Aller à…
RSS Feed

19 mars 2024

mon dernier article sur le terrorisme en France depuis 2015


 

De : François Belliot
dim. 18 avr. 2021

Voici mon dernier article consacré aux événements terroristes dont la France a été le théâtre depuis 2015.

https://www.francoisbelliot.fr/index.php/2021/04/17/emission-sur-le-terrorisme-en-france-extraits-censures/

Il s’agit en fait de développements, rectifications, rétablissements de passages censurés d’une émission enregistrée pour Radio Courtoisie le 6 février dernier, en compagnie de Patrick Jardin, qui a perdu sa fille au Batcalan et écrit un livre à l’acide sulfurique sur la façon dont les autorités ont géré cet événement. J’y reviens sur des aspects des attentats du 11 septembre 2001, les attentats du 7 et 8 janvier 2015, les attentats du 13 novembre 2015, les opérations sous faux drapeau considérées spécialité israélienne.

Introduction :

Début février 2021, j’ai participé sur Radio Courtoisie en compagnie de Patrick Jardin à une émission consacrée au terrorisme en France depuis 2015. Patrick Jardin, qui a perdu sa fille Nathalie au Bataclan le soir du 13 novembre 2015, est l’auteur de « Pas devant les caméras », publié en septembre 2020 aux éditions Presses de la délivrance, dans lequel, à rebours de la plupart des auteurs d’obédience charliste, biberonnés aux droits de l’homme, l’antiracisme, et les ineffables promesses du vivre-ensemble, il dénonce sans concession l’attitude des autorités et des médias, avant, pendant, et après les attentats — d’où l’extrême difficulté à trouver un éditeur et l’omerta ou les ignobles coups bas médiatiques dont il a été victime. Il se concentre sur le Bataclan et le 13 novembre, mais l’analyse peut être étendue à tous les autres événements d’ampleur comparable qui ont endeuillé des familles françaises et d’ailleurs ces dernières années. Arrivé en retard à l’émission, j’y interviens moins que M. Jardin, mais j’aurais dû tout de même y figurer un peu plus si avant diffusion sur la toile, une âme frileuse, présidant aux destinées de cette radio pourtant beaucoup plus ouverte d’esprit que la moyenne, n’avait manié de façon grossière le ciseau de l’autocensure. Je saisis ainsi l’occasion pour rétablir, en les développant aussi complètement que possible, deux interventions purement factuelles en réponse à des questions d’auditeurs. J’y tiens d’autant plus que, patriote antiraciste convaincu, je ne voudrais pas donner l’impression d’une approche exclusivement « islamistophobe » — certains diraient « zemmourienne » — de ces événements. Je ne saurais tolérer d’être accusé de crier haro sur Mouloud, même si les médias m’y exhortent sans complexe du matin au soir, si Moché dans l’ombre est épargné alors qu’il n’a pas l’air non plus très franc du collier. Telle est en effet la règle sous tous les cieux à toutes les époques : pas d’hydre terroriste sans hydre marionnettiste, vers laquelle il est de notre devoir de pointer au moins un index formel, afin d’équilibrer la balance du jugement.

Sommaire

Partager

Plus d’histoires deLiberté d' Expression