De l’amertune au Naufrage africain
21 avril 2015
De l’amertune au Naufrage africain
TAPA Joseph
avr 20 2015
N’est-il pas complot international des réfugiés naufragés Africains ! le 19 avril 15 À moins d’un ourdi complot international avec la participation des Etats africains (représentants) à l’abîme indéniable de l’africain et de l’Afrique, à court et long terme de projection, aux visées sournoises ; |
À moins d’un ourdi complot international avec la participation des Etats africains (représentants) à l’abîme indéniable de l’africain et de l’Afrique, à court et long terme de projection, aux visées sournoises ; le statut quo marqué de l’observation à l’attente du probable de débarquement (accostage) d’embarcations inappropriées de réfugiés Africains sur les côtes occidentales, aux scandent de décompte macabre des traversées risquées : se révèle de rémanence au travers de l’absence de considération de ces vies humaines africaines -en souffrance de perdition et vouées au péril- l’orchestration d’une autre voie de dépeuplement de l’Afrique.
L’évolution actuelle des sociétés humaines ou le contexte économique mondial dominé par une structuration recourant de moins en moins à la main d’oeuvre humaine, à laquelle les Africains furent grandement contenus à l’être, en poursuite et de similitude naguère du temps des richesses des économies basées sur la mise en esclavage de l’Africain, se révélerait être la cause efficiente à non plus déporter les africains vers des terres de travail forcé…aux rêveries de meilleur…mais d’un revers, à favoriser la décroissance démographique africaine.
Il transpire et ne saurait être autrement entrevu de la conspiration (atavisme), de nouveau, résultat du dénie de considération de ces vies humaines africaines, par la non instigation et mise en place et exécution à d’évocations concrètes au niveau de l’ordre internationale (hargneux se dit-il à insuffler le meilleur « émergence » en Afrique et pour les Africains) de mesures adéquates et adaptées. Point de mécanismes de résolution sincère, autres que d’infectes médisances de personnes dilettantes, n’irritent à émerger de l’intelligence internationale. Bien au contraire, sur trace de conflagration, les structures d’aggravations de ce phénomène (émigration massive de réfugiés sur les côtes occidentales) sont sournoisement renforcées et démultipliées par la mesquinerie à l’appauvrissement constant de l’Africain : privé est-il (Africain) de s’exprimer à travers les constructions et exploitations de son propre environnement (naguère ce fut l’Occident organisant l’esclavage, à nos jours c’est l’Asie projetant le dépeuplement). Point de mécanismes d’agentivités, afin d’influences à sanctions, à agir sur les Etats africains en ce qu’ils s’inscrivent véritablement à neutraliser voire réduire la puissance florissante de ce phénomène meurtrissant en premier l’Afrique et secondairement l’humanité.
Perfidement il n’est de sanction à l’endroit des Etats africains manquant indubitablement aux responsabilités échues…et pis, de juste cause, ceux-ci sont invités à ressusciter la fortification avancée de protection virtuelle de l’Occident en terre africaine au travers de la revitalisation du fameux projet de dupe de l’Union pour la méditerranée (UPM: structurée autour d’investissements européens dans des pays africains riverains de la méditerranée en contrepartie pour ces pays africains à s’ériger en bouclier contre l’émigration de la jeunesse déboussolée africaine ; il est a noter que le précédent échec de la matérialisation de l’UPM le fut du rétif de de Feu Kadhafi).
La roublardise s’arc boute de présentation à l’émotionnel d’humanisme par l’accueil des rescapés des réfugiés (victimes du complot) dans des conditions spartiates…
Joseph TAPA
16/04/15 Afrique du Sud : Qu’arrivera t-il de responsabilité à l’État ? |
Est-il un doute que si les ressortissants noirs de la république dite d’Afrique du Sud s’en étaient pris, avec la complicité d’autorité autochtone tel le chef Zulu d’une importante tribu locale, aussi violemment et sauvagement que cela se dévoilent à nouveau depuis peu, à l’encontre des ressortissants blancs de cette même république et voire d’autres y vivant de travail et autres (pourchassés, assassinés et biens détruits) ; est-il un doute que la communauté internationale (africaine comprise à l’instar de la solidarité étatique d’avec les événements malheureux en France saisis sous l’évocation d’attentat de Charlie Hebdo) se serait à l’unisson insurgée et proférée des menaces de sanctions graduelles (économiques, politiques, militaires) à l’endroit de l’État d’Afrique du Sud en qualité de responsable fautif d’incompétence malsaine !?
Toutefois, la barbarie qui prend de l’ampleur dans cette contrée africaine l’est à l’endroit exclusive des ressortissants d’autres territoires d’Afrique et particulièrement leurs ressortissants Noirs. La communauté internationale se réjouira certainement de révéler que le contexte est propre à l’Afrique…qui au demeurant dispose à cet effet d’institutions souveraines à l’instar de l’Union Africaine (U-A) déjà financée généreusement et substantiellement par elle.
Est-il d’un autre doute envisageable que l’U-A, sous la responsabilité administrative d’une des conquêtes amoureuse du président Sud africain dont elle porte le nom, Nkosazana Dlamini-Zuma, puisse entreprendre la nécessité de sanctions graduelles à l’endroit de l’État d’Afrique du Sud !? Et partant là faire démissionner à défaut de propre initiative, Dlamini-Zuma de la représentation majeure africaine (U-A) dont les populations majoritaires de son territoire de rattachement n’honorent pas l’esprit du vivre ensemble africain mis en avant par le symbole d’unité de l’institution dont-il lui fut à elle dévolue la responsabilité de veille à la cohérence des nations dans l’élan d’unité !?
La qualité de géant économique africain, allez savoir ce dont les autres territoires africains en tirent grandement de profit, de la dite république d’Afrique du Sud, suffit-elle à piétiner la dignité humaine au point où s’en accommoder d’absence de sanction internationale serait d’un relatif mineur !?
Est-il un doute que la communauté internationale qui déclenche à souhait et stratégique visée la cours pénale internationale (CPI), trouvera en la matière que la justice d’Afrique du Sud est d’une compétence suffisante !? Il reviendrait ainsi à l’État bourreau d’avoir à expier de lui même ses fautes !
De belle constatation, car nul doute qu’au delà de l’émoi diplomatique (sanction morale) il n’en sera autres faits, resplendit le sentiment qu’en ce qui concerne les Noirs on finit toujours pas oublier…alors à quoi bon s’alarmer au point de sanctionner. Belle observation de la partition africaine dans l’ordre international.
Joseph TAPA
Prémices d’un parcours viable à l’émergence africaine… le 14 avril 15 Les sociétés humaines de toujours se sont construites, du connu de l’aube des temps, sous l’impulsion directive d’Hommes en qualité de leader, quelque en été le sens, à travers la participation à complicité collective et conjointe des populations. |
Avec comme indéniable crucial d’évolution à avancée sociétaire et l’évolution du rayonnement de la représentation sociétaire, fusse t-elle de travers inconvenable -de modernité- d’étape successorale, par le nécessaire d’alternance des Hommes leaders dans la poursuite à implémenter des dynamiques complémentaires voire nouvelles et distinctes pour le compte des sociétés et la gloire de l’humanité.
Cet aspect de nécessiter dans la marche avancée des sociétés, marqué du crucial d’alternance sincère dans la conduite des destinées des nations, se positionne fortement comme le scrupulus (petit caillou nuisible) dans la marche africaine. Non seulement il est courant en Afrique de voir des territoires être dirigés à vie et sur des dizaines d’années par certains ou des formations politiques (feu Bongo I du Gabon, feu Mobutu de l’ex Zaïre, Biya du Cameroun, Nguema de Guinée Equatoriale, Santos d’Angola, Sassou du Congo, etc.), qui au demeurant ne se révèlent guère d’élogieux dirigeants soucieux du bien être des nations par des politiques mesurées et responsables ; Mais, d’une malsaine dépravation, la constante en est que si alternance subie, car très malheureusement imposée de l’étranger avec la complicité africaine, elle ne se réalise guère dans l’esquisse de novation ou changement réel et profond de politique et donc de dynamiques nouvelles voire complémentaires à l’embellissement des territoires d’Afrique.
L’exemple notoire et criard de désolation en est tout simplement qu’en plus d’une cinquantaine d’années dites d’indépendances et de souverainetés africaines, ces territoires d’Afrique en sont toujours régis par des préceptes et boniments hérités d’un passé soutenu communément douloureux ! À l’exemple unique, de courte durée d’à peine quatre années, du Burkina Faso de feu Thomas Sankara et d’une autre perceptibilité de de Feu Mouammar Kadhafi : Est-il ou s’est-il développé sur d’autres territoires d’Afrique des mécanismes de novation de la pratique politique -au bénéfice des populations- distincts des héritages coloniaux (soutenus douloureux!) ? Est-il dans cette lecture soutenable de dire que l’Afrique puisse à jamais évoluer quand elle révère à déifier les strates de son passé soutenu douloureux ?
Une des caractéristiques certaines de la marche en avancée évolutive de l’Afrique se trouve être de l’absolu à opérer concrètement et périodiquement des changements de leaders dans l’impulsion des dynamiques pour le salut des territoires et des nations. Pour ce faire, il devrait être inscrit dans la charte de l’emblématique représentation transnationale africaine (Union Africaine: U-A) à défaut être érigée une nouvelle représentation transnationale africaine sous conception (corpus) de : l’interdiction formelle de se maintenir au pouvoir au delà de quinze années (cumulative ou non cumulative) et cela à vie. Avec comme risque encouru par tout contrevenant d’être reclus sur son territoire, le territoire privé de commerce infra régional africain, le territoire privé d’investissements africains, les responsables politiques du territoire interdits de tout déplacement en Afrique sous peine d’arrestation et d’emprisonnement de facto.
Au terme de la quinzaine d’années pour un dirigeant ou toute formation politique ayant conservé et dévolu les candidats au pouvoir sur cette période : si l’élection est la norme de désignation des leaders et/ou des représentants nationaux, l’élection ne devrait concerner que les responsables de toutes autres formations politique que celle précédemment en poste.
Joseph TAPA
Aux Youpi de la nouvelle bureaucratie africaine qu’est le FMA que s’ensuit-il ! le 09 avril 15 Le fonds monétaire africain (FMA) annoncé statutairement au 23éme sommet de l’entente majeure africaine (Union Africaine: U-A) de Malabo de juin 2014, avec pour localisation Yaoundé au Cameroun, face aux multiples crises qui parcourent l’Afrique ne serait de toujours pas d’activité. |
Contrairement à l’initiative de son précurseur ou du moins de celui qui ferrailla de haute compréhension à l’instigation de cette institution, feu Guide Mouammar Kadhafi de Libye, qui d’alors exposa nommément (avant d’en être salué par la prime mortuaire à l’instar de Feu Thomas Sankara du Burkina Faso, trahis par leurs pairs qui ne s’opposèrent que de littérature à leur assassinat) les urgences d’actions, relevant précisément les réalisations interrégionales à hâter de nécessité d’action au sérieux de la représentation africaine des dangers pesant sur le futur africain, notamment l’augmentation contre productive de la dépendance des économies africaines à la consommation étrangère. Et pour ce faire informa de bonne cause sur l’importance africaine (au vu, entre autres, de la démographie croissante) à prendre en grande partie à totalité en charge (du financement à la réalisation) leurs activités économiques majeures, notamment agricoles, tout en portant un accent sincère et démultiplié sur les échanges commerciaux inter-africain en favorisant pour cela l’augmentation des voies de communication transnationale à l’exemple du chemin de fer. Contrairement aux invitations du précurseur, dont le pays était d’alors avant sa dislocation (par une coalition internationale non africaine) le premier contributeur africain aux missions de l’U-A (80% des 23% d’alors à la charge des États africains et qui depuis son assassinat fut réévalué de 23% à la charge africaine à 7%) ; contrairement aux vœux du précurseur, les statuts de la nouvelle bureaucratie, de vaseux, confinent des attributions vagues et pompeuses à l’institution au rayon d’action pour le moins fumiste quant à de possible concrétisation à effectivité. Ainsi il en ressort que : « le FMA a pour vocation de contribuer à la stabilité économique et à la gestion des crises financières en Afrique, en favorisant la croissance macroéconomique et le développement du commerce intra-régional ».
Les nouveaux instigateurs du FMA s’étant bien gardé de révéler quelles sont à seront les actions directes et concrètes qu’ils entendent poursuivre en urgence de réalisation. Visiblement l’attribut en serait certainement à illuminer le rêve africain, de bonne conscience, d’une nouvelle institution à l’action fantôme mais assurément dotée de budget de fonctionnement visant à gratifier quelques-uns d’entre eux. Ce qui ne serait que d’habitude renouvelée dans la droite ligne de la création de la prétendue force armée conjointe africaine de réaction rapide, autre fantôme, par toujours un éloquent sommet de l’U-A, après l’assassinat une fois encore de son précurseur Guide Kadhafi, dont le siège là aussi fut alloué au Cameroun et la direction à l’ex malencontreux dirigeant (2009-2010) de Guinée Conakry, Sékouba Konaté, qui depuis lors émarge gracieusement au titre de sa fonction sans que l’institution n’ait été ne serait que d’un local quelconque mis en place. Il serait fort surprenant que les rescapés des misères engluant de détresse sévère la jeunesse africaine, soient invités à fourbir leurs intelligences dans l’accomplissement sincères et sérieux des missions de hautes importances irisant les difficultés nombreuses actuelles africaines (les statuts de l’institution sur ce point brillent de non intérêt). Bien au contraire, il va échoir, à l’instar bénéfique à Sékouba Konaté et la fameuse force armée de réaction rapide, des sinécures à ceux-là (brillant félons) qui jusqu’ici ne se sont dévoilés en qualité capacitaire qu’à reléguer toute sorte de réalisation d’envergure en Afrique à l’activisme et forces étrangères…
Pour mieux percevoir l’enfumant gouvernant cette nouvelle inepte bureaucratie dans sa conception actée après l’assassinat de son précurseur ; la constitution de son capital fonds de départ entendu à 22.64 milliards de dollars (telle est la référence monétaire qui fut arrêtée…même pas une monnaie africaine !) devra être mobilisé, sans obligation, auprès des États sur la base plusieurs de critères dont la taille des économies des pays et leurs réserves de devises… Diantre ! Il reviendra tout bonnement à la bienveillance des États africains, sans dispositif de contraintes quelconque et voire de sanctions, de s’honorer de bonté à allouer des fonds (autres que du fonctionnement bureaucratique…sinécures) nécessaires aux missions inconnues du FMA ! Ces mêmes États qui se refusent farouchement à financer l’institution mère U-A (financée à 93% par les fonds internationaux et essentiellement l’Union Européenne…et au siège à Addis Abeba, en Ethiopie, construit et offert par ) du FMA !
À bien y comprendre de lecture d’esprit triturant cette forme de manigance à l’africaine, à la suite des hourra et autres youpie accompagnant de haute joie l’annonce de la création de la nouvelle bureaucratie : la crédulité africaine ne serait un exploit mais qualité prolifique. Pas étonnant en somme que de malhonnêtes bureaucrates et piteux nécessiteux, en quête de gratification (poliment pour ne pas dire de commission et rétro), savonne de succès maléfique les consciences africaines des bienfaits de l’amitié asiatique (Chine). Chine qui tristement n’ai pas formulé en exemple du fait que de bon sens, elle eut à prendre de première mesure de mobiliser de fortes ressources financières avant d’en escompter tirer parti (profit) par la conquête africaine au travers de la duperie des réalisations infra-structurelles en contrepartie d’asseoir en garantie le développement multiple de son économie sur la captation des richesses naturelles africaines desquelles elle extrait l’Homme Africain.
L’Afrique actuelle, celle à la charge des dirigeants manifestement renégats, parcourue de crises sans cessent, ne saurait visiblement répondre à ses difficultés que par le fumant de la rêverie… Depuis l’annonce de la création du FMA, voilà bientôt une année dans un contexte de crise à répétition, manifestement instiguée à cajoler l’ivresse contestataire d’une jeunesse mis en marge des développements en Afrique, malheureusement bruyant est le silence des entreprises de cette institution manifestement plus bureaucratique que pratique.
Joseph TAPA
Le paradoxe Mugabe ! le 13 avril 15 Le président du Zimbabwe, Robert Gabriel Mugabe, aussi président à l’exercice annuel de l’Union Africaine, s’attire l’excitation d’une certaine jeunesse africaine pour ses diatribes concertées et renouvelées à l’endroit du colonialisme et dont de l’occident depuis qu’il atteint un âge (92ans) où l’humanité n’éprouve que complaisance à l’endroit de vieillard sénile. |
À la suite d’un séjour en Afrique du Sud où il se dit qu’il fit appel aux investisseurs de ce pays à voler au secours (en appui de l’Asie…du moins ) de son pays, allez savoir qui sont les détenteurs de l’économie sud africaine (d’une ironie les occidentaux d’origine de nationalité sud africaine), Mugabe aurait déclaré (aurait car ce dernier n’étant pas une volte face prêt) : » Certains ne contrôlent même pas leurs ressources naturelles. Allez au Gabon, toute la richesse du sous-sol est détenue par l’accord qui a été passé. Et c’est la même chose dans la plus part des pays francophones. Ils découvrent le pétrole c’est pour , ils découvrent des diamants c’est pour les mineurs, bien entendu français. Et qu’est-ce que vous obtenez en échange? 12% peut-être 15% des revenus. Et c’est pour cela que ces pays sont victimes de tentatives de coups d’État l’un après l’autre. Mais malheureusement les Français, les Espagnols sont tous derrière ces coups d’État ».
Mugabe qui fut premier ministre dès 1980 puis président du Zimbabwe depuis 1987 à encore nos jours se serait découvert d’une subtilité à saisir, depuis qu’il est à un âge de vie (85ans) de retraite méritée (à coup sûr) que majorité d’Africains n’atteignent, sans que son passé en soit élogieux de diatribes parsemées au lieu et place de complaisance d’avec l’occident et notamment le Royaume-Uni (dont-il fit du Zimbabwe le grenier)… Mugabe voudrait-il faire comprendre aux africains par son parcours de félon : Qu’il faille être à l’aube de son extinction (mort) pour se révéler honnête, dynamique, précurseur, en l’endroit et bénéfice de l’Afrique et des Africains ?
Ainsi donc d’enseignement du vécu de Mugabe : la force de la jeunesse se doit d’être consacrée à la complaisance d’avec les puissances étrangères et la faiblesse de la vieillesse à se draper d’incitateur de novation ! Autrement quand on est fort de son bel âge se taire et subir est préférable, et quand on atteint un âge de faiblesse et de pitié humaine en son endroit…là il importe de jaser à s’époumoner !
Drôle de leader africain qui su raser les mûrs à l’assassinat du jeune Sankara du Burkina Faso dont-il ne jugeait en être un proche !
Drôle d’enchanteur de basse cours aux sortilèges maussades. Ce serait donc ceux qui de jeunesse furent mal constitués (séides colonisés), et de loin exemplaire, qui seraient les chantres des lendemains meilleurs africain ? Quel est donc son bilan au Zimbabwe depuis 1980…lui qui ne voit qu’en la colonisation asiatique (chinoise) le bien être de l’Africain !?
Pathétique fumisterie… L’Afrique nouvelle ne saurait l’être des compromis malsain de la force de l’âge de sa jeunesse ! Qu’il s’en aille en ternissant moins la dignité africaine (ce qui lui fit défaut en son heure).
Joseph TAPA