Plus c’est gros, plus ça passe. Comme nous le présentions, la presse occidentale, sans prendre de gants, allaient accuser le président russe M. Vladimir Poutine. Quoi de plus normal ? L’homme qui a fait échouer leurs plans diaboliques en Syrie ou en Ukraine est à abattre. 

L’Express a sonné la charge avec une introduction haute en couleurs:

En Russie ou ailleurs, les opposants au Kremlin peuvent le payer de leur vie. La mort de l’ancien vice-premier ministre de Boris Eltsine, Boris Nemtsov, tué par balle dans la nuit de vendredi à samedi à Moscou à quelques mètres du Kremlin, illustre à nouveau cette menace qui plane sur ceux, journalistes, activistes ou personnalités politiques, qui critiquent la politique du président Vladimir Poutine.

Voilà, sans preuve, l’Express se lance dans une attaque en règle. Bon, toute la presse occidentale chante en coeur les louanges de la guerre ou des guerres de l’Otan mais, celle d’Ukraine, où les soldats de l’apocalypse perdent, là, non. Comme le disait M. Poutine, perdre devant des gens qui étaient il y a quelque temps seulement des mineurs, conducteurs de tracteurs et maçons, ça fait mal.

La presse est tellement dans la propagande qu’elle oublie ce qu’elle disait il y a quelques mois. Pour elle, aimer l’Occident, qu’on soit un traître à sa Nation, un nazi ou un voleur, ça passe. Aujourd’hui,, Boris Nemtsov est présenté comme l’ennemi n°1 de Poutine. Hier, c’était le voleur Navalny, qui était à cette place après sa condamnation. Regardez ces deux photos, c’est à mourir de rire.