RASSEMBLEMENT A BERCY CONTRE LE FRANC CFA
4 octobre 2012
RASSEMBLEMENT A BERCY CONTRE LE FRANC CFA EN PRESENCE DE OUATTARA CE VENDREDI 05 OCTOBRE 2012
OUATTARA est encore à PARIS ce VENDREDI 05 octobre 2012 pour fêter l’esclavage monétaire de l’Afrique francophone. A noter aussi la présence à ses côtés de Charles Konan Banny et d’une belle brochette de négriers des temps modernes (Camdessus, Trichet,…) à cette commémoration du 40ème anniversaire des accords de coopération monétaire de la zone franc.
Donc tous à Bercy ce vendredi 5 octobre 2012 de 13h à 20h pour dénoncer le franc CFA et la France-à-fric dont il est la colonne vertébrale (Métro Bercy L6 et14).
La monnaie est une arme de destruction massive certes discrète mais redoutablement efficace au service de la domination occidentale par la spoliation des peuples de leur droit à disposer d’eux-mêmes… L’Afrique peut-elle être indépendante sans souveraineté monétaire ?
Christine TIBALA
06 10 47 67 17
Pour info : liens vers quelques ressources documentaires :
« La Côte d’ivoire a les moyens de vivre sans endettement excessif, pourvu qu’elle ait la pleine et libre administration de ses richesses. Je reste convaincu que c’est l’une des raisons pour lesquelles nous sommes victimes des attaques que nous subissons. » Laurent GBAGBO
« S’il y a une chose que je ne supporte pas, c’est la soumission. Surtout quand elle engage la vie de tout un peuple. Mes convictions ne sont pas négociables. Tant pis si j’en paie le prix. Je n’accepterai jamais que mon pays soit soumis pour l’intérêt d’un autres peuple ou d’une autre Nation fut-elle la France. » Laurent GBAGBO
« Je vois et j’entends des chefs d’Etat rire et se moquer de moi parce que je suis aux prises avec des puissances étrangères. Et ils se disent que ça ne les regardent pas. Mais ce qu’ils ne savent pas, c’est que c’est comme ça que les colons ont réussi à pénétrer l’Afrique. D’abord ils se sont attaqués à une tribu et la tribu d’à côté disait, ce n’est pas notre affaire. Mais après, les colons sont passés aux autres tribus et c’est là qu’ils ont commencé à comprendre mais c’était déjà trop tard.» Laurent GBAGBO
« Je suis debout parce que la cause en vaut la peine ; parce que la question n’est pas de savoir qui me déteste moi GBAGBO ou qui m’aime. Mais la question est de savoir, est-ce qu’aujourd’hui au 21ème siècle, nous allons accepter que la Côte d’Ivoire en particulier et l’Afrique en général redeviennent le vassal de l’Occident ? » Laurent GBAGBO