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18 mars 2024

Les Grosses Orchades, les Amples Thalamanèges


 

 

 

 

 

 

 

 

 

GLANES

 

 

 

 

Assange nous a éclairés sur l’étrange antiterrorisme français.

 

Jacques-Marie Bourget – L.G.S. – 21.11.2020

 

 

 

 

 

Le 29 novembre 2010, dans l’un de ces scoops qui restent trop clandestins, sur la base du travail de Julien Assange et ses « Wikileaks », le journaliste du « Monde » Piotr Smolar largue un missile de lumière sur les relations liant les États-Unis à certains magistrats « antiterroristes » français. En relisant aujourd’hui les télégrammes diplomatiques publiés par Smolar, on comprend que plaire à Washington est l’objectif prioritaire de ses fonctionnaires français. On apprend même – merci Assange – que certains juges se vantent d’être capables d’obtenir la condamnation de prévenus dont le dossier est, en fait, trop léger. L’un de ces visiteurs de l’ambassade américaine à Paris, est aujourd’hui le nouveau patron du Parquet antiterroriste. Soyons certains qu’il parle anglais.

 

Il me semble qu’il y a un siècle, avec la régularité de ces drames qui encombrent les éphémérides, que je rédige des articles sur le terrorisme. Longtemps les tueries furent assez claires : d’un état l’autre on communiquait par le truchement de bombes ou mitraillages. Une façon de faire la guerre sans la peine de la déclarer. Avec le temps, en France, les choses sont devenues plus compliquées. Loin de leur patrie – ou patrie rêvée –, des groupes politiques ont revendiqué leur liberté, ou, au contraire, la volonté de maintenir leur joug, à coups d’explosifs ou de rafales. À Paris le MOSSAD a liquidé des chefs de la résistance palestinienne. Le tout dans l’horreur des voitures piégées ou le chuintement jamesbondien des silencieux. Des Israéliens restant sur la ligne de leurs ancêtres de l’Irgoun et de la Haganah, milices qui, à coup de meurtres et de pains de TNT, ont contribué à l’implantation d’un état juif en Palestine. L’oubli conduisant aujourd’hui Netanyahou, et ses amis, à qualifier de « terroriste » tout citoyen du monde réclamant l’application de la loi internationale, les décisions de l’ONU qui condamnent la politique de colonisation et de répression de l’état hébreu. On a donc oublié ces épisodes où la France était un OK corral du macadam international. Avec « Carlos » dans le rôle de l’épouvantail, trop souvent convoqué pour donner un sens à tous ces morts. On oublie que c’est un français, en Corse, qui a tué un préfet de la République. Ces meurtres ne s’éteindront jamais, la mécanique de réciprocité voulant que l’un soit toujours un terroriste pour l’autre.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/assange-nous-a-eclaires-sur-letrange-antiterrorisme-francais/

 

 

 

 

 

Tels valets, tels maîtres…

 

Jugeons les Gardes des Sceaux anti BDS

 

Jacques-Marie Bourget – Sur son blog – 19.6.2020

 

 

 

 

Pendant 8 ans les ministres de la Justice, pour complaire Netanyahou et le CRIF, ont criminalisé les partisans du BDS, le boycott d’Israël. La Cour Européenne des Droits de l’Homme vient de les condamner.

 

Dans un rendu à l’unanimité de ses juges, le 11 juin 2020, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) met un formidable coup de pied au cul d’une France qui, entre la liberté républicaine ou la soumission aux désirs de Netanyahou, avait fait de choix du petit monstre. La Cour déclare que les condamnations de la justice française, celles qui ont frappé des militants de la campagne « BDS » (pour Boycott, Désinvestissement, Sanctions), constituent une « violation de leur liberté d’expression ». La lutte a été longue, le chemin douloureux et couteux, mais l’injustice est renvoyée à un enfer qu’elle n’aurait jamais dû quitter. Ceux qui ont mis en œuvre cette politique contre la Palestine sont non seulement les complices de criminels, mais encore des salauds qui trahissent le principe de liberté de la République.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/jugeons-les-gardes-des-sceaux-anti-bds/

 

 

 

 

Procès Assange : le témoignage de Noam Chomsky

 

L. G. S. – 19.11.2020

 

 

 

 

[…] On m’a demandé si le travail et les actions de Julian Assange pouvaient être considérés comme étant « politiques », une question qui, me dit-on, est importante dans le cadre de la demande d’extradition des États-Unis afin que M. Assange soit jugé pour espionnage pour avoir joué un rôle dans la publication d’informations que le gouvernement des États-Unis ne souhaitait pas rendre publiques.

J’ai déjà parlé du sujet sur lequel on me demande maintenant de faire un commentaire en ce qui concerne M. Assange. Les paragraphes suivants constituent mon point de vue. Je confirme mon évaluation selon laquelle les opinions et les actions de M. Assange doivent être appréhendées dans leur relation avec les priorités du gouvernement.

Un professeur de Science du gouvernement de l’université de Harvard, l’éminent politologue libéral et conseiller du gouvernement, Samuel Huntington, a observé que « les stratèges du pouvoir aux États-Unis doivent créer une force qui peut être ressentie mais non vue. Le pouvoir reste fort quand il reste dans l’obscurité. Exposé à la lumière du soleil, il commence à se dissiper ».

Il a donné quelques exemples significatifs concernant la nature réelle de la guerre froide. Il a parlé de l’intervention militaire américaine à l’étranger et il a fait remarquer que « vous devrez peut-être vendre l’intervention ou toute autre action militaire de manière à créer la fausse impression que c’est l’Union soviétique que vous combattez. C’est ce que les États-Unis font depuis la doctrine Truman » et il existe de nombreuses illustrations de ce principe directeur.

Les actions de Julian Assange, qui ont été qualifiées de criminelles, sont des actions qui exposent le pouvoir à la lumière du soleil – des actions qui peuvent provoquer l’évaporation du pouvoir si la population saisit la chance de voir ses citoyens devenir indépendants dans une société libre plutôt que les sujets d’un maître qui opère dans le secret. C’est là un choix et on a compris depuis longtemps que le public a la capacité de faire s’évaporer le pouvoir.

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Source : https://www.legrandsoir.info/proces-assange-le-temoignage-de-noam-chomski.html

 

 

 

 

 

 

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Mais ceci est d’aujourd’hui, et d’un immonde procès en cours à un souhaitable procès à venir, il semble que certains espoirs soient permis :

 

 

La documentation sur les crimes Israëliens est plus lourde que trois chars Merkava.

 

 

Oberlin voit déjà Netanyahou au tribunal.

 

Jacques-Marie-Bourget – L.G.S. – 25.11.2020

 

 

 

 

 

Après avoir publié en 2014 « Le Chemin de la Cour » pour nous convaincre de l’utilité d’un nouvel outil militant capable de faire reculer le non-droit et les crimes commis par Israël -le recours à la Cour Pénale Internationale-, l’admirable et inflexible Christophe Oberlin grimpe à nouveau dans les étagères des libraires. Il nous revient avec une suite à son premier travail, convaincu que l’histoire et la justice ont avancé sur son chemin. Oberlin voit déjà « Les dirigeants israéliens devant la Cour pénale internationale ». Que le ciel, auquel je ne crois qu’en temps de pluie, l’entende. Mais, en effet, pourquoi négliger l’option du droit ? Le rêve d’asseoir Netanyahou à la place de Laurent Gbagbo… C’est ce long voyage, dans le temps et entre les morts, que décrit Christophe Oberlin dans ce livre publié chez Erick Bonnier. Nous avons là une vision depuis les coulisses, le plus souvent à Gaza. Et des leçons de droit qui ne sont pas l’essentiel de l’ouvrage. Dont le grand intérêt est de parler a continuo d’un drame de l’injustice, d’une tragédie de l’abandon. De ces tueries détaillées au ralenti, Oberlin nous convainc de l’urgence, nous malmène quand il décrit les familles en charpie, les immeubles écroulés, la misère, l’enfermement, les massacres. C’est le point incontestable de son livre, la traduction de l’engagement d’une vie.

 

Le 1er janvier 2015, le Gouvernement palestinien dépose une déclaration en vertu de l’article 12-3 du Statut de Rome reconnaissant la compétence de la Cour pénale internationale (CPI) pour les crimes commis « sur le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est ». Le 20 décembre 2019, la procureure de la CPI, Fatou Bensouda, annonce « qu’au terme d’un examen préliminaire approfondi, mené en toute indépendance et objectivité, de l’ensemble des renseignements fiables qui sont en la possession de son Bureau, ce dernier est parvenu à la conclusion que tous les critères définis dans le Statut de Rome pour l’ouverture d’une enquête étaient remplis.

Cependant, compte tenu des questions juridiques et factuelles liées à cette situation, conformément à l’article 19.3 du Statut de Rome, le Procureur a demandé à la Chambre préliminaire 1 de se prononcer quant à la portée de la compétence territoriale de la CPI dans la situation en Palestine, conformément à l’article 12 2 a du Statut de Rome. »

Le 28 janvier 2020, la Chambre préliminaire numéro 1 rend une ordonnance fixant la procédure et le calendrier pour la présentation d’observations sur la demande du Procureur en vertu de l’article 19-3 du Statut de Rome, quant à la portée de la compétence territoriale de la Cour dans la situation dans l’État de Palestine. La Chambre préliminaire numéro 1 « prendra ensuite une décision sur cette question en temps voulu ». Vous aurez noté que l’adhésion de Ramallah au Traité de Rome, et par là à la CPI, est déjà vieille de cinq années. Soixante mois de crimes accumulés sous les bombes, missiles, tortures, internements arbitraires… Et rien. A La Haye le sommeil est lourd, surtout que le rude climat de La Haye exige des couettes épaisses. Qui étouffent les cris.

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Source : https://www.legrandsoir.info/oberlin-voit-deja-netanyahou-au-tribunal.html

 

 

 

 

Jekyll & Hyde sont dans un bateau.

Le bateau sombre…

Et les poissons dans tout ça ?

 

 

Trump ou Biden, la question n’est pas là

 

Gilad Atzmon – Entre la plume… – 23.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

 

Il s’agit de l’opposition entre urbain et rural

Il s’agit d’un débat entre mondialistes et nationalistes

Il s’agit de Cosmopolitains contre Patriotes

Il s’agit de Tribal contre Universel

Il ne s’agit pas de démocrates contre républicains

Il s’agit des minorités contre les Américains

Il s’agit des « en tant que tels » contre le peuple authentique

Il s’agit d’une « grande réinitialisation » contre un désir de grandeur

Il s’agit de Jérusalem contre Athènes

 

Nous sommes en train de revivre les « derniers jours de la République de Weimar ».

Tout au long de son histoire, le capitalisme a utilisé différentes tactiques pour réprimer l’opposition.

À un moment donné, c’était le fantasme d’une révolution inévitable. C’est en effet la menace de cet esprit rebelle qui a contribué à l’évolution de l’État-providence, mais la révolution promise ne s’est jamais concrétisée.

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Source : https://plumenclume.org/blog/634-trump-ou-biden-la-question-n-est-pas-la

 

 

 

 

Mais il y a, cette fois, quelqu’un que l’analyse de Gilad Atzmon a fait tiquer et qui le dit :

 

Commentaire de Bruno Drewski


par mail à La Voix de la Libye – 23.11.2020

 

D’abord, contrairement à ce que croit Atzmon, le « communisme » n’était pas « de plus en plus oppressif », mais l’était de moins en moins entre 1930 et 1991… et c’est aussi pour cela qu’il était de moins en moins égalitaire, de moins en moins socialement progressiste et de moins en moins anti-impérialiste, car de moins en moins dictature du prolétariat. C’est la dialectique liberté / égalité entre l’Est et l’Ouest, qui explique la dynamique de développement économique et sociale post-1945, à l’Ouest, à l’Est et au Sud. Avec donc aussi la décolonisation. La fin du camp socialiste a signifié la fin de camp de la paix et, par ricochet, la fin des libertés à l’Ouest car les élites possédantes occidentales n’avaient plus la peur « du bolchevik avec son couteau entre les dents » qui les forçaient à des concessions sociales et à affirmer, comme alternative, la liberté individuelle comme manoeuvre désagrégeante pour la mobilisation unitaire des masses.

 

Par ailleurs, ce qu’Atzmon appelle « la gauche » est une vision occidentalocentrée pour ne pas dire yankocentrée d’une gauche petite-bourgeoise face à une droite régressive… le gros des bataillons de la « gauche », si ce terme a encore un sens, en plus bien sûr des États soclalistes d’Asie ou des Amériques, ce sont les partis communistes ou socialistes indien, japonais, sud-africain, libanais, népalais, russe, chilien, brésilien, grec, portugais, palestinien (FPLP)…  les partis de masse à la marge ou en dehors de l’Occident… car à l’ouest, rien de nouveau !

 

Gilad a peut-être oublié en effet qu’il a lui-même, il y a peu et avec raison, qualifié « la gauche » d’aujourd’hui – et pas qu’aux USA ! – de « zone occupée ».

 

 

 

 

 

Le vote Trump chez Asiatiques et Latinos

 

Brad Griffin – Entre la plume… – 23.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

 

 

 

 

L’élection de 2020, une série de retours de bâton. 

Les Asiatiques et les Hispaniques qui se sont tournés vers Trump ont réagi comme les électeurs blancs de la classe ouvrière l’ont fait par le passé, principalement en raison de la violence et du chaos implantés par Antifa et Black Lives Matter. Ron Unz a évoqué une relation toxique entre les libéraux blancs et les noirs.

 

Cependant, il y a des groupes différents d’électeurs blancs qui se sont prononcés contre Trump pour diverses raisons. Il y a eu le contrecoup de l’offensive sur la « suprématie blanche ». Il y a eu le contrecoup des seniors sur le COVID. Il y a eu un retour de bâton de la part des électeurs blancs ayant fait des études supérieures et qui pensent que Trump est un imbécile. Il y a également eu un contrecoup populiste de la part d’indépendants mécontents.

Le site Politico écrit :

« Donald Trump a perdu la présidence, mais a montré aux républicains un moyen de gagner la guerre des cultures avec les hispaniques de la classe ouvrière.

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Source : https://plumenclume.org/blog/635-le-vote-trump-chez-asiatiques-et-latinos

 

 

 

 

Bien sûr, ce Gulliver-là n’est pas un vrai géant. Ce qui le fait croire…

 

 

 

… c’est la taille des homoncules qui l’ont ligoté. (Et Gen Barrison n’est pas Ben Garrison.)

 

 

 

 

MAIS… bien avant les joyeux candidats de guerre civile, avant même Lyndon Johnson, Nixon, Reagan, les Bush père et fils, la famille Clinton, Barak-le-sémillant-Frère-musulman et quelques autres, il y a eu – le saviez-vous ? – Walt Disney.

 

 

Blanche-Neige et les États-Unis

 

Rosa Llorens – L.G.S. – ,17.11.2020

 

 

 

 

Il est devenu banal de dire que les États-Unis sont aujourd’hui divisés en deux moitiés égales et opposées. Cela vérifie la thèse de Denis Duclos, soutenue déjà dans Le complexe du loup-garou, de 1994 : le thème du double est selon lui fondamental et omniprésent dans la culture anglo-saxonne, et en particulier étasunienne ; dans la plupart des histoires, on retrouve la lutte entre principe du Bien et principe du Mal, mais incarnés dans deux personnages qui sont en fait des doubles, comme Docteur Jekyll et Mister Hyde, Joker et Batman, ou les deux héros de Fight Club ou, aujourd’hui, Biden et Trump. La culture étasunienne nous renvoie ainsi sans cesse de la sauvagerie des meurtres de masse et des guerres interminables à « l’univers gentillet des cartoons ».

 

Même un joli conte comme Blanche-Neige peut s’intégrer à cette logique.

Blanche-Neige est le premier dessin animé long métrage de Walt Disney : il reçut un accueil enthousiaste et on peut le considérer comme son chef d’œuvre. Son sujet même est un grand classique de la mythologie et du folklore, c’est un conte saisonnier. Mais sa date aussi est intéressante : il a été élaboré entre 1934 et 1937, et, resitué dans son contexte, il fait apparaître des aspects surprenants.

En 1934, Walt Disney réalise le court-métrage The Goddess of Spring (La déesse du Printemps, c’est-à-dire Perséphone, qui inspirera le personnage de Blanche-Neige) : Perséphone a été enlevée par Hadès qui l’oblige à vivre dans son royaume, le monde des morts. Sa mère, Déméter, obtient de Zeus qu’elle puisse revenir sur terre pour y passer la moitié de l’année. Déméter est la déesse de la terre et des moissons ; Perséphone est la végétation, qui disparaît en hiver, pour revenir chaque printemps. De même, dans BN, la sorcière est la reine de la nuit hivernale, qui chasse la végétation, BN ; celle-ci va survivre dans le monde souterrain, « au-delà de la septième chute » (ce qui rappelle les sept replis du Styx, fleuve des Enfers), sous la protection des nains, eux aussi créatures souterraines, qui travaillent dans les mines. Elle sera rappelée à la vie par le Prince, le Printemps.

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Source : https://www.legrandsoir.info/blanche-neige-et-les-etats-unis.html

 

 

 

 

 

COVID’ SAGA

 

 

 

 

Macron : Pourquoi soigner le Covid, quand on peut combattre les gens ?

 

Karine Bechet Golovko – Russie Politics – 23.11.2020

 

 

JupiterPanpan et son chat. Noir.  (Tant pis pour vous si vous les croisez.)

 

 

Sans grande surprise, mais dans l’exaspération générale, Macron se prépare à annoncer qu’il ne va pas déconfiner, que les bars et les restaurants resteront fermés jusqu’à extinction, pendant que les « stars de l’expertise » expliquent que la vie d’avant … ne sera plus. Pour autant, les mesures prises ne permettent aucune amélioration, dixit le ministre de la Santé, O. Veran. Et comme ce n’est pas efficace, il faut évidemment continuer, c’est logique. Il faudra même désormais, à chaque poussée virale saisonnière, puisque les virus continuent Ô surprise à exister, remettre une couche de confinement ou de couvre-feu. Certainement jusqu’à décomposition de la société et de l’homme, destruction d’une économie nationale déjà moribonde. Il semblerait que l’on ne sache plus – ou ne veule plus – soigner les gens. On les combat.

 

Je me souviens d’un excellent médecin me disant il y a quelques années, « Je ne soigne pas une maladie, je soigne une personne« . Aujourd’hui, non seulement le virus n’est pas soigné, mais les êtres humains sont combattus, réduits à une vie biologique incertaine, dans la logique effrayante du « pas d’hommes, pas de problèmes ».

Macron annonce une nouvelle allocution et déjà les médias nous préparent à ce qu’il n’annonce pas le déconfinement général, mais un allègement ponctuel et sectoriel – qui ne peut concerner paraît-il les bars ou restos, qui soi-disant attendront jusqu’à février, en tout cas pour les rescapés de l’Ancien Monde qui existeront encore. Quelle importance la vie du pays, puisque l’excuse « sanitaire » est avancée et qu’elle doit être incontestée ?

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Source : http://russiepolitics.blogspot.com/2020/11/macron-pourquoi-soigner-le-covid-quand.html

 

Attendez !… il paraît qu’il « remonte dans les sondages.

 

 

 

 

 

Quand donc les moutons – de Dindenault ! (on dit toujours de Panurge) – comprendront-ils que quand la grande menace du COVID aura fini de terroriser les niguedouilles terrorisables (et ça fait du monde, hélas) « on » la fera accoucher d’une menace hyper-pandémique encore plus pire, laquelle pondra ensuite une archi-menace qui fera passer pour du pipi de sansonnet la précédente « et lycée de Versailles » vous dirait San Antonio s’il n’avait été victime d’une précédente virée de la Grande Faucheuse…

Ah, Berthe et Bérurier aux prises avec le COVID ! On rêve…

 

 

 

La pandémie d’aujourd’hui, c’est la toute petite, en bas, à l’extrême gauche… Agrippez-vous à vos muselières !

 

 

 

 

 

2022 : offrons une veste à Macron

 

Théophraste R. – L.G.S. – 25.11.2020

 

 

 

 

J’ai écouté Macron le 24 novembre 2020 pour savoir si je pourrai aller (je cite Ruffin) « pisser à plus d’un kilomètre ».

Je me suis réveillé juste au moment où il conseillait de se laver les mains.
Je me suis dit : « Mais comment le chef d’un Etat qui est une des premières puissances du monde peut-il descendre à de pareils détails quand la planète brûle, que notre service de santé est délabré et que le nombre de pauvres atteint 10 millions ? »

Vous imaginez De Gaulle dire : « Mexicanas, Mexicanos, la mano en la mano (1), mais d’abord il faut se les laver » ?

Le constat est qu’en passant de chez Rothschild à l’Elysée, ce gamin a enfilé un costume trop grand pour lui.

Et en plus, il lui manque une épaulette.

Théophraste R. (Tailleur de costar).

 

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Note (1) à 2mn52 d’un discours appris par chœur et prononcé avec un accent acceptable : https://www.youtube.com/watch?v=tnkbkkR0ZP4

 

 

 

 

 

Vaccin contre le Covid-19 : « C’est de la science-fiction ! », assure Didier Raoult

 

Les 7 du Québec – 21.11.2020

 

 

 

https://les7duquebec.net/archives/260091

 

Z’êtes surpris ?

 

 

 

 

 

Manifestations et résistance dans le monde, dont les médias menteurs ne parlent pas

 

Les 7 du Québec – 21.11.2020

 

 

  https://les7duquebec.net/archives/260050

 

 

 

 

 

Selon l’ancien président de la commission Covid du Collège des médecins : « c’est le plus grand canular jamais perpétré sur un public innocent »

 

Les 7 du Québec – 24.11.2020

 

 

https://les7duquebec.net/archives/260128

 

 

Innocent… innocent… facile à dire !

Vous verrez à quoi vous servira votre innocence quand les bombes commenceront à vous tomber sur la g… comme elles font ailleurs depuis 70 ans pendant que vous touillez dans votre caca covidien pour voir s’il est vert !

 

 

 

 

Plus que jamais : El Abrazo !…

 

Georges Stanechy – À contre-courant – 24.11.2020

 

 

« Les démagogues, les opportunistes, les magiciens ont désormais la tâche difficile.

La praxis qui les a jetées dans un corps à corps désespéré confère aux masses un goût vorace du concret.

L’entreprise de mystification devient, à long terme, pratiquement impossible. »

Frantz Fanon (*)

 

 

Hoy mas que nunca…

Aujourd’hui, plus que jamais…

Dans nos contrées…

Le satanisme ambiant qui nous est imposé, sous la férule d’une oligarchie aussi cynique qu’abyssalement corrompue, ne peut et ne pourra éradiquer le symbole, l’étendard, l’alpha et l’oméga de toute civilisation digne de ce nom : L’Abrazo !…

 

 

 

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(*)   Frantz Fanon, Les Damnés de La Terre, Folio – Actuel, 1997, p. 128.

Source : http://stanechy.over-blog.com/2020/11/plus-que-jamais-el-abrazo.html

 

 

 

 

 

Chez ceux que le COVID a si opportunément fait passer à la trappe

 

 

 

 

 

 

Vous le savez que la Syrie est toujours là, et toujours en guerre avec vos z’élus, vos représentants économiques à l’étranger, etc. (« your betters » comme disent les Anglais) ? Que vous ne combattez pas en refusant par exemple de leur payer l’impôt dont ils font si criminel usage.

Nous, ce qu’on en dit…(on est trop vieux pour être Gilets Jaunes, sinon, c’est par là qu’on aurait commencé).

 

 

Lettre ouverte d’un prêtre arabe de Syrie au Président français Emmanuel Macron

 

Elias ZahlaouiArrêt sur info – 16.11.2020

 

 « Le Père Elias est un homme calme et pondéré, mais cela ne l’empêche pas d’être exaspéré par les mensonges répétés, sur la situation au Moyen-Orient et en Syrie en premier lieu. Par ses lettres aux Chefs d’Etats, aux Souverains Pontifs et aux évêques du monde, ainsi que par ses nombreux écrits, il a rappelé l’implacable vérité: la Syrie est attaquée par des hordes barbares islamistes, soutenues ouvertement ou indirectement, par les puissances occidentales, la Turquie voisine et les monarchies du Golfe, qui veulent renverser un gouvernement légal, laïc, qui refuse de se soumettre à leur idéologie ».

[Préface du Colonel Alain Corvez pour l’ouvrage  Guerre et Paix en Syrie,  du Père Elias Zahlaoui, Edition 2019]

 

 

Contrairement à ce que la presse officielle a raconté il n’y a jamais eu de rebelles « modérés » en Syrie

 

 

Père Elias Zahlaoui
Damas, 2 Novembre 2020

 

Monsieur le Président,

Dans le désarroi où vous vous débattez, et où, avec vos deux « géniaux » prédécesseurs, vous avez plongé toute la France, et peut-être bientôt, toute l’Europe, permettez à un vieux prêtre arabe catholique de Syrie, de vous faire part de quelques propos tout simples, mais, hélas, « politiquement incorrects » !

En Président de la République Française, vous vous indignez devant l’assassinat d’un ou de plusieurs français. Les Parlementaires français, à leur tour, protestent un moment, debout, en silence. Et l’Église de France de sonner le glas en tous ses clochers.

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Source : https://arretsurinfo.ch/lettre-ouverte-dun-pretre-arabe-de-syrie-au-president-francais-emmanuel-macron/

 

 

 

 

 

 

 

 

Quel rapport ? Bin… c’est pas Veolia qui « Arbeit macht frei » ?

Mais pas qu’eux : https://www.bastamag.net/Ces-entreprises-francaises-qui

D’accord, c’est pas en Syrie.

 

 

 

 

 

 

 

Oh, mais, il n’y a pas que nous et les Hexagonaux… Il y a aussi les Suisses :

 

Affaire Crypto : la neutralité suisse écornée

 

Gabriel Galice – Arrêt sur info – 20.11.2020

 

 

 

 

Le scandale Crypto écorne l’image de la Suisse. Pour la commission parlementaire : les services de renseignement savaient, pas les politiques… Si tel est le cas, que signifie le modèle démocratique suisse, tant vanté, où les barbouzes sont incontrôlables ? A moins que les services ne servent de fusibles aux compromissions des politiques.

 

L’industrie suisse (Crypto AG, mais aussi Infoguard) a vendu, des décennies durant, des machines de cryptage dotées d’une « porte cachée » permettant le décodage. En soi, c’est une escroquerie industrielle. Une centaine d’États clients ont été abusés, dont certains (tel l’Iran) étaient dans le viseur des États-Unis. Mais le scandale va plus loin. La CIA et le BND (renseignement allemand) étaient les véritables instigateurs, la CIA acquérant même 100% du capital d’une société-écran basée au Luxembourg.

L’affaire semble sortie d’un roman d’espionnage de John le Carré. Crypto AG (AG = SA en français), est une société de droit suisse fondée en 1952 par le Suédois Boris Hagelin. Celui-ci avait hérité de l’entreprise de Arvid Gerhard Damm qui construisait des machines de chiffrement à partir d’un brevet suédois déposé en 1919. Après la mort de Damm et peu avant la Seconde Guerre mondiale, Hagelin prit sa direction. Durant la guerre, la société est dirigée depuis les États-Unis et à la fin du conflit, les activités sont transférées de la Suède vers la Suisse.

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Source :  https://arretsurinfo.ch/affaire-crypto-la-neutralite-suisse-ecornee/

 

 

 

 

 

La longue guerre de Washington contre la Syrie est loin d’être terminée

 

Stephen Gowans  – Arrêt sur info — 19.11. 2020

Paru le 10 Novembre 2020 sur Le blog de Stephen Gowans

 

 

En 2017, Stephen Gowans sortait son livre La longue guerre de Washington contre la Syrie, disponible en français aux éditions Delga. Une guerre tellement longue qu’elle est à ce jour loin d’être terminée, même si elle n’occupe plus autant les devants de l’actualité. Ce qui s’y passe encore est pourtant extrêmement grave, comme le relève Gowans dans cette mise à jour. Washington est loin d’avoir jeté l’éponge en Syrie et empêche la reconstruction du pays en piétinant une fois de plus les règles les plus élémentaires du droit international.

 

 

 

 

La longue guerre de Washington contre la Syrie n’a pas été tendre pour les citoyens du pays. La guerre a été menée de nombreuses manières au cours de nombreuses décennies, parfois sous forme de guerre chaude, principalement sous forme de guerre froide, tantôt visible, tantôt cachée, tantôt directement, tantôt par procuration, tantôt par des moyens militaires, et souvent par des mesures économiques.

 

La guerre n’a nullement diminué en intensité, bien que le gouvernement syrien l’ait largement emporté, avec l’aide de la Russie, de l’Iran et du Hezbollah, dans sa lutte contre les djihadistes soutenus par l’étranger.

Voici les conséquences de la guerre pour le peuple syrien :

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Source :  https://arretsurinfo.ch/la-longue-guerre- de-washington-contre-la-syrie-est-loin-detre-terminee/

 

 

 

 

Wikileaks et la Russie (il semblerait qu’ils se rapprochent).

 

 

 

 

 

Du côté de chez ceux qui mouillent leur chemise

 

 

Qui sera le successeur de Vladimir Poutine ?

 

Strategika 51 – 24.11.2020

 

 

 

 

Au milieu d’un très grand bouleversement mondial marqué par la somme de tous les dangers possibles, la Russie prépare une nouvelle ère extrêmement délicate. Celle de l’après Poutine.

 

Vladimir Poutine veut s’assurer que la Russie ne retournera jamais à la très désastreuse ère de Boris Eltsine et des oligarques qui l’ont mis en pièces et dépouillée en transformant une grande puissance en un État en faillite. La Russie est non seulement revenue de loin mais a pu concrétiser tous ses vieux rêves géostratégiques comme accès aux mers chaudes, une sanctuarisation sans précédent de son immense territoire, une place de premier choix dans la vente d’armement, une politique influente au Moyen-Orient et en Afrique, une nouvelle doctrine dans l’océan arctique, une alliance stratégique avec la Chine et enfin, un rôle diplomatique de grande puissance.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/qui-sera-le-successeur-de-vladimir-poutine/

 

 

 

 

 

Poutine sur Charlie Hebdo : « Au nom de la liberté d’expression, des provocateurs déchirent durablement la société »

 

https://lecridespeuples.fr/2020/11/24/poutine-sur-charlie-hebdo-au-nom-de-la-liberte-dexpression-des-provocateurs-dechirent-la-societe-pour-des-decennies/

 

 

 

 

 

Retour historique en arrière qui ne concerne pas que l’Hexagone

 

 

Étant bien entendu que Macron n’« oublie » jamais rien, qu’il fait tout exprès.

 

 

Henri Barbusse , « l’oubli » de Macron

 

Antoine Manessis – L.G.S. – 16.11.2020

 

 

 

 

 

Barbusse fut le co-fondateur et le premier président de l’Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) aux côtes de Paul Vaillant-Couturier, Georges Bruyère, Raymond Lefebvre et d’autres militants issus du socialisme, syndicalisme révolutionnaire, de l’anarchie, mouvement de combattants qui déclaraient « la guerre à la guerre ».

Maurice Genevoix est panthéonisé par la volonté du Macronléon-le-très-petit.

Personne n’aurait rien à y redire si la raison invoquée était que l’écrivain était « la » voix des combattants de 1914-1918. Qu’il en fut une voix, personne ne le conteste. Mais il ne fut pas le seul, ni surtout le principal.

Henri Barbusse écrivit en 1916 un ouvrage, Le Feu, qui racontait la guerre et ce livre fut salué et plébiscité par les poilus qui y trouvaient décrit leur souffrance et toute l’horreur de la guerre. L’écrivain reçu des milliers de lettres des soldats le remerciant pour son témoignage. Ce livre obtiendra même le prix Goncourt en 1916 et son succès fut immense.

Barbusse, écrivain de renom à la santé fragile, aurait pu échapper à la guerre. Mais il se porta volontaire et participa aux combats en première ligne. Il fut décoré de la Croix de guerre avec citation. Volontaire car croyant voir dans cette guerre une défense de la République contre les monarchies allemande et austro-hongroise.

Mais comme l’écrivait le grand écrivain progressiste Anatole France « On croit mourir pour la patrie, on meurt pour des industriels ». A partir de son expérience des tranchées, c’est cette prise de conscience de la vérité de cette guerre industrielle qui va motiver Barbusse. Et c’est évidemment la raison pour laquelle Henri Barbusse n’est pas honoré de nos jours par la bourgeoisie et son porte-flingue Macron. Parce que Barbusse s’est engagé politiquement et que son ouvrage a pris une dimension révolutionnaire quand Genevoix était un modéré, issu d’une bourgeoisie provinciale conservatrice.

Barbusse fut le co-fondateur et le premier président de l’Association Républicaine des Anciens Combattants (ARAC) aux côtes de Paul Vaillant-Couturier, Georges Bruyère, Raymond Lefebvre et d’autres militants issus du socialisme, syndicalisme révolutionnaire, de l’anarchie, mouvement de combattants qui déclaraient « la guerre à la guerre ».

En 1919 il fonde le mouvement et la revue Clarté, internationaliste, pacifiste et sympathisant avec la révolution russe. Clarté évoluera d’ailleurs « du refus de la guerre à la révolution » (Alain Cuénot).

L’ARAC et Barbusse jouèrent un rôle important dans le courant qui aboutit en 1920, au congrès de Tours du Parti socialiste, à l’adhésion de celui-ci à l’Internationale communiste. Il adhère au Parti communiste, en 1923, et se lie d’amitié avec Lénine et Gorki. Il devient directeur littéraire de l’Humanité. Il fut l’un des instigateurs du mouvement pour la paix dit Amsterdam-Pleyel, dont il devient le président avec Romain Rolland.

Figure emblématique du Front populaire, il est acclamé par la foule lors de la manifestation du 14 juillet 1935.

Il meurt à Moscou le 30 août 1935 lors d’un de ses nombreux voyages en Russie soviétique. Ses funérailles à Paris, le 7 septembre 1935, donnent l’occasion à la population parisienne de lui rendre un immense et dernier hommage.

Le sectarisme de classe de Macron doit nous donner l’occasion de faire connaître Henri Barbusse aux jeunes et de conseiller la lecture de son œuvre et particulièrement Le Feu. Une mise en garde toujours d’actualité, hélas, contre les fauteurs de guerre.

 

 

 

Médaille de l’ARAC avec la Faucille et le Marteau datant de 1919 soit avant que les « outils » ne soient adoptés par la jeune Union Soviétique en 1922.

 

 

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NB – (…)
« S’ils s’obstinent, ces cannibales
À faire de nous des héros
Ils sauront bientôt que nos balles
Sont pour nos propres généraux. »

 

Source d’origine :

 http://nbh-pour-un-nouveau-bloc-historique.over-blog.com/2020/11/henri…

Notre source /
https://www.legrandsoir.info/henri-barbusse-l-oubli-de-macron.html

 

Mea culpa des G.O.

Dans notre « célébration » de l’armistice de 1918, nous n’avons pas accordé à Henri Barbusse la place qui lui était due. Voilà qui est fait… par Le Grand Soir.

Profitons-en quand même pour rappeler à quel point il est lamentable que, mis à part le seul Jean Jaurès, aucun de ces futurs héros n’a cru devoir accorder aux exhortations de Lénine l’attention qu’elles méritaient. Qui sait combien de millions de morts en moins si on l’avait écouté… sans compter une révolution « de l’Atlantique à l’Oural » peut-être moins bouffeuse de ses enfants. Snif, snif.

Sans compter que, bien sûr, depuis qu’il n’y a plus de service militaire, il n’y a plus de balles pour nos propres généraux ni de fusils pour les tirer.. « Ils » pensent à tout, savez-vous, longtemps à l’avance.

 

 

 

 

Et puisqu’on en est à déplorer, déplorons (parce que, quand même, il ne faudrait pas oublier les causes si tant et inutilement serinées par Vladimir Ilitch)…

 

 

Subventions d’État au grand Capital licencieur, ou le scandale permanent du capitalisme monopoliste d’État à l’heure de la construction européenne

 

Georges Gastaud – L.G.S. – 21.11.2020

(Co-secrétaire national du PRCF)

 

 

 

 

VOUS AVEZ DIT « LIBÉRALISME » ?

Depuis des décennies, on nous rabâche, du collège à l’Université, sur presque tous les médias, et sur tous les tons, que nous vivons dans une société “libérale” et que le “néolibéralisme” est notre lot. Ceux qui sont un peu plus critiques politiquement, mais qui n’en barbotent pas moins dans l’illusion idéologique, parlerons, pour le condamner, de l’« ultralibéralisme » ou du « turbo-capitalisme ». En fait, le Traité de Maastricht, relayé par tous les traités européens qui lui ont succédé, définit l’Union européenne comme une « économie de marché ouverte sur le monde où la concurrence est libre et non faussée ».

 

Au nom de cet article inamovible qui forme le cœur de la “construction” européenne et des constructions politico-économiques analogues sur d’autres continents (ALENA, MERCOSUR, ASEAN…), les États nationaux et leur personnel politique dirigeant s’interdisent de nationaliser les grandes banques et les autres entreprises présentant un caractère stratégique pour leurs nations respectives. Interdiction du même coup de planifier scientifiquement et démocratiquement le développement économique, le déploiement du progrès social, la répartition des « gains de productivité », de stopper les délocalisations industrielles et servicielles ravageuses et, bien entendu, d’interdire les licenciements collectifs relevant de la « loi du marché ».

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Source : https://www.legrandsoir.info/subventions-d-etat-au-grand-capital-licencieur-ou-le-scandale-permanent-du-capitalisme-monopoliste-d-etat-a-l-heure-de-la.html

 

 

 

 

 

Petite manifestation de pessimisme sûr de son fait (meuh non, voyons… c’est nous qui sommes paranos !).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 25 novembre 2020

 

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