DIEUDONNE. 650 000 € et 15 000 $ trouvés après 3 perquisitions: fin de l’affaire…
29 janvier 2014
DIEUDONNE. 650 000 € et 15 000 $ trouvés après 3 perquisitions: fin de l’affaire…
Publié le jan 29, 2014 @ 16:19
par Allain Jules
…Dieudonné.
Procès
650 000 € et 15 000 $ (environ 11 000 €) ont été trouvés hier, mardi, au domicile de la femme Dieudonné. La découverte de ces sommes en liquide s’est faite lors d’une perquisition en Eure-et-Loir, ainsi qu’au théâtre de la Main d’Or à Paris. Puisque le ministère de la justice voulait récupérer des créances de 65 000 €, il peut aisément se servir.
Selon le conseil de l’humoriste, Me Jacques Verdier, «c’est le produit de la billetterie. Tout cela est totalement transparent». Et ces sommes étaient accompagnées de «toutes les contremarques des tickets» pour des spectacles au théâtre parisien de la Main d’Or et d’ailleurs. Faut-il dire ici que cet argent appartient non pas à Dieudonné mais aux productions de La Plume ? Ainsi, malgré les enquêtes abusives pour «blanchiment», «abus de biens sociaux» et «organisation frauduleuse d’insolvabilité», il n’a rien à se reprocher.
Il n’est pas interdit de garder de l’argent chez soi, surtout quand les banques et les assurances ne vous font plus confiance. Pire, il est en tournée et par conséquent, ça tient la route. La seule représentation dimanche dernier à Bordeaux a rapporté plus de 140 000 €. Une mauvaise nouvelle pour les détracteurs de l’humoriste qui ne risque absolument rien. Cette affaire va plutôt concerner son épouse car, depuis qu’elle produit ses epectacles, il existe des convoitises et des jalousies parce que le succès de l’artiste n’est plus à démontrer. Là, est la réalité des choses.
Le harcèlement judiciaire se poursuit avec l’Union des étudiants juifs de France (UEJF), qui a demandé ce mercredi à la justice d’ordonner à Dieudonné de retirer la vidéo «2014 sera l’année de la quenelle», diffusée sur YouTube.
2014 sera l’année de la quenelle !!!
Ils s’acharnent sur Dieudonné pour faire plaisr à la Licra et à l’UEJF. Ils ne se sont pas acharnés pour trouver mes agresseurs juifs et n’ont pas exigé qu’ils aillent en prison et qu’ils me paient des dommages et intérêts suite à leur jugement. Ces jeunes gens ont tranquillement pu se cacher en Israël puis revenir sans exécuter leurs sanctions
Ginette
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Une Justice à deux vitesses !!!
Une agression terroriste à domicile par des membres du BETAR en 2006, jugée en 2008 et 2009, condamnée et dont la sentence n’a toujours pas été exécutée
par Ginette Hess Skandrani
J’ai été agressée à mon domicile parisien, le 25 octobre 2006, par un commando de quatre sbires du BETAR dans une agression préméditée et concertée. Pendant que deux d’entre eux faisaient la garde dans le couloir, deux autres se sont acharnés sur moi au risque de me tuer ou de me rendre invalide me tabassant avec des casques jusqu’au sang. J’avais de nombreuses blessures, un traumatisme crânien qui m’a laissé un adénome.
Cette agression barbare a été jugée le 3 février 2009 :
Ruben Collen, en fuite en Israël a pris deux ans d’emprisonnement dont 18 mois avec sursis. Il faisait le guet dans la rue.
Steven Elie, en train de faire son service militaire en Israël avec l’accord de la Cour a envoyé une lettre accusant les autres membres du commando qui s’était réunis rue des Rosiers afin de programmer mon agression a également pris deux ans de prison dont 18 mois avec sursis. Un mandat d’arrêt a été lancé contre lui.
Mike Sfez que j’avais reconnu comme un de mes agresseurs a également été condamné à deux ans de prison dont 18 mois avec sursis.
Ils ont tous trois été déclaré coupables Ils devaient me verser 10000 euros en réparations des dommages et 15000 euros de frais de justice.
Le quatrième agresseur, mineur au moment des faits a ait jugé par un tribunal pour enfants le 18/11/2008 et a été également condamné à six mois de prison avec sursis et 8000 euros de réparations.
C’était la première fois que ces extrémistes, entraînés comme des paramilitaires, tolérés par le pouvoir français et qui agressent tous ceux et celles qui s’opposent à la politiques israélienne ont été traduits devant un tribunal. Maître Missamou, mon avocat ne s’est pas laisser intimider par les menaces et a gagné le procès.
Quatre plus tard, nous en sommes au même point. Deux d’entre eux sont en fuite en Israël, les deux autres, sont soi-disant insolvables et aucun d’entre eux n’a été sommé d’accomplir les six mois de prison fermes, ni de payer les réparations ou les frais de justice.
Nous avion décidé, avec mon avocat, de nous adresser à une association de justice pour les victimes des agressions mais nous avons été débouté car le profil de l’agression n’était pas traditionnel.
Nous attendons toujours que ce jugement soit mis à exécution
Paris le 7 avril 2013