Youssef Al-Qardaoui, Bernard-Henry Lévy même combat ?
14 octobre 2022
envoyé : 13 octobre 2022 à 21:38
de : Boualem SNAOUI <boualem.snaoui@wanadoo.fr>
à : Presse net Karim Mansouri <karim.mansouri1@gmail.com>
Michel, « O’Frais du système », souffle le chaud sur l’AlgérieEXTRAITS
Dans ce cas présent, est-ce un nouvel avertissement dirigé contre les intellectuels algériens ? Puisque nous pouvons interpréter, sans efforts, sur cet affichage idéologique, le résultat (sans nous donner le bilan comptable) du bon boulot de l’organisation des barbus (bien installée en France et ailleurs, ainsi que de leur leader Mourad « la Tartine », dit Dhina, promoteur de la politique du « Kamis » algérien) et de ses supporters, gardés douillettement par le régime du FMI (France-Maroc-Israël), et biberonnés à la démocratie sélective du chaos ; C’est lui qui avait déclaré que les intellectuels algériens de gauche assassinés «ont choisi la voie de la confrontation», qu’«ils [en] ont payé le prix» et qu’«ils en fassent des martyrs pour eux».
C’est vrai que Mourad la « tartine », dit Dhina, cet ancien résident de Saint-Genis, est forcément un démocrate -comme le rapporte S. Daniel, sur l’enquête du flic suisse Léon J.- avec les 130 kg de matériel militaire trouvés dans le coffre de la Mercedes de M.B, ainsi qu’avec les preuves commerciales du lien avec une société de vente d’armes (Cannet Technologies Group), les relevés de comptes à l’UBS de Lausanne et aux chèques postaux de Zurich, comme les noms des responsables du massacre des sept marins italiens, égorgés en juillet 1994 à Jijel (Est d’Alger). Selon S. Daniel, le flic suisse Léon J. précise que notre barbu était impliqué dans un vaste trafic d’explosifs (Semtex) achetés en Slovaquie, et acheminés via Bâle et Marseille, comme dans du « beurre FM », pour finir les « ratons » en Algérie. Il précise que les explosifs utilisés par le GIA (Groupe Islamique Armé), le 1er novembre 1994 à Sidi Ali (Wilaya de Mostaganem) – Algérie- où quatre enfants innocents ont été déchiquetés et 17 autres gravement blessés, avaient la même origine ! Je t’épargne les noms de toute cette galaxie des barbus, qui gravitent autour, mais surtout sur le dos du peuple algérien, avec la bénédiction des « défonseurs » des Droits de l’Homme, et des partis de la politique de gauche des chaos.
Et qui était procureur de la Confédération Helvétique à ce moment-là, qui a lassé le flic Suisse ? Carla Del Ponte, laquelle selon lui, « ne s’y prendrait pas autrement si elle voulait protéger les islamistes ».
Qui tue qui ?
Depuis 1994, Carla Del Ponte a fait du chemin, et du beau chemin, puisqu’elle a été nommée en août 1999 procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie et Tribunal international pour le Rwanda ; elle sera désignée ambassadrice de Suisse en Argentine -du 1er janvier 2008 à février 2011 ; de septembre 2012 à août 2017, elle est membre de la commission d’enquête chargée d’enquêter en Syrie, créée sous les auspices du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Alors que le flic du Jura a été mis au placard (heureusement pour lui, pas au mitard), le physicien du « Kamis » accède, en plus de son statut de réfugié, aux pièces de dossier confidentielles, qui peuvent le renseigner sur le fonctionnement des services-secrets suisses.Alors, qui produit « « l’islamisme » politique » ? C’est son système ou c’est l’Algérie qui le combat depuis 1988, (et même avant), plus précisément depuis le 5 octobre 1988, juste avant la proclamation de l’état palestinien à Alger, le 15 novembre 1988 ? Ce qui a échappé, encore une fois par hasard, à toute la presse hexagonale et à Julien Mongold qui s’est donné énormément de peine à expliquer « pourquoi les Algériens se sont révoltés le 5 octobre 1988 ? ». Ils posent tous les bonnes questions, non ?
souffle le chaud sur l’Algérie
La violence avec laquelle presque toutes les annonces médiatiques géométriquement identifiées hexagonales (toujours bien orientées comme « avant 1962 »), confectionnées démocratiquement sous forme de bulletins d’informations, et placardées par les forces, surtout politiques, du système du FMI (France-Maroc-Israël), qui travaillent d’arrache-pied pour le blindage des murs entre les deux rives), ne peut nous laisser indifférents, puisqu’elles ont même « borné », à la barbe d’Elisabeth (qui a mis les voiles sur Alger la blanche pour l’assombrir avec un conseil des 16 ministres, dites donc !!!), le séjour de notre commandeur O’Macron en Algérie (du 25 au 27 août 2022) !
Dans ce pays, à « l’histoire officielle qui ne s’appuie pas sur des vérités », avec son « système politico-militaire » qui entretient une « rente mémorielle » en servant au peuple algérien une « histoire officielle » (pas comme en France), ont percé le mur du « çon » colonial, au point de rendre malades y compris les vaccinés contre Daoud 19, sauf Michel « ‘O Frais du système », qui souffle le chaud sur les braises, en injectant de l’eau dans le gaz entre les deux rives.
Pour celui qui n’est donc pas encore dans les tuyaux de gaz, dans lesquels on inocule de l’eau à partir du système du FMI (France-Maroc-Israël), de ce pays dont «la construction de l’Algérie comme nation est un phénomène à regarder » et puis surtout « Est-ce qu’il y avait une nation algérienne avant la colonisation française ? », eh bien Michel « O’Frais » est venu inaugurer la rentrée (ou la rente ?) politique en France, le 30 août 2022, pour le compte du système, sur le plateau de la belle blonde, du régime « Z News » de notre Bolloré multinational du grand capital ; et ceci pour peindre philosophiquement la jolie toile du « Dilem » colonial, comme magnifique avenir de guerre prolongeant ainsi la période caniculaire.
En principe, si l’on croit (et on va continuer à les croire, tiens !) l’annonce officielle (l’officieuse est toujours dans le « sucré » de leurs Dieux), notre tout « O’Frais » philosophe Michel serait venu pour faire la promotion (et la vente ?) de sa production littéraire et philosophique à l’envers, de sa grande nouvelle œuvre sur la « Puissance et décadence » – Une politique de (choc ?) civilisation » de la France, mais pas de son manque d’amour de l’Algérie, qui le déteste « depuis 1962 ». Mais il en a profité pour émettre beaucoup de gaz à effet de serre de guerre en direction du peuple algérien : c’est l’effet de serre politique du chaos, auquel même les écolos participent pour gaver les gogos de leur liberté perdue, et de leur démocratie verrouillée.
Comme Michel « O’Frais » est dans l’air du temps du système, mais surtout des encerclements des peuples qui ne disent pas leurs noms, en chauffant les foules d’un côté de la rive, il en a profité, avec ce monologue démocratique et philosophique, pour souffler un vent très chaud en direction de l’Algérie : « On sait bien que ce pays (l’Algérie) nous –le– déteste depuis 1962 ». Parce que lui, tu comprends, il aime beaucoup l’Algérie depuis sa libération du joug colonial en 1962 ; et d’ailleurs, c’est pour cette raison qu’il s’est permis ce premier jeu médiatique de mariage forcé, pourtant contraire au principe de l’amour. Il faut ajouter, qu’il n’en est pas à son premier coup d’essai d’attaque du peuple algérien, puisqu’en 2012 déjà, suite à sa percée dans le canard de formation des « printemps arabes » (où les salariés sont presque appelés aujourd’hui à cirer les pompes des généraux coloniaux pour béqueter), il s’était permis d’inoculer aux « indigènes » une jolie histoire à la « Albert Camus ». Des intellectuels algériens se sont chargés heureusement de balayer le vent colonial qu’il s’est permis de souffler sur le pays des millions de martyrs de la vraie liberté, et pas celle des pingouins supplétifs construits pour l’abattage du peuple :https://www.
Kheir Eddine Merad Boudia : Onfray, Camus et nous.
Ahmed Bensaada : Onfray, Camus et les « plumitifs du régime ».
Nasser Djidjeli : Le temps des indignations sélectives.
Mohammed Yefsah : L’imposture Onfray.
Badre’eddine Mili : Monsieur Onfray, fumez votre joint sans baver SVP !
En préambule, on remarquera par hasard, et le hasard fait bien les choses, l’usage (qui le trahit) du slogan fabriqué dans les laboratoires coloniaux, et diffusé à grande échelle sur les réseaux des Pokémons-révolutionnaires et des légumes de toutes les couleurs (bruns, rouges mais surtout jaunes) d’abattage du peuple algérien : « depuis 1962 », car « avant 1962 », on fêtait évidemment l’amitié, l’amour, la joie, juste pour inspirer Graeme Allwright ! Après les coups de poings et les coups de sang, buvons encore une dernière fois, pour fêter nos retrouvailles « de guerre ». Je me demande comment les slogans fabriqués par les laboratoires coloniaux, spécialement pour « les dessins allumés » de la politique d’attaque de l’Algérie, se sont retrouvés à couler de la source de Michel « O’ Frais » ?
Il y a des « maux » qui ne « Trump » pas, puisque l’IFG (l’Institut Français de Géostratégie) du titulaire du « Zelig d’Or » -du 23 au 25 juillet 2022- (comme à la con-férence fabriquée au « Beur Fm » de Nacer Kettane à l’Académie de Géopolitique de Paris, le mardi 5 juillet 2022, ou encore à l’Institut du Monde des « Arabes » de Jack qui en dit « Lang » en politique, ainsi que chez les partis indigènes et les épiciers idéologiques sur terre (au Kamis) et sous terre (galeries berbéristes)), ce mot d’ordre colonial « depuis 1962 » est très bien répandu. D’ailleurs, l’institut du monde des « Arabes », dirigé par l’indéboulonnable du système, Jack qui en dit « Lang », produit industriellement des cycles sur « L’Algérie par-delà la période coloniale », en partenariat avec l’Obs. La période coloniale, ça ne compte pas ! Il ne veut pas s’embrouiller avec ça. Et comme Jack a épuisé tout les sujets (coloniaux ?), il ne lui reste plus que l’attaque de l’Algérie, pour se refaire une santé d’enfer de culture sur le dos des « ratons ».
Même Malika Rahal, cette « tête » chercheuse en Histoire au CNRS du temps présent (IHTP – partenaire de direction bien canalisée (Maghreb-Machrek) à l’Institut Français de Géostratégie (IFG), avec le grand Ali Bensaâd, le titulaire du « Zelig d’Or ») plante le décor de son histoire populaire « depuis 1962 », et ose parler de la libération des « camps de concentration où était détenu un quart de la population algérienne colonisée » (Ed. La Découverte, 2022). Elle n’a hélas pas sollicité le témoignage de mon ami Ammi Makhlouf, cet Algérien, Kabyle du Djurdjura (pas celui imagé « indigène » et décrit par Nicolas Bibesco), qui a vu de ses propres yeux sa maman caressée à la gégène, à l’âge de 12 ans, qui en garde un souvenir indélébile, et dont la famille a bénéficié, sans intermédiaires jaunes, des bienfaits de la colonisation dans la continuité du statut « d’indigène ».
« Depuis 1962 » est donc le slogan ordonné par le système colonial, pour effacer 1830. Ils sont où, tous ces titulaires du brevet primaire de révolutionnaires, ces partis-pris indigènes des politiques du « kamis » et de « la fourchette – fourchetta » de Jacques Bénet, ces « défonceurs » des Droits de l’Homme au profit du grand capital, outils de clochardisation du peuple algérien, fabriqués dans les laboratoires néo coloniaux ? Ils ont réussi le coup de leur maître, avec pour mission de jeter tout un peuple dans les bras de la sauvagerie et du néolibéralisme farouche, en l’initiant à la danse de rue des reptiles politiques, sous les jolies couleurs de la liberté et de « la démocrature ». Tu vois pourquoi notre commandeur « O’Macron » est allé à Oran faire une visite, et recevoir le trophée de « Cheb Macron » ? C’est la musique « Raï » sans frontières coloniales, au moment où, en France, il visite plutôt les centres scientifiques et d’aérospatial-Ariane Groupe, avec à la clef le pactole de 500 millions d’euros d’investissement pour le futur. A vous : la danse du ventre des « Fatma », à nous : l’espace et les étoiles, c’est tout à fait équitable avec les colonisés !
Au cours de son séjour donc, dans ce pays où « l’histoire officielle ne s’appuie pas sur des vérités », il s’est même payé un « bain maure » de foules qui lui scandaient « One, two, three, viva l’Algérie » ! Ce qui a été insupportable pour le système en France, et pour ses franchisés à Alger, comme le pistache-moustache (le barbouze El Kadi, de la radio de Momo) qui a placardé sur son site la visite présiden-ciel de la maison natale d’Yves Saint-Laurent, manufacturée pour l’occasion par la grande bourgeoisie « indigène ». Finalement, elle n’a pas eu lieu, cette visite ! Sans doute parce qu’ils ont oublié de préparer la bande sonore de Gérard Fauré pour guider les visiteurs dans le passé glorieux de leur icône (?) qui a même échappé à l’instance de défense de l’enfance (l’UNICEF) au niveau planétaire.
« Je t’aime, moi non plus » : Restons « O’ Frais » avec Michel qui vient chauffer ses foules, en personnalisant le pronom « Nous », puisqu’il parle au nom du peuple de France (qui l’aime tant que ça ?) et qui l’aurait désigné pour le représenter, afin de mener la nouvelle 2ème guerre d’Algérie du système du FMI, comme s’il était déjà son représentant ! Il est tellement impatient qu’il ne veut même pas attendre d’être désigné au Parle-ment Européen, puisqu’il a déjà mis les « voiles » (lui aussi) pour conquérir des sièges bien au chaud à Bruxelles en 2024; et peut être même pour faire voter une troisième résolution contre l’Algérie et son peuple qui ne l’aime pas « depuis 1962 », et faire péter les scores inégalés obtenus avec ce même Parle-ment (le 28 novembre 2019, et le 26 novembre 2020) en faveur de la distribution des bananes en Algérie. Il peut d’ores et déjà se réjouir, puisqu’il a le soutien de Philippe Bilger, ce magistrat honoraire et président de l’institut de la parole « confisquée », pour qui Michel « O’Frais du système » est un « cogneur en liberté ».
Allez, les Algériens, à vos claviers SVP ! Faites quelque chose, vite…, Michel « O’ Frais du système » est en manque de votre amour et de votre affection, « depuis 1962 » ! Il est en train de mettre de l’eau dans le gaz, pour (ré)chauffer les relations entre les peuples des deux rives. Si je l’ai bien compris, c’est qu’après la canicule estivale de cette année 2022, il veut se tenir au chaud durant l’hiver prochain, même si officiellement son régime, qui nous dirige droit dans le mur énergétique, a annoncé le contraire.
C’est la renaissance en marche arrière, comme cette puissance en décadence ….
Il ne vous rappelle pas Speedy Gonzales, celui qui du haut du perchoir de la tribu des élu-E-s de France, en ce mémorable mardi 28 juin 2022, à l’ouverture de la nouvelle législature au Palais Bourbon, avait convoqué et glorifié l’Algérie-française ? Bien sûr qu’on ne peut pas faire de lien entre « Speedy Gonzales » et le « Rouge Brun décomplexé, c’est maintenant ? » de Bruno Roger-Petit, qui « a vanté la pensée du gourou « d’Eléments », Alain de Benoist », défenseur de l’Algérie française, de l’OAS et du régime d’apartheid en Afrique du Sud, au CV oh combien très riche à l’aile de la droite, outrancière même à droite et qui aurait des « idées justes » ! On peut résumer son œuvre bibliographique publiée en 2009, décrite sur Wikipédia, où il donne la quasi- totalité de ses pseudonymes (une quinzaine), tout en omettant: Bastien O’Danieli, une anagramme, et surtout Mortimer G. Davidson, utilisé en Allemagne pour publier une encyclopédie sur l’art nazi, Kunst in Deutschland, parue en 4 volumes entre 1988 et 1995 chez l’éditeur néo-nazi Grabert, qui était aussi dans les années 1980 et 1990, son éditeur et traducteur attitré en Allemagne.
Bruno Roger-Petit n’est donc pas cool ! Comment peut-il qualifier le titulaire de la petite usine de Nicolas Chevassus-au-Louis : « Capable de passer sans transition de l’« ordre libertaire » à la saillie réactionnaire, et qui est parvenu à faire de sa position d’outsider le centre d’une petite galaxie rentable intellectuellement et financièrement » ? de « pont que se jettent Rouge et Brun des deux rives sous couvert de défendre les intérêts du peuple ». Il est « marron » Michel « O’ Frais du système », puisqu’avec le rouge, le brun, et même le bleu, il assure un beau mélange des couleurs avec les jaunes Algériens.
Bruno Roger-Petit, ancien porte-la-parole du château – de septembre 2017 à septembre 2018 – (déjà ?) – et conseiller à la mémoire « courte » de notre commandeur « O’ Macron », va même jusqu’à identifier en gras dans sa contribution honorifique à l’égard de Michel « O’ Frais », en 2015, la position de celui qui va « Conserver sa place médiatique au soleil des réacs ». Yvan Najiels, en date du 20 septembre 2015, en rajoute une couche brune : « Michel Pangloss Onfray, médiocre voix réactionnaire de la France rance ». Y. Najiels a dû sentir le roussi chez le «faux philosophe et histrion de la pensée contemporaine » d’Alain Jugnon.
Le texte le plus rigolo (mais qui ne fait pas rire) sur « le sujet » « O’Frais du système », est venu de Jacques Marie Bourget : « Ce dont Onfray est le nom », qui l’a installé au : « Relay de la gare ». Le Normand double-crème, qui écrit sur du papier de « soi », au destin cosmique de Jacques Marie Bourget, est allé jusqu’à organiser une deuxième mort de Guy Mocquet, puisque ce jeune garçon communiste de 16 ans, fusillé par les nazis, ne serait pas un résistant, après sa lecture d’un roman policier de Jean-Marc Berlière et Franck Liaigre. L’inversion des rôles, il s’y connait Michel « O’Frais du système ».
Il est vrai qu’après 132 ans de colonialisme et son cortège d’horreurs humaines (déportations, charniers, viols de femmes, disparitions, napalm, essais nucléaires, gazage dans les grottes du Dahra, tortures, décapitations, noyades, etc.) uniques, décrit dans toutes les revues du monde, l’Algérie, pour le remercier, aurait dû lui faire des câlins, des mamours ainsi que de gros et tendres bisous, « depuis 1962 ».
Il ajoute : « ils ont voilé les femmes » …
S’il vise la belle (et pas la bête en politique des reptiles et des chaos), Louisa Aït Hamadouche, cette sirène politique voilée des multinationales d’exportation de la démocratie, et surtout de la « défonce » des droits de l’Homme, trop tard, le grand militant Rafaa l’a déjà dévoilée.
(https://www.youtube.com/
Tout comme son Jules, le Sheriff Driss, avec lequel elle a été convoquée au « colloque-colons-colonisés » (du 24 au 26 juin 2022) à L’institut de Géostratégie Français, sous la direction du chef d’orchestre, Ali Bensaad, le titulaire du « Zelig d’Or ». J’ai donc appris que ce couple de tourtereaux a mis les voiles pour naviguer en sous marin dans les eaux troubles de la fondation allemande « Konrad Adenauer Stiftung » qui bataille pour abattre « la gauche » dans le monde.
A moins qu’il ne pense, un peu comme nous, à ces deux sirènes animatrices politiques-voilées pour le Hirak à la banane, recrutées par le régime, pour scander à notre « O’Macron » (lors de sa visite en 2017, où un jeune Algérien est venu « l’embrouiller avec ça ») : « bienvinir Missieu li priziden ». Elles ont été, malheureusement pour elles et leurs commanditaires, débusquées par le peuple algérien, en plein « vol » de la liberté de se débarrasser des colons et de leurs descendances descandants (Wled Frensa- Arew N’Frensa).
Sans oublier une autre sirène coloniale voilée, Madame Nadia Oubaiche et sa colombe méditerranéenne (qui fait penser à l’UPM-Union Pour la Méditerranée de Starkozy et Hubert Védrine), produite par le système, mais grillée par une femme Algérienne, « Algéroise Houmti », militante de gauche. Cette femme voilée en « politique de la banane », fabriquée par le système en France, racle les légumes des fonds des casseroles, sous couvert de solidarité, avec beaucoup de doigté. Elle est devenue experte dans la course à l’abattage des citoyens en Algérie. Ça y est, elle a annoncé qu’elle va exporter son savoir-faire de soldat de la société civile, au Cameroun, pour conquérir l’Afrique au profit des puissants.
Alors Michel « O’Frais », qui produit les femmes voilées en politique des reptiles, l’Algérie ou le système du FMI ?
Michel « O’Frais » a réagi trop à chaud sur le « voile politique », car s’il voulait vraiment s’informer sur les femmes voilées politiquement, il aurait pu s’adresser directement à l’ancien islamiste : « Daoud 19 », aujourd’hui supporter de O’Macron, que le système lui a complaisamment présenté sur un plateau télé (pour la première fois, nous dit-il) pour qu’ils secouent collectivement « la France » et « le monde » ! Ce qui est plaisant, dans cette image fabriquée par le système, qui produit les « pour » et les « contre » afin d’encercler le peuple, c’est que Michel « O’ Frais » n’aime pas O’Macron! Mais il aime son supporter « Daoud 19 », qu’il trouve courageux (il ne faut pas rire)… De même sur les « Gilets Jaunes », puisque Michel « O’frais du système » apporte son soutien à ce mouvement populaire (tu comprends pourquoi, non ?), alors que « Daoud 19 » les a réduits à des stickers jaunes. Ces deux-là, n’ont pas l’air d’être gênés de s’aimer philosophiquement, tout en empruntant géométriquement deux routes politiques parallèles qui ne se croisent jamais. C’est bien leur nouvel ordre complémentaire établi.
Et puis, comme l’occasion nous est ici offerte, on peut relever que ses slogans de plateau du système ressemblent fortement à ceux des groupes « islamistes », « berbéristes » et ONGistes, téléguidés par le FMI (France-Maroc-Israël) pour faire exploser l’Algérie, car ils ont pris en otage la République et sa place parisienne, contrairement au peuple de France qui vit dans l’insécurité sociale et politique.
Comment des groupes classés terroristes en Algérie, peuvent-ils être élevés par les médias du système, les partis politiques et certains syndicats, en démocrates en France ? Une équation d’amour « depuis 1962 », que notre grand philosophe va bientôt résoudre mathématiquement.
Il poursuit : « ils se sont effondrés intellectuellement » …et « l’idéologie dominante est l’islamisme » …
Au premier abord, je ne sais pas s’il se rend compte qu’il laboure avec la même pioche qu’Ahmed Raissouni, le grand imam du royaume d’Israël, au moment même où il prétend dénoncer son idéologie de guerre. On ne peut pas dire qu’il y a une entente, dans les vestiaires, entre les équipes de deux imams de la politique du système du FMI !…
Dans ce cas présent, est-ce un nouvel avertissement dirigé contre les intellectuels algériens ? Puisque nous pouvons interpréter, sans efforts, sur cet affichage idéologique, le résultat (sans nous donner le bilan comptable) du bon boulot de l’organisation des barbus (bien installée en France et ailleurs, ainsi que de leur leader Mourad « la Tartine », dit Dhina, promoteur de la politique du « Kamis » algérien) et de ses supporters, gardés douillettement par le régime du FMI, et biberonnés à la démocratie sélective du chaos ; C’est lui qui avait déclaré que les intellectuels algériens de gauche assassinés «ont choisi la voie de la confrontation», qu’«ils [en] ont payé le prix» et qu’«ils en fassent des martyrs pour eux».
C’est vrai que Mourad la « tartine », dit Dhina, cet ancien résident de Saint-Genis, est forcément un démocrate -comme le rapporte S. Daniel, sur l’enquête du flic suisse Léon J.- avec les 130 kg de matériel militaire trouvés dans le coffre de la Mercedes de M.B, ainsi qu’avec les preuves commerciales du lien avec une société de vente d’armes (Cannet Technologies Group), les relevés de comptes à l’UBS de Lausanne et aux chèques postaux de Zurich, comme les noms des responsables du massacre des sept marins italiens, égorgés en juillet 1994 à Jijel (Est d’Alger). Selon S. Daniel, le flic suisse Léon J. précise que notre barbu était impliqué dans un vaste trafic d’explosifs (Semtex) achetés en Slovaquie, et acheminés via Bâle et Marseille, comme dans du « beurre FM », pour finir les « ratons » en Algérie. Il précise que les explosifs utilisés par le GIA (Groupe Islamique Armé), le 1er novembre 1994 à Sidi Ali (Wilaya de Mostaganem) – Algérie- où quatre enfants innocents ont été déchiquetés et 17 autres gravement blessés, avaient la même origine ! Je t’épargne les noms de toute cette galaxie des barbus, qui gravitent autour, mais surtout sur le dos du peuple algérien, avec la bénédiction des « défonseurs » des Droits de l’Homme, et des partis de la politique de gauche des chaos.
Et qui était procureur de la Confédération Helvétique à ce moment là, qui a lassé le flic Suisse ? Carla Del Ponte, laquelle selon lui, « ne s’y prendrait pas autrement si elle voulait protéger les islamistes ».
Qui tue qui ?
Depuis 1994, Carla Del Ponte a fait du chemin, et du beau chemin, puisqu’elle a été nommée en août 1999 procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie et Tribunal international pour le Rwanda ; elle sera désignée ambassadrice de Suisse en Argentine -du 1er janvier 2008 à février 2011 ; de septembre 2012 à août 2017, elle est membre de la commission d’enquête chargée d’enquêter en Syrie, créée sous les auspices du Conseil des droits de l’homme des Nations unies. Alors que le flic du Jura a été mis au placard (heureusement pour lui, pas au mitard), le physicien du « Kamis » accède, en plus de son statut de refugié, aux pièces de dossier confidentielles, qui peuvent le renseigner sur le fonctionnement des services-secrets suisses.
Alors, qui produit « l’islamisme politique » ? C’est son système ou c’est l’Algérie qui le combat depuis 1988, (et même avant), plus précisément depuis le 5 octobre 1988, juste avant la proclamation de l’état palestinien à Alger, le 15 novembre 1988 ? Ce qui a échappé, encore une fois par hasard, à toute la presse hexagonale et à Julien Mongold qui s’est donné énormément de peine à expliquer « pourquoi les Algériens se sont révoltés le 5 octobre 1988 ? ». Ils posent tous les bonnes questions, non ?
Encore une équation philosophique et énigmatique à résoudre, cette fois-ci, pour Xavier « Le Drient Court toujours », qu’il peut exposer sur la chaîne de la génétique des populations identifiées « Berbères » -courbées vers la terre, rudes, grossiers, nourries de la chair des fauves, mangeant de l’herbe comme des bêtes…- de Salluste.
Il est cool avec « les bougnoules » qui roulent encore pour la langue arabe « depuis 1962 », cette langue qui a tant apporté au français (Nos ancêtres les Arabes – Ce que le français doit à la langue française- Jean Pruvost, 2018- Ed. Points), puisque Michel « O’ Frais du système » qui a jeté le peuple de France dans les bras de la collaboration (réhabilitée par Eric Zoro, celui pour lequel il n’excluait pas de voter durant les dernières élections présidentielles), au bout de 5 ans d’occupation, appelle à aider ce « pauvre peuple algérien» qui s’est débarrassé de 132 ans de colonialisme. Il n’y a pas quelque chose qui cloche au sein des « errements de l’identitarisme » d’Alain Policar (25 mai 2020) ? Remarque, ils ont produit beaucoup de collabos à la tranche pétainiste, avec une dégaine plus vite que leurs ombres, en mode Lucky Luck de la politique, spécialement pour le peuple algérien. Du coup, le « Dilem », c’est qu’ils peuvent se faire déclasser à la seconde place, puisque la première sera occupée par tous les « Bousachi », sans « Tabbou ».
Michel « O’ Frais du système » aurait peut-être préféré que les Algériens soient sourds et muets, pour ne point raconter leur histoire livrée à des commissions politiques, ou qu’ils parlent normand, cette « langue » pour laquelle il s’est vaillamment battu dans son université populaire à Caen, au point qu’elle a disparu de l’espace linguistique en France. Je ne vois pas pourquoi il épingle alors Benjamin S-Tora Bora, membre du club très fermé « Françalgérie », l’historien officiel du système, qui a proposé dans « son conte n’est pas bon » d’écrire dans la langue universelle des buchettes de Jacques Bénet pour ne pas brouiller les pistes, naturellement ! Pourtant S-Tora Bora a même invité (par hasard ?), dans son rapport, André Rossfelder, l’auteur du « onzième commandement », cet imminent membre de l’OAS, condamné à mort par contumace pour sa participation à la tentative d’assassinat du président de la République, Charles de Gaulle, au mont Faron, à Toulon, le 15 août 1964.
En mode « diviser pour régner », il s’attaque ensuite à l’immigration pour laquelle il déclare « qu’il n’ y a pas de problème », comme pour contredire Hamid Ait-Taleb, l’auteur de « Un homme sans titre », qui a expliqué que pour accéder à un emploi à hauteur de ses compétences, il a dû gommer « l’héritage du nom de son père, incompatible» dans le système judéo-chrétien (de celui qui se dit athé), pour embrasser la normalisation sous la nouvelle appellation de Xavier Le Clerc. On n’est pas convié à leur choc des civilisations, non, non, non … !
Rapidement, pour ne pas ennuyer le lecteur concernant l’immigration, je me demande si ce n’est pas l’expression d’une alerte, au regard de l’expérience historique acquise (qu’ils veulent effacer) avec plus de 2 millions d’Algériens (soit un tiers de la population algérienne, et donc un quart de la population rurale) parqués et concentrés par la France coloniale dans les très jolis camps (au moins 2392 sont alors créés), appelés pudiquement de « pacification » ou de « regroupement », comme le rapportait Michel Rocard dès février 1959, dans son rapport qu’il adressait à Paul Delouvier (délégué général de l’Algérie française). Il faut dire que si le rapport date de 1959, il a fallu attendre 2003 pour que ce document soit publié sous le nom de son auteur. Michel Rocard parle de 200 000 morts, et la mortalité infantile avait atteint le chiffre record de 50 % ; on verra si on battra les records des « bienfaits de la colonisation » dans les prochaines échéances colorées du rouge au brun.
« Le pauvre peuple algérien » est immature, incapable de discerner l’émancipation du système « avant 1962 » que lui propose Michel « O’Frais », de celui « depuis 1962 ». Il ne faut pas traduire ici une quelconque incitation à la haine, ni à la rébellion des pingouins estampillés made in « ya bon banania ». A ce propos, soit il a lu à l’envers les récits de Gérard Fauré (« Fournisseur des Stars parle », « Le prince de la Coke », « Dealer du Tout-Paris », « L’éducation d’un voyou ») dans le système du FMI, soit il s’apprête à donner un coup de main pour faire aboutir les 219 commissions rogatoires internationales lancées par les tribunaux algériens (43 exécutées et 156 toujours en souffrance), notamment en France, afin que le peuple algérien puisse récupérer les biens mobiliers, immobiliers et plus que les fonds de caisse détournés, par cette élite politique (elle se reconnaîtra) qui organisait les diners mondains de la Françalgérie. Ou encore, il a anticipé la récente publication de l’enquête de Martine Orange, concernant le bras très droit de notre O’Macron. C’est à battre en « retraite » pour les gueux.
Il poursuit son interminable propos indigeste pour l’humanité toute entière, en brouillant ses ondes coloniales :« …Et cette mafia, on va lui demander pardon, proposer nos excuses … ». Ah bon, si Michel « O’Frais » et son système ne demandent pas des excuses au peuple algérien, pour les bienfaits de 132 ans de colonisation, c’est parce qu’il est dirigé par une « mafia » « depuis 1962 », et pas « avant 1962 ». « O’Frais du système », cette reptation politique est périmée !
Et puis, en ce qui nous concerne de très près, si on faisait une espèce d’échange équitable, pour pouvoir au moins récupérer nos retraites (prévues dans le plan du système à 65 ans) du menu du dîner de l’Elysée, prises en sandwich entre les fruits de mer des 21 convives-membres du système, ce mercredi 28 septembre 2022, afin de rattraper « la mafia » d’Alger qui permet aux salariés de prendre leur retraite à 60 ans, et aux femmes à partir de 55 ans. Michel « O’ Frais » du système n’est pas concerné par le menu « Elysée » de nos retraites découpées démocratiquement et avec parcimonie par la fourchette (fourchetta) de Jacques Bénet et le couteau sur la nuque d’Agatha Christie.
Comme il a entièrement et définitivement sauvé les 10 millions de citoyens (sur les 67 millions d’habitants, presque 1 sur 7) qui vivent sous le seuil de pauvreté en France, il se propose alors de « soutenir le peuple algérien » à partir du plateau de « Merci patron » de François Ruffin, siège de la promotion d’Eric Zoro, d’où le « kabyle » (qui fait le moine, Ferhat Mendel Mehenni-F2M-) vient de tirer une cartouche coloniale à vide avec les tutoiements d’usage de son promoteur Ivan Rioufol, lequel lui a fait une promesse :« je te tiens au courant ».
Qui ne tutoie pas Ivan Rioufol, de la chaîne ZNews – de Merci Patron » ?
Je dois dire que cette opération médiatique de la génétique des populations me rappelle drôlement celle de la fabrication de sanction de Rose Ameziane et Malik Yettou, animateurs du beurre et de l’argent du beurre FM, radio du même jeu d’une même famille Kettane, pour attaquer le peuple algérien en musique du FMI (France-Maroc-Israël). Nacer Kettane n’a rien à voir avec l’AJC (American Jewish Committee), et il avait même réussi à vendre ses ondes, en 2014, à Serge « D’assaut », le promoteur de la paix en France et dans le monde, comme tout le monde le sait. Elle rappelle aussi l’opération « IN » d’OFF investigation de Yanis Mhamdi, sur l’instrumentalisation de l’Islam de France par l’Algérie, avec le repas d’Iftar du 19 avril 2022, organisé par la Grande Mosquée de Paris, en soutien à la réélection du commandeur « O’Macron ». Yanis Mhamdi, ce grand journaliste d’investigation, aurait dû en profiter pour demander à Chems-Eddine Hafiz, celui qui a pris démocratiquement la Grande Mosquée de Paris pour signer une fatwa LICRA le 19 mai 2021(pour lutter contre l’islamophobie, nous disent-ils), de nous préciser s’il a organisé ou pas le voyage, en février 2014, « le barreau de Paris qui montre l’exemple », à Jérusalem-Est sous occupation israélienne, lorsqu’il était avocat-conseil de la Mosquée de Paris.
Et enfin, Yanis Mhamdi, ce grand investig « IN » (mais « OFF » selon le théorème des inversions des valeurs et des rôles, des mathématiques de la politique), n’a pas cru bon de poursuivre son enquête à la « Colombo », pour nous éclairer sur le prix littéraire singulier construit par la Grande Mosquée de Paris sous la direction de Chems-Eddine Hafiz, taillé sur mesure pour le système, avec comme membre du jury (12 membres soigneusement sélectionnés ) Jean Pierre Elkabbach, Hélène Carrère d’Encausse, et surtout, surtout l’homme qui fait toujours des bonds par les fenêtres de toute l’« Algérie » : Benjamin S-Tora Bora. Il va y avoir beaucoup de littérature néocoloniale en promotion, à partir de la Grande Mosquée de Paris. Allez Yanis Mhamdi, fais un effort : A. Merdaci t’a mâché le boulot ! https://algerie54.dz/2022/10/
Pour emprunter la pensée d’Alain Jugnon « Contre – O’Frais du système -, « ce n’est pas une charge contre une personne de ce nom ; c’est la tentative à la fois raisonnée et passionnée d’un militant anticolonialiste qui refuse, de la part d’un « panseur » dit moderne, la possibilité du mensonge théorique et de la tricherie politique pratique ».
En vérité, peut-on s’interroger sur le fait que notre grand philosophe parisien, Michel « O’ Frais du système », avec son propos « d’amour d’attaque sur l’Algérie », n’est pas venu étouffer la proclamation de notre commandeur « O’ Macron » au peuple de France, sur « la fin de l’abondance, de l’insouciance, des évidences », le 24 août 2022, la veille de son départ, le 25 août 2022, vers l’Algérie ? D’ailleurs, qui n’a pas vu ces enfants, ces femmes, ces familles, ces personnes âgées, ces citoyens salariés ou chômeurs (selon la Fondation Abbé Pierre 300 000 personnes vivent Sans Domicile Fixe) qui « décorent » les rues et les carrefours en France, et qui vivent dans la grande abondance, surtout des cartons comme seuls abris à vie.
Par la même occasion, et concernant ce voyage de l’élite du régime au seul pays au monde de « la rente mémorielle », il épingle Benjamin S- Tora Bora, le mémorialiste officiel du système, l’auteur de beaucoup d’histoires sur l’Algérie, comme pour déployer un écran de fumée sur la composition du bataillon de plus de 90 membres des forces spéciales de cette « FrançAlgérie », regroupés en constellation autour de « Jupiter », pour une réconciliation en carton, tournée vers le cinéma (et peut-être même le théâtre) politique d’Alexandre Arcady et vers la formation de la jeunesse, dans un incubateur aux réseaux sociaux des guerres de 4ème génération. Ils vont pouvoir délocaliser l’industrie des reptiles et des légumes, au service du système du FMI, qui tourne à plein régime en France, pour faire exploser l’Algérie.
On est rassuré sur la trajectoire de la Françalgérie, d’ailleurs décrite à l’Institut Français de Géopolitique (IFG) par Ali Bensaad, le titulaire du « Zelig d’Or », imaginée pour nous par Jack Attali, l’un des 42 visionnaires du monde de demain, sous la direction de Xavier Pavie (Ed-Maxima, fev. 2021), qui appelle à « contribuer à une nouvelle forme supérieure d’organisation politique pour l’humanité » -page 145-, pour les dindons de la farce que nous sommes. Des noms, des noms, des noms, … !
Outre Jack Attali, on n’y retrouve que du beau monde ! Comme Daoud 19, que les grands médias présentent comme Algérien du bon côté du manche; Karim Amellal, qui n’est pas tout blanc (les kabylophones comprendront) ; Jack qui en dit « Lang » dont l’Institut de son monde « Arabe » s’est spécialisé par hasard sur l’Algérie après l’indépendance, avec un vrai coup de jeune pour « les vieux » du système en France; Montebourg « battant et ses vœux pieux » est aussi dans le coup; le parrain « kabyle –AOC– à la manœuvre » de Marc Endeweld-Ed. Stock-2019-, François Aissa Touzi ; Nacer Kettane du beurre et surtout l’argent du Beur FM, Chevalier de la Légion d’honneur et pas d’horreur (pour quel service rendu à la France d’en haut ?) celui qui a trouvé une belle fenêtre « d’Expression d’Algérie» médiatique en Algérie pour placer ses deux amis historiens (l’histoire est écrite d’avance ?), Benjamin S-Tora Bora et Amar Mohand Amar (il a doublé la mise Mohand Amar 2), l’un des membres du « colloque colons et colonisés » d’Ahmed Bensaada, organisé par notre « Zelig d’Or » à l’IFG (Institut Français de Géostratégie) du 23 au 25 juin 2022. Tu vois comment l’histoire des « trajectoires d’une nation et d’une société » est écrite d’avance ?
Allez, pour leur plaisir : l’éducateur Mohammed le « néflier », dit Mechmeche, (le pompier -pyromane ? – du système en banlieue (depuis les révoltes de 2005, parties de Clichy/Bois, suite à la mort des deux gosses de 15 et 17 ans, Zyed et Bouna) fait aussi partie du voyage dans le gaz de la société civile politique. Ce qui est étrange avec son groupe, qui organise des balades pour les familles, afin de les sortir de la misère sociale, c’est que j’ai découvert qu’avant de partir fièrement (son travail est reconnu au-delà des frontières) en Algérie avec le régime de Paris, il a mené un projet -2022- comburant, intitulé : « Oxygène ». Ce n’est pas ACleFeu en France ?
Et puis, il y avait Rachid « T’es mal », un sénateur socialiste (oui le PS existe encore pour les besoins du régime!) élu par le système, qui n’est pas le romain Salluste, Galius Sallustius Crispus de la ville de Sabine. Membre de la commission des affaires étranges –ères et de l’attaque par nos forces armées jusqu’aux dents, il préside le groupe interparlementaire d’amitié France-Algérie, ce qui pourrait expliquer les interventions d’attaque de nos parlemen-taires au Sénat et dans leur Assemblée Nationalisée, contre le peuple algérien. Je pense notamment à la « Rossignol et les chœurs beaux », ou encore à la « Buffet m’a tuer » en marchant sur Georges avec sa faucille et son marteau. Il est « T’es mal » Rachid, puisque l’amitié avec l’Algérie consiste au moins à se parlem-taire, lorsque le peuple algérien est lapidé dans leur assemblée d’attaque. Et puis, il faut croire que ce membre de la Françalgérie était en mission pour le compte du groupe « France-Israël » dont il est membre au Sénat. Rachid « T’es-pas- mal » ?
Michel « O’ Frais » du système veut-il garder au chaud les centaines de crânes de ces résistants algériens au système colonial (estimé à 536 par Amel Blidi, sans compter ceux qui ont disparu) qui décorent encore le Muséum (MNHN) de Paris ? Remarque, y compris dans cette initiative que l’on nous fait croire apaisante, entre le bourreau (bien avant Meyssonnier, depuis 1849) et les décapités à qui on a taillé les oreilles, l’anthropologue algérien, Ali Farid Belkadi (à l’origine de ce trésor colonial macabre, qui n’a pas échappé à Benjamin S-Tora Bora, l’historien officiel du système), vient d’annoncer que trois des vingt-quatre crânes des résistants algériens, rapatriés en juillet 2020, sont des tirailleurs morts pour la France coloniale. Pour cet expert algérien, sans doute trop frisé pour les scientifiques du système, la présence de ces trois têtes taillées sur mesure (réf. « MNHN-HA-296. Amar Ben Soliman » – « MNHN-HA-300. Belkacem Ben Mohamed El-Djennadi » – « MNHN-HA-3860.Ali Kalifa Ben Mohammed ») « n’est pas le fruit d’une simple et excusable erreur, malheureuse et malencontreuse ». Il accuse les « redoutables » spécialistes du MNHN de Paris d’être derrière ce « leurre », et interroge le système: « Le maréchal P. Pétain est-il inhumé au Panthéon ? ». Une belle banane pour glisser en musique sur du « Beur FM », puisque Ali Farid Belkadi n’est pas un pote de Nacer Kettane, pour qu’il puisse le placer dans la commission officielle de l’histoire lissée, dans le sens du poil colonial.
Va demander à ce souverainiste moderne de s’inquiéter du sort réservé à Salah Hamouri, cet avocat franco-palestinien qui moisit dans les geôles israéliennes, à côté d’autres prisonniers palestiniens, pour des délits imaginaires ; ou encore mieux, de s’interroger au moins sur l’espionnage de la France et de ses plus hauts dirigeants, avec le logiciel « Pegasus » au service du système du FMI, et en exigeant une enquête parlementaire, puisque c’est le cœur de l’état qui a été ciblé. Remarque, là, aucun député, aucune organisation politique, ni même les soldats de la société civiles, n’ont osé s’aventurer sur ce terrain glissant au « Beur FM ».
Notre « Dilem » raciste de la caricature (l’auteur de l’éolienne complotiste du FMI, sans « Tabbou »), sait que les autorités de la communication et de la presse en Algérie, face à ce déferlement de haine contre le peuple, continuent à promouvoir des émissions de formation à la pâtisserie et aux gâteaux-maures, pour les citoyens, et à ignorer les militants engagés à leurs risques et périls, sur les voies de la résistance pour notre existence. Il nous restera les makrouts pour la route.
Tu comprends maintenant pourquoi on inaugure plein de rues et de places, en France, portant le nom de chanteurs et de danseurs algériens, à côté de plus de 200 rues, boulevards, places, statues, etc. du guide colonial ? Les bourreaux et les victimes ont la même mémoire ?
Pour eux, l’indigène restera « O’Frais » avec Michel qui lui confectionne des croche-pieds politiques sous une bannière philosophique, afin de conjuguer son avenir (après 1962) au passé (avant 1962).
Au final, c’est Michel « O’Frais du système » qui n’aime pas l’Algérie, depuis 1962, ou c’est l’Algérie qui n’aime pas le système de Michel « O’Frais » ?