Le Vice-amiral Koulakov en Méditerranée

 

 

Grandissime article de Jacques-Marie Bourget

 

(Clair comme du Robespierre)

 

Tous les élèves du secondaire devraient l’apprendre par cœur pour ne pas vieillir idiots.

 

 

Ce sera là toute notre contribution pour ce soir à l’actualité bouillante et pas toujours désespérante, quoique coupante, confinante, tyrannique et cerveaulavante.

La suite… dès demain si possible, à ce même endroit. L.G.O.

 

 

 

 

Les tueurs et leurs maîtres assis sous les plafonds dorés de royaumes ou de républiques.

 

L’amour fou de la France et du djihad, sanglant boomerang.

 

Jacques-Marie Bourget – Le Grand Soir – 25.10.2020

 

 

 

 

 

 

C’est durant la Seconde guerre mondiale qu’une idée, aussi brune que les autres, monte à la tête des nazis : instrumentaliser les communautés des États « musulmans » de l’URSS afin que ces derniers, Tchétchènes, Kazakhs, Ouzbeks, tirent dans le dos des Soviétiques.

 

Ian Johnson, un journaliste américain récompensé par un Prix Pulitzer, a pioché dans des milliers de documents pour découvrir cette vérité scellée d’une croix gammée. Lumière d’histoire sombre qu’il a révélée dans un livre, « Une mosquée à Munich. Les nazis, la CIA et la montée des Frères musulmans en Occident », ouvrage publié chez JC Lattès. Dix années plus tard, une aussi bonne idée ne peut que séduire les Américains qui cajolent les Frères Musulmans comme des amis rares, et utiles. En juillet 1953, la photo est sur Internet, on peut voir une délégation des « Frères » au côté de Dwight Eisenhower, l’US président. Le document comporte même un bonus, la présence de Saïd, le fils de Hassan al-Banna le fondateur de la secte musulmane. Un personnage, agent de la CIA, qui est aussi le père de Tarik Ramadan.

La reprise, par Washington, de cette idée née sous le IIIe Reich, a deux objectifs, utiliser les musulmans pour abattre l’URSS et fournir des gouvernants convenables pour mettre à la tête des pays Arabes, puisque les Etats-Unis dont le sceau est « In god we trust », sont convaincus que ces « Frères » seront d’indéfectibles amis. En effet, tous les leaders laïques du Moyen et Proche Orient sont combattus, diffamés, encerclés, assassinés. En pays musulmans Washington combat les Lumières. Mossadegh, premier ministre iranien qui tente d’instaurer la démocratie et l’indépendance face aux empires coloniaux, en matière de pétrole par exemple, est renversé en août 1953 par un coup d’Etat américain qui réinstalle le Shah pour le remplacer en 1979 par le si religieux -et supposé bon partenaire- l’imam Khomeiny. Nasser, le président égyptien restera un cauchemar constant pour les anglo-américains, lui qui combattait les Frères Musulmans et refusait de voiler les femmes de son pays (1). Un à un, tous ceux qui refusent la gouvernance sous le parapluie d’Allah disparaissent. Kadhafi sera le dernier à être détrôné, faute pour l’Occident d’avoir avoir eu la peau de Bachar Al-Assad.

Si les assassinats politiques sont une première arme, la seconde est strictement militaire puisqu’elle mobilise, dans toute la Oumma, des hommes prêts au djihad contre les infidèles et les mécréants. L’offensive commence en Afghanistan, c’est-à-dire aux marches de l’URSS. Le plan américain utilise toutes les forces, tribus et milices, capables de mettre à bas le régime, qualifié de « communiste », qui gouverne à Kaboul. Washington va choisir et former les pires moudjahidines, fous du Prophète (affirment-ils) pour atteindre leur but. L’horreur est programmée dans ce qu’elle connait de pire : assassinat, torture, viol, famine organisée, déplacement de population. Oussama Ben Laden est déjà le chef des « croyants », un patron de guerre riche (il est très fortuné et a le soutien de son pays l’Arabie Saoudite). Pour Washington et la presse US, Oussama est un héros, un vaillant qui mérite la collection complète de la « Distinghished Service Cross ». Son groupe de « résistants » porte déjà un nom qui deviendra célèbre : « al Qaïda », « La Base ». Le rêve étatsunien va mettre dix ans à se réaliser, usée par cette guerre afghane l’URSS disparait en 1989 (2).

Les tanks-penseurs de Washington savent très bien que, même si l’œil de Moscou s’est fermé, de tels alliés islamistes sont trop utiles pour être « démobilisés ». L’Amérique feint de croire qu’elle a fait naître et entretenu des combattants de la démocratie, des « freedom fighters », selon Donald Reagan. L’URSS disparue, la première cible désignée aux djihadistes par l’impérialisme US, à l’islam radical au wahhabisme ou salafisme, c’est l’Algérie. Pour les enfants perdus de la Révolution algérienne, ceux qui se sont engagés dans la guerre afghane, sans qu’Alger ne les en empêche, c’est le moment du retour au pays. Ils y reviennent avec une consigne dans leurs valises : transformer l’Algérie Démocratique et Populaire en une République Islamique. Vont naitre alors le GIA, le Groupe Islamique Armé qui, avec ses 20 000 hommes, est une métastase de « al Qaïda », et d’autres groupes moins connus, tous barbares et défenseurs du rêve exporté de l’Amérique.

Analysée par les droits-de-l’hommistes français, cette guerre « islamique » en Algérie est décrite comme un leurre, un vaste règlement de comptes entre clans militaires. En réalité, sous cet épouvantable titre, celui du « Qui tue qui ? » -de Mitterrand l’ancien guillotineur de la Guerre d’Algérie, à ces intellectuels qui se commercialisent en humanistes exemplaires- la France rigole des crimes commis dans son ancienne colonie. « Le qui tue qui ? » autrement dit la guerre faite par le GIA à son peuple, devient dans la doxa une invention des généraux qui, par le moyen du chaos, entendent conserver le pouvoir. On ne parle pas de guerre, mais une nouvelle fois dans l’histoire de ce pays, « d’évènements ». Ne notez qu’aucun de ces thuriféraires du djihad algérien n’a aujourd’hui présenté d’excuses à un peuple qui fût martyrisé. Au contraire, ces droits-de-l’hommistes, toujours à l’abri dans les fourgons de l’OTAN, tentent de remettre le couvert avec leur soutien apporté au « Hirak ».

Oubliant que sur une révolte légitime peut se greffer une mécanique étrangère, comme celle qui a étouffé les « Printemps Arabes », tous sponsorisés par Washington pressé de mettre en place la gouvernance des Frères Musulmans. Sur le vrai visage de ces « Printemps » et de cet « Hirak », la lecture de l’enquête d’Ahmed Bensaada « Qui sont ces ténors autoproclamés du Hirak algérien » publiée aux éditions APIC à Alger, est indispensable. S’il en était besoin, les dernières dépêches, injonctions expédiées au Qatar par la Secrétaire d’Etat, Hillary Clinton qui viennent d’être révélées en font preuve. Tous ces télégrammes diplomatiques somment Doha d’aider les « Printemps » de tout le poids de son argent et celui de son puissant outil de propagande et de désinformation, « al Jazira ». En Algérie ce n’est pas la main de Moscou mais celle de Washington qui entend gouverner le dernier pays Arabe à se montrer rebelle aux délices d’un Etat Coca Cola.

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Source : https://www.legrandsoir.info/l-amour-fou-de-la-france-et-du-djihad-sanglant-boomerang.html

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 octobre 2020

 

 

 

La suite ici demain (touchons du bois) :

 

 

 

 

 

 

C’est le genre de petite info…

 

Observatus Geopoliticus – Les chronqiues du Grand jeu – 24.10.2020

 

 

 

 

 

… passée totalement inaperçue mais qui vaut son pesant de cacahuètes.

La Méditerranée orientale est à la mode. Les analyses plus ou moins valables fleurissent, mélangeant allègrement le vrai et le moins vrai : impérialisme néo-ottoman, compétition des puissances régionales, réserves gazières (exagérées).

Un fait ô combien significatif n’a pourtant pas eu l’heur de faire les gros titres : la semaine dernière, la marine russe a escorté un tanker iranien à destination des côtes syriennes. Pour l’US Navy Institute, seul à rapporter l’information, le nouveau rôle de Moscou pourrait changer la dynamique de la région.

On se rappelle que :

 

Début juillet [2019, ndlr], les Britanniques avaient saisi un pétrolier iranien au large de Gibraltar, symbolisant à merveille l’une des principales problématiques du Grand jeu : la nécessaire intégration de l’Eurasie continentale face au harcèlement naval de la thalassocratie anglo-saxonne.

Réponse du berger perse à la bergère anglaise. Deux semaines après l’acte de piraterie de la perfide Albion et quelques minutes après que la justice de Gibraltar ait décidé de prolonger d’un mois l’immobilisation du bateau, les Gardiens de la révolution viennent d’arraisonner un tanker british près du détroit d’Ormuz. Et, à l’heure où nous parlons, il se peut même qu’un second pétrolier ait été stoppé et prenne la direction des côtes iraniennes.

 

Le prétexte officiel de Londres reposait sur les sanctions européennes prises à l’encontre de Damas. De fait, comme pour le Venezuela, chaque voyage d’un tanker iranien à destination de la Syrie comporte son lot d’incertitudes et de pressions en tout genre. Va-t-il arriver ? Sera-t-il intercepté ? Si oui, Téhéran va-t-il répondre dans le Golfe persique ? Il semble maintenant que l’ours ait décidé de taper du poing sur la table.

La semaine dernière, le Samah est entré en Méditerranée, via le Canal de Suez cette fois. Presque immédiatement, deux navires russes, dont un militaire, sont venus à sa rencontre. Les trois compères ont ensuite fait voile vers le terminal pétrolier syrien de Baniyas où le Samah a déchargé sa cargaison d’or noir très attendue.

 

 

Le Vice-Amiral Koulakov, qui  a escorté le Samah et son pétrole iranien jusqu’en Syrie

 

 

Ce petit périple escorté est un pied de nez direct à Washington et à son Caesar Act, que le Kremlin avait de toute façon annoncé vouloir contourner. Plus généralement, Moscou commence à se poser en patron de la sécurité en Méditerranée orientale, ambitionnant d’assurer « la libre circulation des bateaux civils ». La marine russe vient d’ailleurs de procéder à un exercice en ce sens, incluant même l’attaque simulée par un sous-marin.

Cette petite sauterie, médiatisée comme il convient et intervenant juste après la livraison du Samah, le message n’a échappé à personne : ne touchez plus aux pétroliers iraniens. La balle est dans le camp de l’empire…

Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2020/10/c-est-le-genre-de-petite-info.html

 

 

 

 

 

 

 

Vous reprendrez bien un peu de pandémie ?

 

 

Est-ce à cause du coronavirus que nos hôpitaux sont saturés en 2020 ?

 

(avec les vidéos !)

 

Do – mai 68.org  – 26.10.2020

 

 

 

http://mai68.org/spip2/spip.php?article7127

 

 

Bonjour à toutes et à tous,

En cette période, nos hôpitaux sont saturés depuis des années. Voici une vidéo qui le prouve. Elle est constituée de reportages passés à la télé les années précédentes. Il y a un reportage télé pour 2019, un pour 2018, un pour 2017, un pour 2016 et un pour 2015. Ces reportages sont précédés par une présentation qui explique comment l’hôpital a été sacrifié sur l’autel du dieu argent. Cela donne au total une vidéo de 6’05. Cette vidéo prouve donc ce n’est pas le coronavirus qui est coupable, mais le système capitaliste.

Bien à vous,
do

http://mai68.org/spip2

 

 

 

Les urgences débordent ?!… Les soins de santé sont à l’agonie selon les professionnels

 

Robert Bibeau – Les 7 du Québec – 26.10.2020

 

 

 

 

Les urgences débordent ?!… les soins de santé sont à l’agonie selon les professionnels de la santé. Ne l’étaient-ils pas depuis nombre d’années ?

 

Le terrorisme d’État se poursuit. Les « héros » éphémères d’hier… les infirmières, et autres personnels de la santé sont devenus les responsables de l’effondrement des services de santé face à la « pandémie » patentée dans laquelle un certain nombre de gouvernements sont empêtrés ne sachant plus à quel saint se vouer.

Les gouvernements tétanisés se retournent soudain contre leurs alliés – les médecins, urgentologues, spécialistes, professionnels et autres personnels de la santé – à qui les larbins politiciens et leurs sous-fifres médiatiques servent maintenant le slogan démagogique du printemps: « La santé avant l’économie ! »  Entendez ici: « Il n’y a plus d’argent pour augmenter vos salaires et pour améliorer vos conditions de vie et de travail. Continuez à vous dévouer – à vous épuiser – à la tâche au service de la patrie » et nous organiserons à l’occasion « Le jour des applaudissements au personnel soignant »

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Source : https://les7duquebec.net/archives/259317

 

 

 

 

 

 

 

Une petite merveille de wishful thinking

(Nous l’avons reçue de M. Jean-Michel Vernochet )

 

 

#renversementdugouvernementfrancais

<https://www.youtube.com/results?search_query=%23renversementdugouvernementfrancais>

 

 

Si cela pouvait être vrai… !!


Annonce du renversement du gouvernement français

 

 

 

 

N’y manque rien… que l’acquiescement et le concours des « masses »…

 

 

 

 

 

 

 

European Hypocrisy : Empty Words for Palestine, Deadly Weapons for Israel

 

Ramzy Baroud – I.C.H. – 25.10.2020

 

 

 

In theory, Europe and the United States stand on completely opposite sides when it comes to the Israeli occupation of Palestine. While the US government has fully embraced the tragic status quo created by 53 years of Israeli military occupation, the EU continues to advocate a negotiated settlement that is predicated on respect for international law.

In practice, however, despite the seeming rift between Washington and Brussels, the outcome is, essentially, the same. The US and Europe are Israel’s largest trade partners, weapon suppliers and political advocates.

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Source : http://www.informationclearinghouse.info/55770.htm

URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/european-hypocrisy-empty-words-for-palestine-deadly-weapons-for-israel/

 

 

 

 

 

 

 

L’ennemi commun des peuples

 

L’Amérique bascule dans la folie russe

 

Israël Adam Shamir – Entre la plume… – 25.10.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

Les Russes sont stupéfaits par les vagues de folie qui déferlent sur les États-Unis. Les récentes émeutes, les pillages, la destruction de monuments commémoratifs, le match électoral féroce et les rumeurs de guerre civile imminente ne correspondent pas à l’image que les Russes se font des États-Unis. Un pays d’Amérique latine, disons la Colombie ou le Guatemala, peut-être, mais pas les États-Unis. Le pays qu’ils admiraient tant n’est plus, disent-ils. Et ils le regrettent au lieu de jubiler, comme on aurait pu s’y attendre.

 

Loin de ressentir de l’hostilité, pendant de nombreuses années (au moins depuis le début des années 60), les Russes ont considéré les États-Unis comme un modèle à suivre. Nikita Khrouchtchev, le puissant dirigeant (1953-1964) qui a abandonné Staline et retiré ses restes du mausolée de la Place Rouge, était fasciné par les États-Unis. Il importait du maïs américain et considérait cet aliment de base américain comme la clé de la prospérité soviétique. C’est à cette époque que la Russie a découvert le jazz. Les jeunes les plus brillants de la Russie se sont mis au diapason de la mode américaine, comme le rappelle la pièce de l’époque Stilyagi (The Hipsters) de 2008. Sous le « socialisme mature » de Brejnev, cette fascination pour les choses américaines est devenue plus sédentaire, mais elle est restée un élément important de la contre-culture et a permis la capitulation rapide de l’Union soviétique face aux États-Unis à l’époque de Gorbatchev. L’amour de l’Amérique est resté une marque de fabrique des élites russes, mais il a maintenant été supplanté par la perplexité. Ils ne peuvent pas comprendre pourquoi cette grande civilisation se suicide ; mais de fait, qui le pourrait ?

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Source : https://plumenclume.org/blog/619-l-amerique-bascule-dans-la-folie-russe

 

Lire aussi :  https://plumenclume.org/blog

Où l’on trouve, entre autres, la version en français de l’article d’Israël Shamir « Wikipedia contre ma véritable biographie », que nous vous annoncions il y a peu.

 

 

 

 

 

 

Le grain de sel des Grosses Orchades

 

Nous trouvons qu’il y a cette fois à boire et à manger dans l’analyse d’Israël Shamir. Mais qui sommes-nous pour comprendre différemment les Russes alors qu’il est aux premières loges et que nous sommes si loin ?

Contentons-nous donc de rappeler en passant notre conviction politique d’observateurs de l’autre bout de l’Europe, car… nous prenons le XXe Congrès du PCUS (et le Rapport Khrouchtchev) non pas pour un lâchage de Staline, mais pour le Thermidor de l’URSS. Que Nikita en ait été le Tallien, le Barras ou le Barère… peu importe, mais le traître en chef et les vrais contre-révolutionnaires, ce sont bien lui et ses complices, que Gorbatchev n’a fait que suivre et imiter, comme le Directoire a nécessairement suivi Thermidor.

Ce que n’a jamais eu la Russie – sa très grande chance ! – c’est qu’elle n’a pas couvé de Napoléon ni, donc, d’aventure impérialiste, de transformation du peuple russe en peuple prédateur, comme ce fut malheureusement le sort des Français.

C’est pourquoi la Russie actuelle n’est pas non plus comparable aux États-Unis d’Amérique, dont l’impérialisme ne succède pas à une Révolution vaincue.

Il nous semble qu’on peut observer des ressemblances de comportement entre les Russes actuels – du moins certains d’entre eux – et les citoyens US, UE et quelques autres, mais ces comportements (mimétisme dû à l’hyper-dilatation de la communication ?) ne relèvent pas, comme aux USA de la putréfaction d’une société que rien n’a protégé de ses pseudo-élites, lesquelles ne font qu’aller au bout de leur logique.

Nous nous permettons à ce propos de rappeler les analyses si claires, si précises et si pertinentes de Straight Bat (sur le site du Saker.is) dont nous déplorions il y a peu et déplorons toujours l’inexistence en français. Dans quelque langue que ce soit, on ne les citera jamais trop :

 

Greatest ‘sin’ of Lenin and Stalin

Bridging China’s past with humanity’s future – Part 1

                                                                             Part 2

                                                                             Part 3

 

Autre chose :

Israël Shamir est croyant. Il est donc normal qu’il prenne le Nouveau testament pour parole d’évangile et Judas Iscariote pour le prototype du salaud traître à son meilleur ami. Il existe cependant des mécréants – dont nous sommes – qui savent, car c’est de l’histoire, pas du mythe, que les faussaires qui en sont les auteurs ont cru malin de choisir, pour jouer ce rôle, un ancien dieu matriarcal, Judas de Kerioth, dieu consort (un des) de la déesse Q’R, mère des dieux et des hommes et, accessoirement, des Quoraïchites, tribu où est né, pour servir son épiphanie de pierre noire tombée du ciel – la Dame Noire de Pessinonte – ce qui deviendra le voile islamique.

Et la déesse Q’R, entre autres nombreux avatars, deviendra rien de moins que Carmenta (Car la Sage) déesse-mère des immigrés cariens du Latium futurs Romains, « qui a inventé l’alphabet latin ».

Mais pour savoir tout cela, il faut avoir lu Robert Graves :

La Déesse Blanche

            Le Dictionnaire des mythes grecs

            Le Dictionnaire des mythes hébreux

Pourquoi ne pas laisser dormir en paix le malheureux Judas ? Il n’y a qu’à dire « traître comme un Khrouchtchev » ou « comme un Gorbatchev ». Cela ne devrait-il pas suffire ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les nouvelles internationales mises à jour jusqu’au 25.10.2020

 

https://secoursrouge.org/

 

 

 

 

 

 

Quant aux Belges…

cobayes enthousiastes de toutes les inventions liberticides :

 

 

 

 

 

 

Mis à jour le 26 octobre 2020