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19 avril 2024

le petit journal de JMV


Cpd18fév15 – Libye le chaosŠ une nouvelle guerre inévitable ! Personnes

 

fév 18 à 11h05 PM

Libye le chaos… une nouvelle guerre inévitable !

http://youtu.be/d-DMjlrlokk

Un grand merci aux humanistes qui voulaient prévenir un “bain de sang” en détruisant la Jamahiriya libyenne

http://metamag.fr/metamag-2675-VERS-UNE-SECONDE-GUERRE-EN-LIBYE –L’Italie-prete-a-intervenir –.html

VERS UNE SECONDE GUERRE EN LIBYE ?

L’Italie prête à intervenir ?

Nacéra Benali
le 16/02/2015
modifié le 16/02/2015 à 16:36h

Officiellement, l’Italie serait prête à envoyer des soldats en Libye «pour combattre l’avancée des terroristes de l’ISIS». Il s’agirait d’une intervention terrestre, que les responsables italiens voudraient «coordonner avec les alliés européens et les pays voisins de la Libye».

C’est le ministre des Affaires étrangères, Paolo Gentiloni, qui a affirmé le premier, lors d’un entretien télévisé, que son pays ne pouvait rester passif face à l’avancée des hommes armés de l’ISIS. «L’Italie soutient la médiation de l’ONU, mais si on ne réussit pas, il faudra se poser le problème et, avec l’ONU, faire quelque chose de plus.»

Plus explicite, le chef de la diplomatie italienne a ajouté : «L’Italie est prête, dans le cadre de la légalité internationale, à combattre (…). Nous ne pouvons pas accepter qu’à quelques heures de navigation de nous, il puisse y avoir un terrorisme actif.» L’argument de la «proximité» du terrain belliqueux est faible en soi. Faut-il rappeler que les terroristes armés, en Algérie, étaient actifs pendant dix ans, à quelques kilomètres des côtes italiennes, mais Rome n’avait jamais semblé préoccupée outre mesure. Cette déclaration inattendue a valu à l’Italie une menace directe proférée par l’ISIS qui, sur sa radio de propagande Al Bayan, qui émet à partir de Mossul, a taxé la péninsule de «pays des croisés».

Et c’est la ministre de la Défense, Roberta Pinotti, qui a renchéri, hier, sur les pages du quotidien romain Il Messaggero, en confirmant l’intention de son gouvernement : «L’Italie est prête à guider en Libye une coalition des pays de la région, européens et d’Afrique du Nord, pour arrêter l’avancée du califat qui est parvenu à 350 km de nos côtes. Si en Afghanistan nous avons envoyé jusqu’à 5000 soldats, dans un pays comme la Libye, qui nous concerne de beaucoup plus près et où le risque de détérioration est beaucoup plus important pour l’Italie, notre mission peut être significative et consistante, y compris en effectifs (…). Cela fait des mois que nous en parlons, à présent cette intervention est devenue urgente.»

Un feu vert de Washington ?

Dans un tweet diffusé hier à midi, Mme Pinotti laissait de nouveau entendre que l’Italie était prête «à faire sa part dans le cadre d’une mission de l’ONU. Pour l’instant, on soutient l’effort diplomatique». Ces déclarations officielles ont jeté le trouble, y compris parmi la classe politique italienne ; les partis de l’opposition ont demandé au ministre des Affaires étrangères de se présenter devant le Parlement pour s’expliquer sur cette question cruciale, ce qu’il fera jeudi prochain Il est vrai que l’Italie craint un déferlement de réfugiés sur ses côtes, surtout qu’elle vient de mettre terme au plan Mare Nostrum par souci d’épargne (hier, on signalait 12 embarcations au large de la Libye en voyage vers l’Europe).

Et il est avéré qu’elle a des intérêts économiques très importants en Libye (le groupe énergétique ENI y a consenti de gros investissements) et il lui arrivait de produire, dans cette situation instable, jusqu’à 180 000 barils d’hydrocarbures par jour, une production acheminée vers la Sicile via le gazoduc Green stream).

Mais l’Italie n’a tout de même pas le poids diplomatique d’une puissance européenne qui déciderait, unilatéralement, d’envoyer des milliers de soldats dans un pays en proie au chaos, qui plus est son ancienne colonie. Gouvernée par des hommes politiques ouvertement pro-américains et pro-israéliens, la péninsule ne prendra jamais l’initiative de participer à une guerre terrestre en Libye si elle n’a pas eu au préalable carte blanche de la Maison-Blanche et des pays voisins.

Est-ce pour cela que Gentiloni s’est rendu précipitamment à Alger, il y a deux semaines, alors qu’il n’y avait aucun enjeu diplomatique ou économique en vue ? Que lui ont dit les responsables algériens ? Ont-ils donné leur bénédiction à une intervention armée terrestre délicate, à quelques encablures de la frontière est de l’Algérie ?

*journaliste à El Watan

Les États-Unis et la Turquie d’accord pour former et équiper des rebelles syriens

WASHINGTON, 17 fév 2015 (AFP) – Les Etats-Unis et la Turquie sont tombés d’accord pour former et équiper des opposants syriens modérés en Turquie et le règlement final devrait être scellé très prochainement entre Washington et Ankara, a annoncé mardi la diplomatie américaine.

« Nous sommes arrivés à un accord de principe pour former et équiper des groupes de l’opposition syrienne », a indiqué la porte-parole du département d’Etat Jennifer Psaki, ajoutant que Washington « comptait conclure et signer bientôt l’accord avec la Turquie ».

Elle n’a pas donné de détails supplémentaires sur un processus de formation qui doit commencer normalement en mars.

Cette annonce d’un accord américano-turc met fin à des mois de discussions difficiles entre les deux alliés sur l’entraînement de rebelles syriens modérés censés se battre ensuite contre les jihadistes du groupe Etat islamique.

« Comme nous l’avions annoncé auparavant, la Turquie a accepté d’être l’un des hôtes régionaux du programme +formation et équipement+ pour les forces de l’opposition modérée syrienne », a rappelé Mme Psaki.

Le Pentagone avait annoncé mi-janvier l’envoi prochain de plusieurs centaines de militaires américains pour entraîner des membres de l’opposition syrienne modérée qui seront ensuite chargés de combattre les ultra-radicaux du groupe EI.

Outre la Turquie, l’Arabie saoudite et le Qatar ont donné leur accord pour accueillir des sites d’entraînement, et fournir eux aussi des formateurs.

Plusieurs mois de négociations ont été nécessaires pour parvenir à un accord entre les différents pays concernés.

L’administration américaine espère que l’entraînement des premiers Syriens pourra commencer « à la fin mars », de manière à ce que les premiers formés puissent être opérationnels « à la fin de l’année », selon le Pentagone.

L’objectif des Etats-Unis et de leurs partenaires est de former plus de 5.000 Syriens la première année.

L’arme de l’information « Made in USA » contre les dirigeants européens****

by IlFatto  http://ilfattoquotidiano.fr/larme-de-linformation-made-in-usa-contre-les-dirigeants-europeens/

Anonymous est apparu pour la première fois sur la toile d’Internet en 2003 comme un groupe de hackers activistes défendant la liberté d’expression et opérant comme un «  cerveau digital global anarchiste. » Il s’agit d’un instrument, ou plutôt d’une arme destinée à être utilisée dans la guerre de l’information. Et cette arme a un avantage considérable : il s’est bien souvent avéré difficile de savoir qui l’utilisait vraiment. Pourtant, le problème ne se posait pas lorsqu’Anonymous publiait en 1993 une photo d’Angela Merkel rendant visite au Club Elbterrassen pour y rencontrer quelquesskinheads et quelques autres personnages dont l’un exécutait un salut nazi <https://truthinukraine.wordpress.com/2015/02/09/turbulent-past-bundeskantslera/> …

Berlin s’était alors fendu d’explications circonstanciées, mais ce n’est pas là le problème. Une photo vieille de plus de 12 ans vient d’être publiée le 9 février dernier, juste avant la visite d’Angela Merkel à Washington, et après sa rencontre avec le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine à Moscou, une réunion qui a duré plusieurs heures.

En publiant cette photo, Anonymous demandait si, pour diriger l’Allemagne, on pouvait vraiment faire confiance à une femme politique qui fut membre de l’Organisation de la Jeunesse socialiste en Allemagne de l’Est, qui était une espionne de Berlin Est, et qui fricotait avec les nazis.

L’attaque médiatique a été précédée par un événement notable : la chancelière s’est opposée à l’idée de fournir des armes léthales à l’Ukraine. Angela Merkel a pris la parole lors d’une conférence sur la Sécurité à Munich le 7 février pour dire que « la situation de l’Ukraine ne s’améliorera pas en fournissant plus d’armes. » Et elle a réitéré cette affirmation un certain nombre de fois lors de ses récents voyages aux États-Unis et au Canada. Aux USA, ce sont le sénateur John McCain et la secrétaire d’État adjointe aux affaires européennes et asiatiques, Victoria Nuland, qui ont répondu en premier. Le Sénateur a comparé les tractations entre Merkel, Hollande et Poutine à la réunion d’apaisement entre Neville Chamberlin et Adolf Hitler. Mme Nuland a, comme à son habitude, utilisé un langage particulièrement obscène pour qualifier la dirigeante du principal État européen.

Il faut se rappeler aussi que depuis un certain temps, les services secrets américains ont abondamment collecté toute sorte d’informations, par différents moyens, dans le but de pouvoir les utiliser contre la chancelière allemande. On a appris par exemple en octobre 2013 que la NSA (National Security Agency) avait mis sur écoute le téléphone personnel de Mme Merkel, et l’information selon laquelle l’Agence américaine maintenait depuis plus de 10 ans la Chancelière sous surveillance a provoqué un énorme scandale. Mme Merkel a expliqué qu’elle n’attendait ni n’exigeait aucune excuse particulière, mais cette affaire a ouvert une importante brèche dans la confiance mutuelle et il a fallu des efforts importants pour tenter de la restaurer. Les promesses n’ont pas suffi, et la situation imposait des changements. Dans ces circonstances, la Chancelière pouvait difficilement calmer l’indignation générale, mais Washington a fait la sourde oreille sur ce qu’elle disait. L’histoire des enregistrements a finalement été étouffée et il n’y a eu aucun réel changement.

Angela Merkel n’est pas la seule dirigeante européenne à avoir fait l’expérience des pratiques de Washington concernant toute « liberté de pensée »  des leaders européens, en particulier quand il  s’agit de la Russie. Les exemples ne manquent pas.
La Hongrie, emmenée par son premier ministre Victor Orban, a signé avec la Russie un contrat pour achever la construction de deux centrales nucléaires situées à 100 km de Budapest. Les États-Unis ont [immédiatement] imposé des sanctions contre la Hongrie. Le Sénateur McCain, toujours aussi prompt à dégainer, a qualifié le premier ministre hongrois de « dictateur fasciste ». [Dans le même temps], le président Poutine était attendu à Budapest le 17 février.

L’administration US est aussi insatisfaite de la position de Milos Zeman, le président de la République tchèque, qui a osé demander des preuves que les troupes russes ont bien envahi l’Ukraine, et a appelé les États-Unis et l’Union européenne à mettre fin aux sanctions. Les USA ont alors utilisé leurs réseaux dans le pays pour lancer une vaste campagne discréditant le Président.

Alors qu’il était premier ministre de l’Italie, Silvio Berlusconi n’hésita pas à affirmer que la compréhension mutuelle entre la Russie et les États-Unis était une exigence pour la stabilité en Europe. Il a déclaré que les USA avaient agi de façon irresponsable en déployant des missiles de défense en Pologne et en République tchèque, en reconnaissant l’indépendance du Kosovo, et en poussant la Géorgie et l’Ukraine dans l’OTAN.

Dominique Strauss-Kahn, ex-directeur du fonds monétaire international, a été victime d’une provocation planifiée longtemps à l’avance et organisée contre lui aux États-Unis où il a été accusé d’avoir violé une femme de chambre noire lors de son séjour à New York. Il a dû faire faire à un procès aux États-Unis. On a su par la suite que la femme de chambre avait menti, mais cela est passé totalement inaperçu. Strauss-Kahn a perdu son poste au FMI et n’a pas pu se présenter aux élections présidentielles en France.(*)

Orban, Zeman, Berlusconi, Strauss-Kahn, et maintenant Merkel : tous sont devenus des cibles pour les frappes chirurgicales des armes de l’information US contre les politiciens européens montrant de bien trop grandes velléités d’indépendance en matière de politique étrangère, au goût de Washington.

<http://www.vox.com/a/barack-obama-interview-vox-conversation/obama-interview-video> L’establishment américain pense que l’Europe doit rester sur sa ligne et suivre la politique étrangère US sans aucune variante possible. Selon eux, c’est comme cela que s’obtient la quintessence de la coopération transatlantique. Juste après sa rencontre avec Angela Merkel, le président américain a expliqué lors d’une interview à Vox.com, que les États-Unis étaient  obligés d’avoir « la plus puissante armée du monde. » Et il a ajouté <http://www.vox.com/a/barack-obama-interview-vox-conversation/obama-interview-video>  « nous devons parfois tordre un peu le bras de certains pays qui ne veulent pas faire ce qu’on leur demande. » La brutalité de cette déclaration ne laisse aucun doute sur le fait que les États-Unis sont prêts à « tordre le bras » de n’importe quel allié qui n’aurait pas les mêmes vues qu’eux sur les différents problèmes dans le monde.

Les alliés (vassaux ?) européens, ou asiatiques peuvent être certain de cela. Le président turc Erdogan est très certainement le prochain sur la liste. On ne lui pardonne pas d’avoir signé avec Poutine l’accord sur le gazoduc «Turkish Stream ». Et on entend clairement le tic-tac de l’horloge.

Georgy Voskresensky

Source : Strategic-Culture Foundation <http://www.strategic-culture.org/news/2015/02/13/american-information-weapon-used-against-european-politicians.html> , le 13 fv. 2015
Le nouveau gouvernement grec s’aligne sur la Russie de Poutine : L’Europe est furieuse, car la Grèce mettra désormais son veto aux sanctions contre la Russie !

http://metatv.org/le-nouveau-gouvernement-grec-saligne-sur-la-russie-de-poutine-leurope-est-furieuse-car-la-grece-mettra-desormais-son-veto-aux-sanctions-contre-la-russie

Le Blogue Noir de Brocéliande
par Bertrand Du Donbass

mercredi 18 février 2015
Uraine/Novorossia : Déroute ukrainienne totale à Debaltsevo

Suite : http://gaideclin.blogspot.fr/2015/02/urainenovorossia-deroute-ukrainienne.html?m=1

Le drapeau de Novorossia flotte sur Debaltsevo

Selon l’agence RIA Novosti, des centaines de militaires de l’armée ukrainienne qui se trouvaient encerclés à Debaltsevo dans l’Est de l’Ukraine ont commencé à rendre leurs armes.
«Les militaires de l’armée ukrainienne rendent leurs armes massivement. Le nombre de ces soldats s’évalue par centaines», a déclaré le président de l’administration du chef de la République autoproclamée de Donetsk, Maxime Leshenko. (Source : RT <http://francais.rt.com/international/596-centaines-militaires-ukrainiens-debaltsevo-rendent> )

ISIS threatens to send 500,000 migrants to Europe as a ‘psychological weapon’ | Daily Mail Online

http://www.dailymail.co.uk/news/article-2958517/The-Mediterranean-sea-chaos-Gaddafi-s-chilling-prophecy-interview-ISIS-threatens-send-500-000-migrants-Europe-psychological-weapon-bombed.html

Russian General details the structure of New World Order – YouTube

https://www.youtube.com/watch?v=V9P2jrkJA9g

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