Syrie: la Russie frappe des rebelles soutenus par les USA !
4 juillet 2016
Mais bien sûr n’ est-ce pas, ce sont ces fameux « rebelles » « démocrates », soutenus par les Ricains, la France, et autres pays otaniens et de l’ Euro-tyrannie capitalistes, qui ont déclench é cette nouvelle sale guerre, il y a quelque 4 ans
Mais bien sûr n’ est-ce pas, ce sont ces fameux « rebelles » « démocrates », soutenus par les Ricains, la France, et autres pays otaniens et de l’ Euro-tyrannie capitaliste, qui ont déclenché cette nouvelle sale guerre, il y a quelque 4 ans, sous les slogans « Assad doit partir, ses jours sont comptés -Fabius-, il massacre son peuple et ne mérite pas de vivre -Erdogan-)… Ils ont aussi été formés, financés, armés par les puissances impérialistes et colonialistes ricano-otano-européistes occidentales, …
Vraiment pas difficile à deviner : les Ricano-otano-occidentaux ont joué le même rôle dès le début de la guerre contre le régime progressiste afghan en soutenant « les rebelles », les « résistants », c’ est à dire les féodaux afghans, qualifiés aujourd’hui de terroristes islamistes, …
Un des « pays du mal » (sic), selon George W. Bush, …
RoRo
Provenance : Courrier pour Windows 10
Source: Le Figaro
La Russie a mené aujourd’hui de nouvelles frappes aériennes contre des rebelles qui combattent l’Etat islamique (EI) dans le sud de la Syrie et dont certains sont soutenus par les Etats-Unis, a déclaré un responsable américain. Ces raids, qui font suite à une première série de frappes jeudi dans ce secteur, ont été menés alors que Washington avait demandé à Moscou d’y mettre fin par les canaux de communication d’urgence, a ajouté ce responsable.
S’exprimant sous le sceau de l’anonymat, il a précisé qu’un “petit nombre” de rebelles soutenus par les Etats-Unis avaient été tués jeudi dans les bombardements qui ont visé les abords de la ville d’Al Tanf. La région du sud de la Syrie frontalière de la Jordanie est, avec la ville d’Alep au Nord, l’une des rares régions où l’Armée syrienne libre (ASL) n’a pas été totalement supplantée par les divers mouvements insurgés islamistes.
Plus tôt dans la journée, un responsable militaire américain avait vivement critiqué les raids lancés jeudi, notant qu’il n’y avait pas de troupes russes ou syriennes sur le terrain au moment de l’attaque, et que par conséquent, les frappes russes ne pouvaient être qualifiées de défensives. “Les dernières actions de la Russie font peser de sérieuses questions sur les intentions russes”, avait dit ce responsable. “Nous allons chercher à avoir une explication de la Russie sur le motif de cette action ainsi que l’assurance que cela ne se reproduira pas”, a-t-il ajouté.
Mercredi, John Kerry avait dénoncé l’assaut russo-syrien sur Alep, avant que la Russie ne déclare jeudi une trêve de quarante-huit heures dans la ville. Celle-ci n’était pas respectée jeudi par les forces gouvernementales, a rapporté l’OSDH. La Russie dénonce le fait que les rebelles dits modérés et ceux du Front al Nosra, affiliés à Al Qaïda et de ce fait non inclus dans les accords de cessation des hostilités, partagent certaines de leurs positions sur le terrain.
“Il n’est un secret pour personne que le partage des positions entre la soi-disant opposition modérée et Al Nosra pose vraiment un grave problème”, a commenté Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin. “C’est une opération antiterroriste vraiment compliquée”, a-t-il ajouté. La communication entre les armées russe et américaine en Syrie est limitée à des contacts visant à éviter un accident entre les avions des deux pays, qui mènent chacun de leur côté des frappes aériennes spécifiques sur des objectifs particuliers.