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25 avril 2024

Les Grosses Orchades, les amples thalamanèges


 

 

 

 

 

 

 

 

 

On a les Noëls qu’on mérite

 

 

Il est né le divin Robot !

 

 

 

 

Le (tout) grand remplacement, ou l’Âge de Fer

 

Slobodan Despot – ANTIPRESSE – 15.12.2019

 

 

Mise en garde: sous ses airs rationnels, ce texte n’est qu’une digression de romancier sur un processus de décomposition-recomposition bien plus vaste qu’un « conflit de civilisations ». Où l’on se demande si le remplacement des peuples n’est pas qu’un sous-produit du remplacement de l’homme en soi…

 

 

 

 

« Répétez ! », ou l’inversion homme-machine

Les entrepôts de la grande distribution sont énormes, mais l’espace y est optimisé au millimètre. À chaque nouvel arrivage, la machine affecte un emplacement libre défini par des coordonnées numériques. L’itinéraire des préparateurs dans ce dédale est optimisé lui aussi. Chaque pas compte. Les déplacements inutiles ou trop lents font l’objet d’avertissements.

Le journaliste « infiltré » chez Amazon en 2012, Jean-Baptiste Malet, a donné une description poignante de ce labeur qui éreinte et qui vous vide de l’intérieur. Cela rappelle furieusement Une journée d’Ivan Denissovitch, de Soljénitsyne, sauf que les forçats sont en théorie libres et que les miradors sont devenus virtuels. L’homme et la machine ont inversé les rôles: à elle la tête, à lui les muscles.

L’intégration biomécanique s’est rapidement étendue, mais non sans bugs. Le cariste reçoit l’ordre d’aller chercher tel objet à tel endroit et, comme dans l’US Navy, il doit répéter l’instruction pour prouver qu’il a compris. Mais le logiciel de reconnaissance vocale est encore dur d’oreille. « Répétez ! » ordonne la machine. Il répète. « Répétez ! » Il répète. « Répétez ! » Il répète et répète jusqu’à ce que l’ordinateur comprenne. Il n’a pas le choix. (Nouvelle Revue du Travail, 1/2012) Cette voix synthétique est son seul interlocuteur. Le cariste avouera que rien ne le démoralise plus que cette spirale absurde de la répétition. Son travail est un cauchemar éveillé.

Chez Lidl, selon une enquête de Cash Investigation, « la voix synthétique égrène presque sans fin les ordres à exécuter sans la moindre perte de temps. Le salarié navigue ainsi entre les racks de l’entrepôt sept heures par jour. Et ce n’est pas tout. Le préparateur ne peut prononcer que 47 mots, ceux du langage homme-machine parlé dans les entrepôts de Lidl. Et pas un de plus ! ». Pour aider la machine à apprendre et à se complexifier, l’homme doit désapprendre et se simplifier. Il prépare ainsi, et il le sait, son propre remplacement. Comme les caissières, dans les supermarchés, qui expliquent aux clients comment employer les caisses automatisées qui leur voleront leur travail.

Et quoi, nous dira-t-on ? On les recasera ailleurs. Si cet ailleurs, d’ici là, n’est pas déjà occupé par d’autres machines… Dans certains secteurs, le remplacement est déjà effectif, en particulier les métiers dangereux. Aux robots démineurs succèdent les chiens d’intervention mécaniques actuellement testés par la police du Massachusetts. Avec leur allure de dobermans squelettiques, ils ressemblent encore, malgré tout, à de vrais cerbères. En matière de robotique, on pratique encore l’anthropomorphisme pour rassurer les masses. Et cela marche: le robot Pepper reproduit suffisamment de bonhomie et d’émotions pour être un compagnon convaincant et l’hologramme Azuma Hikari propose une épouse virtuelle bien moins contrariante qu’une femme de chair et d’os, par ailleurs souvent introuvable. Un baume pour le Japon, empire de la plus haute technologie et de la plus profonde solitude.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/le-tout-grand-remplacement-ou-lage-de-fer/

Source : https://antipresse.net/le-tout-grand-remplacement-ou-lage-de-fer/

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Noël blanc…

 

Retraites : en grève, les ballerines de l’Opéra de Paris dansent le Lac des Cygnes sur le parvis

 

(Pas que les danseuses… l’orchestre est là aussi.)

 

RT – 25.12.2019

 

 

 

 

Des danseuses en tutu blanc ont exécuté des tableaux du Lac des cygnes sur le parvis du palais Garnier. Un spectacle gratuit visant à dénoncer la réforme des retraites voulue par Emmanuel Macron. Les badauds semblaient enchantés.

 

À quelques heures de Noël, sous le ciel gris parisien, une quarantaine de danseuses du corps de ballet de l’Opéra ont donné sur le parvis du palais Garnier un mini-spectacle improvisé devant des banderoles « Opéra de Paris en grève » et « La culture est en danger », sous les applaudissements des centaines de passants. Ces artistes protestent contre la réforme des retraites souhaitée par le gouvernement.

 

 

 

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Source : https://francais.rt.com/france/69476-retraites-greve-danseuses-opera-paris-jouent-lac-cygnes-parvis

 

 

Mais qu’est-ce qu’ils attendent pour débarquer avec leurs LBD et leurs gaz de combat ? Des cygnes, ça ne doit pas être si difficile à zigouiller, bon sang !

 

 

 

 

 

 

 

Un conte de deux villes

 

 

 

 

Hier, Londres l’impériale et Paris la révolutionnaire… Aujourd’hui, Macao la révolutionnaire et Hong Kong l’impériale

 

Strategika 51 – 20.12.2019

 

 

Le président Xi Jinping inspecte la garnison de l’Armée de Libération Populaire stationnée à Macao

 

 

 

Manifestations dans le marché de Noël à Hong Kong

 

 

Source : https://strategika51.org/2019/12/20/macao-et-hong-kong-ou-le-conte-de-deux-cites/

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/un-conte-de-deux-villes/

 

 

 

 

 

 

Golfe Persique: la France dans un piège à haut risque

 

Robert Bibeau – Les 7 du Québec – 18.12.2019

 

 

 

 

En créant sa coalition navale anti-Iran, la France a-t-elle bien réfléchi aux risques auxquels s’exposent ses troupes ? Une simple étincelle pourrait déboucher sur un conflit ouvert, l’Iran ayant affirmé à maintes reprises que les pays de la région sont majeurs et vaccinés et qu’ils n’ont nullement besoin que l’Amérique ou la France viennent fourrer leur nez semant désordre et tension… Cette semaine, le Danemark a annoncé vouloir rejoindre la France et les Pays-Bas pour « assurer la sécurité de cette stratégique voie maritime ». 

 

 

En vertu de « la loi sur le contrôle de l’entrée des détroits », l’Iran surveille de près l’entrée de tous les navires étrangers dans les eaux du golfe Persique », a affirmé le commandant de la marine du Corps des Gardiens de la Révolution islamique (CGRI).

« La marine du CGRI observe les navires étrangers qui entrent dans le golfe Persique en leur demandant leur nationalité, le type de leur navire et leur destination », a précisé le contre-amiral Ali-Reza Tangsiri, commandant de la marine du CGRI. « Tous les navires, même les navires américains, ont répondu à nos questions », a-t-il ajouté.

« L’observation des navires étrangers dans le golfe Persique revient de droit à la RII. Le golfe Persique appartient aussi bien à l’Iran qu’aux autres pays riverains. Étant donné que l’entrée du détroit d’Hormuz est située dans les eaux territoriales de l’Iran, nous avons le droit d’interroger les navires », a indiqué le contre-amiral Ali-Reza Tangsiri.

Robert Bibeau, éditeur du webmagazine Les7duQuébec, et Mikhail Gamandiy-Egorov, analyste-chroniqueur à l’agence Observateur Continental, nous donnent leurs avis.

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Source : http://www.les7duquebec.com/7-dailleurs-2-2/golfe-persique-la-france-dans-un-piege-a-haut-risque/

 

 

 

 

 

Côte d’Ivoire, Sahel : deux rendez-vous à hauts risques

 

Gilles Munier – France-Irak Actualités18.12.2019

 

Par Leslie Varenne (revue de presse : IVERIS – 17/12/19)*

 

 

Alors qu’Emmanuel Macron s’est engagé sur le plan national dans une séquence hautement inflammable, il a également inscrit à son agenda deux rendez-vous internationaux potentiellement explosifs. Le premier aura lieu en Côte d’Ivoire du 20 au 22 décembre, le second est le sommet avec les chefs d’Etat du G5 Sahel, initialement prévu le 16 décembre à Pau et reporté au 13 janvier. Dans le climat actuel où la présence française en Afrique de l’Ouest est fortement contestée par les opinions publiques, ces événements sont plus que périlleux. Chaque mot, chaque expression, chaque geste du chef de l’Etat français sera scruté à la loupe et le moindre dérapage pourrait jeter encore de l’huile sur le feu.

Si l’Elysée semble l’avoir découvert récemment, le climat de contestation de la politique africaine de la France, particulièrement en Afrique de l’Ouest, n’est pas un phénomène nouveau, même s’il prend chaque jour de l’ampleur. Depuis quelques années, les ambassadeurs en poste dans les pays d’Afrique francophone alertent, en vain. Rien n’a été entrepris pour essayer de juguler ce mouvement, pas de cellule de veille, ni de crise pour tenter de répondre aux multiples fausses informations qui circulent ; pas non plus de modification de la politique menée. En revanche, s’il y a bien eu un changement, il est dû à la personnalité d’Emmanuel Macron, à son ton impérieux et à sa manière bien peu diplomatique de s’adresser à ses pairs.

« On pense qu’en ce moment le président français devrait avoir bien d’autres choses à faire que de survoler la lagune Ebrié »

Dans ce contexte, sa prochaine visite en Côte d’Ivoire, à un an de l’élection présidentielle, est un pari fort audacieux. Depuis la mi-2018, date à laquelle le parti d’Henri Konan Bédié, PDCI, a décidé de rompre son alliance avec Alassane Ouattara et le RHDP, la situation est particulièrement tendue dans ce pays. Le président ivoirien se retrouve seul, coupé d’une grande partie de la base politique et sociologique ivoirienne, néanmoins, il ne semble pas s’en inquiéter. Il est bien décidé à passer outre les règles du jeu démocratique en ne tenant aucun compte des multiples demandes de l’opposition, notamment celle concernant la modification de la Commission électorale indépendante (CEI) que tous les partis d’opposition s’apprêtent à boycotter. Dans cette situation, la venue d’Emmanuel Macron est perçue par une grande partie de la population et par les opposants comme un adoubement de la stratégie d’Alassane Ouattara ; comme une ingérence de l’ancien colonisateur dans la campagne électorale. « Avec la crise des retraites et celle du Sahel, on pense qu’en ce moment le président français devrait avoir bien d’autres choses à faire que de survoler la lagune Ebrié » dit un homme politique. Pour l’instant, au programme du chef de l’Etat ne figure pas de rencontre avec l’opposition, ce qui aurait pu aider à déminer le terrain. En revanche, en plus du réveillon de Noël anticipé avec les militaires français présents en Côte d’Ivoire, Emmanuel Macron doit inaugurer le grand marché de Bouaké qui sera construit par l’entreprise française Colas, donnant ainsi du grain à moudre à ceux qui ne cessent de stipendier les intérêts de l’Hexagone en Afrique. Il devrait également rencontrer les étudiants d’une université comme il l’avait déjà fait à Ouagadougou en 2017. Cette séquence malheureuse, encore dans toutes les mémoires, n’avait pas participé à redorer le blason de l’Hexagone. En réitérant l’exercice, Emmanuel Macron s’engage sur un terrain glissant, il n’est pas à l’abri d’une désastreuse sortie de route.

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Source : www.france-irak-actualite.com/2019/12/cote-d-ivoire-sahel-deux-rendez-vous-a-hauts-risques.html

 

 

 

 

 

Tentative d’attaque contre le FSB à Moscou : tentative de déstabilisation sécuritaire en Russie ?

 

Karine Bechet Golovko – Russie Politics – 20.12.2019

 

 

 

Hier, un individu armé a tenté d’entrer dans le bâtiment du FSB (service de sécurité intérieure russe) en plein coeur de Moscou avec des explosifs dans un sac à dos, pour finir, en se retirant dans la rue, par tirer à la Kalachnikov sur les personnes en uniforme. Un mort, cinq blessés. Lui-même a été liquidé par un snipper. Rappelons que cela s’est passé le jour de la grande conférence de presse de Vladimir Poutine. Le soir, au moment où un concert était donné en l’honneur des membres justement du FSB. Le jour où 15 000 personnes, rien qu’à Moscou, ont dû être évacuées pour de fausses alertes à la bombe.

Jeudi soir 19 décembre, vers 18 heures, un individu avec une Kalachnikov cachée sous un manteau noir et un sac à dos (rempli d’explosifs) a tenté d’entrer dans le bâtiment central du FSB en plein centre de Moscou. Vu le système de détection des métaux, il a fait marche arrière et s’est replié dans la rue, où il a commencé à tirer sur les hommes en uniforme et les passants. Il a réussi à tuer un membre du FSB et à en blesser cinq avant d’être arrêté par un tir de sniper.

Si localement l’opération a pris fin, le problème est que des explosifs et des grenades ont été retrouvés dans son sac à dos et la question s’est alors posée de savoir si d’autres bâtiments pourraient être ainsi visés. Un plan général sécuritaire, « Krepost » (« Forteresse »), selon lequel les membres des services d’ordre devaient rentrer en service, prendre les armes et attendre les ordres, a été immédiatement lancé, non seulement à Moscou, mais aussi dans les autres grandes villes du pays. Heureusement, aucune autre tentative n’a été notée.

Il faut dire que la journée fut particulièrement chargée. Rien que pour ce jeudi et uniquement à Moscou, des coups de téléphone anonymes ont fait de fausses alertes à la bombe concernant environ 60 lieux publics différents, dont 46 écoles et des hôpitaux, obligeant les services d’ordre à évacuer plus de 15 000 personnes dans la journée.

Une tentative de déstabilisation du pays est réellement en cours, cette vague qui avait réussie à être cernée un certain temps, reprend de plus belle depuis trois semaines. Et l’attaque contre le FSB est très symbolique, non seulement en raison du moment choisi, comme nous l’avons souligné, mais aussi en raison de l’institution visée.

Le FSB est en effet une des institutions à la pointe de la lutte contre les groupes terroristes installés en Russie et son efficacité à prévenir les actes de terrorisme est reconnue. Rien que le 13 décembre, en collaboration avec le ministère de l’Intérieur, ils ont ainsi réussi à démanteler un réseau à Moscou affilié à Daesh, qui s’apprêtait justement à commettre des actes terroristes. Autre exemple, en octobre, un peu plus tôt, de concert avec le Comité d’enquête, c’est tout un réseau de financement du terrorisme qui a été démentelé dans plusieurs régions de Russie.

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1 commentaire:

Иван Михайлович Фраков

Les fausses alertes à la bombe durent depuis plus d’un an. Certains qui ont prétendu en être les auteurs réclament le payement d’une rançon de 150 bitcoins zu gouvernement en échange de l’arrêt des alertes. Opportunistes ou réels auteurs, on ne le sait pas. De toute manière qui connait les responsables Russes savent que jamais un kopeek ne sera versé dans une opération de chantage.

Dans le dossier de l’attaque place Lubyanka, tous les éléments n’ont pas été divulgués et on peut s’attendre à des « surprises » prochainement.

Il est certain que face à l’échéance de 2024 les forces opposées au gouvernement actuel et à la Russie elle-même se mettent en place. Mais peut-être que les évènements se précipiteront pour ne pas leur laisser le temps de se préparer…

Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2019/12/tentative-dattaque-contre-le-fsb-moscou.html?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+RussiePolitics+%28Russie+politics%29

 

 

 

 

« Ils l’ont tué eux-mêmes » : Kadyrov dément l’implication de la Russie dans le meurtre d’un terroriste à Berlin

 

 

 

 

La Tchétchénie n’a rien à voir avec le meurtre à Berlin du terroriste Zelimkhan Khangochvili et ceux qui pensent autrement doivent le prouver, et pas par des paroles, estime le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov pour lequel « ça fait un terroriste de moins ».

 

Le dirigeant tchétchène Ramzan Kadyrov a démenti les accusations contre la Russie concernant le meurtre à Berlin du terroriste géorgien Zelimkhan « Torniké» » Khangochvili.

« Ils l’ont tué eux-mêmes lorsqu’il est devenu inutile. Ce sont leurs problèmes intérieurs, cela ne nous regarde pas. Il ne vit pas chez nous depuis longtemps. À ce qu’il paraît, il est citoyen de Géorgie, il n’est pas notre citoyen. C’est un terroriste, un criminel… Si nous sommes impliqués, qu’ils le prouvent. Non pas avec des paroles, mais faits à l’appui », a-t-il déclaré aux journalistes.

M.Kadyrov a ajouté que l’homme tué avait été impliqué dans de nombreux attentats terroristes.

« S’il a été tué, ça fait un terroriste de moins », a-t-il lancé.

Qui est la personne tuée ?

Le Géorgien Tornike K., connu également sous le nom de Zelimkhan Khangochvili, a été tué de trois balles à Berlin le 23 août 2019.

 

 

Selon Poutine, le Géorgien tué en Allemagne était l’organisateur, «cruel et sanguinaire», d’un attentat à Moscou

 

 

Selon Vladimir Poutine, …

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Source : https://fr.sputniknews.com/russie/201912241042651861-ils-lont-tue-eux-memes-kadyrov-dement-limplication-de-la-russie-dans-le-meurtre-dun-terroriste-a/

 

 

 

 

Pas de trêve de Noël dans le Donbass :

 

 

 

Habitante du district de Novoazovsk, de la région de Donetsk, devant sa maison détruite.

 

 

 

 

 

Ni en Syrie…

 

Vidéo des missiles israéliens en provenance du Liban Sud survolant Damas avant d’être abattus par la défense aérienne syrienne

 

Strategika 51 – 25.12.2019

(vidéo du 23)

 

 

 

 

 

 

BELGIQUE

 

 

à Zoersel : défilé de tracteurs lumineux

 

Le 21 décembre, la Parade de Noël a illuminé les rues de la ville belge de Zoersel. Pour la huitième année consécutive, les agriculteurs ont réalisé leur sortie annuelle afin d’apporter l’esprit de Noël aux habitants.

 

 

 

 

 

La Belgique, laboratoire du fédéralisme

1/2

 

Vladislav B. Sotirović – Le Saker francophone –  20.12.2019

 

La Belgique constitue le centre politique de l’Union européenne (l’UE) et de l’OTAN, et figure parmi les 6 pays de l’UE ayant établi au départ le marché unique européen1. La question du fédéralisme multiculturel belge est d’une importance essentielle pour le processus futur de l’intégration ou de la désintégration européenne à venir.

 

 

 

Arrière-plan historique

Le traité international et pan-européen de Westphalie (1648) établit un noyau sur la base d’un groupe d’États qui dominèrent les affaires du monde jusqu’à la première guerre mondiale : l’Autriche, la Russie, l’Angleterre (qui deviendrait le Royaume-Uni), la France et les Provinces Unies (les territoires composant aujourd’hui les Pays-Bas et la Belgique)2. La Belgique fut établie en 1830 afin de prévenir une possible attaque militaire de la part de la France ou des Pays-Bas, la Hollande s’étant retrouvée divisée en Pays-Bas et Belgique3. Création politique artificielle montée par les Britanniques, sa neutralité fut garantie par le Royaume-Uni en 18394. La Belgique devint le premier pays industrialisé d’Europe continentale, en partie du fait de sa proximité d’une Grande-Bretagne en cours d’industrialisation, mais également grâce à l’importance des réserves de charbon au Sud du pays. Son poids économique consolida la domination des Wallons francophones, catholiques romains majoritaires dans le Sud du pays sur les Flamands catholiques romains parlant le hollandais, établis au nord, dont la richesse provenait de l’agriculture et du commerce.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/la-belgique-laboratoire-du-federalisme-1-2/

Source : https://lesakerfrancophone.fr/la-belgique-le-laboratoire-du-federalisme-12

 

 

 

 

 

Pour le cas où ce détail intéresserait quelqu’un, nous avons passé ce temps de Noël à (re)lire un des merveilleux polars ottomans de Jason Goodwin, où M. Slobodan Despot ne serait sans doute pas surpris de découvrir que les empereurs byzantins (Constantin ? Justinien ? un  autre ?) ont précédé, mais avec mesure, nos creuseurs de tunnels abusifs, puisqu’une bonne partie de l’intrigue, dans cette deuxième aventure de l’eunuque Hachim, agent secret du sultan Mahmoud II, se déroule sous terre, dans l’ingénieux système des canalisations creusées il y a tant de siècles par les bâtisseurs de la Rome d’Orient, pour alimenter leur ville en eau douce.

L’auteur étant historien, il y est aussi question de la lutte des Grecs pour leur indépendance, de Missolonghi, de Byron, du démembrement de la Pologne et d’autres épisodes de l’histoire – si mal connue – d’Europe, qui remettraient tant d’idées en place, si ceux qui se disent Européens la connaissaient…

 

Jason GOODWIN

Le trésor d’Istanbul

Plon – 2008

324 pages

(Existe aussi en édition de poche : chez 10/18)

 

Présentation de l’éditeur :

Istanbul, 1838. Dans son palais surplombant le Bosphore, le sultan Mahmud II, artisan des réformes de l’Empire ottoman, est à l’agonie. Au-dehors, les rumeurs les plus folles vont bon train.

L’arrivée imprévue d’un archéologue français à la recherche de trésors byzantins perdus plonge la communauté grecque dans le désarroi. Hachim Togalu qui a, dans Le Complot des Janissaires, résolu avec tant de brio toute une série de meurtres mystérieux, reprend du service. Mais quand le corps mutilé de l’archéologue est retrouvé près de l’ambassade de France, c’est lui qui devient le suspect numéro un !

Hachim se lance dans une course contre la montre pour découvrir ce que cache une étrange société œuvrant pour le rétablissement de l’Empire byzantin.

Avec beaucoup d’esprit et un flair surprenant, Jason Goodwin nous entraîne dans un monde où le danger est partout, et la trahison synonyme de mort. Le plaisir du lecteur est immense !

Présentation de 10/18

En 1838, à Istanbul, après trente ans de règne, le sultan Mahmud II se meurt dans son palais, et toute la ville retient son souffle… Mais pour l’eunuque Hachim, familier des couloirs du palais et fin limier préféré du sultan, ce n’est pas l’unique sujet d’inquiétude : deux de ses amis, vieux commerçants grecs du Grand Bazar, sont sauvagement attaqués. L’un d’eux y perd la vie. Lorsqu’un archéologue français un peu louche, Maximilien Lefèvre, est à son tour assassiné après avoir trouvé refuge chez Hachim, l’étau se resserre autour de l’eunuque, en passe de devenir le suspect idéal. Commence alors pour lui une course effrénée des rues labyrinthiques d’Istanbul aux rives du Bosphore, contre une insaisissable société secrète, l’Hétire, qui rêve de rétablir dans l’ancienne Byzance un nouvel empire grec…

 

L’auteur

Jason Goodwin a étudié l’histoire byzantine à l’université de Cambridge, ce qui l’a poussé, en 1989, à réitérer l’exploit de son prédécesseur Patrick Leigh Fermor, en traversant l’Europe, à pied, de la Corne de Hollande à la Corne d’Or, en compagnie de celle qui devait devenir sa femme et la mère de ses quatre enfants.

Le récit de ce voyage a paru, chez Phébus, sous le titre Chemins de traverse. Jason Goodwin est aussi l’auteur d’une histoire (inédite en français) de l’Empire ottoman, sous le titre Lords of the Horizons (Chatto & Windus, 1998)

 

 

 

 

 

 

Costumes de fleurs : les joueuses de hockey russes se déshabillent pour le nouveau calendrier

 

RT – 25.12.2019

 

 

 

 

 

La Ligue russe de hockey féminin a décidé de présenter artistiquement la beauté de ses sportives, habituellement cachées sous des tenues rectangulaires et volumineuses. Elle a sorti un calendrier 2020 dans lequel les joueuses représentent les différents mois de l’année, habillées de costumes de fleurs…

 

Contrairement aux femmes pratiquant d’autres sports, les joueuses de hockey sont habituellement cachées sous des tenues épaisses, casque volumineux posé sur la tête. Mais voici que la Ligue russe de hockey féminin présente, pour les amateurs de jolies femmes… et de ce sport, une édition spéciale et limitée du calendrier 2020.

Il réunit 12 sportives qui ne se couvrent que de branches, de feuilles et de fleurs  (photos).

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Source : https://fr.sputniknews.com/societe/201912251042658837-ostumes-de-fleurs-les-joueuses-de-hockey-russes-se-deshabillent-pour-le-calendrier-annuel–photos/

 

 

 

 

Trêve ou pas trêve (des confiseurs), n’oublions pas  que les parasites parasitent sans trêve !

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 décembre 2019

 

 

 

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