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23 avril 2024

Chroniques sanitaire et sécuritaire. Cop 21 et Journée internationale contre le VIH : le climat et le sida


Chroniques sanitaire et sécuritaire. Cop 21 et Journée internationale contre le VIH : le climat et le sida

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MamAfrika TV | Par K.D.W.

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Ambitieuse Cop 21 ? La 21e conférence sur la limitation du réchauffement climatique ne serait pas un vœu pieux, si les Etats qui polluent l’humanité depuis la révolution industrielle européenne du XVIIIe siècle, décéléraient ou arrêtaient leur rythme ou l’allure de leur folle course vers le chaos planétaire. Si la crainte, instantanément affichée, n’est pas simulée elle devrait accoucher de mesures automatiquement pratiques et praticables. Mais seulement voilà, ce rassemblement se réalise au même moment où ils crient tous à la crise généralisée, une crise que la surproduction dans les pays industrialisés, n’a pas pu empêcher. Cela veut dire que tout concourt à faire comprendre qu’ils sortiront de cette extravagante rencontre organisée par le président français avec plein de promesses, voire des effets d’annonce, comme pour se faire bonne conscience. Mais, chacun poursuivra discrètement ou officieusement sa marche funèbre vers l’impasse, l’implosion ou l’explosion de la planète terre. D’ailleurs, en y pensant, rien ne dit qu’un semblable scénario ne s’est pas produit sur une ou d’autres planète(s) auparavant !

Des planètes vides depuis toujours? Oui, il y a de quoi s’interroger sur les autres planètes. Elles sont inhabitées et inhabitables, en tout cas par des organismes vivants selon les spationautes. Pourquoi ? On nous parle de l’atmosphère irrespirable des lieux, des conditions réfractaires à toute possibilité de vie, etc., etc. Mais qu’est-ce nous empêche de penser ou de croire qu’il y a des millions d’années, des organismes tout aussi sinon plus inconscients que notre genre, ont poussé le bouchon au point que ce qui devait arriver arriva. Et qu’après un bouleversement irréversible, ces planètes ont perdu jusqu’à la moindre trace de passage des organismes présumés. Il y a, en effet, de quoi réfléchir si l’humain veut bien abandonner l’idée qu’il est le point focal de l’univers, accepter qu’il y a eu vie avant et qu’il y aura vie après lui, qu’aucun égocentrisme ne l’aidera à se préserver et à préserver son environnement, en connexion avec le reste du système solaire et d’autres encore

Journée internationale contre le sida. S’il y a une maladie qui nargue l’humanité, c’est bien le sida. En effet, en raison des comportements surréalistes que les populations à travers le monde, continuent à observer face à ce serial killer parmi les serial killers (dont le paludisme en Afrique notamment), la pandémie ne cesse de tracer son chemin et de faire des ravages surtout dans les endroits du monde où il existe des populations noires, selon certaines études scientifiques (le phénomène progresse aux Antilles alors que sur le reste du territoire français, ce n’est pas le cas constaté!) En Afrique, il semble que les comportements à risque s’avèrent encouragés, sous prétexte d’évolution des mentalités et des mœurs. Aussi la publicité de la sexualité chez les enfants, de la prostitution et de l’homosexualité, bat-elle son plein comme jamais

A quoi riment la distribution des préservatifs dans les collèges ou l’introduction des pilules contraceptives dans les mœurs des adolescentes, dans les pays africains où le niveau de vie (économiquement parlant) ne peut permettre à la majorité de se procurer ses boucliers illusoires à chaque tentative? Quelle est l’utilité de la pratique précoce de la sexualité chez les jeunes, toute fantaisie mise à part? Quelle est la motivation de ceux qui soutiennent la prostitution en Afrique faisant croire que c’est un métier comme un autre, que ça permet à une mère de nourrir ses gosses, comme si ces femmes ne pouvaient pas être organisées et orientées autrement, afin qu’elles puissent compter, un jour, parmi les décideuses africaines en matières d’éducation et de gouvernance, notamment ?

Et l’homosexualité? Quel est son intérêt au sein des peuples qui, fondamentalement, ignorent l’individualisme et, partant, la sexualité juste pour le plaisir introverti et perverti? Question de culture et de niveau de rapport avec l’être humain qui est aux yeux de l’Africain, rappelons-le, « sacré parce que crée à la ressemblance du divin »: « Je n’ai pas été pédéraste » dit le Livre des Anciens. Question de culture! On ne peut pas croire qu’ « on n’a pas les mêmes valeurs », que « les goûts et les couleurs ne se discutent pas » et paradoxalement chercher à imposer la sienne aux autres civilisations, bien que d’essence différentes! C’est absurde! Entre-temps, ce sont les industries pharmaceutiques et les colporteurs de culture factice, qui participent à la condamnation de l’Afrique dont la croissance démographique coupe le sommeil aux chercheurs d’or étrangers. Ce qui n’exclut en rien la responsabilité au premier plan des élites africaines, aussi bien politiques, culturelles qu’intellectuelles, élites dont les décisions ne font toujours pas la différence, la part des choses !

K.D.W.

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