Quelle structure ou institution sanctionnera les Usa pour la transgression des principes dits universels de protection des souverainetés des Etats constitués et reconnus comme tel de par ce monde ? Quelle structure ou institution punira les Usa pour la violation de l’intégrité territoriale du continent africain ? Quelle structure ou institution condamnera les Usa pour le crime de rapt (en temps de paix) d’un individu ? Quelle structure ou institution poursuivra les Usa pour voie de fait pour détention extrajudiciaire ? Quelle structure ou institution portera injonction aux Usa au respect des règles gouvernant la paix de par ce monde ?
 
Sans en avoir reçu préalable autorisation du gouvernement ou d’autorités de l’Etat indépendant de  la Libye , ou d’une quelconque institution ou structure supranationale compétente en la matière, des forces armées Us, le 05/10/13, ont procédé sur le territoire de  la Libye , à l’enlèvement d’un ressortissant libyen, Nazih al Ragye dit Abou Anas al Liby. Cet acte pour le moins odieux, non sans soulever l’ire des autorités libyennes qui menacent de représailles et d’indirect en inspirerait des fatouah et le corolaire du djihad, serait-il une incitation de nature à poursuivre le chaos en Libye ?
 
Va-t-il falloir s’émouvoir en conséquence si d’avenir d’autres ressortissants Us ou occidentaux sont victimes d’enlèvement ou massacrés à l’exemple du 11/09/12, où quatre ressortissants américains, dont l’ambassadeur local Us J.Christopher Stevens, furent tués dans une attaque du consulat Us à Benghazi (Libye) ?
Va-t-il falloir soutenir l’organisation des nations unies à déporter des forces armées internationales dans l’optique de la stabilisation de  la Libye  violée ?
 
Devrait-il en absence de réaction ou de sanction de la communauté internationale, à l’endroit des Us en l’espèce, être entrevu et entendu qu’il soit ainsi développé ou mis à jour un nouveau principe universel reconnaissant à tout Etat la faculté d’arrestation, en tout lieu et hors de tout cadre, au nom de volonté  propre, quiconque serait accusé par lui de quelconque fait ?
 
Importe t-il de sanctionner et/ou de se prémunir de l’outrecuidante arrogance des Usa ?
 
D’un parallèle à autre visage, sous l’imposture de l’ancrage de la démocratie et ses principes attenants de justice, de souveraineté, de bonne gouvernance, et cetera ;  la France  qui eut à fouler au pied les principes dit universels gouvernant l’inviolabilité de l’intégrité territoriale et de la souveraineté d’un Etat constitué et reconnu comme tel, en se déportant militairement au Mali, s’en était prévalu d’une insidieuse invitation des autorités locales….quand bien même juridiquement, le contexte de transition d’alors n’autorisait ces autorités non légitimes qu’à expédier les affaires courantes et non exceptionnelles.
 
Ainsi donc la tonitruante démocratie tant prônée en facteur d’harmonie sociétaire, vecteur de mieux être des populations, gage de stabilité en supposée expression de paix mondiale, et cetera, et qu’entendent colporter d’imposition les Usa et l’Occident au travers de ce monde, ne saurait se prémunir des dérives engendrées en son nom ou des abus d’expressions de ses enchanteurs ?
 
L’Afrique serait-elle encore en marge (tiers monde) de la communauté internationale ou de toujours selon certaines perceptions un espace de non droit ou privé de droit ?
 
Joseph Tapa                                                                                          Ü  Accueil

08/10/13

Cameroun :  L’appel de la raison à la raison
Dire que Paul Biya, après plus de quarante années d’exercice à des hautes fonctions de l’administration et de la gestion publique, dont une trentaine d’années à la tête de l’État, DOIT PARTIR : ne serait pas en soi un programme politique. Encore qu’un programme politique n’est autre chose que la compilation d’un ensemble d’intention dans la possibilité de construction d’une société.
Hors dans le cadre du chapelet des intentions de Paul Biya, à l’avantage du Cameroun, à sa survenance en 1982 à la tête du pays, il asséna volontiers l’idée de renouveau ; ce dont l’on est en droit de se demander en quoi il consista. Du désespoir ambiant des populations, il lui vient la lumineuse idée de vendre l’espérance de ses intentions sous l’invocation de Grandes réalisations ; ce dont là aussi, on est en droit de se demander en quoi celles-ci se manifestent. De la persévérance des souffrances des populations, il insista à s’inscrire au bénéfice des populations dans un chantier dit de Grandes Réalisations ; ce dont, une fois encore, l’on est droit à se demander où s’établissent ou en quoi se manifestent ou se matérialisent telles. De l’abattement des populations affligées d’effroyables souffrances sans cessent, le président Biya à 80 ans, propose à nos jours d’inscrire le Cameroun dans les marques de l’émergence sociétaire aux environs des années 2035 ; ce dont l’on est en droit de se demander quelles seraient les strates ou marquent et voies dirigeantes à cette intention et avec quels concours nationaux.
D’une comparaison, le Gabon, petit État territorial et voisin frontalier du Cameroun, qui a subit un changement de personne à la tête de sa destinée, lui s’inscrit à être émergent en 2020.  La Côte  d’Ivoire, fer de lance de la région Ouest africain, à l’instar du dit Cameroun au niveau de la région de l’Afrique Centrale,  la Côte  d’ivoire qui a subit bien de nombreux troubles socio-institutionnels et changements d’Hommes en chargent de sa destinée, prévoit d’être émergent en 2020.
Paul Biya n’est-il pas dépassé ? Ou est-il Sage ou faible ? Paul Biya doit-il poursuivre ?

Paul Biya DOIT PARTIR n’est certainement pas un programme politique, mais bel et bien un slogan galvanisant des esprits consciencieux, sans que l’on puisse croire que l’énonciation d’un programme politique (intentionnel) ne soit pas à la portée de quiconque au Cameroun, mais assurément un nécessaire à la construction (rien ne l’étant depuis dans un monde évolutif) d’un renouveau aux ambitions et aux réalisations conduisant à une émergence matérialisée par, avec et d’expérience, les camerounais.

Que l’on soit un affidé ou inconditionnel soutien de Paul Biya, à défaut de lui être redevable voir sous le prisme de la séduction de sa personne ou enchantement quelconques, l’appel au bon sens n’est pas une hérésie.
Biya doit partir, quitter toutes fonctions publiques et même le Cameroun.
Joseph TAPA                                                                     Ü  Accueil

05/10/13

Monde :  Haro sur l’Africain et l’Afrique
Attaque terroriste au Kenya, instabilités institutionnelles et communautaires en Afrique, naufrage de Lampedusa en Italie….sournoiserie réaction politique occidentale ou
grotesque montage politique ?
1- L’Afrique est le continent le plus appauvri par l’action politique -spécifiquement- occidentale…!

2- L’Afrique est le continent qui a le plus fort taux de jeunes (croissance démographique soutenue) et majorité sont en désespérance du fait du 1.

3- L’Afrique est le continent qui caractérise le plus de menace sociétaire dans le monde actuel du fait de 1 et 2
Il serait bienvenu en conséquence de pragmatique stratagème de préparer les esprits à contrer la menace extérieure (de la migration africaine…envahissement subi et non plus choisi comme aux ères de l’esclavage et de la colonisation -dépassées- pour des raisons économiques….), et pour ce faire, de justifier en accompagnement idéologique l’instigation de fortifications avancées….tient les romains naguère avaient le mur d’Adrien, les Chinois la grande muraille ! Quelle valeur à ses symboles ? Ont-ils pour autant protégé les agresseurs des agressés ?
La situation ou la résultante des actions occidentales en Afrique trouverait solution dans la sécurité des frontières ?
Joseph TAPA                                                                      Ü  Accueil

02/10/13

Tchad-Usa :  Le procès de la discorde….
Les Usa n’ont jamais intenté des procès à l’encontre de l’innombrable de leurs citoyens qui ont commis, commettent encore à nos jours, de macabre faits et actes racistes envers bons nombres de leurs propres citoyens (de façade ?), circulent et y paradent auréolés de supériorité en toute impunité.
Alors que cet État met au chômage bons nombres de son personnel administratif, dit non essentiel, pour défaut de budget, l’État de ce pays annonce débloquer un budget d’un million de dollar, au bénéfice du jugement du Grand Frère Africain et ex président du Tchad, Hissène Habré, en rétention judicaire au Sénégal (Afrique).
Le Grand Frère Africain, Hissène Habré, de responsabilité, au regard des faits criminels reprochés à son gouvernement et son administration durant son exercice du pouvoir du 7 juin 1982 au 1er décembre 1990, mérite assurément d’être déféré en justice. Devrait-il, d’acceptable et d’utilité, l’être par l’entremise des puissances étrangères ? Qui paie décide….
L’engouement étranger à infantiliser le Noir Africain, ne cesserait donc de l’usage de la raison humaine…? Si les Africains ne veulent pas, en effet insultant-il serait de soutenir qu’ils ne le peuvent pas, pour des motifs propres s’investir à des manigances judiciaires quelconques, cela n’aurait de sens ? Pour qu’il faille le leur imposer ?
Quelle crédibilité peut être reconnue aux faits de ceux là qui, tout comme en interne chez eux, font valoir des esquives et autres pamphlets soporifiques pour se dédouaner de responsabilité judicaire ? L’Afrique serait le bien de quels peuples pour en jouir selon convenance ?
Joseph TAPA                                                                      Ü  Accueil

24/09/13

Maroc-Mali :  Comprenne qui le voudra
Le royaume du Maroc est le seul état constitué en terre africaine qui n’adhère pas aux institutions africaines dont la plus emblématique qu’est l’Union Africaine. Le royaume n’a d’espérance de cesse de rechercher à intégrer l’Union Européenne (U-E), à cet effet, bénéficie d’un partenariat particulier avec l’U-E.
À la récente incongruité de ré investiture du président malien, Ibrahim Boubacar Kiëta, le 19 septembre 2013, sous la présence spéciale et extraordinaire du président français, François Hollande, d’exceptionnel dans ce type de manifestation en Afrique, fut tout aussi celle de la présence du Roi du Maroc, Mohammed VI. Ce dernier prolongea son séjour au Mali, pour dit-on développer des relations de bon voisinage avec ce pays. Il s’en est suivi une annonce par la diplomatie marocaine : de la formation de pas moins de 500 imams maliens par le Maroc, et, la mise en place de dispensaire de campagne où exerceront -gratuitement- de temps à autre des médecins marocains au service des populations maliennes.
Il ne s’agit pas de formation de médecins maliens….mais insidieusement de contribuer à contenir -entretenir- la faiblesse structurelle de la dépendance du Mali ! Il ne s’agit pas d’assister les maliens à mieux s’instruire et s’investir aux défis sociétaires et le jumeau de la maîtrise dans l’espace et le temps de leur environnement….mais de contrôler l’endoctrinement des populations ! ATTITUDE BIEN PROPRE À L’ACTION OCCIDENTALE ET NOUVELLEMENT ASIATIQUE EN AFRIQUE.
De bonne conscience, les maliens ne seraient pas en mesure de s’instruire religieusement, correctement, par eux mêmes. Tout comme, les maliens ne seraient pas en mesure à se porter ou projeter en soin de leurs populations.

Quel(s) sentiment(s) à l’égard de l’Afrique subsaharien et du Mali en ressortir ?  Le royaume du Maroc s’investit dans quelle forme d’action ou service recommandé ?

Joseph TAPA

22/09/13

Kenya :  Nouvelle mise à jour de
l’inconséquence
Des suicidaires (une poignée mobile) se sont attaqués à un symbole de l’émergence sociétaire, centre commercial, en y prenant possession des lieux depuis maintenant pas moins de 24h.
Et les nombreuses forces de défenses et de sécurités locales, dépassées par les événements (secours aux  populations, contrôle et limitation de la zone de combat), se font épauler en première ligne de combat et du ratissage, pour la reprise du contrôle du symbole, par des mercenaires israéliens et des forces de sécurité des ambassades occidentales….
À quoi bon donc se vouloir émergeant ? Si cela ne peut s’appuyer sur les acteurs locaux pour le primaire de la sécurité interne ? Pour qui donc serait profitable cet enchantement à l’émergence si cela n’a de base locale ?
Et dire que le Kenya est cité d’exemple, comme un des modèles d’évolution sociétaire africain ! Voilà donc une des issues de l’engouement à l’émergence des sociétés africaines : une béante incapacité à garantir l’excitation !
Il n’est pas de doute que l’enseignement qui y sera rétribué, sous le fumant de la sécurité, se traduira par le renforcement des moyens de défenses (achats d’armes) et la dilapidation des finances locales, à cet effet, pour le bonheur des populations…enfin secondairement ou accessoirement à celui des vendeurs d’armes qui y seront bien inspirés de profit.
Un demi-siècle d’indépendance au succès nécessitant d’incroyable le passage à l’émergence….
Joseph TAPA
06/10/13

La communauté internationale, comme toute construction sociétaire sous l’impulsion occidentale, s’est bâtie autour de considération économique (mondialisation), est caractérisée par l’adhésion des peuples par le biais des États, régie par l’édification d’un ensemble de règles partiellement sécurisés sous le diktat de l’argument de la force ou la raison du plus fort.
Il en découle qu’il revient aux puissances étatiques (dictature de la force), dominant cette communauté internationale, de faire valoir « d’agentivité » qualité à s’autosanctionner… ! Ce que dévoile le volontaire d’inexistence d’une institution judicaire indépendante, détenant, d’utilité, de véritable moyens de coercition et de sanction au delà de la négociation biaisée (droit de véto au profit d’un groupuscule) dont se prévaut l’organisation des nations unies (Onu).
Ces évocations se confirment dans l’exemple de l’État de Somalie et de l’Afrique en général, où en l’espèce somalienne, les droits souverains reconnus internationalement, tel que celui de l’inviolabilité des frontières territoriales, sont bafoués sans égard par d’autres États membres de la communauté internationale (France, Usa, Royaume-Uni, disposant du droit de véto à l’Onu), qui, au mépris des règles internationales, s’y déportent et y interviennent militairement à souhait, comme cela l’a encore été dans la nuit du 4/10/13 par les forces Us, ou janvier 2013 par celles françaises. Aucune instance internationale n’est à mesure d’infliger quelconques coercitions, contraintes et sanctions, en respect des règles internationales dans les faits présentement évoqués ci-dessus.
Tel serait ainsi un des corpus de loin enviable pour l’Afrique, de ce qui se déploie sous l’appellation de la communauté internationale : une institution qui ne garantie qu’à certain de ses membres qu’une existence dans l’asservissement. Répétition historique ? Enseignement ?
Joseph TAPA

30/09/13
La question ci-dessous qui va vous être soumise d’interpellation à réflexion, n’entend pas s’ouvrir à quelconques prosélytismes idéologiques et perverses campagnes…, mais bien plus à s’ouvrir en conscience ou titiller la raison ou logique humaine.
LA QUESTION  : Peut-on de convaincant se dire culturellement Noir(e), Africain(e), se prévaloir de porter et représenter les valeurs Noires, Africaines, en s’adonnant ou s’ouvrant à des pratiques idéologiques et théologies étrangères à l’Afrique ? DE COMPLÉMENT : Comment qualifier une existence dans ou au travers des faits d’autres ?
Joseph TAPA