La Libye est aujourd’hui dirigée par deux parlements et deux gouvernements rivaux, l’un proche des milices islamistes qui contrôlent la capitale Tripoli, et l’autre reconnu par la communauté internationale qui siège à Tobrouk (est).
« Je vous rappelle que la politique est toujours confrontée à des questions tragiques. La question s’est posée de savoir s’il fallait laisser massacrer un million d’habitants ou intervenir », a déclaré Henri Guaino.
Nicolas Sarkozy « a choisi en conscience », a-t-il affirmé, ajoutant : « mais chacun était en face de sa conscience ». « Qui pourrait dire ce qu’il aurait fait à sa place? », a demandé le député UMP. « Les conséquences c’est vrai, c’est le chaos, mais c’est la conséquence de tous les printemps arabes », a-t-il poursuivi.