mauritanie
8 nov.2017 Le ministre du général Mohamed Ould Abdel Aziz avec la bénédiction de l’ensemble du gouvernement encourage l’esclavage traditionnel et coutumier. Il est ministre de l’environnement et du développement durable, M. Amédi Camara assiste, en plus il est filmé à une cérémonie faisant l’apologie de l’esclavage, pendant que la présidence, le gouvernement et
RE.D.I.D Témoignage qui fait froid au dos de Bocar Demba DIOP policier Mauritanien Je suis resté 18 ans comme agent de la police nationale avec un Bac+2, n’est ce pas terrible dans un pays soi-disant démocratique, sans discrimination aucune ? Qui peut comprendre cette situation ? Voila comment, on s’est retrouvé avec des maures à la
ITRI : Institut Tunisien des Relations Internationales Publié par Candide le 30 mai 2017 dans Chroniques je me joins à Ahmed car j’ai bien connu Chbih Ould Cheikh Malainine lorsque nous soutenions nos amis Mauritaniens à Paris Ginette Paris le 10 Août 2002 Chebih, mon frère, mon ami. Chebih, mon frère, mon ami. Je
haratine@yahoogroupes.fr Aujourd’hui à 14h37 CE TEXTE SUR L’ESCLAVAGE EN MAURITANIE EST PARU AUJOURD’HUI SUR http://www.les7duquebec.com/actualites-des-7/memoire-de-lesclavage-ne-pas-oublier-la-mauritanie-ou-se-perpetue-ce-fleau/ MERCI DE L’INFORMATION ROBERT BIBEAU HTTP://WWW.LES7DUQUEBEC.COM http://geopolis.francetvinfo.fr/memoire-de-l-esclavage-ne-pas-oublier-la-mauritanie-ou-se-perpetue-le-fleau-142853 Mémoire de l’esclavage : «ne pas oublier la Mauritanie où se perpétue le fléau» Par Martin Mateso@GeopolisFTV | Publié le 10/05/2017 Plusieurs milliers de descendants d’esclaves manifestent contre l’esclavage le 29 avril
Mercredi, 29 Mars 2017 Auteur : Citoyen-Veilleur | Editeur : Walt | Samedi, 25 Mars 2017 – Patrick Drahi est un milliardaire patron du groupe Altice (Numéricable/SFR/SFR Médias). Il contrôle un groupe de médias puissant (BFM TV/RMC/L’express/Libération). Patrick Drahi est un homme d’affaires et entrepreneur franco maroco israélien, né le 20 août 1963 à
URGENT : Dénoncer l’esclavage est devenu un crime qui peut coûter cher, URGENT : Dénoncer l’esclavage est devenu un crime qui peut coûter cher, entre 3 et 15 ans de la prison ferme sous l’ère du général putschiste, Mohamed Ould Abdel Aziz. Les antiesclavagistes sont traqués, considérés comme des dangereux qui « divisent » les
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