le petit journal de JMV
29 octobre 2015
mercredi 21 octobre 2015
Migrations invasives, chantage d’Ankara, impotence du parlementarisme bruxellois
En ce moment même l’armée Turque conduit à sa frontière irakienne des opérations meurtrières contre le PKK… Alors que ce dernier avait unilatéralement déclaré une trêve voici huit jours à la suite de l’attentat d’Ankara et de ses 102 victimes officielles. C’est dire que le néo-sultanat du président islamo-kémaliste.
Erdogan, s’il n’est pas lui-même indirectement voire directement responsable de la tragédie du 10 octobre – comme n’hésitent pas à le suggérer et pire, à le dire ouvertement de nombreux spécialistes et d’experts bien en cour dans les médias en contradiction avec leur détestable habitude de mensonge par omission – sait à merveille utiliser cette tragédie comme prétexte pour reprendre à l’extérieur et faire accepter par ses alliés une activité militaire offensive contre ses propres minorités nationales, et à l’intérieur pour museler un peu plus ses opposants.
http://www.geopolintel.fr/article984.html?var_mode=calcul
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http://www.forum-monetaire.com/
Intox – Un général israélien commandant l’EI capturé en Irak !
19 octobre 2015 – par Nahed Al-Hussaini de Veterans Today
Confrontation USA-Russie imminente, mais reportée – Des sionistes au sein de l’administration US tirent les ficelles en coulisses – Officier israélien capturé par l’armée irakienne populaire, par l’intermédiaire du renseignement du DESI.
http://www.veteranstoday.com/2015/10/19/breaking-israeli-general-commanding-isis-captured-in-iraq/
Traduction approximative : http://stopmensonges.com/un-general-israelien-commandant-lei-capture-en-irak/
“Migrants” : Rumeurs de démission de Merkel sur fond de débâcle historique de l’immigrationnisme !
http://breizatao.com/2015/10/21/migrants-rumeurs-de-demission-de-merkel-sur-fond-de-debacle-historique-de-limmigrationnisme/
BREIZATAO – ETREBROADEL (21/10/2015) La rumeur enfle : Merkel serait activement poussée vers la sortie par un nombre grandissant de cadres gouvernementaux allemands. Sa politique d’ouverture totale des frontières est en train de mener rapidement le pays au bord d’une crise sanitaire et sécuritaire inédite, tandis que le nombre de clandestins en provenance du tiers-monde ne cesse de grandir et que l’hiver approche.
Merkel poussée vers la sortie
Si aucun cadre de la CDU (centre-droit) ne demande encore publiquement la démission de la chancelière, il n’en va pas de même en privé. Derrière les portes des ministères, on a déjà un candidat de substitution : Wolgang Schauble, le ministre de l’économie.
Angela Merkel paie là le prix de sa position délirante, arrêtée à la fin de l’été, en faveur d’un accueil sans restriction de tous les migrants musulmans qui atteindraient les frontières du pays. Deux mois plus tard, ce sont plus de 300 000 nouveaux migrants par mois qui se précipitent dans le pays (source <http://breizatao.com/2015/10/17/allemagne-410-000-migrants-entre-septembre-et-octobre-ministere-de-linterieur/> ). Et le flot, loin de se tarir, se gonfle toujours plus. Conséquence prévisible de l’énorme appel d’air engendré par les déclarations de la chancelière allemande.
Et les parlementaires de la majorité s’agitent. Les sondages indiquent que, parmi les électeurs de la CDU, seuls 49% soutiennent la politique migratoire de la chancelière (source <http://www.wsj.com/articles/chancellor-angela-merkels-party-bridles-at-her-open-door-migrant-policy-1445014868> ). Ils ne sont que 25% chez ceux de la CSU, le parti frère de Bavière, région particulièrement frappée par l’afflux de migrants musulmans. Dans les faits, Angela Merkel est soutenue par la gauche sociale-démocrate. La gauche radicale, elle aussi, demeure très prudente, consciente de ce que les classes populaires souffrent de la situation.
Merkel fait désormais face à deux possibilités inconciliables. Premièrement, ne pas édifier de mur de sécurité et devoir gérer un flux de 300 000 de migrants par mois, sans plan d’accueil ni infrastructures alors que l’hiver se rapproche. Ceci alors que les cas de viols et d’affrontements interethniques se multiplient…/…
La politique turque pourrait-elle entrainer un certain engagement chinois en Syrie ?
Alexandre Latsa
Au sein d’une certaine presse non alignée, de plus en plus d’analyses laissent maintenant imaginer une plausible immixtion chinoise en Syrie, pourquoi pas sous couvert de l’Organisation de Shanghai, au vu du très grand nombre de djihadistes originaires de l’espace eurasiatique et pouvant menacer l’Eurasie et donc l’aire géographique de l’Organisation de Shanghai.
Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/points_de_vue/20151021/1018988814/syrie-chine-turquie.html#ixzz3pHBNE5oS
Les secrets de la guerre en Syrie
22/10/2015 – Israël Adam Shamir <adam@israelshamir.net>
Traduction Maria Poumier – UnzReview – http://plumenclume.org/blog/47-les-secrets-de-la-guerre-en-syrie-par-israel-adam-shamir
Erdogan en difficulté
J’ai beaucoup de sympathie pour le dirigeant turc : il a mis au pas les généraux, rendu une certaine prospérité à son pays, a défendu les pauvres, s’est exprimé en faveur des Palestiniens. C’était un excellent ami et voisin de la Russie, pour le plus grand profit des deux pays. Mais sa politique syrienne a été désastreuse pour la Syrie, pour la Turquie et pour l’Europe.
Une personnalité de haut-rang m’a dit qu’au premier signe de problème en Syrie, Erdogan a demandé au président Assad de donner la moitié des postes au gouvernement à de Frères musulmans. Assad a refusé, et Erdogan a lâché ses chiens. Les djihadistes, c’est-à-dire les combattants islamistes de toute espèce, se sont rassemblés en Syrie à partir de la Turquie. Ils ont reçu des armes grâce à la Turquie, la Turquie est leur itinéraire préféré pour les antiquités pillées et pour le pétrole illégalement produit.
Erdogan a des projets grandioses : créer un vaste empire construit sur les Frères musulmans. Ces plans se sont effondrés quand l’armée égyptienne a chassé le président Morsi et a pris le pouvoir. Ils ont raté leur coup en Syrie aussi, et la chute a été pesante.
Erdogan a invité les Syriens à venir en Turquie pour un cout séjour, le temps que Bachar soit détrôné : plus de deux millions de personnes ont accouru, un flot intarissable. Les Turcs embarrassés ont découvert que cela minait leur sécurité, ainsi que leur qualité de vie, et leur fragile prospérité fondait. Les élections récentes l’ont confirmé : Erdogan escomptait une claire majorité pour sa réforme constitutionnelle, mais n’est pas parvenu à former un gouvernement, il a été forcé d’appeler à de nouvelles élections.
Maintenant Erdogan tente de mobiliser ses électeurs par la menace de guerre. Les Turcs sont patriotes, ils ont été élevés dans la vénération de leur héros de la première guerre mondiale le général Kemal Ataturk. Pour eux (comme pour bien des nations), une menace de guerre est un appel au clairon pour s’unir et soutenir le gouvernement. C’est pour cette raison qu’il projette d’amener la Turquie au bord de la guerre avec la Russie. C’est ce que clame la « gorge profonde » turque, un infiltré anonyme et fort intéressant, qui envoie ses touits sous le pseudo de Fuat Avni, https://twitter.com/fuatavni_f <https://twitter.com/fuatavni_f> . Il a une avance remarquable pour révéler les plans nuisibles du gouvernement. Maintenant il dit qu’Erdogan a donné l’ordre d’abattre les avions russes en Syrie tout en prétendant qu’ils ont pénétré dans l’espace aérien turc.
Les forces turques ont déjà abattu un drone, et disant qu’il était russe. Au même moment, ils lancent des opérations contre les Kurdes syriens, les alliés préférés des Américains. L’opposition turque insiste, la grande attaque terroriste contre la manifestation pacifique kurde à Ankara (95 morts, 215 blessés) perpétrée par Isis a été utilisée, voire suggérée par Erdogan. Si l’on garde en tête le fait qu’Erdogan était l’architecte d’une nouvelle politique de paix envers les Kurdes turcs, c’est particulièrement déplaisant.
Erdogan a perdu ses alliés. Les US préfèrent les Kurdes, et sont stupéfaits que les Turcs les bombardent tout en déclarant qu’ils se battent contre Isis, principal ennemi des Kurdes. Il n’est pas sûr qu’ils viennent à la rescousse pour protéger Erdogan en cas de problème avec les Russes.
Son seul bon moment, il l’a dégusté ces jours-ci, lorsque Frau Merkel lui a donné trois milliards d’euros pour retenir les réfugiés, à condition qu’il arrête leur exode. Elle a en outre promis des voyages sans visas et quelques autres menues faveurs pour lui remonter le moral.
Mais le pire est à venir. Sous le coup de l’offensive menée par la Russie en Syrie, les djihadistes ont commencé à se replier sur la Turquie. Ils se rasent la barbe et foncent tant que c’est possible. C’est un grand soulagement pour la Syrie, et la Turquie va faire le plein de gangs. Certains observateurs disent déjà que la Turquie sera la prochaine Syrie.
Lors d’une rencontre confidentielle, Erdogan a menacé Poutine d’envoyer des dizaines et des centaines de milliers de combattants en Syrie, assez pour compenser tout avantage que la coalition russe pourrait avoir. Il peut s’appuyer sur les coffres forts des Saoudiens, et peut-être sur un clin d’œil américain. S’il le veut, une guerre tous azimuts peut devenir envisageable.
Les Kurdes restent des franc-tireurs ennuyeux pour la Turquie. Ils ont des liens de longue date avec Israël et les US, comme avec la Russie. L’ambassadeur russe à Ankara a récemment été réprimandé parce que les officiels russes ont rencontré les représentants kurdes à Paris ; Les Russes sont en train de mener en douce les Kurdes vers un processus politique, mais les Russes sont bien conscients que les Kurdes peuvent présenter un danger pour l’Etat turc.
Il vaut mieux jouer franc-jeu. Les Russes ne dédaignent pas Erdogan et ses ennuis. Ils ont d’autres intérêts à combiner, depuis les oléoducs et les constructions en projet, avec les investissements multi-milliardaires des deux côtés, et les Russes espèrent que les Turcs resteront bons amis, même si un sérieux ajustement de la politique d’Erdogan en Syrie doit être nécessaire dans tous les cas.
Une méchante caméra de surveillance cafarde de gentils soldats
Soldiers violently and wrongfully arrest a Palestinian, al-Bireh, 6.10.2015
https://www.youtube.com/watch?v=P7-CDjYtLPc
Aux origines moyenâgeuses et fumeuses du sionisme
Publié par Gilles Munier sur 23 Octobre 2015,
http://www.france-irak-actualite.com/2015/10/aux-origines-moyenageuses-et-fumeuses-du-sionisme.html
Vient de paraître: « Occident et Islam », aux Editions Sigest*,
un ouvrage sortant de l’ordinaire concernant les origines du sionisme et de la théorie néoconservatricefumeuse dite du « Choc des civilisations« .
Youssef Hindi, jeune chercheur franco-marocain, les fait remonter – solides sources à l’appui – à des projets messianiques élaborés au 13ème siècle dans certains cercles rabbiniques kabbalistes. A lire, même si on ne partage pas totalement les thèses défendues.
Entretien avec l’auteur.
Vous défendez dans votre livre une thèse nouvelle à propos du sionisme. Pouvez-vous la présenter brièvement ?
Youssef Hindi: La thèse principale de mon livre est la suivante : le sionisme n’est pas, contrairement à l’idée répandue, une idéologie athéiste ; il n’est pas non plus né, comme le pense certains historiens comme Shlomo Sand, dans les milieux protestants puritains anglais au XVIIe siècle.
Le sionisme est à l’origine un projet messianique, né dans des cercles rabbiniques au Moyen-Âge, à partir du XIIIe siècle. Ce projet a mûri et s’est renforcé en se transformant à travers les siècles pour finir, comme un certain nombre d’idéologies modernes au XIXe siècle, par prendre une apparence athéiste.
Ce n’est pas la seule thèse que je défends dans cet ouvrage ; ce mouvement messianique actif qui a donné naissance au sionisme a parallèlement accouché de la stratégie du « Choc des civilisations » et du mythe du judéo-christianisme dès le début du XVIe siècle.
Que ces projets et idées soient nés au Moyen-Age c’est une chose, mais comment expliquez-vous qu’ils aient pu traverser les époques ? Plus encore, comment ces idées religieuses se seraient transformées pour finir, comme vous le dites, par prendre une apparence athéiste ? N’est-ce pas une contradiction dans les termes ?
Youssef Hindi: Tout au long du livre j’illustre cette thèse fondamentale qui n’apparaît pas forcément à la première lecture : l’actualisation des idées dans l’Histoire. L’Histoire est poussée, animée par des forces que sont les idées, les idéologies, qui se forment, se transforment et entre en expansion. Ces idées naissent dans l’esprit des hommes et les guident, eux et les groupes actifs qu’ils forment. Ce sont ces groupes animés par ces idées qui font l’Histoire.
Par ailleurs, j’avance mes affirmations pas à pas avec une grande prudence et des sources variées et solides (423 notes de bas de page).
Je mets en évidence la cohérence du projet qui s’étale sur plus de sept siècles en prenant soin de montrer les liens existant entre les séries d’évènements importants, et souvent méconnues, qui ont«changé» de manière décisive le cours de l’Histoire.
Le messianisme juif a connu une phase de transition entre la fin du XVIIe siècle et le courant du XVIIIe avec le courant sabbato-frankiste. Ce puissant mouvement historique, messianique, apocalyptique et antinomique (s’opposant à Dieu et à la loi naturelle) qui est né avec les faux messies Sabbataï Tsevi et Jacob Frank (l’un faussement converti à l’Islam et l’autre au Catholicisme), a tracé une voie menant à un messianisme athéiste qui donnera une apparence matérialiste au vaste projet messianique. C’est de ce mouvement que vont naitre les révolutions utopistes libertaires et socialistes des XIXe et XXe siècles.
C’est dans cette même période que va émerger, en Europe centrale – là où justement vont pulluler les mouvements révolutionnaires athéistes –, le sionisme sous sa forme athéiste.
Qu’en est-il alors de la théorie du « Choc des civilisations » ? Vous dites qu’elle est liée au messianisme et au sionisme. Ne spéculez- vous pas en tentant de tout rapporter à ce messianisme ?
Youssef Hindi: Le « Choc des civilisations » n’est en aucun cas une théorie mais une stratégie. Mes recherches montrent que cette stratégie a été élaborée par un kabbaliste du nom de Solomon Molcho –suivant les interprétations rabbiniques et eschatologiques de la Bible – qui, au XVIe siècle, a tenté de lancer l’Église puis le Saint-Empire romain germanique, dans une guerre contre l’Empire ottoman, afin d’expulser ce dernier de Palestine et y reconstruire le royaume d’Israël. C’est précisément ce que les Britanniques ont fait au sortir de la Première Guerre mondiale, par le démantèlement de l’Empire ottoman et la création du Foyer juif en Palestine (1919-1920) à la suite de la promesse faite par les Anglais aux sionistes dans la Déclaration Balfour (1917). Le projet de Molcho a mis quatre siècles à s’accomplir, mais il s’est finalement réalisé ; ceci est une des preuves que j’apporte en guise de démonstration de la permanence du projet messianique et du lien intrinsèque existant entre le sionisme et la stratégie du « Choc des civilisations », la seconde étant la condition préalable à la réalisation du premier.
En 1957, Bernard Lewis, le maître de Samuel Huntington, « laïcisera » cette stratégie messianique en lui donnant un habillage scientifique pour l’ériger ainsi en théorie. Lewis, en digne héritier de Molcho, dans l’optique de guerres entre le monde (post)chrétien et le monde musulman, décrète alors que ces deux grandes religions seraient ontologiquement vouées à s’affronter. C’est ce même Bernard Lewis, de confession juive et détenteur des nationalités israélienne, britannique et étasunienne, qui œuvra dans le début des années 2000 pour convaincre Dick Cheney, alors vice-président des Etats-Unis, d’envoyer l’Amérique en guerre contre l’Irak.
Ce « Choc des civilisations » fabriqué de toute pièce n’est au fond que le faux nez de ce que j’appelle « un choc idéologique mondial » opposant le monde vétérotestamentaire – recouvrant le bloc anglo- thalassocratique, ses vassaux anciennement catholiques du vieux Continent, les pétromonarchies wahhabites et Israël – au reste de l’Humanité.
*Occident et Islam, Ed. Sigest – 2015 – 256 pages, 16 euros
Commande : http://editions.sigest.net/
La Troisième Guerre mondiale débutera-t-elle au Proche-Orient ?
http://www.bvoltaire.fr/youssefhindi/troisieme-guerre-mondiale-debutera-t-proche-orient,214221
L’intervention russe en Syrie, en plus d’opérer un grand nettoyage méthodique, a le mérite de mettre en évidence la duplicité des Américains.
Il y a quelques années de ça… on a découvert que Dennis Hastert, Speaker of House, a été acheté et corrompu par la Turquie et Israël.
Sibel Edmonds, ancien agent de FBI, lanceur d’alerte évincé depuis du FBI, l’avait dénoncé. Depuis Hastert a été inculpé aussi pour pédophilie et mensonge au FBI.
Un procès est en cours. Il essaye d’échapper à la condamnation pénale en négociant avec le procureur. Et les medias américains font le blackout sur cette affaire.
Ajoutons que Hastert, Speaker of House sous Clinton a bloqué à la dernière minute une résolution reconnaissant le génocide arménien par le Congrès.
http://www.theamericanconservative.com/articles/how-a-plea-deal-for-hastert-may-hide-the-truth/
Après la Libye, le Yémen, l’Irak ou encore la Syrie, va-t-on assister à l’effondrement de l’État turc ?
Bonne question et très médiocres réponses !
http://www.slate.fr/story/108597/turquie-nouvelle-syrie
24.10.2015
Opérations militaires dans le sud-est, attentats de l’État islamique, manifestations d’opposition au régime du Président Erdogan dans tout le pays, frontières poreuses, défaillance de l’appareil sécuritaire: l’État turc, réputé fort et autoritaire, serait-il en déliquescence?
Après la Libye, le Yemen, l’Irak et en vertu de la nouvelle théorie des dominos serait-ce bientôt au tour de la Turquie de s’effondrer? Ce pays, dont la Constitution affirme pourtant dès son préambule «l’intégrité indivisible du grand État turc» serait-il en voie de «syrianisation»?
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LE VIVANT ( seconde partie)
Par terre future association le lundi, octobre 26 2015
http://terrefuture.blog.free.fr/index.php?post/2015/10/26/LE-VIVANT
De Claude Timmerman