaine mondialisée étant aussi frappée de déliquescence, pré envisageant des révoltes des masses populaires. Dépendante grandement de la générosité étrangère à la consommation et à lui ravir ses richesses de toutes sortes. Ne pouvant s’auréoler d’appui technologiques commerçables en stratégie de salut économique. À l’instar de vanter les qualités d’aéronefs tel le « rafale français » faisant l’objet d’une ahurissante campagne de matraquage télévisuel des médias français, pour illustrer la nouvelle internationale guerre onusienne dans laquelle se plonge corps et âme nombre de membres onusien. En escomptent d’éluder (dilatoire), les dissonances et résonances, des incapacités politiques face au revers de l’économie mondialisée. En recourant à susciter l’émotionnel collectif, tout en révérant l’unité combative sécuritaire contre la mal venant et prostré au loin (bonne vielle recette affectionnée des largués et autres éperdus extrémistes).

 

Le recours à l’émotionnel en Afrique étant richement doté de barbarie à l’inhumanité indicible. Marquant sa fraîche récente histoire de saveur violente à l’infâme ferveur civilisatrice de l’Africain-e- (occidentalisation supposée au loin d’égalités humaines). Aux scarifications des fouets, des privations diverses à la baïonnette, avec des têtes coupées de dignes vaillant-e-s Africain-e-s et exposées sur les lieux publics à des fins de disséminer la peur : en poursuite de l’asservissement Barbare colonial. L’économie africaine mondialisée, tout aussi chancelante, serait-elle pour autant qualifiée et admise de partition à tirer directe partie profitable de la nouvelle internationale guerre onusienne ? Vu que majorité d’États africains sont affiliés à l’Onu, à jours de leurs obligations, et respectueux des droits divers.

 

Si l’Onu ne partage équitablement entre ses membres les droits politiques et les gains économiques résultants de ses intentions et actions : quelle(s) prostration(s) justifie(nt) l’assujettissement et avilissement de l’Afrique et des Africains à une machination discriminante et discriminatoire ?

 

Joseph Tapa

 

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