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28 mars 2024

Les Grosses Orchades, les Amples Thalamanèges


On voulait s’arrêter, mais…
29 novembre 2020

 

 

 

 

On voulait s’arrêter, mais…

…voilà qu’on reçoit deux choses qu’on se doit de relayer (en plus de toutes celles qu’on devrait et qu’on n’arrive pas à…).

Alors, ultime post ? Probable. Ou alors pas loin.

NB : Notre bateau d’aujourd’hui est péruvien et il a des jambes. Petit hommage en passant à feu Maradona, argentin, et aux autres latinos en général.

Si on vous dit que ce qui suit est important, est-ce que vous nous croirez ?

Le Prince, le virus et le conseiller

 

Ariel Beresniak – RT France – 26 nov. 2020

 

Dans un hôpital français (image d’illustration).

Le docteur en médecine Ariel Beresniak présente son analyse de la fonction du Conseil scientifique et sa gestion de la crise sanitaire liée à la pandémie du coronavirus alors que ses décisions se montrent extrêmement néfastes pour la population.

 

S’il est cocasse d’entendre disserter des responsables politiques sur la dynamique des épidémies, il est une qualité qui doit être reconnue au sommet de l’État, celle de parfaitement connaître les classiques de la philosophie politique. En constituant son propre « conseil scientifique », le chef de l’Etat a ainsi parfaitement intégré les recommandations du penseur Florentin Machiavel sur l’art pour un Prince de gérer les menaces.

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Source : https://francais.rt.com/opinions/80997-prince-virus-conseiller-ariel-beresniak

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Aussi important, et les mêmes causes produisant les mêmes effets…

 

 

La grande déchirure

 

Un nouveau livre de

Jean Chérasse, alias Vingtras

 

Mais d’abord, un texte de l’auteur sur son blog Mediapart – il est de 2016 et consacré à un autre livre…

 

Retour à Tours

 

Vingtras – Blog : Vingtras – 27 déc. 2016

 

 

Analyse brillante et pertinente que celle de Pierre Dardot et de Christian Laval, à la une de Mediapart, sous le titre : « Le cauchemar qui n’en finit plus, le testament de Hollande, ou comment la gauche française s’est auto-anéantie »… une analyse qu’il faut néanmoins remettre en perspective afin de comprendre comment cet ersatz médiocre du « socialisme » est un résidu du Congrès de Tours.

En effet, il y a quatre-vingt-seize ans, toute la famille de gauche rescapée de la grande boucherie de 14/18, se réunissant fin décembre 1920 à Tours, à l’occasion du 18e Congrès de la S.F.I.O. (section française de l’internationale Ouvrière), explosait en deux courants antagonistes ; l’autre, la S.F.I.C. (section française de l’Internationale Communiste) donnait naissance au Parti Communiste français.

Ainsi, les héritiers des Communeux, oubliant la terrifiante leçon de la Semaine Sanglante, avaient décidé de se diviser avec le retour des beaux jours, dans cette après-guerre des années folles où, tandis que les oligarchies financières profitaient de leurs gains et de leur plus-values acquises sur les cadavres de millions de belligérants, les classes défavorisées survivants de l’hécatombe, reprenaient leur lutte pour un avenir meilleur.

Mais à la différence du XIXe siècle, un immense espoir était né en octobre 1917 avec la révolution soviétique et cet événement majeur conditionna le développement des partis de gauche du monde entier. La suite est malheureusement bien connue…

En France, la SFIO qui s’était compromise dans « l’union sacrée » avec la droite à cause de la « grande guerre », s’inscrivit dans le sillage du parti radical afin de pouvoir bénéficier de victoires électorales afin de quadriller le pays avec des notables. Après la grande crise économique et devant la menace fasciste des années trente, elle proposa une alliance électorale au Parti Communiste qui aboutit à la victoire du Front Populaire de 1936.

Mais la SFIO de Léon Blum n’osa pas entreprendre les grandes réformes structurelles pour que la république française devienne enfin une république sociale, elle n’intervint pas en Espagne pour lutter contre Franco et n’osa pas amorcer une politique de décolonisation.

La faiblesse idéologique de la SFIO se retrouve en 1945 à la libération où elle va opter pour l’Europe américanisée du plan Marshall, puis en réaction au gaullisme triomphant, elle va lorgner de plus en plus vers la social-démocratie à l’allemande et enfin vers un néo-libéralisme, plus ou moins corrigé par l’intervention technique de l’État.

Il n’est donc pas surprenant de « découvrir » le parcours de François Hollande, et son dévouement à la république bourgeoise. La SFIO n’a jamais été qu’un paravent des « honnêtes gens », c’est à dire des classes dominantes.

Hollande fait partie des « élites » technocratiques cooptées par les privilégiés et n’agit que pour préserver leurs intérêts. Ses discours ne sont que « de la poudre aux yeux »…

Il faut donc chasser tous ces vieux démons, oublier le Congrès de Tours, se réinventer à gauche, et remettre enfin le COMMUN au coeur de nos préoccupations !

Il ne faut plus prendre les « socialistes » pour la gauche, des vessies pour des lanternes.

Réactiver le message de la Commune…

Émancipation et fraternité !

__________________

Pierre DARDOT et Christian LAVAL – Ce cauchemar qui n’en finit pas – Comment le libéralisme défait la démocratie – La Découverte, 2016 – 13,50 €

 

 

 

 

 

Novembre 2020

 

Vient de paraître :

 

 

 

Jean A. Chérasse

Noël 1920, à Tours

La grande déchirure…

Le Congrès fratricide

avec une postface de Raoul Vaneigem

Éditions du Croquant – Novembre 2020

192 pages

 

Prix : 15 € ; ISBN : 9782365122870

Disponible en librairie

Peut être commandé (franco de port) sur le site de l’éditeur : cliquer ici

Prix du livre papier : 15 €

Pour la version électronique (PDF) : 12 €

 

 

Noël 1920. Dans la salle du Manège à Tours, 285 délégués de la SFIO, repré­sentants de la France laborieuse qui vient d’émerger du cauchemar de la guerre. Durant cinq jours, ils vont s’ex­primer pour ou contre l’adhésion à la IIIe Internationale récemment créée à Moscou, provoquant une scission : les majoritaires fonderont la SFIC, c’est-à-dire le Parti communiste, les minoritaires se replieront sur la « vieille maison » socialiste. L’événement a fait l’objet d’une historiographie savante et pertinente mais il gagne à être revisité aujourd’hui, notamment dans le sillage de la Commune de Paris et des idées qu’elle a pu semer.

Quelles furent les raisons profondes de cette scission ? Pourquoi cette grande division, entravant toutes les luttes sociales et remettant toujours au lendemain l’espoir de « changer la vie » ? Comment ce grand sabordage de l’émancipation prolétarienne a-t-il perduré en paralysant le combat an­ti-capitaliste et en fragmentant aujourd’hui encore les forces de gauche qui sont réduites désormais à l’impuissance contre l’autocratie républicaine bourgeoise ?

Le Congrès de Tours a introduit, avec le virus bolchévique du soupçon et de la défiance, et celui, mégalomaniaque, inhérent au pouvoir personnel, le poison de la division dans la doxa politique de la gauche : peut-on survivre à ces fléaux sans un recours au vaccin de la souveraineté populaire ? Un jour peut-être, « la liberté enfin s’éveille(ra) au souffle de la vie ».

Jean A. Chérasse, cinéaste documentariste, agrégé d’histoire, titulaire du blog « Vingtras » sur Mediapart.

Bien entendu l’histoire du Congrès de Tours est un phénomène qui parait condamné à se répéter, la « zone occupée » qui se prétend la « gauche » se scindant une fois de plus, avec le PS et le PCF dans le rôle de la SFIO et le PRCF dans celui de la gauche à principes. Jusqu’à la scission suivante ? À moins que « nous » (le PRCF et tous ceux que le PS a réussi à éparpiller pour qu’ils ne se regroupent en dehors de lui) ne fassions nôtre avec une farouche humilité la résolution de Günther Grass en mettant un pied devant l’autre et en faisant de notre mieux, pour – qui sait ? – franchir contre toute attente un autre petit bout de la longue, ardue, interminable route tracée par Robespierre, sur laquelle une poignée de surhommes (Lénine, Staline, Mao, Castro, Hô Chi Minh) ont jusqu’à présent avancé de quelques mètres. Puisqu’il n’y en a pas d’autre.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Andrea CAMILLERI

Riccardino

Langue : italien

Sellerio editore Palermo – 15 juillet 2020

288 pages

15 €

L’ultima avventura del commissario Montalbano.

Anno 2005: Camilleri ha appena pubblicato La luna di carta. Sta lavorando alla successiva avventura della serie, ma in estate consegna a Elvira Sellerio un altro romanzo con protagonista il commissario Montalbano. Si intitola Riccardino. L’accordo è che verrà pubblicato poi, un domani indefinito, si sa solo che sarà l’ultimo romanzo della saga Montalbano.

Anno 2016. Sono passati 11 anni durante i quali sono usciti 15 libri di Montalbano. Andrea Camilleri sente l’urgenza di riprendere quel romanzo, che è venuta l’ora di «sistemarlo. Nulla cambia nella trama ma solo nella lingua che nel frattempo si è evoluta. Né muta il titolo che allora considerava provvisorio ma al quale ormai si è affezionato e che nel 2016 decide essere definitivo. Un titolo così diverso da quelli essenziali ed evocativi e pieni di significato ai quali siamo abituati, in cui risuonano echi letterari : La forma dell’acqua, Il giro di boa, Il ladro di merendine, L’altro capo del filo. Ma Riccardino segna quasi una cesura, una fine, ed è giusto marcare la differenza sin dal titolo. Ma come è nata l’idea, e soprattutto perché ? Racconta Andrea Camilleri in una vecchia intervista che a un certo punto si era posto il problema della « serialità » dei suoi romanzi, dilemma comune a molti scrittori di noir, che aveva risolto decidendo di fare invecchiare il suo commissario insieme al calendario, con tutti i mutamenti che ciò avrebbe comportato, del personaggio e dei tempi che man mano avrebbe vissuto. Ma poi, aggiunge, « mi sono pure posto un problema scaramantico ». I suoi due amici scrittori di gialli, Izzo e Manuel Vázquez Montálban, che volevano liberarsi dei loro personaggi, alla fine erano morti prima di loro. Allora « mi sono fatto venire un’altra idea trovando in un certo senso la soluzione ». Ecco: la soluzione la scopriranno i suoi tantissimi affezionati lettori di questo Riccardino che pubblichiamo ricordando Andrea Camilleri con gratitudine grandissima.

 

On vous explique en gros :

 

Ce livre a une histoire.

En 2004, Camilleri, qui atteignait ses 80 ans et ne se portait pas bien, pensait qu’il n’allait pas tarder à mourir. D’une part, il tenait à mettre lui-même un terme à la carrière de Montalbano. D’autre part, il avait très envie de consacrer le plus possible du temps qui lui restait à écrire des romans d’« histoire civile » comme L’Opéra de Vigata ou La prise de Makalé.

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URL de cet article : http://blog.lesgrossesorchadeslesamplesthalameges.fr/index.php/autres-livres-2/

L’hypocrisie au sommet du G20

 

Israël Adam Shamir – Entre la plume et… – 27.11.2020

Traduction : Maria Poumier

 

King Salman says : « Make the vaccine available to all »

 

 

Les dirigeants du G20 sont parvenus à un consensus d’une ampleur déjà observée lors des sommets du Pacte de Varsovie. Bref : ils veulent nous vacciner, puis, avant qu’on se remette à bouger, passer à la lutte contre le réchauffement climatique. Si nous survivons aux masques et aux vaccins, c’est l’austérité qui tuera les survivants.

 

Vous vous souvenez qu’avant la pandémie, il y avait Greta ? Greta reviendra, dès que tout le monde aura reçu sa petite piqûre. Ce programme « Sauvez le monde » (Save-The-World) s’adresse à une partie importante de l’humanité, y compris les Russes, les Européens, les Américains. D’abord, une bonne petite piqûre pour nous sauver ; ensuite, on visera plus haut: nous faire sauver la planète du réchauffement. Une grande partie de ce programme de sauvetage du monde est tout droit sortie d’une bande dessinée. Prenons maintenant le temps de regarder ce qui se passe.

Pendant que vous passiez votre week-end aux préparatifs de Thanksgiving, les dirigeants de vingt des plus grands pays du monde ont tenu leur sommet en ligne. D’habitude, ils se réunissent, discutent, abordent des problèmes dans les couloirs – cette fois, tout était en ligne. Bien que le sommet ait été officiellement accueilli par l’Arabie saoudite, Zoom c’est Zoom – les hôtes du sommet ont eu peu d’occasions de montrer leur hospitalité. Et il y a eu peu de controverse. Les dirigeants étaient généralement d’accord entre eux.

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Source : https://plumenclume.org/blog/639-l-hypocrisie-au-sommet-du-g20

 

Européens, encore un effort pour être tout à fait saoudiens !

 

 

 

 

 

 

Le dragon vole, l’aigle s’écrase lors des sommets géoéconomiques

 

XI a plaidé en faveur du multilatéralisme, de la coopération internationale et de la représentation du Sud Global pendant que Trump était absent ou jouait au golf.

 

Pepe Escobar – Mondialisation.ca – 28.11.2020

Source : Asia Times

 

 

 

 

 

Quatre sommets géoéconomiques en une semaine racontent l’histoire de notre situation en ces temps de dystopie suprême.

 

La signature (virtuelle) du RCEP au Vietnam a été suivie par la réunion tout aussi virtuelle du BRICS à Moscou, la réunion de l’APEC en Malaisie et le G20 le week-end dernier en Arabie Saoudite.

Les cyniques n’ont pas manqué de remarquer le théâtre spectaculaire de l’absurde d’avoir les 20 premières économies – du moins en théorie – discutant de ce qui est sans doute le tournant du système mondial, reliées à une hacienda pétrolière du désert favorable à la décapitation avec une mentalité du 7ème siècle.

La déclaration de Riyad a fait de son mieux pour lever le sombre climat planétaire, en promettant de déployer « tous les outils politiques disponibles » (sans détails précis) pour contenir le Covid-19 et héroïquement « sauver » l’économie mondiale en « faisant progresser » la préparation à la pandémie mondiale, le développement et la distribution de vaccins – en tandem avec l’allégement de la dette – pour le Sud global.

Pas un mot sur la Grande Réinitialisation – le plan du Meilleur des Mondes concocté par Schwab de Davos et entièrement soutenu par le FMI, Big Tech, les intérêts transnationaux du Grand Capital et le si bienveillant Prince Charles. Pendant ce temps, les sherpas du G20 se plaignaient officieusement de l’absence de véritable gouvernance mondiale et des multiples attaques contre le multilatéralisme.

Et pas un mot non plus sur la véritable guerre des vaccins entre les coûteux candidats occidentaux – Pfizer, Moderna, AstraZeneca – et les versions russo-chinoises beaucoup moins chères – Sputnik V et Sinovac.

Ce qui semble être le cas, c’est que tout programme – sinistre ou autre – correspond à la promesse unique du G20 d’offrir « les opportunités du 21ème siècle pour tous en donnant du pouvoir aux gens, en sauvegardant la planète et en façonnant de nouvelles frontières ».

 

La Maison de Xi

Au G20, le Président Xi Jinping n’a pas manqué l’occasion – après le RCEP, le BRICS et l’APEC – de souligner une nouvelle fois les priorités de la Chine : multilatéralisme, soutien à la réforme de l’OMC, vaste coopération internationale en matière de recherche et de production de vaccins.

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Source : https://www.mondialisation.ca/le-dragon-vole-laigle-secrase-lors-des-sommets-geoeconomiques/5651546

 

 

 

 

 

 

ONU : USA, OTAN, Turquie, Israël… un même combat pour le pillage et la poursuite de la guerre terroriste en Syrie

 

 

Bachar al Jaafari – Comité Valmy – 29.11.2020

 

 

 

 

 

Au Conseil de sécurité réuni le 25 novembre dernier pour examiner les situations politique et humanitaire en Syrie, « les divergences de vue sur l’impasse du processus constitutionnel et la persistance de la crise humanitaire en Syrie » n’ont toujours pas été résolues [1]. Au contraire, certains ont conservé les récits d’une vision volontairement déformatrice de la dure réalité vécue par les Syriens, en dépit de tous les témoignages prouvant la fausseté de leur prétendu souci humanitaire, seul argument indéfiniment exploité pour continuer à détruire un pays et un peuple qui refusent de céder à leurs inadmissibles exigences. La prise de parole du délégué de la Turquie illustre parfaitement le summum d’une telle hypocrisie [2].

Face à tous ces faux amis du peuple syrien, voici une mise au clair du Docteur Bachar al-Jaafari, délégué permanent de la Syrie auprès des Nations Unies. [NdT].

 

Madame la Présidente,

Ma délégation réitère ses remerciements et sa reconnaissance pour votre bonne gestion des travaux du Conseil de sécurité ce mois-ci. Je remercie le Secrétariat général ainsi que Mesdames et Messieurs les délégués permanents et leurs délégations respectives pour avoir exprimé leurs condoléances suite au décès de Monsieur Walid Al-Mouallem, vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères et des Expatriés. Je remercie aussi les chers collègues qui m’ont félicité pour ma nomination au poste de vice-ministre des Affaires étrangères et des Expatriés.

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Source : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article12384

 

 

 

 

 

Les jeux sont loin d’être faits, rien ne va plus

 

Douze citations de l’avocat Sidney Powell qui montrent pourquoi les avocats de Trump sont absolument convaincus qu’il remportera les élections

 

Michael Snyder – Le Saker francophone – 27.11.2020

Source : End of the American Dream – 16.11.2020

 

 

 

Sidney Powell

 

 

Nous sommes sur le point d’assister à la bataille judiciaire la plus lourde de l’histoire des États-Unis. Oui, le résultat déterminera qui, de Donald Trump ou de Joe Biden, remportera la présidence, mais plus important encore, l’intégrité des élections américaines est sur le point d’être jugée.

Littéralement, c’est le moment où nous déterminons s’il y aura des élections justes aux États-Unis dans un avenir prévisible.

 

Si la fraude peut être prouvée, des machines à voter extrêmement coûteuses devront être détruites dans tout le pays et la façon dont nous organisons nos élections devra être complètement revue. Mais si la fraude n’est pas prouvée, nos élections continueront de se dérouler de la même manière et personne n’osera plus jamais les défier.

Donc, dire que les enjeux sont très élevés est un euphémisme.

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Notre source : https://lesakerfrancophone.fr/les-jeux-sont-loin-detre-faits-rien-ne-va-plus

 

 

 

 

 

Épidémies et frontières / COVID-19 et égouts

 

Didier Raoult et Prof. Bernard La Scola – Mondialisation.ca – 27 .11.2020

mediterranee-infection.com

 

 

 

 

 

Bulletin d’information scientifique de l’IHU – Nous avons le droit d’être intelligents ! Pr Didier Raoult, Directeur de l’IHU Méditerranée Infection Pr Bernard La Scola, Responsable du laboratoire P3 de l’IHU Méditerranée Infection

 

 

 

 

 

 

D. Raoult

IHU a toujours testé les gens en fonction de la demande dès début épidémie : la demande de tests suit exactement l’évolution de l’épidémie, les gens viennent plus se faire tester quand le nombre de cas augmente.

L’épisode actuel diminue de manière drastique

Ce phénomène se retrouve sur cas hospitalisés et en réanimation (il n’y a jamais eu autant de cas en réanimation dans ce deuxième épisode que pendant le premier)

Il n’y a pas eu de rebond, c’est un fantasme.

Les pays qui ont contrôlé de façon raisonnable du risque épidémique n’ont pas de rebond (sud-est asiatique)

Gestion épidémie.

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Source : https://www.mondialisation.ca/epidemies-et-frontieres-covid-19-et-egouts/5651505

 

 

 

 

Pour ceux qui y croient :

 

Pétition pour le Dr Raoult

https://www.mesopinions.com/petition/sante/soutien-pr-raoult-contre-medecins-ont/103563/soutenir#main-block

 

 

 

 

 

Un très brillant Lordon, que vous ne trouverez pas dans Le Swar (au rebours d’Obama, que vous y trouverez avec insistance).

 

Paniques anticomplotistes

 

Frédériuc Lordon – Entelekheia – 27.11.2020

Paru sur les Blogs du « Diplo »

 

 

 

 

 

Si Hold-up n’avait pas existé, les anticomplotistes l’auraient inventé. C’est le produit parfait, le bloc de complotisme-étalon en platine iridié, déposé au Pavillon de Breteuil à Sèvres. De très belles trouvailles, des intervenants dont certains ont passé le 38e parallèle comme des chefs : une bénédiction. Altérée cependant parce que, certes, on est content d’avoir raison et d’être la rationalité incarnée, mais quand même l’époque est sombre et on rit moins. La Terre plate et la Lune creuse, on veut bien, ça c’est vraiment drôle, mais QAnon beaucoup moins, ça fait de la politique, le cas échéant ça prend des armes ; aux fusils près et du train où vont les choses on pourrait bientôt avoir les mêmes à la maison. D’ailleurs, on commence à les avoir. Pour l’heure il n’est question que de masques et de vaccins, ce qui n’est déjà pas rien, mais on sent bien que tous les autres sujets sont candidats. Ce qu’on sent bien également, c’est le degré auquel le camp de la raison se voit lui-même démuni, et légèrement inquiet devant sa difficulté à élaborer des stratégies antidotes. Disons-le tout de suite, dans la disposition qui est la sienne, il n’est pas près d’en trouver la première.

 

D’une forme à l’autre (mais la même)

Le torrent de commentaires qu’a immédiatement suscité la diffusion du documentaire est sans doute le premier signe qui trahit la fébrilité — du temps a passé depuis le mépris et les ricanements. Si encore il n’y avait que la quantité. Mais il faut voir la « qualité ». C’est peut-être là le trait le plus caractéristique de l’épisode « Hold-up » que toutes les réactions médiatiques ou expertes suscitée par le documentaire ne font que reconduire les causes qui l’ont rendu possible. Les fortes analyses reprises à peu près partout ont d’abord fait assaut de savoirs professionnels par des professionnels : « la musique » — inquiétante (la musique complotiste est toujours inquiétante), le format « interviews d’experts sur fond sombre » (le complotisme est sombre), « le montage » (le montage… monte ?). C’est-à-dire, en fait, les ficelles ordinaires, et grossières, de tous les reportages de M6, TF1, LCI, BFM, France 2, etc. Et c’est bien parce que l’habitude de la bouillie de pensée a été installée de très longue date par ces formats médiatiques que les spectateurs de documentaires complotistes ne souffrent d’aucun dépaysement, se trouvent d’emblée en terrain formel connu, parfaitement réceptifs… et auront du mal à comprendre que ce qui est standard professionnel ici devienne honteuse manipulation là.

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Source : http://www.entelekheia.fr/2020/11/27/paniques-anticomplotistes/

 

 

 

 

 

Pour Deloire et RSF la porte était fermée de l’Intérieur.

 

Jacques-Marie Bourget – L.G.S. – 27.11.2020

 

 

 

 

 

Ménard puis Deloire, les Roux et Combaluzier de Reporters sans Frontières ont toujours trouvé un moyen de nous divertir. Cette fois Deloire, fâché des messages de jeunes journalistes lancés sur les réseaux sociaux, entend poursuivre ces confrères, donc l’avenir d’une profession moribonde, en diffamation. Comme un malheur voyage toujours accompagné, ce malheureux « dirigeant » de RSF s’est pointé pour une réunion au ministère de l’Intérieur… où la porte lui a été claquée au nez . Reviens, Ménard !

 

Les occasions de rire étant confinées, il est bon de prendre un moment de détente en évoquant Reporters sans Frontière. Aujourd’hui un RSM, puisque Reporters sans Ménard. A croire que cette invention est aussi là pour nous faire rire. Ce qui démontre RSF est utile. En lisant « Marianne » (« en accès libre »), je découvre que l’immense Christophe Deloire, patron rémunéré de RSF, est en colère. Fâché contre des journalistes galopins auto-définis comme des « street reporters ». Le grand maître du journalisme entend les fesser, et sur Twitter dénonce les attaques dont son association fait l’objet. Taha Bouhafs, ex-militant de « La France Insoumise » qui travaille pour « Le Média », « Là-bas si j’y suis », et Gaspard Glanz de Taranis News, n’arrêtent pas de lui brûler la plante des pieds, via le réseau social. Ces deux petits journalistes, qui ne vénèrent pas Christophe, sous entendent que RSF :« vivrait de subventions d’Etat et qu’il serait proche du pouvoir ».

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Source : https://www.legrandsoir.info/pour-deloire-et-rsf-la-porte-etait-fermee-de-l-interieur.html

 

 

 

 

 

Et la France a plus peur de sa police que de ses voyous

 

Théophraste R – L.G.S. – 28.11.2020

 

 

 

 

 

Combien de policiers impassibles (dix, vingt ?) ont assisté dans la rue au passage à tabac de Michel Zecler, producteur de musique, et de ses très jeunes confrères par trois barbares armés payés par nous ?

 

Est-ce que l’un des dix ou vingt a essayé, au moins de la voix, de calmer les brutes assermentées ? Non. Chacun son job. Les uns tabassent des civils, les autres « sécurisent la zone », c’est-à-dire vont rosser le premier civil qui descendrait de chez lui en criant « Arrêtez ! Vous allez le tuer ! Il n’a rien fait ».

Et pas un civil ne montre son nez. On ne sort pas dans une rue où le pouvoir macronien a lâché sans muselière trois Rottweilers dressés à l’attaque et protégés par dix ou vingt Pitbulls.

Depuis novembre 2018, on a assisté tous les samedis, partout en France, à des lâchers de fauves affamés de gilets jaunes, dressés à mordre les crânes, à arracher des mains et des yeux sans que jamais un klebs de leur chenil ne fasse un geste pour les calmer.

Il faut bien en déduire que tous les keufs de la rue sont des Rottweilers.

Ne venez pas me chanter qu’il y a quelques brebis galeuses molosses enragés qui ternissent l’image d’une police nationale faite de chiens-chiens à sa mémère.

C’est structurel.

La gangrène gagne depuis 2017. Macron en a peur, il n’a plus la force de couper le membre pourri. Les pays étrangers disent que ça schlingue au « pays des Droits de l’Homme ».

Dans les tous premiers jours qui suivront la Libération (2022, j’espère) il faudra que, de haut en bas, les membres des « forces de l’ordre » (sic) comparaissent devant une IGPN restructurée qui établira qui doit comparaître devant un tribunal.

Pour que viennent ces jours heureux, je suis prêt à ne pas gaspiller mon bulletin de vote en considérations oiseuses et superfétatoires sur la couleur de la cravate de qui pourra s’emparer de l’Elysée.

Théophraste R. Poseur de la devinette : Que veut dire ALCA ?

 

Jean Ferrat et le bruit des bottes

 

 

Source : https://www.legrandsoir.info/et-la-france-a-plus-peur-de-sa-police-que-de-ses-voyous.html

 

 

 

 

 

Maradona : le dieu fragile du Sud Global

 

Une déité du football jouée non-stop sur le terrain mondial, une vie sauvage de hauts vertigineux et de bas démoniaques à jamais dans l’œil du public.

 

Pepe Escobar – Mondialisation.ca – 27 .11.2020

Source : Asia Times

 

 

 

 

 

Sa vie était un pop opéra planétaire permanent pour les générations. De la Somalie au Bangladesh, tout le monde connaît les grandes lignes de son histoire : el pibe de Villa Fiorito, une banlieue pauvre de Buenos Aires (« Je suis un habitant des bidonvilles »), qui a élevé le football au rang de pur art.

 

Être le roi du terrain est une chose. Jouer non-stop sur le terrain mondial est un jeu complètement différent. Des multitudes de personnes ont instinctivement saisi ce qu’il était – comme s’il émettait toujours un bourdonnement magique dans une fréquence plus élevée, au-delà de l’empire des sens.

Les Italiens, qui connaissent une chose ou deux du génie esthétique, le comparent au Caravage : une divinité païenne sauvage, humaine – trop humaine -, qui vit dans la lumière et les ombres, au plus mal encore et encore, pendant que pratiquement toute sa vie se déroule en public : le ballet vertigineux de tous les démons intérieurs explosant, les scandales familiaux, les divorces, les rivières d’alcool, le dopage, l’évasion fiscale, l’Himalaya de la poudre colombienne déferlant, d’innombrables signes de mort au milieu d’une joie perpétuelle.

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Source : https://www.mondialisation.ca/maradona-le-dieu-fragile-du-sud-global/5651525

 

 

Les cinéphiles, quant à eux, n’oublieront pas de sitôt le Maradona de Paolo Sorrentino, dans Youth (ici avec Michael Caine et Paul Dano)

 

 

 

 

Dans le film, alors que le héros incarné par Michael Caine discute dans une piscine avec un petit garçon qui joue du violon de la main gauche, le Maradona du film vient à leur rencontre et leur dit: « Moi aussi, je suis gaucher. » Ce à quoi Paul Dano qui joue un comédien lui aussi en villégiature dans cet hôtel suisse lui répond: « Toute la planète sait que vous êtes gaucher.» Cela en référence à l’épisode célèbre où Maradona avait marqué un but de la main gauche lors des quarts de finale de la coupe du monde 1986, ayant plus tard déclaré qu’il s’agissait de « La main de dieu »

On marque des buts avec les mains maintenant ?

 

 

Nous n’épiloguerons pas sur l’extrême bon goût de Petit Micron qui a cru devoir donner son avis sur les choix politiques du défunt, comme si on lui avait demandé quelque chose.

 

 

 

 

 

 

 

Dernière nouvelle (le pire étant toujours sûr) :

 

Le principal scientifique nucléaire iranien assassiné alors qu’Israël tente de provoquer la guerre

 

Moon of Alabama – Le Saker francophone – 29.11.2020

 

 

 

 

 

Aujourd’hui, le scientifique nucléaire iranien de haut niveau, Mohsen Fahrizade, a été assassiné dans une attaque terroriste complexe alors qu’il conduisait sur une autoroute à Absard, une petite ville juste à l’est de Téhéran. Une explosion a arrêté sa voiture. Puis des coups de feu ont été tirés depuis deux directions.

 

Entre 2010 et 2012, quatre autres scientifiques nucléaires en Iran ont été assassinés de manière similaire.

Il y a peu de doute sur le responsable de cette attaque :

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Source : https://lesakerfrancophone.fr/le-principal-scientifique-nucleaire-iranien-assassine-alors-quisrael-tente-de-provoquer-la-guerre

 

 

 

 

 

Vient de sortir et pas encore traduit :

 

The AngloZionists are trying to provoke a war with Iran

 

The Saker – Saker.is – 29.11.2020

 

The AngloZionists are trying to provoke a war with Iran

 

 

 

 

 

 

 

Mis en ligne le 29 novembre 2020

 

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