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26 novembre 2024

FRANCE -ALGÉRIE LE DEVOIR DE MÉMOIRE ET LA RECONNAISSANCE DES MASSACREs TIRONS UN TRAIT UNE BONNE FOIS POUR TOUTE.


FRANCE -ALGÉRIE LE DEVOIR DE MÉMOIRE ET LA RECONNAISSANCE DES MASSACREs TIRONS UN TRAIT UNE BONNE FOIS POUR TOUTE.
France et Algérie : deux pays liés par un passé douloureux

majid Diri

la Guerre d’Algérie continue à marquer les esprits et à faire mal, comme une plaie qui aurait mal cicatrisé. La France et l’Algérie ont été opposées dans un long conflit meurtrier (de 1954 à 1962). Une épreuve douloureuse pour les deux pays, au point qu’il a fallu du temps avant que cet affrontement ne soit désigné comme une « guerre ». Aujourd’hui encore, il reste difficile pour France et l’Algérie d’aborder la violence de ce conflit, sans que chacun rejette la responsabilité sur l’autre.
La guerre d’Algérie et les mémoires qui lui sont liées constituent aujourd’hui une question plus vive encore que celle de la Seconde Guerre mondiale et a été le conflit de décolonisation le plus douloureux pour la France.

S’il est une guerre qui mérite vraiment le qualificatif de « SALE », c’est bien la guerre d’Algérie. Ce qualificatif est faible, quand on connaît les horreurs, les crimes monstrueux, les tortures horribles et inhumaines commises au nom de la France sur la population Algérienne, sur ses combattants, sur des femmes et des enfants au cours de ces huit années de guerre, tortures et crimes commis par des généraux, des colonels, et notamment par les parachutistes, tortures et crimes connus et couverts par les gouvernements Français.
Personne aujourd’hui ne conteste la réalité de ces tortures. Des livres ont été écrits qui en témoignent. Mais au cours de cette guerre, tout a été fait pour les cacher, les camoufler et l’opinion publique française a été soumise à un mensonge systématique. On osait parler de « PACIFICATION » mais derrière ce mot usurpé, c’est une politique d’extermination qui était menée.

Issue d’une famille qui a payé un lourd tribus pendant la guerre de libération et qui laisse encore des cicatricesencore aujourd’hui.Il faudrait enfin mettre terme au passé colonial et reconnaitre l histoire afin que ces deux peuple puisse enfin se rapproché et s unir.
des douleurs certes différentes, mais des douleurs partagées par l’ensemble de la Nation.
La torture policière existait déjà largement en Afrique du Nord avant l’insurrection de 1954, comme en témoigne la mise en garde lancée, dès cette date, par l’écrivain François Mauriac Elle avait été systématiquement utilisée lors de la colonisation du pays, notamment lors de la campagne du général Bugeaud…Bizard nous la retrouvons aujourd hui…

Arettons d’instrumentaliser l’histoire Les mots écorchent la douleur, la ravivent.

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