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20 avril 2024

Les grosses orchades, les amples thalamèges..


Les grosses orchades, les amples thalamèges..

Littératures vagabondes – états d’âme à La Thalamège

04/08/2015

LA CLASSE DIRIGEANTE DES ÉTATS-VASSAUX

 

 

LA CLASSE DIRIGEANTE DES ÉTATS-VASSAUX

Quatre lettres ouvertes à M. Jacques Myard, Député de la nation, Président du Cercle Nation et République

 

I

Qu’est-ce qu’une nation ?

 

1 – Comment comprendre la France ?
2 – Quelle est l’armature cérébrale de la droite française ?
3 – Une physique de l’esprit
4 – La politique du langage et la psychophysiologie de l’histoire du monde
5 – Le roi et ses courtisans
6 – L’Europe, la France et la raison politique mondiale
7 – Une solitude entre chien et loup

 

1 Comment comprendre la France ?

  1. le Député, permettez-moi de commencer la rédaction de ces lettres ouvertes à votre adresse par un appel respectueux à votre patriotisme : la nation de Descartes vous demande d’approfondir la portée proprement philosophique de votre vocation politique.

Qu’est-ce qu’un député de la nation, donc d’un peuple souverain? Il y a trois mois, votre initiative d’entraîner vaillamment jusqu’à Damas une délégation d’une quinzaine d’élus formés à l’école de votre courage, puis, plus récemment, votre vol intrépide jusqu’à Moscou, me semblent d’une signification politique à approfondir et à expliciter en long et en large, tellement votre action illustre l’embarras intellectuel compréhensible et l’ambition légitime des représentants les plus éclairés de la République, donc des plus inquiets. Car de nombreux députés s’interrogent, non sans désarroi, sur les responsabilités internationales réelles ou seulement formelles qu’il incombe à la classe dirigeante d’aujourd’hui d’exercer.

 

Quatre députés français en visite chez le président Bachar al-Assad

 

Quelle est la capacité des mandataires assermentés d’un peuple censé se piloter lui-même, de graver l’empreinte de sa réflexion sur la planète tout entière, et cela à l’heure tardive, où l’échiquier qu’on appelle le globe terrestre se place au cœur des politiques nationales? Vous avez soulevé la question de la nature et du poids des relations que les peuples proclamés les rois de la mappemonde depuis plus de deux siècles entretiennent réellement avec les phalanges sommitales du concept de démocratie, donc avec leurs guides, pilotes, conseillers, meneurs ou chefs de file.

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Source : http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/tstmagic/1024…

 

 

 

II

Le continent européen en apprentissage de sa servitude

 

Introduction
1 – Le retard intellectuel des classes dirigeantes
2 – Comment instruire des élites vouées à l’éphémère ?
3 – De la nature des grands Etats
4 – Les Cathares du marxisme
5 – De l’utopie à la mystique
6 – Psychobiologie de la vassalité parareligieuse
7 – Le cerveau actuel des dirigeants européens
8 – Un animal masqué par son langage

 

Introduction

Il suffirait à une poignée d’hommes politiques européens de quelques mots bien assénés pour renseigner le suffrage universel du Vieux Continent des raisons simples et évidentes pour lesquelles l’empire américain tente de dresser le Vieux Monde contre la patrie de Tolstoï et de Dostoïevski.

Voici les clés de cette énigme : sept nations se trouvent officiellement détentrices de la foudre nucléaire, les États-Unis, la France, l’Angleterre, la Russie, la Chine, l’Inde et le Pakistan. Mais il ne suffit pas de disposer de l’arme apocalyptique pour exercer une hégémonie de type biblique. La Chine court en tête des nations proches d’insuffler à la terreur une âme économique, l’Inde suit Pékin avec un retard de quelques enjambées – mais l’essentiel est de se trouver sur la piste d’envol. Deux États, l’Angleterre et la France, ayant perdu leur empire colonial, se sont retirés de l’arène où d’autres puissances jouent au pilotage du globe terrestre. Le Pakistan, géant prématuré, piétine sur le seuil dans l’attente d’une audience internationale qui répondrait à sa fierté de détenir une arme inutilisable.

Mais seule la Russie avance résolument sur la voie appienne des armes para-nucléaires de demain. La progression technologique de l’ex-empire des Tsars repose sur le perfectionnement à l’infini de l’armement classique. A l’heure de l’informatique et des logiciels, un État inventif prend rapidement une avance qui condamne le sceptre nucléaire à un rapide vieillissement de son arsenal et de ses canonnades.

D’ores et déjà, l’issue de cette confrontation ne fait plus de doute. La puissance militaire mondiale des États-Unis repose sur un adage vieux de deux millénaires, selon lequel la domination des mers serait la clé de la suprématie invincible d’une nation sur toutes ses consœurs. Cette fixation des esprits sur l’hégémonie navale d’autrefois est décédée dans les dernières années du XXe siècle, quand les monstres d’acier à propulsion nucléaire qui avaient succédé aux caravelles de Charles Quint ou de Guillaume le Conquérant sont devenues pulvérisables en haute mer et à des milliers de kilomètres des côtes du viseur qui les prend pour cibles : des missiles tirés du rivage et enfouis à cinquante mètres sous la terre ne laissent aucune chance de surnager aux tortues porteuses d’aéronefs sur leur carapace d’acier.

 

 

L’avance technologique des armes téléguidées de la Russie et sa maîtrise des missiles miniaturisés ont convaincu l’empire américain d’achever en toute hâte la vassalisation économique et militaire du Vieux Monde et de tenter de lancer précipitamment le continent de Copernic à l’assaut, par procuration, de l’ex-empire des Tsars. Une telle stratégie n’est évidemment possible qu’en raison de la sous-information et de la pauvreté de la réflexion stratégique d’un continent fatigué et dont la connaissance de l’histoire et de la politique s’arrête aux portes de la science des armes modernes. Il faut avoir passé par Saint-Cyr ou par l’École de guerre, comme le Général De Gaulle ou Jacques Chirac, pour porter sur les États et sur le cerveau de la classe dirigeante élue au suffrage universel un regard instruit à l’école des conquérants qui, depuis des siècles, ont démontré que la clé de la politique est dans la science de la guerre.

C’est pourquoi on voit des enfants de chœur comme Mme Merkel ou François Hollande monter sur la scène du monde en tenue de majordomes décorés d’un mythe de la Liberté écrit sous la dictée d’un maître.

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III

Demain, le patriotisme

 

Note liminaire
1 – Brève rétrospective de l’histoire de la raison
2 – D’Athènes à nos jours
3 – Le XVIIIe siècle censuré
4 – Les premiers craquements de l’empire américain
5 – La façade de l’empire se fissure
6 – Comment rebattre les cartes
7 – Les Young Leaders
8 – L’exemple de Bernard Guetta
9 – la psychophysiologie des valets
10 – Demain, le patriotisme
11 – L’humiliation de la France

Note 2 : La pensée rationnelle serait-elle de retour?

 

Note liminaire

À un jour d’intervalle, Mme Merkel et M. Hollande ont téléphoné à M. Barack Obama afin de solliciter les conseils de ce protecteur bienveillant. On venait de découvrir, avec une feinte surprise, la surveillance du CAC Quarante par les services secrets américains, comme si le maître de la politique étrangère de l’Europe pouvait rencontrer l’obstacle d’une peccadille.

Les pages qui suivent sont amusées par la révolte d’Athènes. Car il est clair que l’Europe des vassaux ne se situera pas au centre de la géopolitique et que ce continent n’acquerra du poids ni sur la scène internationale, ni face à ses propres membres aussi longtemps que le grotesque de sa diplomatie donnera des leçons de démocratie au pays qui a inventé la démocratie. Une Europe qui ne dispose plus de la souveraineté attachée à la définition même des démocraties se met elle-même hors jeu.

 

Le XVIIIe siècle interdit d’enseignement sur ordre de Mme Vallaud-Belkacem

 

Puisque M. Barack Obama ne téléphonera jamais à Mme Merkel ou à M. Hollande pour leur demander leurs conseils dans un différend qui opposerait la Maison Blanche au Kentucky ou à la Californie, je demande seulement au lecteur de lire la présente lettre dans l’optique d’une anthropologie de la politique.

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IV

Pour un droit international rationnel

 

1 – L’Europe héritière du génie grec
2 – Le naufrage du droit romain
3 – Le droit international actuel et ses fumigènes
4 – Les apanages de la pensée cartésienne
5 – M. Paul Craig Roberts
6 – Une raison gangrenée
7 – Une diplomatie sous la cloche de l’abstrait
8 – La France du destin de la pensée rationnelle
9 – Les origines mythologiques de la démocratie mondiale
10 – Le scanner anthropologique du sacré
11 – La postérité de Darwin et de Freud

 

Monsieur le Député,

1 – L’Europe héritière du génie grec

Votre vocation de Président du Cercle Nation et République vous appelle à tenter d’armer d’un droit international rationnel la civilisation construite sur les ambitions de la pensée logique. Qu’en est-il d’une raison à la hauteur de sa mission et qui porterait le sceau des relations que les États souverains, donc engagés sur le chemin de l’esprit critique devraient entretenir avec le génie européen. Il s’agit de retrouver l’appel du continent qui inventa le premier gouvernail universel des encéphales – la dialectique.

Le droit international d’une démocratie eschatologisée par le calvinisme américain et dont le monde anglo-saxon a progressivement substitué le messianisme biblique aux dispositions réalistes du traité de Westphalie de 1648 répond à un autre type d’intelligence et à d’autres formes du savoir qu’à ceux nés il y a vingt-cinq siècles de l’entendement rigoureux des logiciens grecs. Une politique étrangère cohérente, donc syllogistique, ne saurait se montrer apostolique, évangélisante et rédemptrice – elle exige de se trouver gouvernée d’une main de fer par une méthodologie, c’est-à-dire – l’étymologie nous le rappelle – sur une route, odos, tracée par la droiture d’une argumentation implacable. Le génie grec a porté l’irréfutable à l’inexorable et rendu les démonstrations tellement invincibles qu’il a fallu changer d’espace et de temps pour terrasser leurs raisonnements.

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V

La chute du rêve européen dans l’immoralité économique

et dans l’humiliation des nations

 

1 – Le peuple et les généraux
2 – La démocratie pharaonesque
3 – En attente de votre phalange de députés-pilotes
4 – La France des bégayants
5 – Les sucreries de l’obéissance
6 – Une anthropologie de la jungle et du zoo
7 – La bouche de l’Hadès est béante
8 – L’animal onirique
9 – L’histoire de la philosophie occidentale et l’action politique
10 – Le dieu Liberté et le Tibre
11 – L’avenir appartient aux donateurs

 

1 – Le peuple et les généraux

L’humiliation nationale de la Grèce a été tempétueuse, l’humiliation internationale de l’Europe est demeurée silencieuse. Quelle est la fatalité interne qui aura tenu les rênes de la course à l’abîme des États vassalisés par leur dichotomie évangélisatrice? Quelle est la généalogie d’un messianisme démocratique voué à l’avortement? Quelle est l’étoffe des baudriers et des songes de la Liberté dont notre espèce persévère à décorer son poitrail?

Le premier, Cicéron, avait éclairé de la lumière aveuglante du bon sens des Romains la nature aporétique de toute politologie qui ambitionnerait de s’élever au rang d’une science rigoureuse et qui, du haut des tours de la pensée rationnelle, jetterait un regard condescendant sur les arithmétiques partielles d’une espèce ingouvernable par nature. L’examen du comportement des rois, disait-il, vous expliquera la tyrannie. Si, dans la foulée, vous observez la conduite des « optimatès » – les meilleurs – vous serez éclairés sur le naufrage de l’État dans les rivalités entre les factions; et si vous scrutez les errements du pouvoir populaire, vous verrez que les masses mènent inéluctablement à la gabegie et au chaos – turba et confusio.

Plus précisément, et dans le détail : le prince se verra nécessairement assailli par des spadassins de la politique, puis se trouvera entouré d’une cour de louangeurs, de flatteurs et de panégyristes qui l’habilleront en Jupiter, tandis que les oligarchies au couteau entre les dents se réfléchiront dans le miroir aux alouettes de l’auto glorification de leurs phalanges. Quant à la multitude, elle se jettera inévitablement dans les pattes des démagogues et sous les griffes des émeutiers, qui porteront les foules aux nues et les encageront dans des mondes merveilleux – lesquels ne feront qu’une bouchée de leur proie, alors que les simples d’esprit seront broyés sous les crocs de leurs songes.

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Coda :

 

La France, la Crimée et le droit international

 

Une semaine seulement a passé depuis la diffusion, sur ce site, de ma cinquième lettre ouverte à un député de la nation; et voici que les circonstances me contraignent à interrompre brièvement la pause estivale que je m’étais accordée, parce qu’un groupe de députés conduits par M. Mariani, vice-Président du groupe « Amitiés franco-russes », M. Pozzo di Borgo vice-Président de la Commission des affaires étrangères du Sénat, ainsi que MM. Yannick Moreau, Nicolas Dhuicq, Patrice Verchère, Claude Goasguen, Jacques Myard, Sauveur Gandolfi-Scheit, Marie-Christine Dalloz, et Jérôme Lambert ont décidé de porter le couteau dans la plaie et de soulever publiquement la question centrale du conflit qui s’envenime d’année en année entre le pouvoir législatif et le pouvoir exécutif au chapitre de la défense des intérêts supérieurs du pays. Le constat des défenseurs de la souveraineté de la nation tient en sept points.

Primo. Le suffrage universel fait entendre la voix et exprime la volonté de souveraineté de la nation.

Secundo. L’Assemblée nationale est le fer de lance de l’indépendance de la France sur la scène internationale.

Tertio. Le moyen d’expression politique de la démocratie qu’on appelle la République ne saurait placer la nation sous le joug d’une puissance étrangère sans retirer son existence même d’acteur du monde à la France.

Quarto. Quand un pouvoir exécutif défaillant tente de soumettre la politique étrangère du pays à la volonté planétaire de domination et d’expansion d’un empire étranger, il appartient à l’Assemblée nationale de réaffirmer hautement sa suprématie constitutionnelle sur l’exécutif et de rappeler à un Ministère des affaires étrangères complaisant et affaibli par des années de relâchement de sa volonté et de son ambition sa subordination institutionnelle aux représentants élus du peuple souverain.

Quinto. Alors que le renforcement gaullien du pouvoir exécutif était censé doter la République de la cuirasse d’une souveraineté nationale accrue, on voit un pouvoir exécutif représenté, en l’espèce, par le Ministère des affaires étrangères prononcer des sanctions économiques punitives et illégales contre la Russie, et cela à la demande impérieuse d’un empire américain soucieux seulement d’étendre son hégémonie au cœur d’une Europe vassalisée.

Sexto. M. Mariani a retenu le principe que j’invoquais le 10 juillet 2015 selon lequel on n’arrête pas l’aiguille du temps des nations sur le cadran de l’histoire du monde et que la Russie ne saurait se trouver châtiée et privée d’une partie de son territoire par l’effondrement d’une utopie délirante dont l’évangélisme dévié a ravagé la terre de 1917 à 1989.

Septimo. Nous sommes au cœur d’une stratégie, d’un côté, de reconquête de la souveraineté des nations, et de l’autre, de la menace de la satellisation définitive d’une civilisation.

Cette problématique se trouve confirmée par l’adage de La Rochefoucauld, selon lequel « l’hypocrisie est un hommage que le vice rend à la vertu« . M. Fabius, qui place la France sous le sceptre d’un empire glouton, prétend que ce seraient les députés montés à l’assaut de la politique de l’auto-vassalisation de la France qui violeraient le droit international.

Le 24 juillet 2015

Source : http://aline.dedieguez.pagesperso-orange.fr/tstmagic/1024…

 

 

Un livre

 

Manuel de Diéguez parle, dans sa IVe Lettre, du « traité de Westphalie de 1648 ».

Saisissons l’occasion de rappeler qu’il existe, sur ce moment-clé de l’histoire européenne et sur tout ce qui l’entoura, un très grand livre, que son éditeur français devrait avoir honte de laisser en jachère (jamais réimprimé depuis 1999).

 

 

 

Günter Grass

Une rencontre en Westphalie

Avertissement, notes et traduction de Jean Amsler

Paris – Seuil – 1981

190 pages

 

 

Une rencontre en Westphalie est le récit, sur le ton du roman picaresque, d’une rencontre imaginée par Grass entre des hommes de lettres – eux pour la plupart bien réels – venus de toute l’Allemagne en 1647, à la fin de la guerre de Trente Ans, pendant que s’éternisent les pourparlers des traités de Westphalie. Accablés ou inspirés par le chaos, la guerre et la peste qui frappent les pays de langue allemande, et malgré leurs clivages esthétiques, moraux et religieux, les protagonistes mènent tant bien que mal leur réunion littéraire dans une auberge réquisitionnée, tenue par l’hôtesse Libuschka, future Mère Courage de Brecht.

La rencontre se passe à Telgte, petite ville de Westphalie, près de Münster, à une quarantaine de kilomètres d’Osnabrück, les deux villes où les belligérants négociaient la paix.

Bien entendu, tout en mettant en scène le monde des lettres allemandes du XVIIe siècle, ce texte est aussi un hommage et un roman à clé qui concerne la littérature allemande d’après la Seconde Guerre mondiale, et notamment le Groupe 47 dont Grass a été membre. Le roman est d’ailleurs dédié à Hans Peter Richter pour ses soixante-dix ans (il était l’organisateur des rencontres du Groupe 47).

 

 

Un film

Ah, la France vassalisée… En 1973 – il y a plus de 40 ans ! – elle donnait déjà de l’urticaire à Jean Yanne. Les futurs yes-men brandissaient alors pour quelque temps encore le petit livre rouge qu’ils allaient bientôt remplacer par le Cac Quarante. Yanne voyait aussi en eux les descendants des anciens kollabos.

Certes, l’acteur-cinéaste n’a pas été un philosophe comme Manuel de Diéguez, ni même comme Voltaire, et son film n’est pas Candide. Il est bien plus noir, bien plus pessimiste, avec du désespoir au fond, et sa misanthropie n’est pas celle d’un lutin de cour qui s’amuse à égratigner les puissants en même temps que tous les hommes. Son sarcasme est celui de Gavroche. La société que le gamin des faubourgs fustige est celle dont il fait partie. Et jamais Jean Yanne n’aurait pu, ayant constaté les turpitudes du monde, aller cultiver son jardin.

 

Les Chinois à Paris, ou le bal des faux-culs…

 


 

 

Dernière minute

Taking sides in Syrian civil war? Obama authorizes airstrikes « to defend » US-trained rebels

RT – ICH –3 Aug. 2015

Thus the US may become involved in the Syrian civil war on the rebel side.

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Sources :  https://www.rt.com/news/311429-obama-airstrikes-syria-reb…

http://www.informationclearinghouse.info/article42541.htm

Cela dit, en gros, que Barack Obama vient d’autoriser l’US Air Force à bombarder la Syrie, sous prétexte de « protéger » les djihadistes rebelles formés et armés par ses soins des attaques des djihadistes rebelles de Daech.

 

Obama authorizes airstrikes ‘to defend’ Syrian rebels, target Assad troops if necessary

 

 

Lavrov : sans notre soutien, le territoire de Daesh en Syrie aurait été beaucoup plus vaste

RT –3 Août 2015

 

Lors d’une conférence de presse suivant la rencontre avec ses homologues américain et saoudien, John Kerry et Adel al-Jubeir, à Doha, Sergueï Lavrov a évoqué la crise en Syrie et le soutien de la Russie à Bachar el-Assad.

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Source : http://francais.rt.com/international/5226-lavrov–frappes…

 

 

Quid du veto sino-russe ?

 

 

Mis en ligne le 4 août 2015

 

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