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29 mars 2024

Le Petit Journal de Chris


 

 

Chers tous !

si vous êtes dans la rue, debout toute la nuit, vous n’avez pas le temps de lire ce courrier, mais vous n’en aurez peut-être pas besoin car un seul acte vaut tous les textes du monde.
si vous êtes tranquillement chez vous à lire ce courrier, alors j’espère qu’il vous donnera envie de rejoindre le mouvement dans la rue
car il a un parfum d’esquisse du début du commencement.. de l’Intifada Mondiale !
la bise révolutionnaire
Chris
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boycot ou pas boycott ?
la position du groupe Karmel Japha, avec une jolie petite chanson qui devrait devenir un grand tube :
https://www.youtube.com/watch?v=L5QPni0S8EA

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Que pensent les Palestiniens de l’agressivité hystérique d’Israël contre la campagne BDS ?
Haidar Eid
Dans leurs campagnes enragées contre le mouvement BDS, les dirigeants israéliens, de la droite à l’extrême-droite, ont clairement montré qu’il ne fallait pas prendre à la légère leur volonté d’en finir avec le mouvement avant qu’il ne réalise ses objectifs, à savoir la liberté, la justice et l’égalité.
Ils ont qualifié le mouvement BDS de « menace stratégique » pour le système israélien d’occupation, de colonisation et d’apartheid mis en place par l’Establishment sioniste. À la Conférence « Stop BDS », organisée par le journal Yediot Ahronot, ministre après ministre, leader après leader, ont repris la rhétorique incendiaire que les militants du mouvement anti-apartheid d’Afrique du Sud connaissent bien.
Lire la suite :  http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/que-pensent-les-palestiniens-de.html

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Les activistes de BDS menacés de mort par Israël
http://www.france-irak-actualite.com/2016/04/les-menaces-de-mort-israeliennes-lancees-contre-les-activistes-de-bds.html

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excellent article :

Alors que rien ne change, voilà ce qu’il nous reste…

Par Stephen Gowans le 17 avril 2016
http://arretsurinfo.ch/alors-que-rien-ne-change-voila-ce-quil-nous-reste/
2 citations :
Le soutien à l’autodétermination palestinienne est le thème politique central de l’Axe de la résistance.

l’Arabie saoudite est, comme l’observent les partis arabes à la Knesset, le domestique«des forces néocoloniales et sionistes».

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Le Liban sera-t-il « remis » à État islamique ?

Par André Vltchek le 17 avril 2016

http://arretsurinfo.ch/le-liban-sera-t-il-remis-a-etat-islamique/

Maintenant que les forces armées syriennes ont libéré Palmyre, le président al-Assad a remercié Vladimir Poutine et le peuple russe pour le soutien important qu’ils ont apporté à son pays. Main dans la main, la Syrie et la Russie ont combattu contre État islamique et d’autres groupes terroristes opérant dans la région – principalement les implants des fidèles alliés de l’Occident : l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie.

Après de récentes victoires en Syrie, le mythe de l’invincibilité du terrorisme s’est effondré, mis en pièces. Il est devenu clair que s’ils sont combattus honnêtement et avec une détermination totale, même les plus fanatiques peuvent être vaincus.

Il est aussi devenu évident que l’Occident a très peu d’intérêt à vaincre ces groupes. Premièrement : ils ont été inventés dans des capitales occidentales, du moins en tant que concepts. Deuxièmement : ils remplissent de nombreux buts et dans de nombreux endroits du monde ; ils brutalisent les pays rebelles au Moyen-Orient et ils répandent la peur et la frustration parmi les citoyens européens, justifiant ainsi des budgets croissants pour la défense et le renseignement, ainsi que des mesures de surveillance grotesques.

Il est évident que l’Occident est si affligé par l’extraordinaire succès des forces syriennes et russes au Moyen-Orient, qu’il continue à faire tout son possible pour le saper, le déprécier et même le calomnier à l’aide de son appareil de propagande.

Maintenant qu’État islamique a été repoussé toujours plus loin de tous les endroits stratégiques en Syrie, la question vient à l’esprit : s’il est finalement vaincu, où va-t-il aller ? Ses combattants sont, bien sûr, en Irak voisin, mais Bagdad est aussi en train de forger une alliance toujours plus étroite avec la Russie, et les groupes terroristes pourraient bientôt ne plus y être en sécurité non plus. Tout compte fait, l’endroit où s’étendre le plus facilement, pour État islamique, est le Liban.

Parce que EI y est déjà ! Ses cellules dormantes sont réparties dans tout le pays, depuis la vallée de la Bekaa et même jusqu’à certains quartiers chics (et pas nécessairement musulmans) de Beyrouth.

Historiquement, la Syrie et le Liban sont une entité unique. La circulation des gens entre ces deux pays est importante et constante. Après le début de la guerre en Syrie, des centaines de milliers de réfugiés, pauvres et riches, sont entrés dans le minuscule Liban, certains s’installant dans les camps de fortune de la vallée de la Bekaa, d’autres louant des appartements somptueux sur la Corniche à Beyrouth.

Officiellement, le Liban (un pays avec moins de six millions d’habitants) accueille environ un million et demi de réfugiés, la plupart syriens, mais aussi venant d’Irak ou d’ailleurs. Cela en plus des approximativement 450 000 réfugiés palestiniens permanents, qui vivent dans plusieurs grands camps administrés par l’Office des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine dans le Proche-Orient (UNWRA dans son sigle anglais).

Dans certains cas, lorsque les combats devenaient trop virulents, le nombre des réfugiés au Liban a atteint plus de 2 millions. Pendant de nombreuses années, la frontière entre le Liban et la Syrie a été poreuse, et même les contrôles aux postes frontière étaient assez laxistes. Cela a commencé à changer, mais seulement récemment.

Avec les réfugiés (surtout des familles fuyant les combats et l’extrême précarité causée par le conflit), est arrivé un nombre important de cadres djihadistes – combattants d’État islamique, d’al-Nusra et d’autres groupes terroristes pro-saoudiens et pro-turcs. Ils ont pleinement tiré profit de la situation, s’immisçant dans le flux des émigrés légitimes.

Leur objectif est clair et simple : se regrouper au Liban pour créer des cellules fortes et efficaces, qui frapperont le moment venu. Le rêve d’État islamique est un puissant califat dans le nord du Liban, de préférence avec un plein accès à la mer Méditerranée.

Dans l’histoire récente, le Liban est devenu un État extrêmement faible, divisé entre lignes sectaires. Pendant presque deux ans, il a été incapable d’élire un président. À ce jour, le gouvernement est dysfonctionnel, presque paralysé. Le pays souffre d’innombrables maux mortels : depuis les crises des déchets qui n’en finissent pas jusqu’à des coupures d’électricité constantes et des problèmes d’approvisionnement en eau. Il n’y a pas de transports publics et l’enseignement public est sous-doté, inadéquat et ne sert que la partie la plus pauvre de la population. La corruption est endémique.

De temps en temps, Israël menace de l’envahir. Il a attaqué le Liban à au moins cinq occasions différentes ; la dernière fois, c’était en 2006.

Au nord-est du pays, à la frontière syrienne, l’armée libanaise et le Hezbollah sont engagés dans la lutte contre EI. Mais l’armée libanaise est en sous-effectif, mal armée et terriblement mal entraînée. En fin de compte, c’est le Hezbollah, la force la plus importante au Liban, sur les plans militaire, social et idéologique, qui fait front. Il mène une bataille énorme, épique, dans laquelle il a déjà perdu plus d’hommes que lorsqu’il a combattu la plus récente invasion israélienne en 2006. Jusqu’à présent, le combat du Hezbollah contre les groupes terroristes est couronné de succès. Mais en plus d’assurer la défense, il est aujourd’hui la seule force politique au Liban qui est prête à surmonter les divisions sectaires. Il apporte aussi un soutien indispensable à des centaines de milliers de citoyens libanais pauvres.

Au Liban et en fait dans tout le Moyen-Orient, le Hezbollah est profondément respecté. Mais il est chiite ; il a été étroitement lié à l’Iran et à la Syrie et il est connu pour critiquer farouchement l’Occident et ses actions meurtrières au Moyen-Orient et dans le Golfe. Il combat précisément ces groupes terroristes qui sont armés et soutenus par l’Arabie saoudite, le Qatar et la Turquie. Par conséquent, il est entravé.

Le gouvernement libanais refuse avec persistance d’inscrire le Hezbollah sur la liste terroriste, ce qui a déjà été fait par de nombreux pays occidentaux et par la plupart des membres pro-occidentaux de la Ligue arabe. Au grand dam de l’Arabie saoudite, tant l’Irak que le Liban ont refusé de voter favorablement pour déclarer le Hezbollah comme organisation terroriste. La Syrie aurait refusé aussi mais, de façon prévisible, elle n’a pas été invitée à voter.

Le Liban est de plus en plus critique à l’égard de l’Occident, des organisations internationales et des pays de la Ligue arabe. Il est indigné par les doubles standards par rapport à ce qu’on appelle la crise des réfugiés. Il est aussi inhabituellement franc. L’un des plus importants journaux libanais, le Daily Star, a écrit le 26 mars 2016 :

Le ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil a accusé samedi la communauté internationale d’aborder la crise des réfugiés syriens avec un double standard. Quelques heures après que Ban Ki-moon, le secrétaire général des Nations Unies, ait quitté Beyrouth après une visite de deux jours
, Bassil a souligné l’incohérence de pays qui soutiennent l’insurrection armée en Syrie et appellent le Liban à placer les droits humains au premier plan, notant que plusieurs de ces pays renvoyaient les réfugiés par la force – une mesure que Beyrouth n’a pas prise.

«Ils créent la guerre, et ensuite ils appellent les autres à accueillir les réfugiés conformément aux accords sur les droits humains», a-t-il dit lors d’une conférence télévisée depuis sa résidence à Batroun.
 Le ministre des Affaires étrangères Gebran Bassil et son parti font partie d’une coalition avec le Hezbollah. Il a été extrêmement critique à l’égard des visiteurs de haut rang qui ont accablé le Liban dernièrement : le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon, le président de la Banque mondiale Jim Yong Kim et la haute représentante pour la politique extérieure de l’Union européenne Federica Mogherini. M. Bassil a même refusé de rencontrer personnellement Ban Ki-moon.

L’une de mes sources, qui assistait à la réunion à huis-clos de Ban Ki-moon, Jim Yong Kim et les responsables des agences de l’ONU à Beyrouth, a commenté : «Presque rien de nouveau, de concret ou de stimulant n’y a été discuté.»

À Beyrouth, il est souvent mentionné que tandis que la Turquie et la Jordanie sont en mesure de négocier des milliers de dollars pour accueillir des réfugiés sur leur sol, au Liban n’ont été faites que des promesses vides émanant de l’UE et du reste de la communauté internationale. Le Liban a aussi été menacé de conséquences juridiques au cas où il déciderait de déplacer les réfugiés de force (les alliés de l’Occident comme la Thaïlande le font régulièrement, souvent en les tuant même, mais ils ne font jamais l’objet de menaces importantes. Plusieurs pays européens contraignent aussi les réfugiés à partir).

Comment un pays de 5 ou 6 millions d’habitants réussira à faire face à 1.5 millions d’immigrants est imprévisible. Ce qui est clair, c’est que l’infrastructure du Liban est en train de s’effondrer ou, comme certains le disent, c’est déjà fait.

Il semble qu’il y ait un plan, un prétexte pour étrangler le Liban. Plusieurs spécialistes basés au Liban affirment que le pays deviendra bientôt indéfendable. Les Saoudiens ont annulé plus de 4 milliards de dollars d’aide promise auparavant aux forces armées libanaises. Robert Fisk a écrit dans The Independent le 2 mars 2016 :

Maintenant l’Arabie saoudite, qui fait des gaffes dans la guerre civile au Yémen et menace d’envoyer ses soldats, surpayés mais faiblement entraînés, en Syrie, se tourne vers le Liban pour se venger de son infidélité et de son manque de reconnaissance après des décennies de largesses saoudiennes.

Après avoir promis à plusieurs reprises de dépenser £3.2 milliards en nouvelles armes françaises pour l’armée libanaise, bien formée mais désespérément sous-armée, l’Arabie saoudite a subitement refusé de financer le projet – qui était soutenu avec enthousiasme par les États-Unis et, pour des raisons plus égoïstes, par Paris. Avec les États du Golfe, Riyad a dit à ses citoyens de ne pas se rendre au Liban ou – s’ils y sont déjà – de le quitter. Saudi Airlines est censée cesser tous les vols pour Beyrouth. Le Liban, selon les Saoudiens, est un centre du terrorisme.

Le fait que l’an dernier, le Liban ait osé arrêter un prince saoudien à l’aéroport international Rafik Hariri, alors qu’il tentait de faire passer en contrebande deux tonnes de pilules d’amphétamine Captagon chargées sur un jet privé pour l’Arabie saoudite, n’a pas aidé. Le prince passait aussi de la cocaïne, mais c’était très probablement pour sa consommation personnelle. L’amphétamine Captagon est aussi appelée la drogue de combat, et elle était, très probablement, destinée aux combattants pro-saoudiens au Yémen.

Alors que va-t-il se passer si l’armée libanaise ne reçoit pas de nouvelles armes ? Peut-être que l’Iran pourrait l’aider, mais s’il ne le fait pas ? Alors le Hezbollah serait la seule force à affronter État islamique, qui se déversera bientôt dans toutes les directions depuis les villes libérées en Syrie, en particulier en direction des côtes libanaises. Mais le Hezbollah est ostracisé, étranglé et diabolisé par l’Occident et le Golfe.

Une nouvelle petite invasion israélienne et presque toutes les forces du Hezbollah seraient ligotées dans le sud, État islamique attaquerait depuis le nord, les cellules dormantes seraient activées à Beyrouth, à Tripoli et dans d’autres villes, et le Liban s’effondrerait en quelques jours. Est-ce que c’est le plan ? Après tout, Israël et l’Arabie saoudite sont deux proches alliés, lorsqu’il s’agit de leurs ennemis chiites.

Ensuite ce pays minuscule, fier et créatif, pourrait fondamentalement cesser d’exister.
 Les États du Golfe (leurs dirigeants, pas leurs peuples) se réjouiraient : un autre bastion de la tolérance aurait disparu. Et une forteresse chiite de plus – les zones du Hezbollah au Liban – seraient pillées et détruites.

L’Occident pourrait exprimer officiellement sa préoccupation, mais un tel scénario s’intégrerait dans son plan directeur : un pays rebelle de plus serait anéanti, et la Syrie serait menacée pendant des années par la direction occidentale. Après tout, Damas n’est qu’à 30 minutes de voiture de la frontière libanaise.
 Le Paris du Moyen-Orient, comme on avait coutume d’appeler Beyrouth, serait ensuite décoré avec ces effrayants drapeaux noirs d’État islamique. Le Liban dans son ensemble connaîtrait un effondrement total, l’année zéro, la fin.

Ce n’est pas un scénario fantasmagorique. Tout cela pourrait intervenir en un an, et même en quelques mois. A l’heure actuelle, le Liban n’a que deux endroits où demander aide et protection : Téhéran et Moscou. Il devrait les associer tous les deux sans délai !

Par Andre Vltchek – Le 2 avril 2016 – Source New Eastern Outlook

Article original: http://journal-neo.org/2016/04/02/will-lebanon-be-handed-over-to-isis/

Traduit par Diane Gilliard
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LIBAN :      Le Hezbollah prêt à toute éventualité au Sud
http://www.lorientlejour.com/article/981031/le-hezbollah-pret-a-toutes-les-eventualites-au-sud.html

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CUBA :OBAMA ET L’ÉCONOMIE CUBAINE : COMPRENDRE CE QUI N’A PAS ÉTÉ DITDr. Agustín Lage Davila  Publié le 29 Mars 2016 par Bolivar Infos traduction Françoise Lopez
http://bolivarinfos.over-blog.com/2016/03/cuba-etats-unis-obama-et-l-economie-cubaine-comprendre-ce-qui-n-a-pas-ete-dit.html

je vous préviens, le texte est un peu long, mais édifiant. Prenez le temps de le lire.
voici la version originale en espagnol :

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BOLIVIE:

EVO MORALES ACCUSE LES ETATS-UNIS D’ORGANISER DES PLANS DE DÉSTABILISATION

Publié le 17 Avril 2016 par Bolivar Infos
http://bolivarinfos.over-blog.com/2016/04/bolivie-evo-morales-accuse-les-etats-unis-d-organiser-des-plans-de-destabilisation.html

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Panama Papers : un vulgaire poisson d’avrilPierrick TilletIl y avait des choses troublantes dans cette enquête de l’UCIJ (International consortium of investigate journalists) sur les Panama Papers. Et voilà que petit à petit l’affaire apparaît comme une grossière tentative de manipulation par un Empire aux abois. Ce qui mettait la puce du doute à nos méfiantes oreilles, c’étaient finalement l’absence de véritables renseignements d’importance, des broutilles sur quelques commodes lampistes, du moins dans le camp dit occidental.
Lire la suite : http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/panama-papers-un-vulgaire-poisson-davril.html

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La réponse d’Edward Snowden à François Hollande
Europalestine          
Les belles déclarations de François Hollande sur la nécessaire protection des « lanceurs d’alertes« , qui révèlent la monumentale corruption de nos dirigeants et banquiers, ne sont pas tombées dans l’oreille d’un sourd. Edward Snowden a réagi à cette hypocrisie.
« Vraiment ? », demande Edward Snowden à François Hollande, lorsque le président de la République s’est réjoui des révélations surnommées « Panama Papers », qui mettent la lumière sur un gigantesque système d’évasion fiscale organisé à travers le Panama.
Lire la suite : http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/la-reponse-dedward-snowden-francois.html

Le mensonge et l’hypocrisie sont de vilains défauts… surtout de la part de ceux qui passent leur temps à faire la morale à la terre entière !
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L’opinion du conseiller économique de Poutine sur la guerre hybride
http://arretsurinfo.ch/lopinion-du-conseiller-economique-de-poutine-sur-la-guerre-hybride/
La dette du casino de l’Empire est insoutenable et l’oligarchie dirigeante voit la guerre comme le seul moyen de sauver son hégémonie

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OTAN: des bases en France, voire plus ?
http://arretsurinfo.ch/otan-des-bases-en-france-voire-plus/

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LES EUROPEENS EN ONT ASSEZ DE L’INTERVENTIONNISME ÉTAZUNIEN 
http://arretsurinfo.ch/les-europeens-en-ont-assez-de-linterventionnisme-americain/——————————————

PARLEMENT EUROPEEN :

Nigel Farage : « L’armée du peuple l’emportera sur cette Union européenne antidémocratique »

http://arretsurinfo.ch/nigel-farage-larmee-du-peuple-lemportera-sur-cette-union-europeenne-antidemocratique/
Les kapos de Bruxelles ne bronchent pas quand Nigel Farage, une nouvelle fois, les accuse de s’asseoir tout simplement sur la volonté exprimée par les peuples européens. Quant au député qui répond à la fin, la seule chose qu’il trouve à dire est qu’il faut déplorer le résultat du référendum néerlandais… parce qu’il doit faire plaisir à Poutine ! OD
UNE VIDÉO Où ON ENTEND CERTAINES CHOSES DITES AU PARLEMENT ET QUI FONT PLAISIR ET QUI COMPLÈTE BIEN L’ARTICLE PRÉCÉDENT (RAS LE BOL DE  L’INTERVENTIONNISME ÉTAZUNIEN)

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Cause palestinienne en France : une nouvelle voie extrapartisane possible ?Par Lina Kennouchehttp://www.ism-france.org/analyses/Cause-palestinienne-en-France-une-nouvelle-voie-extrapartisane-possible–article-1996411.04.2016 – L’élimination froide du Palestinien Abed al-Fattah Yusri al-Sharif, blessé et gisant au sol, par un soldat franco-israélien, a récemment soulevé une vague de condamnations par les associations de défense des droits du peuple palestinien, qui ont qualifié cet acte de « terroriste » et réclamé la déchéance de la nationalité française de son auteur. Comme à chaque nouvel événement tragique, les mouvances propalestiniennes sont promptes à condamner les atrocités commises et rappeler leur ferme attachement aux droits historiques, légitimes et internationalement reconnus du peuple palestinien.
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Forte progression des exportations d’armes israéliennes vers l’Europe en 2015
Pour la Palestine               

Globalement, Israël a conclu des contrats de vente d’armements et de technologies militaires pour 5,7 milliards de dollars US en 2015, selon les données officielles, publiées par Haaretz mercredi.
Les exportations israéliennes dans ce domaine sont en baisse en ce qui concerne les pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. Mais la hausse est en revanche sensible en ce qui concerne les pays européens et les États-Unis. Au total, Israël a vendu pour 100 millions de dollars de plus que l’année précédente.
Lire la suite :  http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/forte-progression-des-exportations.html

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Le rôle d’Israël dans le génocide au Rwanda restera un honteux secret, décident les juges
Gili Cohen              

La Cour Suprême israélienne a décidé que les données relatives aux exportations israéliennes d’armes vers le Rwanda pendant la période où se déroulait un génocide resteront soumises au secret. Pour des “raisons de sécurité”, bien entendu.
Les requêtes introduites devant la Cour en application de la loi sur la “liberté de l’information”, qui visaient à obtenir que les documents du Ministère israélien de la défense relatifs aux exportations d’armes vers le Rwanda entre 1990 et 1995 soient rendus publics, ont été repoussées.

Lire la suite : http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/le-role-disrael-dans-le-genocide-au.html

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Ça commence à bien faire ! « La politique française ne se fait pas à la Knesset »http://arretsurinfo.ch/la-politique-francaise-ne-se-fait-pas-a-la-knesset/

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Quoique refusant d’adhérer au Traité de non-prolifération, Israël bénéficie d’une intense coopération nucléaire internationale
Chaim Levinson               
Le réacteur nucléaire israélien de Dimona est impliqué dans 65 projets de recherche avec des agences nucléaires étrangères, parmi lesquelles le Département de l’Énergie des États-Unis, l’Agence étatsunienne de protection de l’environnement, l’Union Européenne (le “Joint Research Center”), le Commissariat à l’Énergie Atomique français (par un heureux hasard “Énergie Atomique” et “Énergies Alternatives” ont les mêmes initiales) et l’Agence Internationale de l’Énergie Atomique.
Or, on peut tenir pour établi qu’Israël, qui n’a jamais signé le Traité de Non-prolifération des armes nucléaires et qui soustrait ses installations nucléaires à tout contrôle international, dispose de 115 armes nucléaires au moins.

Lire la suite : http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/quoique-refusant-dadherer-au-traite-de.html

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La Croix-Rouge offre 4000 amandiers aux cultivateurs gazaouis constamment agressés
ats         
Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a entamé mercredi la distribution de 4000 amandiers offerts aux cultivateurs de la bande de Gaza dont les terres, le long de la frontière avec Israël, ont été ravagées. « Qui nous dit qu’un avion israélien ne va pas venir tout détruire de nouveau ?« , demande un cultivateur palestinien qui décrit la situation.

Marouane Abu Mharreb, un des bénéficiaires du projet, raconte les difficultés de ces cultivateurs qui vivent littéralement en première ligne dans l’enclave sous blocus israélien, ravagée depuis 2008 par trois guerres. Malgré le cessez-le-feu en vigueur depuis fin août 2014, des tirs retentissent au loin, faisant s’envoler un nuage de cigognes.
Lire la suite :  http://humeursdemarisse.blogspot.fr/2016/04/la-croix-rouge-offre-4000-amandiers-aux.html

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Dima al-Wawi, 12 ans, prisonnière palestinienne dans les geôles du régime sioniste, écrit à sa famillePar Dima al-Wawi
http://www.ism-france.org/temoignages/Dima-al-Wawi-12-ans-prisonniere-palestinienne-dans-les-geoles-du-regime-sioniste-ecrit-a-sa-famille-article-19962

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un portrait de Vittorio Arrigoni assassiné le 15 avril 2011

un article et une vidéo à ce sujet  : http://www.ism-france.org/temoignages/A-ton-ame-vivante-Vittorio-Arrigoni-article-19967

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ICI UN ARTICLE UN PEU PLUS POINTU SUR LA DÉRIVE IMPÉRIALE DES ZARMA-GAUCHO :

http://arretsurinfo.ch/se-faire-des-amis-libertaires-et-rebelles-2-2/

ça fait longtemps que j’ai rompu avec CQFD, à cause en particulier de la Syrie, après leur avoir proposé une information plus sérieuse et avoir compris qu’ils avaient certainement d’autres motivations, voire du soutien.. sonnant et trébuchant  ?  Cette question me semble légitime car d’une part, j’ai du mal à imaginer que ces gens que j’ai bien connus, soient devenus complètement aveugles et d’autre part parce que, dans le fond, un petit journal comme ça, comment peut-il survivre, dans cette jungle libérale ? (l’estomac a ses raisons que la raison ignore 😉
mais j’ai longtemps eu confiance en eux et même si nous n’étions pas d’accord sur tout, je leur faisais confiance. Ce n’est plus le cas et je me dois de faire part de cette analyse (l’article ci-dessus), en particulier à ceux parmi vous qui ont reçu de ma part, à une certaine époque, une certaine pub pour ce canard marseillais, peut-être même un numéro gratuit, etc.

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À Chris
Le Premier ministre ukrainien, M. Yatsenyuk, a démissionné dimanche, quatre jours seulement après que les Hollandais ont voté contre l’entrée de l’Ukraine dans l’Union européenne. Ces deux évènements indiquent clairement que le coup organisé par les Etats-Unis en Ukraine n’a pas offert au pays la liberté et la démocratie promises. Ils suggèrent également un profond mécontentement des Européens face à l’interventionnisme de Washington.

Selon les gouvernements des Etats-Unis et de l’Union européenne – chose qu’ont beaucoup répété les médias grand public – le peuple ukrainien s’est soulevé de sa propre volonté en 2014 pour se débarrasser d’un gouvernement corrompu et allié de Moscou, pour venir rejoindre le camp pro-occidental. Selon ces gens, le personnel du gouvernement américain qui a distribué des cookies et est entré en scène à Kiev pour pousser le peuple à renverser leur gouvernement n’a rien eu à voir avec ce coup.

Quand la Vice-secrétaire d’Etat américaine, Victoria Nuland, a été filmée se vantant des 5 milliards de dollars dépensés par le gouvernement des Etats-Unis pour « promouvoir la démocratie » en Ukraine, elle ne voulait absolument pas dire que les Etats-Unis avaient eu quoi que ce soit à voir avec la chute du gouvernement d’Ianoukovitch. Quand elle a été filmée en train de dire à l’ambassadeur américain à Kiev que le Premier ministre Yatsenyuk était le choix des Etats-Unis, elle n’a absolument pas sous-entendu que les Etats-Unis avaient interféré avec les affaires internes de l’Ukraine. Les néo-conservateurs considèrent encore les rumeurs d’une implication des Etats-Unis comme une « théorie de la conspiration ».

Je ne doute pas que l’ancien gouvernement était corrompu. La corruption est l’apanage des gouvernements. Mais selon Transparency International, la corruption du gouvernement ukrainien est aujourd’hui similaire à ce qu’elle était avant le coup. L’intervention américaine a donc échoué à régler le problème, et le gouvernement installé par les Etats-Unis tombe aujourd’hui en ruines. Le chaos que traverse l’Ukraine peut-il être qualifié de nouvelle réussite de Washington ?

Mais venons-en au vote hollandais. Le rejet du projet de l’Union européenne d’accueillir l’Ukraine parmi ses rangs démontre le niveau de frustration et de colère en Europe face à l’interventionnisme de Washington dans les affaires politiques de la région aux dépends de la sécurité et de la prospérité des Européens. Les autres pays membres de l’Union européenne n’ont même pas osé organiser un référendum sur la question.

Bruxelles soutient l’intervention des Etats-Unis au Proche-Orient, et des centaines de milliers de réfugiés qui cherchent à échapper aux bombardements accablent aujourd’hui l’Europe. Les gens doivent payer toujours plus de taxes pour venir en aide aux victimes des politiques de Washington.

Bruxelles défend les projets de changement de régime en Ukraine, et les citoyens européens entendent dire qu’ils devront porter le fardeau de la transformation d’une cause désespérée en un pays digne des standards établis par l’Europe. Combien coûterait-il à l’Europe d’adopter l’Ukraine en tant que membre ? Personne n’ose le dire. Mais les Européens en ont assez de voir leur dirigeants respecter les demandes de Washington et de se retrouver à en payer les frais.

La colère monte, et il est impossible de savoir jusqu’où la situation pourra aller. En juin prochain, le Royaume-Uni votera sur la question d’une possible sortie de l’Union européenne. La campagne de sortie allie des conservateurs, des populistes et des progressistes. Peu importe ce qui en ressortira, ce vote sera d’une grande importance. Les Européens en ont assez de voir leurs dirigeants de Bruxelles détruire leur sécurité financière et politique en cautionnant l’interventionnisme de Washington. Personne n’oserait appeler ces récentes interventions des réussites, et les Européens le savent.

D’une manière ou d’une autre, l’empire des Etats-Unis touche à sa fin. Reste à savoir ce qui manquera en premier : l’argent ou les alliés. Mieux vaudrait pour les Américains de demander à ce que prennent fin ces politiques le plus tôt possible.

Ron Paul, le 11 avril 2016

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