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20 avril 2024

Macron membre du Bilderberg


par Gilles SONDEREGGER (son site)
samedi 20 décembre 2014

 

Il n’est plus un secret que le Bilderberg et ses sections telles que la « French-American-Connection », placent de plus en plus dangereusement leurs pions aux plus hauts niveaux des hiérarchies gouvernementales et européennes. Apprenez avec moi à les voir venir de loin…

Cet ancien inspecteur des finances, qui a probablement oublié d’inspecter de nombreux français vivant en Suisse ou en Belgique, est sorti de l’ENA en 2004, malgré quelques belles beuveries à « l’Académie de la Bière » (heureusement, cette année là, l’ENA a buggé).
Repéré très tôt par les chasseurs de têtes du Bilderberg, il est nommé rapporteur de la Commission Attali (Commission pour la libération de la croissance française).

Sur recommandation de Jaques ATTALI, il se met en 2008 « en disponibilité » de la fonction publique, et devient « banquier d’affaires, dans l’une des antichambre du pouvoir et au cœurs du système Bilderberg.

 

Petit bourgeois médiocre et complexé dans son enfance, il met sur le compte de l’échec de son militantisme gauchisant local et l’élection de N. Sarkozy à la présidence de la République l’ont poussé dans les bras du capitalisme (il a pour le moins compris que le blanchiment d’exil fiscal amenait aux plus hautes sphères de l’état, à l’instar de Georges POMPIDOU, le premier président de la république française mis en place par le Bilderberg (après l’éviction de Charles DE GAULLE par la CIA en 1968).

L’histoire des Rothschild, une famille qui pèse 450 milliards de dollars

Sa « docilité » et son enthousiasme à se « bâfrer » AU râtelier de la banque De Rothschild lui rapportent la décoration suprême : A-SSO-CIÉ !

Devenu associé-gérant, il pilote une fusion acquisition pour le compte de Nestlé, de plus de 11 milliards de francs suisses. Les royalties offertes le rendent millionnaire en €uros… François HENROT, bilderbergien historique, le consacre au plus haut grade de l’ultra-capitalisme, en déclarant qu’  » il aurait été, s’il était resté dans le métier, un des meilleur en Europe ». Le nouveau ministre du Bilderberg  ne paie cependant pas pour autant l’ISF.. : une partie de ses revenus a été utilisée afin de « rénover » sa maison familiale du Touquet… de manière à ce que ses gains n’atteignent pas la somme de 1,3 million d’euros, seuil à partir duquel l’impôt sur la fortune est obligatoire. N’est pas de gauche qui veut…

Non satisfait d’avoir collé le suisse Manuel VALLS-GALFETTI aux basques du pauvre Hollande, le bilderberg a « verrouillé » les éventuelles velléités de « François Dernier » en nommant Manuel MACRON « Secrétaire Général-adjoint de la Présidence de la République ». Il y fait ses premiers dégâts par le biais du « pacte de responsabilité » et du « crédit d’impôts pour la compétitivité et l’emploi », 2 des plus beaux cadeaux offerts à ses potes du Medeef.

La récompense ne tarde pas (M. Moscovici peut témoigner du fantastique « effet ascenseur » dont bénéficie les bons élèves du Bilderberg) : l’Élysée annonce en juin 2014 qu’il quitte le cabinet de François Hollande, ou il cumulait les postes de « Conseiller Economique et Financier » et de « Secrétaire Général Adjoint de l’Élysée ». Officiellement, Emmanuel MACRON aurait quitté la présidence pour des projets personnels… qui auront été très, très vite menés, puisqu’il est nommé ministre de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique du gouvernement VALLS II. Ainsi donc, la machiavélique manigance des années 1973 se renouvelle : MACRON devient le plus jeune ministre de l’économie depuis VGE (à qui les Rothschild avaient fait voter la fameuse loi de 1973 sur le financement de la dette).

Quelle pire forfanterie nous réserve donc le nouveau pion du Bilderberg ? Parce que c’est bel et bien au pire qu’il faut s’attendre. Tel sera le prix pour être le 1er ministre du président VALLS en 2017… si tout fonctionne comme nos chers multimilliardaires l’ont prévu (voire même son concurrent pour la présidence, allez savoir…) !

Il est à noter qu’à ce jour, ce monsieur n’a JAMAIS été élu où que ce soit pour quelque mandat que ce soit : il s’agit bel et bien d’une usurpation de la démocratie.

Gilles SONDEREGGER

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