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25 avril 2024

Les Grosses Orchades, les Amples Thalamèges, le blog


 

 

 

Exécutions capitales recommandées

(en tous genres et des deux côtés de l’Atlantique)

 

 

Tale of two guillotines

 

 

« Syrie le Retour »

… à Caracas, où l’hypocrisie américaine clignote sur tous les panneaux d’affichage

Ziad Fadel  –  Syrian Perspective    24.1.2019

 

 

Ceci vous rappelle quelque chose ? La seule différence est que ce terroriste-là opère  à Caracas, Venezuela, alors que les autres rats avaient commencé leurs exploits à Deraa, Syrie. Tout ça provoqué par les mêmes motifs US

 

 

Est-ce que vous n’adorez pas les platitudes des refrains sirupeux qui vous poissent déjà à grandes louches de « peuple », de « démocratie », de « libération », de « justice », de « transparence » et de l’habituel charabia que dégoisent les gueules de ces faux-derches et menteurs professionnels ? M …. ! Je pensais que les Américains se seraient finalement rendu compte de l’étendue de leur défaite en Syrie. Même la Grande Bretagne, cette nation la plus pleine à ras-bords de scélérats, a bien dû finir par admettre que sa politique en Syrie s’est plantée, et que, si elle s’est plantée en Syrie, pourquoi marcherait-elle au Venezuela ?

Elle ne le fera pas. Point.

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Url de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/syrie-le-retouir/

 

 

 

 

Peleas à Caracas

 

Observatus geopoliticus – Chroniques du Grand jeu24.1.2019

 

 

 

 

La grande pelea, le combat final, a peut-être commencé au Venezuela. Le pion de Washington, et accessoirement leader de l’opposition, vient de s’y auto-proclamer « président par intérim », immédiatement reconnu par les États-Unis. Plus besoin d’élections désormais, c’est si pratique : les eurocrates en savent d’ailleurs quelque chose… Toute ressemblance avec un événement ou une situation existant ou ayant existé ne saurait être que fortuite, nous assurerait la CIA cinématographique, et seules les langues les plus mauvaises ou les esprits les plus taquins pourraient être tentés de dresser un parallèle avec un certain coup d’État il y a cinq ans, quelque part dans les grandes plaines (au hasard, l’Ukraine…)

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Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2019/01/peleas-a-caracas.html

 

 

 

 

Trump joue avec le feu à Caracas

 

Atilio BORON  – TELESUR 24.1.2019

 

 

 

 

L’empereur a publié son oukase et oint comme président Juan Guaidó, un moins-que- rien de la politique vénézuélienne, inconnu de la grande majorité de la population, mais construit « prêt à porter » par les médias américains et les spécialistes du marketing dans les deux dernières semaines.

Après l’éclat de Trump, les gouvernements qui tentent de transformer leur pays en républiques bananières – l’Argentine, le Brésil, la Colombie, le Paraguay, le Honduras et même le Canada – se sont précipités pour être les premiers à lécher les bottes du magnat new-yorkais. Tout ce grotesque juridique, qui nous ferait bien rire si ce n’est qu’il peut finir en tragédie, a la bénédiction de Luis Almagro (« Combien vous me donnez pour renverser Maduro ? ») et, jusqu’à présent, le silence tonitruant du Secrétaire Général des Nations Unies, le Portugais António Guterres qui, en bon social démocrate, souffre caractéristiquement du même tic que ses collègues, tic qui le fait regarder ailleurs chaque fois qu’il y a le feu quelque part dans le monde. À travers son porte-parole, il demande des « négociations politiques inclusives et fiables » oubliant ainsi que ces négociations-là ont été menées avec succès par José L. Rodríguez Zapatero dans les discussions qui ont eu lieu à Saint-Domingue et qu’au moment d’estampiller de sa signature les accords laborieusement obtenus, les représentants de « l’opposition démocratique » vénézuélienne se sont levés de table en laissant l’espagnol avec sa plume à la main : un appel d’Álvaro Uribe, garçon de courses habituel de la Maison-Blanche, venait de leur transmettre l’ordre de Trump d’interrompre le processus.

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Source : https://www.legrandsoir.info/trump-joue-avec-le-feu-a-caracas-telesur.html

 

 

 

 

On parie que les Gilets Jaunes vont trouver le moyen de se moquer…

 

Venezuela : la France appelle Maduro à « s’interdire toute forme de répression de l’opposition »

L’Union  – 25.1.2019

 

 

 

Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a « fermement » appelé vendredi le président vénézuélien Nicolas Maduro à « s’interdire toute forme de répression de l’opposition ».

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Source : http://www.lunion.fr/id33873/article/2019-01-25/venezuela-la-france-appelle-maduro-sinterdire-toute-forme-de-repression-de

 

 

 

 

En anglais parce qu’en dernière minute :

 

Russia sends “Security Contractors” to Venezuela to protect Maduro

Tyler Durden (Zerohedge)  2 hours ago |

 

As the international community splits along governments who continue to back embattled Venezuelan ruler Nicolas Maduro and governments, led by the US, who have officially recognized opposition leader Juan Guaido as the country’s legitimate head of state, Reuters reported that a group of Russian mercenaries with ties to the Kremlin have been sent to Venezuela to provide security for Maduro as he struggles with the biggest threat to his rule in his six years in power.

 

 

 

 

 

 

The contractors are believed to be from the Wagner Group, a group of private contractors who have performed secret missions on behalf of the government, including fighting in Syria and the Ukraine (which brings to mind this incident from last February when US-backed forces killed 100 Russian mercenaries in what was the closest thing to a direct proxy conflict between Russia and the US in Syria). It’s unclear when the contractors arrived, or when they intend to leave. Russia has offered to mediate the conflict between Maduro and Guaido, while joining with China to criticize the US for interfering in Venezuelan

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Source : https://russia-insider.com/en/russia-sends-security-contractors-venezuela-protect-maduro/ri26044

On essaie de vous le traduire demain : rendez-vous ici-même.

 

 

 

Parlons (Inter) Net

Coup d’État en Macronie

 

 

 

Devant les troubles qui agitent le pays et l’impopularité inédite d’Emmanuel Macron, Gérard Larcher, président du Sénat et, à ce titre, deuxième personnage de l’État, s’est autoproclamé président de la République par intérim.

Le président déchu appelle les militaires et les CRS à la loyauté et dénonce l’empressement de l’Union européenne pour valider le coup d’Etat en réclamant la tenue d’élections « libres et crédibles » (1).

Dans les prochaines heures, il fera une déclaration solennelle dans l’émission de Cyril Hanouna. Selon certaines indiscrétions, il déplorera la vitesse (« comparable à celle d’un projectile au sortir d’un flash ball ») avec laquelle des « socialistes » (sic) qui l’avaient rallié sont repartis vers leur ancienne mangeoire. Parmi eux, il citera : Christophe Castaner, Nicole Belloubet, Florence Parny, Jean-Yves Le Drian, Olivier Dussopt, Richard Ferrand, Marlène Schiappa, Élisabeth Borne, Mounir Mahjoubi, Benjamin Griveaux, Didier Guillaume, qui devraient être accueillis par Olivier Faure ou Benoît Hamon.

Il s’en prendra également à Angela Merkel qui, dans un fulgurant retournement de veste fluo, a déclaré qu’elle soutenait Larcher car : « Le romandisme de la lanke germanigue, z’est pien peau, mais la real politik auzi ».

Théophraste R. (billettiste anti-putschiste).

_________________

Note. (1) Par convention, on appellera « élections libres et crédibles » les élections comme celles qui ont fait de Nicolas Maduro le président de la république bolivarienne du Venezuela sous le contrôle d’organismes internationaux qui les ont validées.

Ne pas rater les intéressants commentaires !

Source : https://www.legrandsoir.info/coup-d-etat-en-macronie.html

 

 

 

 

Réflexion pour lendemain d’anniversaire :

 

« la monarchie n’est le meilleur système politique qu’à condition d’être modéré par la guillotine »

 

 

 

Louis Croix V Bâton, c’est fait. Macron, ça va se faire. Voici pourquoi et comment

De Louis Capet à Macron 1er, violences royales et vengeance du peuple

Maxime VIVAS – LGS 22.1.2019

 

 

 

 

Tous les lundis,  j’anime une émission culturelle d’une heure sur Radio Mon Païs à Toulouse. Je l’ouvre par un éditorial. Celui du 21 (trop saignant, dites-vous ?) avait la forme d’un double carcan qui emprisonnait le dernier roi de France et le premier président qui insultait assidûment son peuple :

« Excusez-moi de vous interrompre », le magazine de la culture et de vos loisirs, une émission de Michel Lafarge, feuilletée par votre serviteur, républicain, gilet jaune et admirateur des régicides : Maxime Vivas.

Bonjour et merci d’être à l’écoute de Radio Mon Païs en ce 21 janvier, date qui devrait être un jour de fête nationale et un jour chômé puisqu’il y a 226 ans jour pour jour, la France proclama aux yeux du monde ébahi, et d’une manière tranchante, qu’un autre système politique pouvait remplacer la royauté. La tête de Louis Capet, également connu sous le sobriquet de Louis Croix V Bâton roula dans la sciure en un endroit aujourd’hui appelé place de la Concorde, à 10h 22, le 21 janvier 1793.

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Url de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/de-louis-capet-a-macron-ier/

 

 

 

 

GILETS

 

 

On n’est pas sur place. On ne sait que ce qu’on reçoit . Ici, de Mai 68.org  en panne…

 

Eric Drouet appelle à la grève générale illimitée

À partir du 5 février 2019

 

Gilets jaunes : la BBC a découvert une piste russe

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

La CGT appelle à la grève générale le 5 février 2019. Éric Drouet appelle à faire de ce jour le début d’une grève générale illimitée, sans mentionner l’appel de la CGT.

Maxime Nicolle pense qu’on ne peut pas faire de grève générale illimitée sans l’aide des syndicats, mais il ne veut pas des syndicats parce leurs directions font partie du pouvoir et sont nos ennemies tout autant que les grands patrons.

Or, les Gilets Jaunes ont prouvé qu’ils savaient organiser des manifestations puissantes sans l’aide des syndicats ; maintenant, il ne leur reste qu’un pas à franchir pour prouver qu’ils peuvent aussi organiser une grève générale illimitée sans l’aide des directions syndicales.

Puisque ce qui gêne Maxime Nicolle, ce sont les syndicats, qu’il sache bien pour commencer, que si, parfois, les syndicats ont organisé des grèves générales, jamais ils n’ont organisé de grève générales ILLIMITÉES. Elles se sont toujours faites  sans eux, c’est-à-dire contre leurs directions. Par exemple, en mai 68, les syndicats ont appelé à UNE journée de grève générale. Ce sont ensuite les salariés qui ont décidé eux-mêmes de la prolonger en grève illimitée. PAS les directions syndicales !

Par conséquent, les réticences de Maxime Nicolle (« pas de grève illimitée sans les syndicats ») n’ont pas lieu d’être.

Autre chose :

Le mouvement des Gilets Jaunes fait des manifs tous les samedis depuis déjà deux mois, avec quelques actions entre temps. Cela rappelle la lutte des Palestiniens qui se manifestent tous les vendredis depuis des années, avec aussi quelques actions épisodiques.

De même que l’État israélien s’est accommodé d’avoir contre lui des manifs tous les vendredis, l’État français s’accommodera, et d’ailleurs s’accommode déjà, d’avoir des manifs contre lui tous les samedis. La preuve, il n’a encore cédé sur rien.

Les Gilets Jaunes veulent bloquer l’économie ? Eh bien, la seule façon de la bloquer vraiment, de façon efficace, c’est la grève générale totale et illimitée.

Bien à vous,

do

25 janvier 2019

http://mai68.org/spip2 (site « en panne » depuis le 22 janvier 2019)

 

 

 

 

 

AUX URGENCES

(suite)

 

Les avocats d’Assange tentent d’obliger l’administration Trump à révéler les charges secrètes portées contre leur client.

Equipe de Défense d’Assange

23.1.2019

 

Photo : Baltasar Garzón, un des avocats d’Assange, dont les bureaux ont été « visités » de manière « professionnelle » en décembre 2017.

 

Les avocats de Julian Assange ont déposé une requête urgente auprès de la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CIDH), basée à Washington D.C., pour demander à l’administration Trump de lever les scellés sur les charges qu’elle a secrètement déposées contre M. Assange. Ils demandent également à la Commission d’obliger l’Équateur à cesser ses activités d’espionnage contre M. Assange, à mettre fin à l’isolement qui lui a été imposé et à le protéger de l’extradition américaine. La demande urgente se présente sous la forme d’une demande détaillée de 1.172 pages de « mesures conservatoires » adressée à l’organisme international qui contrôle le respect par les États-Unis et l’Équateur de leurs obligations juridiques contraignantes. Les appels à extrader M. Assange vers les États-Unis, en raison de son travail d’éditeur et de rédacteur en chef, sont la raison pour laquelle M. Assange a obtenu l’asile politique à l’ambassade de l’Équateur à Londres en août 2012.

Baltasar Garzón, le coordinateur international de l’équipe juridique de M. Assange, souligne une situation qui mine gravement les garanties juridiques qui doivent être garanties par l’État protégeant M. Assange de la persécution politique du gouvernement Trump. M. Garzón demande à la CIDH d’intervenir d’urgence en faveur de M. Assange et appelle à « la solidarité internationale dans cette affaire où le droit d’accès et de diffusion libre de l’information est en danger ».

L’administration Trump refuse de révéler les détails des accusations portées contre M. Assange malgré le fait que des sources du ministère américain de la Justice ont confirmé à Associated Press et au New York Times que M. Assange fait bien l’objet d’une accusation sous scellés. « La révélation selon laquelle les États-Unis ont engagé des poursuites contre M. Assange a choqué la communauté internationale », affirme la soumission juridique. Le gouvernement américain « est tenu de fournir des informations sur les charges pénales qui sont imputées à M. Assange, dans leur intégralité », ajoute-t-il.

Le mémoire révèle pour la première fois qu’au cours des derniers mois, les procureurs fédéraux américains ont officiellement approché des gens aux États-Unis, en Allemagne et en Islande et les ont pressés de témoigner contre M. Assange en échange d’une immunité de poursuite. Les personnes approchées sont associées aux publications conjointes de WikiLeaks avec d’autres médias sur la diplomatie américaine, la baie de Guantanamo et les guerres en Irak et en Afghanistan. L’effort commun de publication entre WikiLeaks, The New York Times, McClatchy, The Guardian, The Telegraph, The UK’s Channel 4, Al Jazeera, The Bureau of Investigative Journalism, Der Spiegel, Le Monde, El País, The Hindu et Reuters, entre autres, a remporté de nombreux prix et créé le modèle de collaboration utilisé ultérieurement dans d’autres grandes publications comme les Panama Papers.

L’administration de Trump a intensifié ses efforts contre M. Assange avec le Grand Jury contre WikiLeaks mis en place dans le District Est de la Virginie depuis 2010. L’Administration a été en proie à des fuites d’informations classifiées au cours de ses deux premières années et a clairement l’intention d’utiliser les poursuites engagées contre Julian Assange comme un « brise-glace » pour créer un dangereux précédent qui permettrait de poursuivre les médias les plus sérieux, comme le New York Times, le Washington Post, AP, CNN et NBC qui obtiennent et publient régulièrement des informations classifiées.

La Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme, qui est l’équivalent de la Cour européenne des droits de l’homme, interviendra si elle estime que les actions des États-Unis et de l’Équateur donnent lieu à une situation urgente et grave qui causera un préjudice irréparable à M. Assange. La demande des avocats de M. Assange identifie une série d’obligations juridiques que les États-Unis et l’Équateur ne respectent pas dans leur traitement de M. Assange.

Les avocats documentent les tentatives de l’administration Trump de faire pression sur l’Équateur pour qu’il livre M. Assange, notamment les menaces sérieuses proférées récemment contre l’Équateur par de hauts responsables politiques américains, contrairement aux menaces plus voilées proférées dans le passé. Ces menaces ont considérablement augmenté depuis que WikiLeaks a publié les documents « Vault 7 » de la CIA – la plus grande fuite d’informations classifiées de la CIA de l’histoire, qui, selon le gouvernement américain, a été fournie par un jeune officier de la CIA, Joshua Schulte.

La demande met également en lumière les opérations d’espionnage menées contre M. Assange à l’ambassade de Londres par les services de sécurité spécialisés engagés par l’Équateur qui, au lieu de protéger le refugié, l’ont espionné lui et ses visiteurs. Selon les médias, la société a également agi à titre d’informateur auprès des autorités américaines, en particulier le FBI.

Parmi les actes graves dénoncés dans la requête figurent le bâillon de l’exécutif équatorien à l’encontre de M. Assange et son ingérence dans les contacts de M. Assange avec ses avocats, ce qui porte atteinte à son droit à une défense légale. « L’Équateur est tenu de mettre fin au régime d’isolement imposé à M. Assange, en suspendant l’application du prétendu protocole spécial et en garantissant le plein respect de ses droits en tant que réfugié », déclare le requérant.

En décembre, le New York Times a rapporté que le nouveau président équatorien, Lénine Moreno, avait tenté de négocier le transfert de M. Assange aux États-Unis en échange d’un « allégement de la dette ».

En ce qui concerne les États-Unis, la communication souligne les graves implications pour la liberté des médias aux États-Unis qu’aura cette attaque sans précédent contre le droit de publier des informations vraies.

Le mois dernier, le Groupe de travail de l’ONU sur la détention arbitraire et le Rapporteur spécial de l’ONU sur la situation des défenseurs des droits de l’homme ont appelé tous les États à mettre en œuvre les conclusions du Groupe de travail de 2016 pour libérer Assange, ajoutant : « Il est temps que M. Assange, qui a déjà payé un lourd tribut à l’exercice pacifique de ses droits à la liberté d’opinion, d’expression et d’information, et à la promotion du droit à la vérité dans l’intérêt public, recouvre sa liberté. »

NOTES

La Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CIDH), basée à Washington D.C., est un organe de l’Organisation des États américains (OEA), dont la mission est de promouvoir et protéger les droits humains sur le continent américain.

Déclaration du Groupe de travail des Nations Unies sur la détention arbitraire appelant à la libération d’Assange, 21 décembre 2018 :

Pour plus d’informations, voir :

https://defend.wikileaks.org/
https://defend.wikileaks.org/about-julian
https://twitter.com/assangelegal
https://twitter.com/defendassange

Traduction « ça urge » par VD pour le Grand Soir avec probablement toutes les fautes et coquilles habituelles

Source :  https://www.legrandsoir.info/les-avocats-d-assange-tentent-d-obliger-l-administration-trump-a-reveler-les-charges-secretes-portees-contre-leur-client.html

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 janvier 2019

 

 

 

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